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LE CINEMA DU MONDE.

(L’auberge Espagnol, Moolade, Padre Nuestro, the Song of Sparrows, Good bye
Lenin.)

Tous les 5 films sont réalisés entre les années 2000 et 2010. Ils ont un
événement politique important ou un problème social que leurs arrière-plans. Il
est intéressant de voir comment l'environnement extérieur stimule des
changements dans la façon de penser ainsi que le comportement d'une personne.
Ainsi, l’intrigue des films, plus ou moins tournent autour des douces émotions
du protagoniste. Aussi le protagoniste dans chaque film est une personne
ordinaire. L'élément du mouvement est évident dans tous les films, que ce soit
vers un pays autre physiquement ou vers un autre état d'esprit. On peut
remarquer que le mouvement n'est pas entrepris de façon volontaire, il a été
provoqué par l'instinct de survivre dans le monde soi-disant nouveau pour le
protagoniste.

Dans le film, L’Auberge Espagnol, Xavier, un jeune homme de vingt-cinq ans,


part à Barcelone pour terminer ses études en économie et apprendre l'espagnol.
Cette langue est nécessaire pour occuper un poste, que lui promet un ami de son
père, au ministère des finances. Mais pour ce faire, il doit quitter sa petite amie
Martine, avec qui il vit depuis quatre ans. En Espagne, Xavier cherche un
logement et trouve finalement un appartement dans le centre de Barcelone qu'il
compte partager avec sept autres personnes. Chacun de ses colocataires est
originaire d'un pays différent.

L’arrière plan de ce film est la formation de L’union Européen. La période


montre dans le film est juste après la formation. A ce temps, le mode d’étudier
dans un autre pays, voyager avait commencé. Au cours du film, Xavier
découvre ou plutôt redéfinit ses notions sur le sexe, l'amitié et l'amour. Il se fait
sensibilise aux autres cultures, il apprend à respecter et à apprécier chacun pour
ce qu'il / elle. Son comportement devient moulé que l'environnement change. Il
mure comme une personne, il suit son passion pour écrire et le courage pour
écouter a son propre voix.

En ‘The Song Of Sparrows’, Karim travaille sur une ferme d'autruches et


parvient à gagner décemment leur vie. Mais un jour l'un des autruches s'enfuit,
et Karim est jugé responsable et il est tiré. Lors d'un voyage en ville pour
obtenir aide auditive de son fille réparé, Karim donne à un homme un tour sur le
dos de sa moto en échange d'une redevance. Compte tenu de la façon dont il
lucrative se révèle être, il décide de poursuivre ce service de taxi sur une base
régulière. Chaque jour, il se promène en ville, ramenant avec lui toutes sortes de
fouiller - meubles anciens, pièces de voiture, etc. Son contact avec les citadins
et leur mode de vie change. Peu à peu, sa petite jolie cour est transformée en
une laide, cellier mal à l'aise. Et Karim, qui était une fois un homme affable et
généreux, devient rapace et la richesse est la seule chose qui le concerne. Puis,
un soir où il est le tri de ses déchets, il tombe une pile et se casse le pied. .
Obligé de prendre à son lit, il regarde sa lutte de la famille de gagner sa vie et
observe combien le soutien qu'ils reçoivent de ses voisins au cours de cette
période difficile.

Dans ce film, Majid Majidi, le réalisateur a utilisé des objets de la vie


quotidienne avec beaucoup d'attention pour symboliser et envoyer des
messages. Aussi, l’espace utilisée reflète l'ambiance du film. On peut s'identifier
à Karim à bien des égards, chaque fois que nous échouons dans la vie et sont
obligés de s'orienter vers de nouvelles avenues, le changement est vu avec
étonnement, mais peu à peu les choses semblent normaux et lentement ils
deviennent une partie de notre vie. Ils affectent notre comportement et notre état
d'esprit. Et peu à peu les personnes autour nous, nous semblent différentes. Ca
nous fâche et la vie devient difficile.

Dans un village sénégalais, Collé Ardo n'accepte pas que son unique fille soit
excisée, ce rite de purification qu'elle juge barbare. La nouvelle se répand dans
le pays, et quatre fillettes réclament à Collé Ardo le droit d'asile, le Moolaadé.
Dans le village, les tenants de la tradition et de la modernité s'affrontent.

Quand une personne essaie de provoquer le changement dans la société, il fait


face à beaucoup de résistance parce que le changement est perçu comme une
menace. Suivre la tradition est considéré comme un respect pour le dieu, le tout
puissant. Alors la décision de ne pas suivre la tradition est comme une insulte de
société et de dieu. Les gens la suivent aveuglement pour être inclus dans la
société. Il faut beaucoup d’efforts pour leur faire voir ce qu’ils font. C’est le
parte plus difficile, après les changements viennent.
Dans le film, ‘Goodbye Lenin’, Alex, un jeune Berlinois de l'Est, apprend la
chute du mur alors que sa mère est dans le coma à la suite d'un infarctus. Celle-
ci a toujours été quelqu'un d'actif, participant avec enthousiasme à l'animation
d'une chorale. Les mois passent et le coma continue. La ville se transforme, les
voitures occidentales sillonnent les rues, les publicités envahissent les murs. Au
bout de huit mois, elle ouvre les yeux dans une ville qu'elle ne peut plus
reconnaître. Alex veut absolument lui éviter un choc brutal que son cœur
affaibli ne pourrait supporter. Profitant de son alitement, avec l'aide de sa
famille et de ses amis, il reconstruit autour d'elle son univers familier, convoque
les jeunes chanteurs de la chorale, sollicite l'aide d'un ancien cosmonaute,
reconverti en chauffeur de taxi, et s'efforce de faire revivre la RDA dans les 79
m² de l'appartement, remis aux normes socialistes.

Les effets d'un événement politique sur un homme du commun sont


admirablement montrés dans le film. Chaqu’un est affecté par la réunification.
Un événement national et le plus important pour Allemagne. C’est comme la
partition de l’Inde pour nous, ou chaque personne se sentait inclus. Aussi
l'histoire montre comment les idéologies deviennent secondaires, quand il s'agit
de protéger les membres de la famille. Une douce mixe de comédie et tragédie.

Dans le film,’Padre nuestro’, Juan et Pedro, deux jeunes Mexicains, cherchent à


émigrer clandestinement à New York. Pedro pense y retrouver son père, Diego,
qu'il croît propriétaire d'un grand restaurant. Il garde précieusement sur lui une
lettre de sa mère, avec l'adresse de Diego. Mais pendant le voyage, Juan lui vole
la lettre et décide d'usurper son identité. Se faisant passer pour son fils, il se
présente à Diego, et découvre alors que celui-ci n'est qu'un pauvre plongeur qui
amasse le plus d'argent possible pour, un jour, rentrer au Mexique. Dès lors,
Juan n'a de cesse de chercher cet argent caché. De son côté, Pedro, perdu dans
NY, rencontre Magda, une jeune femme paumée à qui il demande de l'aider à
retrouver son père...

Le film est fixe sur le fond d’immigration mais il centre autour du thème de la
famille. Le titre de ce film est profond. Le film parle de la recherche d’une
famille. Juan (imposture) devient un fils et Diego un père. Ils ne sont pas lies
par sang mais ils deviennent proches. Beaucoup de gens en New York, vivent
comme ca. Les deux garçons semblent liés par une force invisible, et le " notre
" du titre suggère cela. Ils sont frères de destin. Les circonstances sont telles
qu'ils échangent leurs places, bien au-delà du sens littéral . Le conflit dans
l’esprit du père et les émotions d’angoisse vers le père, par le fils qui n’était pas
de lui sont spontanées et brut. On peut voir, l’homme peut dépasser les limites
pour survivre, en ce cas il assassine un être humain.
Le monde se dirige vers la mondialisation, il et est devenu un petit village. Il est
normal de voir des gens travaillant dans les pays qui ne sont pas les leurs. Cela a
causé un mélange de cultures que nous appelons la culture mondiale et les
citoyens sont des citoyens du monde. Toutefois, cela a aussi fait de nous très
surveillé et d'alerte. Nos batailles sont devenues plus de nature interne, selon la
théorie de Maslow nous nous dirigeons vers la réalisation de soi, après obtenir
nos besoins fondamentaux. Dans l’âge de consommation, La société n'est plus
importante que l’individu. Mais c’est ironique. La société est devenue grande et
l’individu se sent plus petit devant le village mondial mais l’importance de
l’individu et de son pensée interne est augmentée.

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