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pio fanctlre des Titasides, lire Aphidaa aux Dioscures Tes habitante de Déeslio o Déoslus Iui-méme, ou Aca- ddemus, eévelent aux Dioseures qu'lléléne ext enfermée dans Aphidna', en suite de quoi los Spartiates coor dent des priviliges & ceux de Dseélie ot respectent leur ville pendant la guerre de Pélopoanése". Thésce est présent In batallle contre tes Dioscures™: eeux-ei tom bont dans Je combat De bonne heure celle [égende ful confondue avec erlle de lexpédition contre les Aphari- dee; om placa méme & Aphidna la scéne du combat ent les Aphardes ot loa Dioscares ‘La pactleipation allcvnative & la vie ot la most, con- sentie par Pollax en favour de son frére, « pris dans la Jiérature grecque et romaine une signitication toute morale; mais fl est évident qu's Forigine il n'y a Ih qu'un ‘mythe naturaliste, qui remonte, en derniére analyse, & la suecession da la lumitro ot des ténohees. Nous avons donne plos haut la version de Pindare. I est question de Jn méme légende dans V'Odyssée*. Dans I'iade i est ait qu’a Tépoque de Ia guerre de Troie ils ménent une fewistonce couloeraine, sec én vaizer ala by Anacblune. La tradition, avee Ie temps, deviat plus préciso los Dineeureesontila fois mortelsetim- rmortels; ils sont rmorls ot fs vi- vent ®) ils sont toujours séparés, puisquile viveat chacun alternati- vement un jour, ce qui semble fort ridicule a Tax jen. Pavsa~ nia signale & Sparteletombesu Ado Castor ot rap poeteque les Tyndarides ne furent élevés au rang dee diewx \quequatanteansaprésleurcombatcontrelesfilsd’Apharée Lateadition placalosDiosearos déilés parmilos oils male ee est qu’a une époque postérioure qu'on les identi- fia &la constellation des gémeavx*. in somme, ily pour le moins trois ligendes : 1 les Dioseures son! un couple chthanien;2* les Dioscores sont un couple umineux atter~ Sigh Bye oe Toes ego. BL 8 pie Pat Me AN ne Bat Sn Pa he aie aie ie we = i En ‘Pa a ste oy ft Fat, get. “pets: Gr — 258 po ‘nat 3° ls forment un couple Inmineux inséparable. La Uradilioa Ia plus ancionne est colle & laquelle! lade fait allusion:elleappactient peut-treA une mythologte préto- anne, quo coneeptions aryennes, analogues au couple veediquedes Acving, ont modifi dans In suito I fat encore remarquer Io caraetire essentieliement dorien da couple ‘dea Dioseures: non coulement leur culte se rencontre sur- tout dans les villes doriennes, comme Sparte el Ta rms Ia Légendo a fait d'yax Jos onnomis do Thesto, hiros altque et ionien quis combattent. On les trouve mélés ‘aux traditions doriennes du nord de la Groce, telles que | chasse de Galydon, Vxpédition des Argonautes. Leur intradnetion dans Te culo aitique,attribué a Ménesthée, Tappartieat pas, semble-il, a une époque trés ancienne. ‘Altribuas, sernors et symboles des Dioscures. — La ppotsie épique Ja plus ancienne a fst effort pour marquer Ta porsonnalité des deux fees : Castor est un dom de chevanr, Pollux exeelle an pogilat = Kiuepa Mnoibapen xl oi Athy Tablet Lan antique a quelquefais indiqué la méme dite ‘ renes ®, on don- sat i ante Potlux!'sp+ pareace dn lt- Year "5 quand Castor et Pollux font reprisntes rnaemble, it y ment, quelques eilérencese ds tail etee es deux teéeo4 Main to paait pas #¢- tre dabli a cet gard do role ni Aotratitions fixes Dane la slatasire de Vépaque hele nistique, oi leur type a été constitu ls Dioscures sont des adolescents imberbes dont les trails ont tne expres Sion un peu réveuse™. Dans les peintures de vases, ils ne font reconnaistables qu’ leurs atributs ‘Dioseures sont Tun et Fautre dex dioux eavaliers, et cest surtout & cheval que [a litirature ot Tart tes seprvsentent ®, Leues chevaux, qU'ls montent aw pas Pett Lei iy Pets ois — La me ‘caren emai Sra pa 132 wn Mie eo ab gor Pate p. Fae ng a pn Sarg mir cat, oelsnoss tal vk a pti 8 Fes dao = as ape oo fu au aalop, sont hanes "5 souvent is tee conduisent | par Ia bride ‘ow sont de owt cate @eux 5 am surquelques ‘i Frappées en abi, en les we groupes debout oo assis, ou tien Tun assis of Yautr deboat 1% annoy sur ewes lances tenant vent, sue les pprésenté que arriveauss, Tes tates des dons Ia ata Dinseures ou Luniee, que’ leurs bone Pun on Pane nels coni tae des Dios ques sur ures est re montis 46 present d= terlen!* (0g out, & cot 2138), aunt pre =e Le bone tome de cbe- ee neteonique, teem tamee Gees, ox iin nb Dear ita fee"adsie ta tee | Kates dt to, sida tee oman ok inations des Dloscuree eit, SignléaparPine™ devant ie tan! | podedupierTonnaot ig 234)", Ec gul parent reer org mar eee tltioans © Sept tloseirinn; enn ona ae In fierce Love 81, yea fall parte de be escaton Shravan Rpreaete verter | ture eS une protont de eho fal (Og. 215) | tut Agurés ans lewes chevaus, Tina ore ae ‘ore en ter ieee 8 (ime ot i Be pti, stale oe eles ns (bee. Op =n nr no Se pi nw Iie jt Bd, Mer, ony 32; Mists Mester aba Se lg, eat Ia eillure caracristique des Diosetees "7: selon une Kiger, I repedsente la moitiéde'wt ot les Tymlacides sunt aés On ne Te volt pa sue Tes mont ments arclaiques, ob les Dioscures sont généealement nos et sans allibuts '"; sur les vases, ils portent quel- quefois Ie pase, ot nom le pine Le pilewe eat ane Poidane tacsnionme ot maetdoniemne'® quo Yon trouve fxalement portée par des lurines de travail phénie tion 4; i est probable sj'elia eurackéviait les Gabiros ol quielle fat donnée comme un attibut presque eons- faux Dioseures lors de la confusion, qui se. pro duis do bonne hevre, entre eos deux couples de divi 16". Pausanias ™ signale & Drasiae trois piles ss ‘es en brome, portant des 22a, qu'il pond pour des Digacures ou des Corybantes. Comine il ne peut re ques lion de erofe Diosoares, il saglt sans doute, dans 62 pas sage de Pausaaias, danciennes figures représentant les Cabire Wart classique donne aox Diosrures te ileus, une cehlamyile de pourpee, une lance ou um javelot **; Ire rede They Upc leitisy ma h See i ot pn May ee en Dae et eat fas gus is ervey Bate cero th sO ‘Puce toa eoenpe lp hea Domai nl, Pl. Sf ena = arr te nine ean pa ay a Patong, ae ok Be Wi Cit Dano 28a Dio. = 35 parfois Tun deux Gent deur javelots ou bien ils sont eomplétement armés!. La sculpture hellénistique, & en jjuger par le petit nombre do monuments ui mous res tent, prétait aus Dioscares la mudité des athlote="*, Sur les bas-relief et los monnaies qui Ing repedsentent 8 cheval, on vit leurs ehlamyates Joter a vent (fig. 2630). Isdicigentanssi ‘a travers Tes airs un char dor attelé do dous. ho- vai, nommés Phloges et Harpagus, fils de la arose Podarge, suivant les ans, Nanthme ot Gyllarus suivant antes La plus aneienne reprisontation des Dinseures men- tionnée par les textes est un symbole primitit de leur atta- ‘hement fraterne ce sont les env spartias, objet forms 0 doux planches yerticales réunies par dens traverscs hhorizonlales *, La méme ponsée parait éiry exprinss sous une forme moins malts dans vn. groupe archaique fen terre culte trouvé & Gyxique : on y voit deux hommes assis, eoffés dagifew, nm passant lebrasnntoar du con do son compagnon"™. On peut en rapprocher les leer culos rebiniques de Béotin qui repeésentent dear enfants coils dds pilews ot couchés ow assis dans le méme lit, Un Autee symbole des Dioseures sont doux. amphores, a four desquelles s'enroulent parfois deus serpents = om trouve les amphores aveo sorpents sur les monnaics de bronae spartiates qui prisentent au droit les Dioscures (dg. 2637)"; eur des monnaies d'argent ce mime prove panes les nae des Dioscures, surmontiechactind'ane toile, figurent & cité d'une am- hore. Tarente, colonie de Spnme, grasa sir sex mon naies deux amphoree surmon- ‘eo8d'étoiles™ Lesamphores, fvee ou sans le serpent, et le xerpent sou) pavaisseat aust sur les baerelies Inconiens ™, Lassoviation du eng aves los Dioscures sur un bas-ralif™ eta présenee du coq avec Vtoile tur des monnaies do Tynularisen Seite, a para ig 200. — tan hace ‘neon wei; Stetsn,Vouawineng dor Brotape 5° Heyden ncaa, Mo Park pt dei hee die aoe ihe ce i ele ad Texts Bn tats nue Sean, is ain (pei of ee uit Mg 8 Rend ects dr Si p19 in ne dP nn Shon Maran Rs Py Vs i-— Si gt nga anny pi, ome a ‘taeryign aise pt veh te as je Cain nce we sar pun'an ng 3 een a Ra or Beem en nr ne in ston mE a ene nb ie pio sentaussiles Dioscures! semblent indiquer quecet sea loan état consners. Nous parlorons plus loin des toils, ymboles des Dioscurvs denliiésaux Cabices. Le ey Faigle, sur quelques monuments, rappellent Ive amours de Jupiter et de Léda!'. On trouve aust Ia fleurde fotns,e0it tans lo chompdn vase " cot dans le main de Lia qui la poésente& l'un des Dioscures'® (fi. 2638) Ean, Castor et Polls sont parfais accompagnés de eblens Une gemne ide Berlin, portant inseiption Seeage, qi neprésente Tos Diosourvs jouant ux ossolets “4, ost probabloment la re~ poduetion dan groupe de In tatuaine qui fait penser, comme Pa romarquéM., Furtwoenglor, sux pert estraga Uisontesaltritues par Pline & Potyelete Les Acvins ediques sont des guerrioes, en Iulte conti nnoelie avee Tes demons dea téncbres, protecteurs des hommes et gudslsours de Jears raaax'™. Cas caractéres sont aussi en des Dioseures grove: divinites uminenses, sls apparaissent & Uheure du peril et viennent aw secoues lo cou qui lex invaquent sur tone et sor mor. Ea tra ‘ion, tant en Gréce qu'en Tlaie, les fait intervenie dans Jes eombits, oils asurent Ia victoire a la honne eace' Iis réeompensent le pocte Simonide, qui les a célebrés, fn Te faisant sortie & tomps dun palais ql s'croule sur le tyran Seopas'. Protettonrs des navires dans In tom- pin, ils sanvont Tes suisstaus dee Argomautes!™; on ils de dieux mirins, ily #6 sont hientGt eonfordus favor lng Cabieos do Samothrace, auxquels celle jis since tutelaice appartenail en propre. Comme les Ae dans les Vidas, les Diosearea sont méecins , De memo ‘que les Aevins rendent i. Viepata te pied qa lia 8 coupe dans Ta balaille, les Dioscums guérissent merveilleuse- iment Phormion, stratege aes Crotuniates, do In Hlessuee quill e roeuo on combaltant los Loeriens™*, On a alligué faussi qu'on Laconie ot ailleurs Ie serpent, ssmbale des ious. guérisours, est paefois associé aux Dioscures ™ mais il fant qhserver uo In serpent guorrios, Machaon ot Podalire, ne sont auters, Forigine, que les Dioscures Thessaliens Tine cea ae Mase wae Cae anyweb ‘Tu Sse Veo MCh pe = ae Near et Fh eee ie eae Parte fas, Dic Apais, p14: Couewlaghr daue Redon, Casik- dor Sate tiavee ome th tyme xen ems Om po Ans Ia qualité dominante des Dioscuves, cst dire les protectonrs des hommes, dos dieux eauveurs cus Desa warp eri ikon Signy Sats magacranee of ausol Bane, oeasee, mot ul paral avoir été primitivement synonyme de seripsc'. Le sur- ‘nom de fea aryee!® go Tour a €t# donné que plus tac, parsuite de ls confusion entre lex Diosoures et Toa Ca” hires [ean La pléts populaire a at deux des modales de justi ot de courage", comme les Iégendes ont cdl bd leur amour fratemnel'. L’hospitalité est une des verias chovaleresques dont ils ont la garde". Tis punis- seat le Spartile Phormion, chez quiils se sont présenlés comme dee étrangers venant de Cyrene, parce quill © refusé de les recevoir dans la chambre qu’occupsit se ‘lo : 1 Tendomain In jeuno Alle avait disparu et Yon froura dans son lit les images des Dioscures avee une tuble et un ramen de silphium . ls récompenstrent Pamphaapour leuravoir donne Vhospitalite, et leurs bien- hile s'tendirent & ses desezndants"™, ‘Avmémeonire didées se rattache Te le dos Dioseuros ans les thoxée \ Fapportee an ‘Louvre parM. Houzey ™, présente (Ig. 2438) image d'une 1.89 ene it A; Co ia ‘Buc oey ie ba Op ne gree ‘itn! Burgas gut x eka on pe (Herth 8 Elpin Plat De fe ‘op aes. prae ete—r ‘wn ist Fumie te ay ts anne a Sem ulan ita teenies tincl Nn rv ha a ha ‘Teas does Cowon Tale ola fo Mets Sig ME — 236 — pio table chargée de mals anprés dan It do fetin; devant Ta lable, un homme offre ne Libation sur un autel, tandis {qv'ne ferme lee Ye bras droit vers Te iol, ou apparais- sont les Dioscures a cheval. Auvdessous deux plane une ‘Vieloiro portant une couronne *. Lnseription est unedé= dieace aux Dioseures-Cabires, tie psyor. Le sacrifice ‘qui leur est offer est une théoxdnie: ils arrivent & travers Tes airs pour se rendre au festin™, Une representation ‘naloguese vot sur un vase attique trouve & Camiros dans Mie de Rhodes (6g. 2630)" ‘théoxénie des Dioscures dane une inscription de Paros", AUsdnge'* mentionne un poome de Bazeiylido ow il appe- Tait les Dioscures au banquet, wad az fx Bes, ot sTexeusait de sa pauvreté qui Tempécbait de les recovoie dignemont. Ontrouve & Ténos vne soci de Thearéniowter, sin an ekowaerdnv" © Diodotw saeonte!™ quelee Locrions, ayantenvoyé a Sparte pour demander du stcours,reeurent pour réponse qu'il flat se coneitier Ia protection des Dioseures. Les envoyéa dressbvent sur leur navire wm Leo Uisteme, dé, ol ils placévent les images des Tyan My avait a Sparte et a Agrigento des banquets (ee) en Vhonnear d'ileléne et des Dioscares"™. Les Athéniens Aresaiont des tablos au Prytanie pour les Dioscures, comme pour des holes publics". On y sepvait du tro” mage, un gitean do farine argo, uno assitice dolives mires et une hotie de poireaus; ces lectsteraes existent aussi dans le culte eabirigue™® ct, eu général, dans Tes eultes des divintés ehthoniennes™'. Comme diferentes Lradilions, que nous avons indiquées plus haut, mention insient des vsites faites par les Dioscores & des morlels'™, ilest probable que cos théophanies, dont certaines famille: Se yr Sy Serape ai de en 1, ate tno ase shea de, ay Tepe aud tte Tt them Vip snd bog, Pest eat ant per i a aw a tee Dao, Moai teeth, inp; Pk OL, et tente © ein et tn ‘hae Ago Wind em, Bopha Dio, se fasaiont un litre d'honneur", ont até Yorigine des théovinies dana Yes eultes. Toeaux. La eroyance aux ‘Acophanies ses Dioscures et Yusage des UhGoxenios en Toot hannowr donnérent méme Tien & des stratazémes Pausanias ™ raconte gue deux jeunes gens Messeniens, Parmormus et Gonippus d’Andanio, profitant dun jour titles Spartiaes eslcbraient la fete de Castor et Pollux. par doe fostins ot des joux, so priaentirent tout & coup, ‘au milieu deus, vétus de tniques blanches et de chia mydee de pourpre, montés sur des chevaux magnil ‘ques, oimés de pied et tenant une lance & Ia main. Los Spanliates, eroyant que c'étaeat les Dioseures, acrivés pour parteiper aux fetes 6n Tear honacur, s> proster- rérent devant les deux Messéniens : eeux-i Grent un ‘grand carnage do Tours adorateurs ot revinrent aus fl saufe & Andanie. Irrie de ce sacrilege, dit Pavsa- niag, lot Dioscurvs poursuivirent Tos Mesnions de lene haine et ne consentirent & lear retour dans lear pays qu'au temps d'Epaminondas. Nous savous aussi par Polyen "que Jason de Phéres, ayant besoin dar- ‘gent pour solder set itoupes apeds une victoire, ni Dpandit le bruit. qu devait son premier sucees a Tin~ fergention des Dioscures et qu'il avait promis de les inviter & son festin. On porta au eamp dea tables ave. de la yaisselle dor et dargent, dont Jason se hata de semparer pour payrr avs troupes. Cette anoedote proaye aussi que la eslebration des théoxéniex ne com porlait pas en lous Meux autant do simplicits qua Athenes. Le Digseures, on partivilier Castor’, sontdes divinites iguerrieres, dont les rois de Sparte, avant les guerree ‘nddiques, emmenaien ls images sacrées en eampagao'™ Tis président également aux jeux'™, qui sont Timase des combats ou quiy prépareat.Hercale, admis dans! Olympe, lear a conte Ia seveilance des jeux olympiques ™, Dans les concours que le fils d'Aleméne avail intiluts & Olympic, eost Gastor qui ale premior vainew a la course ‘ot Pollux au pugilat ™. A Sparte les statues des Dioscures Seldvent & entrée du stade ™; a Olympie leur autel se ‘esse & Tentrée de THippodrome > lee vainqueure ‘ave jeux leur offeent des ex-voto™?, Its sont amis de la ‘haste, ot To nom de Castor st fest® a une race de chiens dits castorides ™. La musique ™, Ia danse, la pofsie, ont en eux des protecteurs ™*, ‘Ts ont appris faux Sparliales, aprés Tavoir apprise eux-mémes do Mi- nerve, 1a danse en armes"™; cest & eax aussi que l'on alteibue ladanse guerriere dite caryatis™, et la marche a mitt ast mae at in = Toe eocy (bg Wren 2) Vp Hart Wea On elt snd qn ete ar sone Rn Spon Ca em ty Gu Than KI ‘ay. poe Sa byt 1 — 1 Sin Si Se a ti ps bre (Geen eh Lat De gem, Chote de nous pi 8 Capos | "lL = 87 Dio, anilitaire dee Spartiates, Kuevipsx véuer, passat pour Vine onion do Castor", En leur qualité de disinités agonistiques, les Dioseares pparuissemt avec Ja couronue el la palo’ tls Liemnent Ia palme et In couronne & la main, comme sar we monaaie Wor de Tarente (fig. 2440)"; tantdt leurs pilel sont ornds de louriors, comme sur Jee monnaies des Urutliens, des See rides, ete. . Sur quolgues pieess de Tarente, on voit un cavalier placant vne courvane sur le tte d'un ebeval; d'autres fois c'est ne Vieloire qui eouronne un cavalier ou un jeune homme qui conduit tun bige?. La présence d'une toile au- dessus du bige ou du eavalir semble prowver que le héros ropeésenté est Castor, associé au cheval sur les monnaies de Tarente, comme le héros Taras au dauphin dans lo série nomismatique do la méme vile Ma été question ailleurs de Ja confosion des Dioseures avae Los Cabieos caw), Contestons-nous d’en rapper iei quelques traits essentiels. Comme les Cabives, fo steyBar, los Diosoares devienent les protectours ds marins fen deteesse’, quipromettent de ler saciter des agneau, blancs, Dans Ja tempéte qui menace les Argonautes, lorsqu'Orphée invoque les dieux de Samathrace, le went se alme eoudain et deux éloiles brillent sur Ia tele dos Dioseures?". in eraysitreeonnailre les Dioseures-Cabires dans 10s Dames phosphorescentes qui voltigent sur le ser par temps d'orage ™. Pendant la guerre‘ Pelopon- nse, deux astres parurent & Varrigre du vaisseau de Lysandre et front pris pour les Dioseures!™, Cest aux: Dioseures que Yon atisibuat le phénoméne eonnu sous le nom do foo Saln-Elme?", nom qui est une eorruption de colui W'HEléne, sous lequel on le désigmait & Tépoque ‘nyzantine , La eonfusion ontre Ios Dinseuros et lex Cabices devint complete a Tépoque hellenistique et romain, lorsque le culle des divnités de Sumothrave pit, tune grande extension. Ala fin duit sigele ay-J.-C., les CabiresDioseures, Gk poyddoe Aviacpee Kiley, ont un temple & Delos, of ils sont assoviés a Neptune, Poseidon ‘Aivize*®?, Pausanias®™ signale Ysnalogio des Dioscuros fae les Curyhontes d'une part, les Curstes et les Cabiros do Tautre; dans le dernier passago™, juveniles appelés ‘Avasee dont on eslcbrait la fete, | Aimphissa an Locride, Los stojles qui paraissent au-dessus de Ia téte dos Dioscures ou de leurs pile, en particulier sur de nom- gain aes poe footer ce tele ar rae ae eee Ee Pi Mitas oie eon Seared foe ol get isthe tsp. thy Ce pain on le OAT de ligt pine, amet Sle Ser Face Se Gwe: ws wie, Cee Doren tl, Hoe . a po Iroiios malt, yinolsent lear pusonen oreee- cls temple apse lorsque Valras Plaeus ee appli aN es comants Tyna AD) de®, Sur une monenio 8) Gtpheala de Lemoon ig. S44) on vi en one pes des Dioscues. se trons elles de par {dare d'un Gambeau alld or, ile de Lennon et finden ents les plorancens deus eategue its qurton ave eam p70) do cerain Boe relist Ter abierDincures sont asoiéch une eee de ome Aéenuvort a Carnuntum?", on voit tes Dioseures & cheval de part et dautre dune femme qui tant deux vases ot Sabeeavont les chevau. Au-dessusdechacun des envaliers fest un serpent; dans le champ sont indigués plusieurs ‘bustes. La perconnalité mythique do Ia figure féminine parait difiile A precisee®®. Sur lex vases peints et les ivirsétranquos, les Dioseures paraiswnt associ & Lida tia a Pom, ses it Wi Sot near ate ee isc cae er ne ST doun,Ebute. Seat gna saan 2 Gta, — 28 — pio, cha Tyndare™, A Léda seule, a Weleno™, A Madéo* ‘a Mendlas ou & Paris, & Poomelhéo™, pout-tre aussi i (Clytemnestre!; parm les A Minerve ®*, 0. Mer- cure"! JaVietoire™,& Venus & Losna uma)", Aue rore®™, au Solel levant ™. Nous ne partons pas ici des autres personnages, tele qu’Amyeus, Aethra, les Leucip- pides, les Apharides, etc, qui figurent dans les monuments relatifs aux différents épisodes de Vhistoire légendaire des Dioseures que nous avons résumés plus haut. Culte des Diascures. — La centre le plus ancien du calte des Dioscuros ost le Péloponnese, en particuloe I Lavon, la Messénie et I'Argolide. La tradition les fusait naltre & Pephinos*™; eurdemnure couterrane ait Thérapniae qui possédait un temple des Dioscures et une image &¢ Mars rapporiée par eux de Colehide ®. Amyelée aus ‘hoaorait de leur présence, do leur épithete Rue parte, efjour des Tyndarides*, montrat le tombeau et Je sanctusire de Castor, To sanctuaire et In source sacrée de Pollux,®, la maison dex Dioscures™, un sanc~ Comme ‘Zeus et Abéna, ils avaient leurs autels & Sparte avec le surnom d'ipéeilea; ile dominafont Tontrée du. stade ‘comme dgerizn. La vitoire de Pollux sne Lyncée eit rappolée par un trophie pres da temple d'Esculape™', Messéne, elevée par Bpaminondas, sacriie tout dabor & Jupiter Ihomate et aux Dioscures, dont lle séait antretois ating la eoliee™?, Pausanins vit & Mesbne des ‘images des DioscurexenlevartlesLeueippides™;il signal, dans Ia plaine deStényelaros, un potiersacré ot lex Dios. ‘cures sétaient assis et prés duquel Aristoméne, qui sen ait approché malgré la défense d'un devin, perdit son houclier™". Les féles dés Dioscures étaient céldbrées A ‘parle par des danses milltaires et des jeux, tant dans la ville que dans les eamps**; une inscription o'époque romalne™™ mention une prétresse Apwretiic wy exie- ‘issn Avoonslay. A Argos, ott un temple des Dioseures renfermait leurs slalues, euyre des vieux sculpteurs erd- ‘ois ipoinos et Seylis on montrait le tableau se Castor, fapurrien, Cesteivdire demidieu, suivant la légende qui fast de Pollux seul un olympien , D'autres \émoignagesaltestent Vancienneté et la diffusion du culte ‘dos Dioseures en Argolde*, Ta Taissé également des 22 Ds Wit Cuil Dag 8, ‘ipa, 13 ont Rats Sppet etn on ~ Gara at ge te, Ca Burt ak ~ a ‘ie; preety od TRV og. p08 fay 32 Gar a ph it dt as rept i Des ae es i a og a ra 8a Quatre se ‘pe wnt Foie, Poe 8 ina ot ry Cray ‘nn, emaviry Pen Sasi er Dorr tes ‘Phe been no sorter Don ane em “fr ZB age vi 3; Crp ter ra a a, pio. tion, Je rendre & Tours compagnons et anx tlrangers de nombreus setviees, redressant partout les tors, secourant les fables, chatiant les méchants et sabvant, dans une tompéta, le navire Argo. Aussi Glauous, le diew marin, fapn’s avoir, pendant deux jours et deux nuits,sulvi Jos voyageurs la nage, avaitil prédit aux jumeaux quis setaient, partout oi il iraient, adoris enmme das divinités Dieafaisantes. Test inntile dinsster sur ces traditions mythologiquess raisil est permisde suppuser que le eulte des Dioseures ut ‘épanda dansentto partede!'lalie par uno influence venue ‘de Gréce, vers la sevonde meiliédu ie stele, et pendant le traisibme side avant J.C., de ta méme fagon sans douto ‘que celvi det Cabires, avxguels les Dioscures sont asso~ ‘ids ot méme identids sur plusieurs miroirs cleuscques CCelte association n'a sien qui doive surprendre. En Gréce, ‘on a. yu quo lee Dioscures ot les Cabires, communcment appelés “Avees, Toric, Gal pda, $2 partageaient Thonnoar de protéger les matins pendant Jes orages ; om donnait indistinctement Tes noms des uns et des autres au henomene cletriquo da fou Saln-Elme. De méme, ces irande diewx se confondaient aussi comme divintés ‘astronomiques, lls personnidaient Ie feu edleste es étoiles fices qui brillent dans 16 ciel, comme ils personnifiaient le fu terrostre ot marin, les astres mobiles qui voltigent surla mer. Gola esti vai, que les Orphiques, que Niatdusy quAmpslus, altsboen! indiféremment sx Dioscures et ‘aux Cabieesin constellation das Gémenusx ®. Sidone Castor et Pollus apparaissont sur los mirois étrusques en eom- pagnie des Cabires, c'est parce quils sont comme eux la Dersonnifiation du feu sous se diferentes formes, du feu ont Ie sourve est au ciel. Bt, comme partout ailleurs, ‘on retrouse Tingpiealion de la Grace et de TOrient. ‘Lorsque les Diosoures ne se eonfondent pas sur [es mir rire avec deux des fréver Cabires", et ne jouent pas un rile trés actif, sit dans le meurlre du jeune dieu par ses frerea™, soit dans sa résurroetion ®, soit enfin dns son Shr Sg. es, dk. i, Me sh ar ro — 260 — Io amaringe (Og, 2648) is sont reprsentéstntot avo den Avner gu semblea avoie comme eux et Ie Caires um taractare eosmiqut, Apollon (Apln)y, Vem (Tarn, Mie tere (Sen), Prom Promath)™ ; antl en co Tagnie de personages plvs ou mcine mélés & leur sie legendaire, comme Hea, leur sour, Mendes, Pi, igre", antl ena dats is setae otis ont monlré lear courage et leur biafanance, comme dans Te Tate contr» Ampoas Sas [eplossovent Ins deux tines figarent seh vis Avie Pon de Tastee, lt sont asso About ou bien appuyts sur lure bouciers, Queues soa Tun eat debout et Tautce anus Cest le costume qu ‘arie fe lus, 1 Tov dou free sont enttrement mass ini sont wae den tanique exort, de la chlame, ‘Tune peau de bate, ou dune armore compte, eure, jambiires, cneque Qoetquefae nates, sont Te pls ouven oils du pitrou du pear, ow bien eins dun Ssndean, Leurspieds sont nos ou ehnassés do sandals, ils mnt imberbes tous les deus, ov to Tes deus barbs? ‘Torino rm sul eat reprisent ae do Ta Barbe. Lets rite sont Ue vars, Apres Tpée, Ie lace et lee fits, i ant dter des Nour, dos candeabres, des am- sioes, dea triangles, des barren tansversales qui es Unison po i tio ou parla polin. En ils sont sou- vent en Compegne denims ley gue chiens, bib tenes, Lies ete, Comme 1 fitremarqur Mt. Le= Dormant (cant, p72], lee mia enoaqaes so lee {uelefgurent lee Diocores suit seule, slt_en comps Evie des Cares, ant postrnors A ceux of les Cabines font repetsentés souls, et Phabitde pve de rprésen- toe en derniers sous la forme des Tyndardes Pat une large part bin eroyance romaine d'apres laguale le al- Indium e os Doseure-Péntes aaron ts dis de Samotbrae pores & Troie par Dardanos, pi trans teres en alle par Ene apr la chute doTroie. » En flrurie ce west pas seulement sor Ie miles qoe tos Dioseures son represents : on lex rettoue aus! eur tee cites et sur-quelque autre abjels Ge brome, dev rips notamment. Une ciste do Pees nous monte Tew dew jonnes teas debout e016 de Teorschevaux. inscription casron, grave en Ite elrusgue, elise seam Goste sur Fidei do Tn dos personages ‘autre et repnésené de I fcon la plo certane sue In celehre iste Ficorni, qui nov fait aster a Tun des frinodes ler importants dela vie dos dews Tyndale. Pols attache bm arbre Amyeus qu viet de yaiere a combat dveene. Avdesos plane tne Victoire avec are Couronne ot dos bandas. A dels, Minerve, Apollon tt un guerrir, protablement Caxor sistent ila sine. Derriéte Pollan on apercit le Gani de la Mort figuré Jn maitre etrueque, ave de prande ile, ete pied post sur un roeher, dane Talent dela proie qui va sisi et fmporter. A cb de Tok ext un Argonaut; plus bas on persamnage couthé et, tout pri le. vtements et les Chaneeors dos eombattants Il Avant dire conn el acceplé dex Homsins, le elle 2; Aa de at oe Meh, 98 at Mo BE, Senile Geman, BS pon Igo 0 sta Categun fat la ein, ear at = Voy, ri Rc ito Io ‘arinam*®, Acisium2, Gapoue™ Naples, Pompsi™ Agrizente*'; puis dans ea provinces, en Gréce, a Sparie?®, tn Epire, en Dalmation Transyivanie; en Afiquo, & Constantine, Str" Phitippevtle™; en Rspazae™, en Gaule,& Latées?", Vienne, Epamanduodurum, Divo- dluean2, Annecy, oi ils ont un temple, cic. Lee ma ‘numents de tout genre offerts aux Dioseures dans toules les parties du moncte ancien mantrent combien ees diewx, ‘toutes les epoques, depuis Ia bataille du lac Regie juequ’a la fin de Vompice romain, firent puisants et po- pulaices, Leurs allributions, avast nombrevses que leur alte est répandu, le-montront encaro mien La premiére Ue toutes, cest détre dans les combats les protertours de Vaemée ol plus parteuliérement do Ia cavalerie romaine. Crest tk tour premier caracite, leur taractére officiel. Depuis a bataile di ae Régie jusqu's | Jalin-de Tempe, depois Vepoque ob le danmrie Autos Postamius leur ddieun temple, jusqu’s calle ou Domitien Je fit restaurer®, is sont Tes diewx toujours peesents et Jos messagers toujours rapides de la victoire. fn ele, dans la plupart des guerres que Rome soutient avant que a domination soit partout éiablie et acceple, Castor et Pollux apparaissent au milen des combatiats,assistent i la baile el en assurent le suceés. Ces & eux que 7. Quinctus Plamininus, apres fe deftite de Philippe de Nacdduine, Uémoigne sa reconnaissance + il leur dé dans le tomple do Delphes dows bouclions dargent?™ et consacre, suF les monnaes de a8 famille, 1 souvenie div secoues ue hit aaient apport, pendant Ja bata, 525 dou divine alliés2". On 9 voit représentés les Diosenres ‘choval oi, sous les pieds de louré chevaus, un bouslier macédonien. Uintereention de ess diewx se renouvele souveni dans a suite, a Pydaa per exemple, puis dans Ta gueree des Gimbres et des Teutons plus tar tneore & Pharsale*®, Lo souvenir de la Dataille du lac Uegile persia tonjoura tees vivant dans ios imaginations ewes des vaingueurs reconnaissauts. Waisen méme temps que des diewx guertiers Castor ct Pollux sont pour les flomains, comme pour les habitants fe Ta Gréee vt do la Grando-Grdco", des divinitée mari Times. a cenommée qu'ls avaient dans toute Malie me Fidionale comme protectours des marine lat bien vis, ‘comme histoire de leur apparition au feuve Sagra, par~ ‘enue jusqu’a Rome, quine manqua pas de reconmitre Oficielloment tes nouvelles attributions de exe deux. Les textes, les inscriptions, lex barreliefs, montrent quelle confine avaient en tx les munis et ls soyagours. Go Sont eux quion invoque avant te départ*™; cast A eux | fqvion s'adresee pendant la tempéte?”; vest & eux ent ‘que Ton rend grdces au retour, apréa uno navigation pe Filewse, Ostie devint uatureement Ie eentre du eulte mia- titime de ces diewx. Crest lA quon Te trouve dabord Su th at ah = y vo ali Wee Canons sree aon ices Sie Bi vae= ooo, ‘ei en. Sst, Dos colin ar wie Into tora aetna pio ‘Aa, Ha qu substa Te plus Honglemps, Dans I eaeonde oitié du I" sigele aprés J.-C, pendant une tempéte qui cemptchait les vaisseaus chargis do bis deatrer dans le Tibre, le prifes«Ostie, Terallae, monte av temple que los Dioseures axaiont dans la ville et leur oll un sacritice ausittt Io vent tombo, la mer 2¢ calm ot es vaisseans entrest triompholemeat au port". Au rele, cette autorite qvon donne’ ee dioux sur los lots n'a pas uno origine ot un earactere puremeat mythologiques: lle semanifeste par des sigues yieibles, par Ja présence de e2s giles ‘quilloraecappelinelarwne ses, lucid vider alba stella, et qui ne sout autre elie quo ees Bammes phospliores ‘enkes qu'on voit souvent couris sur la mace par les tome dorage. Nos matelols ayjourdhui les appolleat sens Saiat-E oles Romains Irs appolaiont Gastar et Poller ‘Dans les grandes tampates, ait Seneque, on apereoit deux etoles se poser sur les antennes des navires : lee marine eroient reconnaitre Castor el Pollux qui vienneat fleur socoure™, »« J'ei aporeu, dil un Wnvin aewlaire, lee Dioscares, etoiles brilantes, qui remettaient dans ke doit chemin Io yaissoun batty par la tempdte®".» C'est & es fens follets,assimilés bcos astres mobiles, que Castor ot Pollux durent leur earaetére astronomique; css aims ‘quo vers In in de Thelleieme ils devineont pour Ios Th mains, comme pour lee Gives et comme pour wots memos aujourihni, I eanstellation des Gémaus ™. Comune eest par mer surtout que THalie tratique, Castor L Pollux, par ela méme quis sont los dious dos naviga- tours, doviennent cous des commercanis et les protecours naturols dos vaisseaae qoi esportont ox importent les marchandises. Bientit meme, grice & leur présence sur les onions argent do la ripublique (488)°™, eave & In protection toute particulizre dont ils honorent les eguites, ette classe qui on lemps de pals se Tiprat surtout an commerce et fournissail des banquiers, des pablieains, des entrepreneurs de transports, de travaux publics, des fermiers des impots™, ete, grdes enti & la situation de leur temple en plein forum, & Veadeoit of se trouvait la Bourse de Ramet, ils davionnont une fogon generale les dieux de toutes Tes transactions commerciale, induse triollos et Gnancidres, los dious de la bonne fi. Depuis Yo cinquitme sigelo de Mame juaqu's lafin de Yeupire, ds ne cossent de prisider et de protSger les allies d argent. Co sont eux que tous prennent & témoin et veulent avoir come yaranls de Jour intogrité. Cest au pied de lour templeque #établissent les banquiers ct les shangeurs**, que ce font les vontos ot los achals d'esclayes ", sur los murs quan affiohe les lois fnanciéres, dane Vintériene, sous la garde de ceatressbes dépostaires, quon entasse los traits, los testaments, lee pactes do toule sore, Jes objots préciovx et Fargent monnaye : et ad vigilem ponendi Coax tora nunoni™'. De la importance religieuse des seements ine Bu ie that. eh. Be, pitas Ce, rw Ducat Te DP Js parois de2quela fox Dinscures figuront non plus comme dlieax paiens, mais comme symboles postiques de la des- tinge humaine, de la. vio et do la mort (fg. 2449). Bien plus, le moyen dge adoplera quelquessunes des le gens relatives a cas dious, ot los confondra mime avec ‘erlains saints. Gest ainsi que des Dinseures reprisentis ar le geoupe e#ldbre du Quirinal**, on fera, grace & tine inscription gravée sur le piedestal, deux saints, saint Prasildle et saint Phidizs". Crest ainsi qu'au x" siéele fencare intervention mervellense des Castors au Jar Regille se renouvellera, & peiae moditiée, aw profit des ccrétiens. En 1098, a Ta batalle @Antioche, Tes soldats ddu Christ virent apparattre et combate & leur te saint Georges ol stint Démétrius, montés sur des chovaus Danes", De méine,en Angletoree, es habitants Hexham, ‘menaeés par los foseais, vieent apparatire sur des che vyaux blancs lancéa a toute vitesse saint Wittfred et sink Cuthbert, deux yéritables Dioseures chrétiens *. Ainsi fa diccult centsansde distance, Vapparition ds lnc Régille fe reovvelail en Grande-Brelagne, au prof d'un peuple craton, M, Aus, DIOS RODION (Aue »42u). — ftite particulier de pus riflation usité dans Jes eéxémonies préparatoires dos Bleusinies! [asus sect. VI, dans les Pourara, en Uhon- — 268 — DP no do Zous Mmartést, te vingt-viny du mois de Méma- terion, et dans les sxinormoeta . On immolail eorame view timo oxpiatoiee a Zeus Moiliehios * un baeut per ehaque Fndivida que Von voulat puriier. La pen de la sictime, appelé Avy nie, doi le nom sétalt tena & toate La feremonin®, etait placce a terre par le ministre dy eter fice et Thomme soumis & la lustration +'y tena debou sur le pied gancheT. On pot rapprochier de la eirémonic altique celle qui avait lew & Magnésie : dans la fle de ‘ous Aetavoa, los promiors citayens de Ia sille montaion ‘parla plus forte chaleur da jour au temple dudiew, portant Sur ons des toizons de victimes. fralehemont ienmoléos Gitta enone nant). F. Levoneasr. M. Lenormont, deputs la réaction de eot article, até crit I peintare une hele hyde a figures rouges, acu! Jemeat dans la eollection de Vhotel Lambert, qui W'aprés Is reprodit rite dia See (Rg. 2850), § voit wo Sphebe nu, sccroupi, lecorps posaat sure pied gauche, ‘et d'un grand plat. Ging femmes s'avancent droite et zaucho, portant des torches allumées, das vases pour In purification; d'autres vases sont placés sur un réchad et sur un grand eévipiont. Liéphche agenouillé serait Thésée qu institua ce eérémonial ot «'y soumnit le premier, apres ‘avoir ta# les brigands qui desolaient la Gréee. Le pied gouche do Véphobo est, on effet, placé sur un objet tax hele, qu'oa inkerprete eomme Ia pat de Ta. vetime i= ‘moléo; mais il est do Urbs palites dimensions et peu di linet. Mode Witte a donné som plein assentiment .Texpli- | callon de M. Lenormant®.B. Pornus, | DIPANAMIA (Acmavdus}. — Go mot composé de A érayos, comme &i-rdiza, applique a une fete rhodienne, won suppose eelebrée en Thonnour do Zeus, dans te mois Panamos; elle sTest daillears comaue que par une inseription d'égoque romaine ', E. Pores. DIPUTHERA (Sepes), — Peau animal, enir, et par tin rie, RIK Grek. Myth. 3 0h. Bei, TE pH Ditton 4d. Sealine Na i ee nga a He ‘eset, Pa 31 ‘Enh tol cae de Catan Pern a, Paro, A: aches ‘cS eee oe Rat» 0 eg m. " extension objetsfabriques de cote malic cues, coms 1° Gouverturys de cur, servant de toitura ou de teates. ous ginéraux d'Alexander, Perdicens et Cratere, trans portniont en voyage der eouvestures de oe gonre, assea Yrstes pour eouvnr um stade Gighépae arabian), a Var Alosquelles ils se ligraient aux exereives gymnastiques' {Les Plaléens ilisent les Dene, pendant le sigge dl ville, pour mottr leurs geas a Tabri des rails des Lavé démonions?, Les soldats de Cyras, dans Vexpdition des DixMille, se seryent aussi do ces peau comme de cou- vertures ol, ur passer I'Euphrate, ils en fabriquent dos ONG. oer green — Mik: Apt Lobe ome eh Ss? Pann pate it taatr ti yt 3

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