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Y'a t'il un Noël pour Balthazar: L'étrange Mystère du château de Napoléon
Y'a t'il un Noël pour Balthazar: L'étrange Mystère du château de Napoléon
Y'a t'il un Noël pour Balthazar: L'étrange Mystère du château de Napoléon
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Y'a t'il un Noël pour Balthazar: L'étrange Mystère du château de Napoléon

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About this ebook

L'histoire se passe dans une toute petite école perdue dans une petite montagne, avec un étrange et mystérieux château.
Le directeur ne sait plus où donner de la tête, et cela, pour sauver son école, de la fermeture programmer par le ministre de l'éducation National.
Bien sûr, le directeur compte sur les enfants, pour montrer que l'école et encore performante ; mais les enfants du village sont jeunes et naïves, et ne comprennent pas la situation, qui pourtant est déjà très inquiétante... surtout qu'un des enfants du nom de Balthazar, encore plus renfermé que les autres, ne fait rien pour arranger les choses.
Le directeur est désespéré, car son école risque même, d'être fermé avant la fin de l'année.
Mais un matin de fin Novembre, quelques semaines avant Noël, une nouvelle élève et qui vient de très loin, arrive dans la petite école en perdition.
à la surprise générale et comme un dernier espoir inattendu, la petite fille va tout changer, et dévoiler aussi et par la même occasion, l'étrange mystère qui entoure le château de Napoléon et du village.
LanguageFrançais
Release dateJan 12, 2016
ISBN9782322044948
Y'a t'il un Noël pour Balthazar: L'étrange Mystère du château de Napoléon
Author

Calvin Martin

Retrouvez moi sur mon site ( jp-bernadin.simplesite.com ) en Français et en Anglais.

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    Y'a t'il un Noël pour Balthazar - Calvin Martin

    copyright

    Chapitre 1 : Présentation

    Y’A T-IL UN NOËL POUR BALTHAZAR 

    ou 

    L’étrange mystère du château de Napoléon.

    CHAPITRE I 

    PRESENTATION

    Novembre - jour indéfini

    Il était une fois, dans un pays d'Europe et plus précisément en France, dans une région abandonnée par le tourisme, un petit village perdu dans les vallons et les plaines.

    Ce n'est plus les étendues plates des bords de mer, mais pas encore, non plus, les hautes montagnes des sommets…

    C’est un village qui n'intéresse absolument personnes, pourtant, les gens y sont très accueillants, et c’est là, d‘ailleurs et juste un mois précédant Noël, dans ce petit village au doux nom de Fontaneige, que commence notre jolie histoire et que je vais vous conter.

    -

    L'histoire se passe dans une toute petite école perdue dans une petite montagne, avec un étrange et mystérieux château.

    Le directeur ne sait plus où donner de la tête, et cela, pour sauver son école, de la fermeture programmer par le ministre de l'éducation National.

    Bien sûr, le directeur compte sur les enfants, pour montrer que l'école et encore performante ; mais les enfants du village sont jeunes et naïves, et ne comprennent pas la situation, qui pourtant est déjà très inquiétante... surtout qu'un des enfants du nom de Balthazar, encore plus renfermé que les autres, ne fait rien pour arranger les choses.

    Le directeur est désespéré, car son école risque même, d'être fermé avant la fin de l'année.

    Mais un matin de fin Novembre, quelques semaines avant Noël, une nouvelle élève et qui vient de très loin, arrive dans la petite école en perdition.

    à la surprise générale et comme un dernier espoir inattendu, la petite fille va tout changer, et dévoiler aussi et par la même occasion, l'étrange mystère qui entoure le château de Napoléon et du village.

    *

    Chapitre 2 : Balthazar

    CHAPITRE II

    BALTHAZAR

    Novembre - jour indéfini

    Dans le petit village, il y avait un enfant introverti et d'une extrême timidité, et qui se nommer, Balthazar.

    Ce prénom ? C'est son père qui lui avait choisi, mais la maman de Balthazar, Catherine, étant plutôt réticente au futur prénom de son fils, et préférait, à la limite ! Bertrand ou Gontran ou dans ce genre-là, mais sûrement pas, Balthazar !

    Perplexe, elle disait à son mari,

    « Pierre...! Te rends-tu comptes…? À l'école, ses camarades se moqueront de lui...! Avec un tel prénom, c‘est sûr...? » 

    Comme à son habitude, Pierre lui répondit, sur un ton absolument sûr de lui,

    « Mais non…! Balthazar…? En hommage à un des rois mages de la Bible, qu'elle beau prénom ton fils aura…! Il aura le prénom d'un grand roi…! »

    Face à l'intransigeance de son mari, Catherine acquiesça et leur fils s'appela donc, Balthazar.

    -

    Balthazar n'était plus un bébé, mais pas encore un adolescent non plus ! Il était plutôt chétif et bien plus petit que les autres enfants de son âge, mais il était bien loin ! De devenir le grand roi et que voyer son père, dans ses pensées poussées à l'extrême.

    Comme avait prédit sa mère, d‘ailleurs, Balthazar eut de gros problèmes avec son prénom, étant devenu ainsi, la risée de son école. 

    Certains l'appeler Babar, d'autres Bazar, d'autres encore calamar, etc... 

    Balthazar avait le droit d'avoir, tous les noms et sur noms imaginables, alors, Balthazar se renferma sur lui-même, et ne parler plus à personnes. 

    Le pauvre Balthazar n’avait plus aucun ami et était devenu, le souffre-douleur de l'école.

    Mais lorsqu'il s'enfermait dans sa chambre, Balthazar devenait qu'elle qu'un de grand et de respecter.

    En effet ! Il avait installé au beau milieu de sa chambre, une table tellement grande ! Qui ne lui rester plus, qu'un tout petit coin pour son lit. 

    Puis, il avait recouvert sa table de papier roché, vous savez ! Le papier que l'on utilise pour les crèches.

    Il y avait même créé, soigneusement, des montagnes des ponts et des vallées, et avait installé dessus, toute son armée de petits soldats en plastique. 

    Ils y en avaient de toutes les couleurs, des soldats en plastique, mais lui ! C'était les bleus et qu'il prenait toujours, celle de l'armée de Napoléon Bonaparte.

    À vrai dire, Balthazar en était le Colonel ! Non, le Général ! Que dis-je ? Il en était l'empereur en personne lui-même, Napoléon Balthazar 1er c’était lui ! Et y jouait, pendant des heures et des heures, et cela, jusqu'à ce qu'il n’y ait plus aucun ennemi sur le champ de bataille. 

    Balthazar avait même créé pour la circonstance, une petite prison et où il enfermait des soldats, et à qui, il avait fait grâce… sa Majesté Balthazar ! Dans sa grande bonté. Voilà l'univers très étrange et très bizarre de Balthazar.

    -                           

    Les premières neiges de fin Novembre venez de tomber et commencer à recouvrir, les toits et les rues du village.

    Mais les parents de Balthazar sont complètement désespérés ! Car impossible de faire sortir leur fils dehors et avec les autres enfants de son âge.

    Alors et à en briser la vitre, embuée par les premiers froids d'hiver, sa mère se tapoter allègrement le front, dans les carreaux froids et glacés de la fenêtre du salon. 

    Elle tapotait alors lentement... toc, toc, toc… et regardait… les autres enfants joués dehors dans la neige.

    Les yeux brillants, mais avec un petit sourire au coin de la lèvre, elle écoutait les rires joyeux et enneiger des enfants. 

    Mais son estomac à elle s'était horriblement noué ! Car Catherine, aurait tant aimer, voir son petit Balthazar joué avec les autres enfants dans la neige.

    Dans un ultime effort et sans se faire trop d'illusions, d’ailleurs, elle cria avec énergie à Balthazar,

    « Balthazar...! Il y a des enfants qui jouent dehors, devant la maison… va- les voir, si tu veux et demande leurs, si tu peux jouer avec eux…?    »

    « J'ai très mal au ventre...! Maman…! » lui répondit instantanément Balthazar, de sa chambre et de l'étage supérieur de la maison. 

    Mais sa mère, connaissait bien toutes les réponses de Balthazar… d'ailleurs et dès qu'il était rentré de l'école, Balthazar s'enfermait directement dans sa chambre.

    Sa timidité et son renfermement étaient tels ! Qu'à l'école, son enseignante, Madame Charmy et en accord avec les parents de Balthazar… avait été obliger de mettre Balthazar, seul et dans le fond de la classe, et cela, pour évitait que Balthazar ne subisse encore plus, les moqueries de ses petits camarades de classe.

    -

    Le père de Balthazar, quand à lui, s'étant approché de la fenêtre ; posa sa main doucement sur l'épaule de sa femme ; puis lui dit,

    « Catherine...! Pourquoi n'emmènes-tu pas Balthazar, voir un spécialiste pour ce genre de problème…? Je connais un ancien copain de la fac, qui c'est spécialisé pour les enfants en difficultés...! Je pourrais peut-être, si tu veux bien…? Lui demandait, tu sais….? »

    Catherine, sans un mot, se dégagea de la main de Pierre… 

    Puis, elle le regarda avec un regard, vous savez ! Ce regard qu'il n'est pas besoin d'ouvrir la bouche ! Puis et rapidement, Catherine repartit dans la cuisine.

    -

    Le week-end s'annoncer plutôt triste et monotone, et hélas ! C'est d'ailleurs, ce qui arriva ! 

    Le week-end ? Fut très triste et très monotone.

    *

    Chapitre 3 : L'école

    CHAPITRE III 

    L’ÉCOLE

    Lundi 28 Novembre au matin

    Le lundi matin était enfin arrivé...

    C'est un jour de fin Novembre, presque le début de décembre et le froid, commençait à se faire sentir fortement.

    Il est 8h30 du matin dans la cour de l'école, et qui était ornée, d'un petit muré et où quelques marronniers, se trouvaient bien dénudés par ce froid de début d'hiver, alors qu'un grand sapin lui, se trouvait au beau milieu de la cour et pointait ses épines fièrement vers le ciel.

    Il y a un petit préau aussi et une petite cloche accrocher au-dessus de la porte d'entrée, ainsi, qu'une vieille horloge toute sale et vétuste. 

    Horloge sale et qui d'ailleurs, n'avait même plus d'aiguilles, et ce, depuis bien longtemps déjà.

    Les budgets sont très serrés, pour cette petite école de campagne, et le moindre faux pas, et c'est l'école entière et qui sera fermée, envoyant ainsi, tous les écoliers du village, dans des écoles lointaines et dans d'interminables trajets scolaires, parfois longs et dangereux.

    C'est pour cela, que le directeur, Mr Dupuit, ne préfère pas faire réparer la pendule et ne préfère surtout pas, en parler à l'Académie et dont il dépend d'ailleurs.

    Le directeur, Mr Dupuits, le sait très bien que son école est sur la sellette, et que le dossier aussi est sur le bureau du ministre de l'éducation Nationale. 

    Le directeur, Mr Dupuis, le sait ! Qu’à chaque seconde et qui passe…rapproche fatalement son école de la fermeture inévitable et programmer, et ce, pour la fin de l’année scolaire ou peut-être même ! La fin de l’année tout court ; le directeur le sait, mais hélas ! Le directeur ne peut absolument rien faire.

    Il faut dire aussi ! Que l’école date de 1909 et encore ! L’école des filles et qui a été réunis avec celle des garçons, date de 1880, juste et après l’époque de Napoléon III ! De plus, l’école est devenue école ! Qu’a la suite de la transformation de l’ancienne écurie du village, et qui date elle et carrément ! De l’époque de Napoléon Bonaparte.

    L’école est donc très vieille et très vétuste, et certains disent même, qu’il y a des rats dans la cave souterraine ! Pour ma part ! J’en ai jamais vue.  

    Mais l’école termine donc ces derniers jours, calmement et silencieusement, comme un moribond dans son dernier souffle, et dont le directeur, Mr Dupuis, pourra bientôt en prendre la retraite.

    Le directeur, Mr Dupuis, lui, ne préfère pas y penser! Car cela, évidemment, le rend tellement triste.

    Il faut dire aussi, que le directeur a grandi dans ce village, et étant enfant, il est venue s’asseoir sur les bancs de cette école.

    Petit garçon, il jouait avec joie dans la cour, mais il se souvient très bien de sa grande joie, le jour et où il fut nommé, directeur de cette même école et dont il avait été un des plus fervents élèves et des plus doués.

    Quelle fierté pour lui ! Le jour de sa nomination, mais voilà ! Le modernisme est passé et tout ce qui est vieux et défraîchi, un peu comme lui ! Doit fatalement disparaître et passer aux oubliettes. 

    Horrible perspective d’un monde nouveau, et dans lequel, ils nous faut bien y vivre, forcément…

    Mais le directeur, Mr Dupuits, le sait tout ça ! Mais ! Il ne peut rien faire pour changer cette perspective des plus funestes, aussi bien pour lui que son école d‘ailleurs. 

    Il ne peut que simplement, et comme tout le monde ici, que se résigner à son triste sort.

    *

    Chapitre 4 : Mme Charmy

    CHAPITRE IV 

    Mme CHARMY

    Lundi 28 Novembre

    Mme Charmy, elle, est l'enseignante de Balthazar. 

    Mme Charmy, sonna la petite cloche de la cour, tapa dans les mains, et dit aux enfants,

    « La récréation et finit, les enfants, il est l'heure de rentrer… en classe et en rang par deux...! Et je ne veux pas entendre, un seul mot dans les couloirs...! C’est bien compris…? » 

    À vrai dire, Mme Charmy devrait plutôt dire, le couloir ! Car ce sont des anciennes écoles et où souvent, il n'y a qu'un immense couloir, avec toutes les classes coller les unes aux autres ; ainsi et d‘ailleurs, que des portemanteaux aussi haut ! Que les enfants ont bien du mal, à y accrocher leurs vêtements.

    *

    Moi, j'étais dans la cour de l‘école… Tous les autres étaient en rang par deux devant moi, sauf moi ! Vu, que j'étais seul en classe, j'étais donc toujours seul et dans les rangs, mais soudainement ! Un des élèves se retourna, et me dit brusquement, 

    « Alors, Balthazar, on a mis ses chaussettes en l'envers...? À moins que ce ne soit peut-être…! Sa culotte…? » 

    À la blague d’un goût plutôt douteux ! Tout le monde se mit à rire fortement... 

    Mais moi, je n'eus même pas le temps de lui répondre, car Mme Charmy, elle, c'était déjà retourner, et cela, en lançant un regard à ne pas ouvrir la bouche. 

    Elle s’écria alors, et promptement,

    « Silence...! Silence dans les rangs…! Et ça suffit les moqueries…! On n’est pas au cirque…? Ici, tout de même…! »

    Mais un des élèves, répondit à notre Maîtresse,

    «   Mais si, Maîtresse…! C’est Balthazar et qui fait encore le clown…! »

    Et tous les élèves de la classe, se mirent de nouveau à rirent fortement, sous l’œil noir et le mécontentement de notre Maîtresse.

    -

    Moi et de la part des autres élèves, j'étais habitué à ce genre de moquerie, et d’ailleurs, c'est pour cela ! Que je préférais rester tout seul et ne pas avoir d'amis ; je me sentais si bien tout seul, ou presque bien du moins.

    Alors et à mon petit camarade de classe, très désobligent, je lançais juste un petit soupir comme réponse, et en disant,

    « Fffeeu…! L’idiot…! » 

    Mais pas beaucoup plus ! Car Madame Charmy, elle, veillait aux grains et aux élèves surtout.

    -

    C'était toujours les mêmes habitudes à l'école… on rentrait en silence, et on se mettait vers son petit bureau, puis, on attendait que la maîtresse entre et qu'elle nous dise de nous asseoir, d'ouvrir nos cahiers de grammaire, ou un autre livre d‘école. 

    Bref ! La routine de l'écolier quoi !

    Dans ces petits villages de campagne, les enseignants ont volontairement boudé un peu le modernisme, et ce, en gardant qu'elles qu'habitudes du passé.

    La classe était donc très sobre ! Il y avait juste le bureau de l'enseignante, une grande armoire avec un globe terrestre posé dessus, les petits bureaux des élèves, et aussi et dans un coin de la classe, le vieux poêle et qui a était conservé par le directeur, Mr Dupuit, et qui ne veut pas sans séparer, faute de moyens et de crainte surtout ! De tomber en panne avec la chaudière. 

    Pane de chaudière, évidemment, entraînant sans aucun doute et dans les plus bref délai ! La fermeture de l'école nette et définitive, et cela, du jour au lendemain.

    Le vieux poêle à charbons et à bois, était donc rester dans la classe, mais ce matin-là, matin du début décembre, l'habitude avait était rompu, par quelque chose de très inattendu pour nous ! Quelque chose ou plutôt ! Quelqu’un.

    -

    Dans la classe, nous étions tous debout, raides comme des piqués à attendre… que Mme Charmy, nous dise de nous asseoir, mais là ! Rien du tout !

    Moi, Balthazar, j'étais pressé de m'asseoir et de rentrer dans ma bulle ! Dans ma coquille et cela, le plus rapidement possible, et ce, pour ne plus voir personne des gens et qui m’entourait, bien sûr. 

    Debout ? J'étais bien trop visible à mon humble goût, mais là ! Toujours rien…

    ''Que faisait donc Mme Charmy ? Une punition générale ou quelque chose comme cela ?’’ me dit sais-je intriguer et à moi-même.

    Mais, je ne comprenais pas pourquoi ! Mme Charmy restait debout aussi et avec nous, raide comme un piquet et devant son bureau à attendre… mais attendre quoi ? Exactement, le dégel ?

    Que pouvait attendre, Madame Charmy ainsi ?

    -

    Simplement par le regard, tous les élèves se posaient des questions… mais moi, mon regard, c'était plutôt de regarder mes chaussures ! Car c'était pour moi, une véritable torture, comme cela debout et aux milieu de tous, car je ne savais vraiment plus ! Où me mettre et me cacher.

    Je prier tranquillement dans mon coin, pour que cette punition ce termine le plus rapidement possible, mais quand soudain ! Mme Charmy ! Voyant là nos impatiences et nos incompréhensions, finissait par nous donnaient, quelles informations sur notre situation du jour, plutôt incongrue

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