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Les connecteurs mécaniques et à compression: On trouve souvent dans les circuits de distribution
aérienne les connecteurs suivants: les cosses á comprimer, les cosses à boulonner (mécaniques), les
connecteurs a coincement, les connecteurs à étrier et les connecteurs en T (attache sous tension).
Les connecteurs à boulon: On utilise le plus souvent avec les conducteurs en cuivre. Pour éviter le
phénomène du fluage lorsqu'on utilise ce type de connecteur avec du conducteur en aluminium, le
plaque de raccordement à ressort devient une partie intégrale de cette installation. L'aluminium a la
tendance à fluer sous l'effet de la chaleur et de la pression. Le fluage se produit quand le conducteur
d'aluminium est chauffé dans un connecteur (cosse) en cuivre. Dans ce cas, le conducteur en aluminium
se dilate 36% plus que le connecteur en cuivre. L'aluminium s'écoule (flue) au dehors le connecteur.
Après le joint se refroidit, l'aluminium se rétrécit et son diamètre sera moins qu'avant l'échauffement du
connecteur. Le résultat de cette situation est l'augmentation de la résistance électrique du contact (entre
le conducteur et sa cosse) qui va par conséquent produire plus de la chaleur (I2R). Pendant l'alternance
de la charge électrique, plus d'aluminium va fluer dehors le connecteur et plus de la chaleur est produite
dans le connecteur (joint).
Les cosses à comprimer: On utilise ce type de connecteur avec les conducteurs en aluminium comme
même avec ceux en cuivre. La longueur du connecteur est fonction de l'intensité admissible en ampère
et la traction du conducteur sur le connecteur. On doit toujours utilise les outils/matrices convenables
pour faire le joint (branchement). On doit mettre le conducteur dans le connecteur (cosse) et ensuite
serrer la combinaison conducteur/connecteur avec les exacts nombres de sertissage et la pression
comme indiqué par le fabricant du connecteur. Ça va assurer un joint (raccord) électrique fiable et
correct. L'outil de compression (pince à sertir ou sertisseur) soit manuel soit hydraulique. Après
comprimer la combinaison du conducteur/connecteur, on doit vérifier que la réduction de la section du
conducteur n'excède pas 5 15 % de la section originale. La compression excessive va produire des
déformations dans le conducteur. Si le degré de compression n'est pas suffisant (moins qu'indique par le
fabricant), la force d'arrachement va diminuer (ça veut dire le conducteur peut sortir de son connecteur
plus facile et moins que la valeur nominale du connecteur).
Les connecteurs à coincement: Ils sont convenables pour une grande gamme des calibres des
principaux fils et des conducteurs de branchement. Quand le cuivre et l'aluminium sont mis dans un
connecteur, on doit placer (physiquement) l'aluminium au dessus du conducteur en cuivre.
Les connecteurs à étrier: On utilise ces connecteurs afin de fournir une zone pour relier les connecteurs
en T loin de la principale ligne. Dans ce cas, le jaillissement d'étincelles (l'arc) n'endommage pas le
principal conducteur. Il y a deux types de ce connecteur, boulonné et coincé, le dernier est plus fiable
que le premier.
Les connecteurs en T (sous tension): On utilise ce dispositif pour brancher les appareils aux principales
lignes aériennes. Ils font les branchement des appareillages aux lignes plus facile. Aussi, on peut mettre
hors circuit les appareillages plus facile quand on a ce connecteur entre la ligne et l'appareillage.
Pour diminuer l'effet du fluage on peut faire le suivant: utilise connecteur à comprimer de l'aluminium,
utilise rondelle Belleville, la superficie de contact entre les brins du conducteur et la surface du
connecteur doit être le maximum possible et le connecteur en aluminium doit avoir un volume maximal
pour son calibre. La résistance naturelle d'aluminium à la corrosion provient de la couche de l'oxyde
mince et résistante qui se forme instantanément lorsqu'une nouvelle surface d'aluminium est exposée a
l'air. Cette couche a une propriété d'isolement, on doit l'enlever entièrement (nettoyer avec une brosse)
avant qu'on fait le joint (la connexion).
Les dispositifs de coupure du courant (les interrupteurs): On peut classifier les interrupteurs aériens
qu'on trouve dans les systèmes de répartition/distribution aériennes en 4 catégories: ceux à l'air, à
l'huile, à SF6 et ceux à vide. De plus, on peut classifier les interrupteurs à (selon leur principe de
fonctionnement) l'air en disjoncteurs, interrupteurs de charge pour montage a l'intérieur, sectionneurs
(manœuvre hors tension) et interrupteurs a l'air pour montage a l'extérieur (sur poteau). On peut
classifier les interrupteurs a l'huile en disjoncteurs et réenclencheurs (disjoncteurs à réenclenchement).
On peut classifier les interrupteurs à SF6 en disjoncteurs, disjoncteurs à réenclenchement et coupure de
circuit. On peut classifier les interrupteurs à vide en disjoncteurs et réenclencheurs. En général, les
disjoncteurs sont montés dans les appareillage de commutation ou sur socle (support) a l'extérieur. Les
appareillage de commutation sont installés à l'intérieur ou à l'extérieur selon leur enveloppe métallique
(la clôture des appareils). On peut trouver les appareillages de commutation avec leurs disjoncteurs
dans les postes préfabriqués, les postes de transformation et les postes principaux. Les appareillages de
commutation et les disjoncteurs sont le sujet d'un autre séminaire, on ne va plus couvrir ici. On peut,
aussi, classifier les interrupteurs aériens selon leur mode de manœuvre en la manœuvre manuelle et la
manœuvre manuelle/motorisée. D'autre façon, on peut classifier les interrupteurs selon leur capacité
d'être manœuvrer à distance en manœuvrer directe ou directe/de télécommande;. On peut classifier ces
interrupteurs selon leur installation en installation verticale, horizontale, montage en tête du poteau,
triangulaire et au milieu de portée. On peit classifier les interrupteurs selon leur type de coupure
(ouverture), ouverture verticale, coupure double et ouverture latérale.
L'interrupteur à cornes: Les pièces majeurs sont: lame de contact (couteau), contact stationnaire,
isolateurs, mécanisme d'actionnement/manœuvre, base et las cosses de câble (plaque de raccordement).
Les cornes sont installes sur la lame (le contact mobile) et le contact stationnaire. L'arc est formé entre
les cornes de décharge du circuit porteur de courant. Quand l'interrupteur continu a ouvrir (sur son
trajet), la distance entre les cornes en métal augmente. L'arc est refroidit par le vent et sa longueur est
prolongée jusque l'extinction de l'arc. En général, on monte ces interrupteurs sur les poteaux ou sur des
supports de sousstation. On manœuvre les interrupteurs de niveau d'homme. On peut manœuvrer ces
interrupteur utilisant un levier et une tringlerie (manœuvre par tringlerie) ou a l'aide d'une perche
(manœuvre par perche). Pour permettre la manœuvre motorisée (directe ou à distance), on ajoute un
coffret de contrôle installé à hauteur d'homme permet la manœuvre électrique de l'interrupteur équipé
d'un mécanisme de commande motorisé. Les caractéristiques électriques de ces interrupteurs sont: la
tenson assignée, le courant assigné, le pouvoir de coupure (charge principalement active, transfo à vide,
charge de boucle et ligne à vide), nombre de pôles, isolateurs, isolement phase/terre (au choc foudre et à
50 ou 60 hz sous pluie), le courant de courte durée, le courant crête admissible, le pouvoir de fermeture
crête sous la tension nominale (assignée), (hauteur de) support, la pose, le raccordement, le niveau
d'isolement (au choc de foudre et sur distance d'ouverture sous pluie).
L'interrupteur a l'huile: Il est un interrupteur moyenne tension avec des contacts qui ouvrent sous huile.
Le bulle à haute pression est formé et l'arc ont lieu en hydrogène (dans les deux états moléculaire et
atomique), charbons et vapeurs des métaux. Dans les systèmes de distribution aérienne, on trouves ces
interrupteurs en 3 pôles (triphasés) comme même en un seule pôle (monophasé). On peut manœuvrer
ces interrupteurs manuellement ou avec un mécanisme de commande motorisé. L'alimentation basse
tension est nécessaire pour mettre en oeuvre le moteur. En général, on peut actionner ces interrupteur à
distance. Dans ce cas, on a besoin des des dispositifs qui sont sensibles au courant, à la tension ou au
temps. Ces interrupteurs peuvent interrompre des courants capacitifs, inductifs et aussi le courant des
batteries des condensateurs. Quand on manœuvre deux groupes de condensateurs en série, on met, en
général, une résistance d'amortissement en série avec chaque des contacts d'arc (de coupure) de
l'interrupteur. On met cette résistance afin de réduire le courant d'appel du condensateur. On construit
ces interrupteurs de: la cuve en acier, la plaque de traversée, les traversées, l'anneau (la sangle) de
lavage, le capot, la boîte (enveloppe) de commande qui a le mécanisme motorisé, le joint d'étanchéité à
l'épreuve des intempéries, le levier (manuel) de commande, le voyant, le contacts stationnaires (fixes) et
mobiles. On peut trouver les accessoires suivants dans ces interrupteurs: la prise de courent (le fiche),
les parafoudre basse tension, le compteur (mécanique), la tension spéciale de la commande de moteur,
le relai pour 2 fils commutateur de commande et de maintien. Le dispositions de montage sont: le bras
(la traverse) en acier ou en bois, la double traverse, montage sur poteau, pontage de sousstation et de
côté vaste. Les principales pièces du mécanisme de commande (actionnement) sont le capot en feuille
de tôle (afin de protéger le compteur, le voyant, le levier de manœuvre et les manettes de rappel), le
moteur, les plaques de contact, l'entraînement principal par engrenage, la tringlerie, l'engrenage de
réduction, les ressorts et l'arbre.
Les sectionneurs: Ils ont des interrupteurs a l'air sans les cornes ou un autre dispositif capable
d'interrompre (couper) le courant de charge ou n'importe quel autre courant. Les pièces principales des
sectionneurs sont: la plaque de base en acier galvanisé et formé, les isolateurs de type distribution (par
exemple porcelaine), la plage de raccordement, les ressorts de charge, les contacts fixes (stationnaires)
et mobiles, les crochets (agrafes) qui attachent sur d'outils de coupure de charge portatif et le butoir de
lame. On trouve ces sectionneurs dans les dispositions suivantes: l'artère de dérivation, la traverse
verticale, la traverse intervertie, l'artère principale, la poste verticale et la poste intervertie. Quand on
utilise l'outil de coupure (interrompre) de charge avec ces sectionneurs on peur coupure le courant aux
charges suivantes: transformateurs, lignes, câbles et condensateurs (avec de limitations). Pour définir
ces outils on doit indiquer les données suivantes: le niveau d'isolement (tension nominale et tension de
tenue au chocen KV), le courant nominal en ampère, la ligne de fuite en pouce, la distance de
contournement (sèche), l'écartement entre les contacts de sectionneur en pouce et résistance mécanique
d'isolateur (résistance à la traction, résistance à la flexion, résistance à la compression et a la torsion) en
lb. En général , on peut classifier les outils de coupure de charge en outil en parallèle et outil
d'interruption. Le premier va faire un contournement (cavalier) temporaire, autour du sectionneur, en
parallèle avec la dérivation (branchement) permanente. Après la lame est fermée, on débranche la
dérivation permanente. Ensuite, on effectue l délestage en ouvrant la lame d'outil. L'outil est fixé sur
une perche isolante. Les composantes principales de ces outils sont: les pièces isolantes, la chambre de
coupure (l'interrupteur) et la lame tubulaire. Pour l'outil d'interruption est défini par sa tension
nominale, est son pouvoir de coupure (nominal et maximum). En général, cet outil a une attache qui
sert à accrocher l'agrafe du sectionneur (coupe circuit ou fusible) et un crochet d'anneau d'arrachement
qui embraie l'anneau d'arrachement du sectionneur. Les composantes principales de cet outil sont:
chambre de coupure (d'extinction d'arc), le ressort, la gâchette, la loquet (verrou de maintien) de rappel,
le remblai, l'assemblage de contact stationnaire, l'assemblage de contact mobile, les tubes intérieurs et
extérieurs. On attache cet outil a la perche isolante. Après la liaison entre l'outil et le sectionneur est
faite, la perche est tirée vers le bas avec fermeté. Comme l'outil est prolongé (étendu) jusqu' à sa
longueur maximale, le sectionneur est ouvert et le courant de charge est dévié à travers l'outil. Au point
prédéterminé dans son parcours, le gâchette au dedans de l'outil déclenche et le ressort armé (de
commande) est dégagé. Les contacts a l'intérieur de l'outil sont maintenant séparés et le circuit est
interrompu. On doit rappeler (rajuster) pour la prochaine manœuvre. Le verrou de maintien garde l'outil
dans la position ouverte pendant l'enlèvement (décrochage) de l'outil du sectionneur. Après
l'enlèvement de l'outil, la loquet de rappel est dégagée et l'outil prolonge est fermé jusque sa longueur
originale, l'outil est maintenant dans la position de rappel.
L'interrupteur de charge: On trouve ces interrupteurs dans les réseaux électriques de distribution
aériennes (publics et privés). Ils viennent en 2 dispositions, l'interrupteur de 3pôles (triphasé) et celui
d'un pôle (monophasé). Quand le courant est interrompu, l'arc est limité dans l'interrupteur. L'extinction
de l'arc a lieu dans l'interrupteur lui même sans des outils auxiliaires (coupure de charge). Ces
interrupteurs peut interrompre (couper) les courants des charges suivantes: le courant des lignes
aériennes (le délestage et la division des charges), le courant des transformateurs (courant de charge et
le courant inductif magnétisant) et le courant de charge du câble. Les composantes principales de ces
interrupteurs (de charge) sont: les chambres de coupure (boîte de soufflage) de l'interrupteur, les
isolateurs, les plages (plaques) de raccordement, les pièces d'attache, l'embase (d'acier ou isolée), l'arbre
(pour effectuer la fermeture des 3 pôles en groupe), le pallier de l'arbre, la plaque de montage du
poteau, les lames et leurs contacts, les contacts (mobiles) sur gonds avec leurs ressorts, les contacts
stationnaires avec leur bec (pour la fermeture contre les défauts, le débit du courant commence à travers
le bec et le contact mobile avant qu'il passe à travers le contact mobile et le contact stationnaire), le
contact en parallèle (quand l'interrupteur ouvre, ce contact touche ,essuie, le contact extérieur de la
chambre de coupure afin de transférer le débit du courant à travers les contact de la chambre de
coupure), le contact extérieur de la chambre de coupure de l'interrupteur, la gâchette de la chambre de
coupure et l'arbre à cames des lames (qui initie, commence, l'ouverture des contacts dans la chambre de
coupure). Exemple pour les valeurs assignées de ces interrupteurs sont: la tension nominale (14.4, 25,
36 KV), le courant assigné (600 amp.), le courant de courte durée admissible (durée 3 sec:16 KA,
durée:1 sec et dynamique:40 KA), fermeture sur court circuit est selon le nombre (séquence) de
manœuvre (20 KA efficace asymétrique pour une seule manœuvre, et 15 KA efficace asymétrique pour
3 manœuvres). En général, les lames sont fabriquées en cuivre durci (trempé) avec des surfaces de
contact argentargent, le contact stationnaire est formé de cuivre avec d'une forme conique afin
d'améliorer la fermeture de la lame. Le processus de coupure de courant et l'extinction de l'arc est
semblable a ceux de l'interrupteur pour montage a l'intérieur (dans les cellules de l'appareillage de
commutation). L'interrupteur coupe le courant et interrompre l'arc dans la chambre de coupure (boîte de
soufflage) ou la tube de 'arc. Quand on ouvre l'interrupteur, il subit les étapes suivantes:
Quand l'interrupteur est fermé, le courant écoule à travers le contact en cuivre et les contacts en
argent. La chambre de coupure et totalement hors de circuit.
Quand la lame de contact commence à ouvrir, le courant est transféré aux contacts dans la chambre de
coupure à cause de l'essuyage (le contact) du contact extérieur de la chambre de coupure et le contact
en parallèle avec la lame de contact. Ces deux contacts touchent afin de faire le parcours du courant à
travers les contacts dans la boîte de soufflage. Maintenant, le courant qui écoule à travers la lame
principale de l'interrupteur et le contact stationnaire égale zéro.
Les contacts principaux (le porteur principal de courant) se sépare.
L'arbre de came ouvre les contacts à l'intérieur de la chambre de coupure.
L'arc est interrompu a l'intérieur de la chambre de coupure à cause de la conception de l'intérieur de la
chambre (boîte), le gaz (de déionisation) produit par le remblai et la dissipation thermique.
L'évacuation du gaz est sans bruit comme même sans flamme. L'évacuation du gaz a lieu à travers le
capot d'évacuation. On peut ajouter un moteur dans le mécanisme (de manœuvre) de cet interrupteur
pour le permettre à commander à distance (télécommander). Dans ce cas, on peut ouvrir et fermer les
interrupteurs d'un lieu (la salle de commande). Il y a des contreparties pour ces interrupteurs à air où
l'arc est interrompu dans une bouteille à vide ou un pole de SF6. Il y a 2 types de ces interrupteurs (à
vide ou de SF6) aériens, l'un avec la coupure (ouverture) visible et l'autre avec une indication que
l'interrupteur est dans la position ouverte. Dans le premier cas, le sectionneur (l'indication visible) est
relié en série avec la chambre de coupure (l'interrupteur du courant et de l'arc) qui contient le gaz (SF6).
Le sectionneur est verrouillé avec les contacts mobiles dans la chambre de coupure (le pôle de SF6). Le
contact mobile dans le pôle où il y a le SF6 ouvre, l'arc est établi, l'arc est interrompu dans le pôle, le
courant qui écoule à travers l'interrupteur est zero, la lame (le contact mobile) du sectionneur ouvre et
verrouille avec celui de la chambre de coupure (le pôle). Dans le deuxième cas, les contacts
responsables à coupure le courant et l'extinction de l'arc, les contacts de sectionnement et le mécanisme
sont placés dans une cuve soudée et scellée (hermétiquement). Il y a 2 types de commande motorisée le
mécanisme tournant et le mécanisme réciproque. La vitesse de manœuvre de ces mécanismes est entre
.75 et 1.2 sec. Les pièces principales des mécanismes tournants sont: la clôture soudée, la porte d'accès,
l'interrupteur auxiliaire, les fusibles et les portes fusibles, le bouton poussoir (fermé, ouvert), le
couvercle de protection du bouton poussoir avec le dispositif de verrouillage par cadenas, l'interrupteur
de blocage pour empêcher la manœuvre à distance, le roulement (contre le frottement), les éléments
thermiques avec leur fusible et portefusible, l'indicateur de position, le compteur de manœuvre, la
prise de courant (bipolaire), l'interrupteur de fin de course, la lumière et son commutateur. On peut
découpler le mécanisme pour permettre la vérification et l'épreuve de mécanisme manuelle et motorisée
directe sans déranger la position de l'interrupteur. Pour le deuxième type de mécanisme, on utilise une
boîte d'engrenage afin de transmettre le mouvement à un arbre de débit qui est situé a l'arrière de
l'enceinte. Le maillon d'attache et le levier le levier sont sont attachés a l'arbre. Cette combinaison du
maillon et du levier fourni le mouvement vertical (réciproque) à travers de la tringlerie au mécanisme
de l'interrupteur. On peut définir ces interrupteur si on donne les caractéristique électriques et
mécaniques, les conditions normales de service, les dimensions et masses sous ensembles principaux.
Le caractéristiques électriques sont: la tension assignée, la fréquence, le pouvoir de coupure (charge
active, en boucle fermée, transformateur à vide, ligne à vide et câble à vide), tenue diélectrique onde
1.2/50 s (phase terre et entre phase et dans la distance de sectionnement), tenue diélectrique à la
fréquence industrielle 1 min. (phase terre et entre phase et dans la distance de sectionnement), courant
de courte durée admissible (durée: 3 et 1 sec et dynamique), fermeture sur court circuit, tenue a l'arc
interne, endurance électrique et endurance mécanique. Les caractéristiques mécaniques sont:
l'endurance mécanique (nombre de manœuvre, fermeture/ouverture) et l'indice de protection des
composantes principales de l'interrupteur (cuve étanche, mécanisme, coffret de contrôle et commande).