Sie sind auf Seite 1von 4

l’Observatoire

OCTOBRE 2012 - N° 46

de la Petite Entreprise
Fédération des Centres de Gestion Agréés • Banque Populaire
Étude réalisée auprès des petites entreprises adhérentes
des Centres de Gestion Agréés, membres de la FCGA
2 ème Trimestre 2012

Tendances
3,6 %
2
2
ème

ème
trimestre 2012/
trimestre 2011
ZOOM
L’alimentaire résiste bien !
juillet 2011 - juin 2012/ Avec les commerçants qui exercent
0,4 % juillet 2010 - juin 2011 dans la sphère "culture et loisirs" (- 0,1 %),
le commerce de détail alimentaire
Troisième trimestre de croissance nulle en France ! est le secteur qui résiste le mieux à la
Au deuxième trimestre 2012, comme au premier, forte dégradation de la situation écono-
le compteur du PIB affiche toujours zéro. Dans le mique au deuxième trimestre 2012 :
même temps, la dépense de consommation des - 0,7 % "seulement"... Trois professions,

© Nasser NEGROUCHE
ménages se replie légèrement (- 0,2 % après + 0,2 %). en son sein, enregistrent même des
Cette baisse traduit notamment le repli des achats chiffres d’affaires en hausse : la poisson-
de textile-cuir (- 5,3 % après + 0,3 %) et la baisse de nerie (+ 1,1 %), les commerces de fruits
la consommation alimentaire (- 1,3 % après + 0,8 %). et légumes (+ 0,5 %) et la pâtisserie
Les dépenses en services reculent également (+ 0,4 %). Une réalité statistique qui
(- 0,2 % après + 0,2 %), principalement dans l’héber- confirme la tendance de fond ana-
gement et la restauration (- 1,9 % après - 0,2 %). lysée par l’INSEE dans une enquête Certes, la part de marché du com-
Au total, la demande intérieure finale (hors stocks) récente intitulée "Le commerce de merce alimentaire spécialisé conti-
participe faiblement à l’évolution du PIB : + 0,1 point détail alimentaire : déclin enrayé ?". nue de baisser pour la viande et les
au deuxième trimestre, après une contribution Depuis 15 ans, l’activité du commerce produits de la mer, mais à un rythme
neutre au trimestre précédent. Dans ce contexte alimentaire spécialisé (boulangeries- moins soutenu (- 2,8 point et - 1,8 point
de récession, l’activité des petites entreprises se pâtisseries, boucheries-charcuteries, entre 2000 et 2007). En revanche, la
dégrade fortement (- 3,6 %) dans tous les secteurs poissonneries...) s’est fortement rétractée. part de marché des boulangeries et
d’activité. Sa part de marché est passée de 22 % des crémeries s’est stabilisée (- 0,6 point
en 1993 à 17 % en 2007, tandis que le et - 0,3 point). Elle repart à la hausse
nombre de magasins a chuté de 120 000 pour les commerces de fruits et légumes
à 106 000 sur la même période. La viande (+ 1,2 point), de boissons (+ 0,9 point)
Indices sectoriels et le pain sont les deux produits qui et pour les autres produits alimentaires
2 ème T 2012/2 ème T 2011 12 derniers mois ont le plus souffert de ce recul. Ce déclin (+ 1,4 point). La reprise de l’activité
COMMERCE ET SERVICES semble toutefois globalement enrayé pour les commerces de boissons est
-3,2% - 0,2% au cours des années 2000 (sauf pour particulièrement marquée depuis 2003
ALIMENTAIRE la viande et le poisson). Pour les fruits et (+ 1,5 point en 5 ans) ; pour les autres
-0,7% 1,6% légumes et les boissons, le commerce produits alimentaires, les gains de parts
SERVICES alimentaire spécialisé reprend même de marché sont élevés à partir de 2001
-3,2% 0,2% des parts de marché depuis le début et stables à + 0,1 point par an depuis
des années 2000. 2004. En ce qui concerne les fruits et
BÂTIMENT
Depuis le début des années 2000, légumes, le commerce alimentaire
-4,9% - 0,4%
cette tendance au recul des parts de spécialisé gagne des parts de marché
EQUIPEMENT DE LA MAISON ET DE LA PERSONNE
marché s’atténue quel que soit le pro- au détriment à la fois des petites et
-5,2% - 3,0% duit, et s’inverse même pour certains. des grandes surfaces alimentaires.
Tendances
Taux d’accroissement du chiffre d’affaires

2 ème
trimestre 2012 / 2 ème
trimestre 2011 2 ème
trimestre 2012 / 2 ème
trimestre 2011
AGRICULTURE SYLVICULTURE OSTREICULTURE : CULTURE & LOISIRS :
Parcs et jardins + 2,1 % - 0,4 % Librairie-papeterie-presse + 2,5 % - 0,1 %
AUTOMOBILE - MOTO : Articles sport, pêche et chasse - 2,1 %
Carrosserie automobile - 6,0 % - 4,3 % Tabac-journaux-jeux + 0,2 %
Auto, vente et réparation - 1,3 % Studio photographique + 6,9 %
Moto vente et réparation Commerce-réparation cycles
CAFÉ - HÔTELLERIE - RESTAURATION : scooters
Hôtel-Restaurant - 3,5 % - 3,4 % ÉQUIPEMENT DE LA MAISON :
Restauration - 3,1 % Electroménager - TV - HIFI - 9,7 % - 2,5 %
Café - 4,2 % Magasins de bricolage - 5,9 %
BÂTIMENT : Fleuriste - 1,1 %
Couverture - 6,8 % Meuble
Maçonnerie - 5,7 % - 4,9 % Bimbeloterie-cadeaux-souvenirs
Electricité - 1,4 %
ÉQUIPEMENT DE LA PERSONNE :
Plomberie-Chauffage-Sanitaire - 0,2 %
Plâtrerie-Staff-Décoration - 6,6 % Mercerie-Lingerie-Laine - 6,6 % - 8,7 %
Menuiserie - 6,1 % Vêtements enfants - 7,3 %
Carrelage-faïence - 8,0 % Prêt-à-porter - 8,1 %
Peinture bâtiment - 10,3 % Chaussures - 10,9 %
Terrassements-Travaux publics 0,0 % Horlogerie-Bijouterie - 6,3 %
BEAUTÉ - ESTHÉTIQUE : SANTÉ :
Parfumerie - 7,1 % Pharmacie - 1,7 % - 1,8 %
Coiffure - 1,3 % - 1,8 % Optique-lunetterie - 3,7 %
Esthétique - 3,8 % Prothésiste dentaire - 1,6 %
COMMERCE DE DÉTAIL ALIMENTAIRE : SERVICES :
Charcuterie - 0,3 % Laverie pressing + 1,1 % - 7,5 %
Boulangerie-Pâtisserie - 0,1 % Entreprise de nettoyage + 5,6 %
- 0,7 %
Pâtisserie + 0,4 %
Agence immobilière - 12,4 %
Alimentation générale - 1,1 %
Fruits et Légumes + 0,5 % TRANSPORTS :
Boucherie-Charcuterie - 1,4 % Taxis-Ambulances - 4,7 % - 2,3 %
Poissonnerie-Primeurs + 1,1 % Transport de marchandises + 0,2 %

Les libraires tournent la page ?


Net regain d’activité dans les librairies indépendantes au marché français, les libraires traditionnels abordent l’avenir
deuxième trimestre 2012 ! Avec un chiffre d’affaires en avec inquiétude. L’instabilité du taux de TVA réduit sur le
hausse de 2,5 %, les professionnels du livre, pourtant livre, l’augmentation continue des achats d’ouvrages sur
sévèrement rudoyés par la double concurrence des Internet et la fermeture des salles de ventes régionales
grandes surfaces culturelles et de la vente en ligne, (réservées à l’approvisionnement des petits libraires indé-
créent la surprise. Même s’ils contrôlent toujours 30 % du pendants) préoccupent, notamment, les professionnels.

Le prêt-à-porter s’effiloche
Hausse des dépenses contraintes, caprices de la météo, spécialisés dans l’habillement féminin qui enregistrent les
effet pervers des soldes : voici, selon les professionnels performances les plus inquiétantes, avec un recul moyen
du secteur, les trois principaux facteurs qui expliquent les de 5,8 %. Plus de deux fois celui du prêt-à-porter masculin
mauvais chiffres du prêt-à-porter au deuxième trimestre et pas loin du triple du repli d’activité relevé dans les
2012 (- 8,1 %). Si tous les segments de marché sont boutiques dédiées aux enfants.
confrontés à une baisse d’activité, ce sont les magasins

2
Le commerce en 2011
Synthèse des principaux enseignements de l’enquête INSEE consacrée à l’activité du commerce en 2011.

L’activité selon les formes de vente


Evolution des ventes en volume Valeur En 2011, les ventes TTC du commerce de détail et de l’arti-
Formes de vente prix (TTC) de l'année précédente (en %) 2011
2007 2008 2009 2010 2011
(en Mds d'euros)
sanat commercial (boulangeries, pâtisseries, charcuteries)
sd p
Alimentation spécialisée et artisanat commercial ** 0,6 - 2,6 -1,1 - 1,1 0,1 41 progressent de 3,1 % en valeur. En volume, la croissance
petites surfaces d'alimentation générale et magasins
de produits surgelés 0,6 - 0,5 0,6 0,9 0,3 13 des ventes (+ 1,3 %) est proche de celle de 2010 (tableau 2).
Grandes surfaces d'alimentation générale 2,4 - 0,5 - 0,9 - 0,4 0,0 179
grands magasins et autres magasins non alimentaires
non spécialisés 4,7 - 0,4 - 2,3 7,3 2,2 7 Dans les secteurs alimentaires, les ventes stagnent en
Magasins non alimentaires spécialisés (pharmacies) 5,3 2 ,1 - 0,8 3,2 2,4 210 volume. Après trois années difficiles, elles cessent ainsi de
Equipements de l'information et de la communication 12,7 11,8 3,7 8,6 10,2 8
Autres équipements du foyer 8,0 2 ,6 - 0,2 3,7 2,6 55 diminuer dans les magasins d’alimentation spécialisée et
Biens culturels et de loisirs 4,6 - 2,2 - 6,0 1,1 1,4 19
Autres commerces de détail en magasin spécialisé : 4,3 2 ,0 1,8 3,2 2,3 111 d’artisanat commercial et les grandes surfaces d’alimenta-
Habillement - Chaussures 3,9 0 ,0 - 0,3 4,2 0,5 34 tion générale. Comme les années précédentes, les super-
Autres équipements de la personne 4,1 1,2 0,3 4,8 4,4 17
Pharmacies, articles médicaux et orthopédiques 5,4 3 ,9 5,1 3,6 3,4 41 marchés s’en sortent mieux que les hypermarchés (respec-
Carburants - 0,7 2 ,6 - 14,6 1,0 - 0,7 17
Commerce hors magasin 1,8 - 0 ,9 - 3,0 1,9 2,6 28 tivement + 1,1 % et - 0,9 %). Les ventes des petites surfaces
Ensemble commerce de détail et artisanat
commercial 3,5 0,5 -1,0 1,4 1,3 479 d’alimentation générale et des magasins de produits sur-
sd : compte semi-définitif ; p : compte provisoire. gelés ralentissent en 2011 (+ 0,3 %) ; elles étaient restées en
* L'activité de certaines entreprises relève de plusieurs formes de vente (par exemple hypermarchés, supermarchés et petites
surfaces d'alimentation ; leurs ventes sont alors réparties entre ces formes de vente.
** Artisanat commercial : boulangeries, pâtisseries, charcuteries.
légère hausse en 2009 et 2010.
L'ACTIVITÉ DES FORMES DE VENTE * DU COMMERCE DE DÉTAIL

Commerce et réparation automobiles


Bilan positif malgré la fin de la "prime à la casse" en 7
6
1

décembre 2010. Les ventes de l’ensemble du secteur pro- commerce de gros 5


d’équipements automobiles 4
gressent de 1,0 % en volume et de 3,7 % en valeur. Les ventes commerce et réparation 3
de motocycles 83
du commerce de véhicules automobiles progressent de 2,2 % entretien et réparation
2
3
de véhicules automobiles 1
en volume et de 4,9 % en valeur. Les ventes de pièces 0
123
commerce de véhicules
automobiles -1 8
détachées et d’équipements automobiles destinées aux
commerce de détail -2
grossistes sont plus dynamiques que celles destinées aux d’équipements automobiles 27
-3
détaillants. Les ventes du secteur de l’entretien et de la répa- ENSEMBLE DU COMMERCE ET -4
DE LA RÉPARATION AUTOMOBILES
-5
ration de véhicules automobiles baissent de 2,4 % en volume
-6
en 2011, probablement en raison d’une diminution des -7 VALEUR
2011
ÉVOLUTION DES VENTES EN VOLUME (TTC) -8
accidents de la route. Elles augmentent malgré tout en AU PRIX DE L’ANNÉE PRÉCÉDENTE (en %) -9
(en mds d’euros)

2007 2008
valeur du fait d'un coût des interventions plus élevé. 2009 2010 2011

LES VENTES DU COMMERCE ET DE LA REPARATION AUTOMOBILES

Part du grand commerce


Ensemble 48,4% Le grand commerce non alimentaire spécialisé corres-
Equipement de l’information et
de la communication 56,6% pond à la grande distribution non alimentaire spécialisée.
Autre équipements du foyer 54,1% Son poids est prédominant dans les secteurs des équipe-
Habillement - chaussures 49,7% ments de l’information et de la communication ( 57 % du
Biens culturels et de loisirs 55,0% CA HT), des biens culturels et de loisirs (55 %) et des autres
Autres équipements de la personne 36,1% équipements du foyer (54 %). En 2011, le grand commerce
Autres (47.76Z et 47.78C ; NAF rév.2)
reste un peu plus dynamique que l’ensemble du commerce
20,8%
non alimentaire spécialisé (+ 4,1 % du CA en volume contre
PART DU CA (HT) DU GRAND COMMERCE DANS LE COMMERCE NON ALIMENTAIRE
EN MAGASIN SPÉCIALISÉ EN 2011 + 3,1 %). En valeur, son activité progresse de 3,5 %.

Evolution des effectifs salariés 130


commerce de détail

En 2011, un peu plus de trois millions de salariés travaillent dans 125


ensemble du commerce
le commerce hors artisanat commercial, soit près d’un salarié 120

des secteurs marchands sur cinq. Dans un contexte de reprise 115


commerce et réparation
des ventes, le commerce gagne 20 000 salariés en 2011, soit 110 automobiles et motocycles
une hausse de 0,7 % en glissement annuel. Cette progression
105
des effectifs est plus forte que celle de l’ensemble des secteurs commerce de gros
100
principalement marchands (+ 0,4 %), mais ne permet pas de
2007 2008 2009 2010 2011
rattraper le niveau d’avant la crise. Dans le commerce de détail,
les effectifs se situent à leur plus haut niveau jamais atteint. ÉVOLUTION DES EFFECTIFS SALARIÉS DANS LE COMMERCE

3
Parole à
© Patrick ALVES PHOTOGRAPHY

Gérard ATLAN
Président du Conseil du Commerce de France

L’Observatoire de la Petite Entreprise (OPE) : Selon l’INSEE, les reconnaissent), repli économique (les consommateurs
il semblerait que les ventes se redressent en 2011 dans tous ont tendance à limiter leurs achats à l’essentiel et ils pen-
les secteurs du commerce. Comment expliquez-vous, globa- sent être nettement moins tentés en se rendant dans des
lement, cette reprise ? points de vente de taille plus modeste).
Le commerce a également su s’investir davantage dans
Gérard ATLAN : Les ventes ont connu une stagnation en 2009 la qualité de ses prestations et dans la personnalisation de
et en 2010. On assiste effectivement à une reprise en 2011 son offre, générant ainsi un capital sympathie de la part
qui permet surtout de revenir au niveau d’avant la crise. des consommateurs. Enfin, le commerce a su innover en
On peut expliquer cette respiration comme une volonté des créant et développant des nouveaux concepts commer-
consommateurs de s’accorder une bouffée d’oxygène ciaux à plus grande valeur ajoutée.
après deux années très difficiles et très angoissantes.
Malheureusement on peut deviner que cette respiration OPE : Le commerce non alimentaire tire profit, une fois de
aura été de courte durée puisque, dès 2012, le commerce plus, de l’innovation technologique (smartphones, tablettes
doit de nouveau faire face à un net ralentissement de la numériques…) pour doper ses ventes. Que vous inspire ce
consommation. La crise économique s’est rapprochée de phénomène ?
la France provoquant ainsi une plus grande frilosité de la
consommation. Rappelons toutefois que 2012 a été marquée Gérard ATLAN : Il s’agit aujourd’hui d’objets incontour-
par une période pré-électorale induisant généralement nables, ceux qu’il faut avoir pour être dans le coup et
un phénomène d’attentisme qui touche forcément la rester en lien avec l’actualité, avec ses amis, avec sa
consommation. famille, avec son travail. Paradoxalement, il peut nous
sembler être très dépendant de ces objets alors qu’ils nous
OPE : Quels sont, selon vous, les atouts du commerce de apportent en réalité une grande liberté et une grande
détail et l’artisanat commercial – qui enregistrent une progres- ouverture sur le monde.
sion d’activité de 3,1 % en valeur – dans ce contexte de Demain, ces accessoires à la mode seront de vrais instruments
tourmente économique ? d’achat et de vente. En effet, avec le développement du
e-commerce et du m-commerce, ils favorisent l’interaction
Gérard ATLAN : Le principal atout du commerce de détail et immédiate entre l’offre et la demande de produits et de
de l’artisanat commercial est leur proximité avec le consom- services. Chaque nouveau modèle contient de nouvelles
mateur. Les crises économiques entrainent des phénomènes applications qui ont vite fait de devenir des "must have".
de repli, repli géographique (les consommateurs limitent au Enfin, au sein d’une famille, par exemple, chaque membre
maximum leurs déplacements), repli tribal (les consom- bénéficie individuellement de ces outils. Ce qui multiplie
mateurs préfèrent aller vers ceux qu’ils connaissent et qui le nombre d’achats par foyer par 4, 5, 6…

Méthodologie Partenariat
Les indices d’activité sont calculés chaque trimestre, à partir des chiffres La FCGA et les Banques Populaires s’associent pour publier chaque trimestre
d’affaires d’un échantillon de 15 000 petites entreprises de l’artisanat, l’évolution des chiffres d’affaires des principaux métiers de l’artisanat, du
du commerce et des services. commerce et des services. Les chiffres publiés proviennent de l’exploitation,
Pour toute demande d'information sur les indicateurs, contactez la FCGA : par la FCGA, de données communiquées volontairement par les adhérents
01.42.67.80.62 - E-mail : info@fcga.fr des CGA répartis sur l’ensemble du territoire.

Co-éditeurs : FCGA - 2, rue Meissonier 75017 PARIS - www.fcga.fr / BPCE - 50, avenue Pierre Mendès France - 75201 PARIS Cedex 13 - RCS Paris N° 493 455 042
www.banquepopulaire.fr • Directrice de la publication : Christiane COMPANY • Directeur de rédaction : Michel ROUX • Rédaction en chef : Nasser
NEGROUCHE • Maquette : VE design • Impression : Vincent Imprimeries • Crédit photos : Nasser NEGROUCHE - Patrick ALVES PHOTOGRAPHY • Tirage
30 141 exemplaires • Périodicité trimestrielle • Cible : acteurs économiques, organisations professionnelles et consulaires, collectivités territoriales, presse
4 professionnelle, économique et financière, nationale et régionale • N° ISSN : 1632.1014

Das könnte Ihnen auch gefallen