Sie sind auf Seite 1von 16

DISJONCTEUR HP A IMAGE THERMIQUE

NB: HP = Haut poteau

Introduction:
Le disjoncteur HP à image thermique est un disjoncteur basse tension (380v/220v) qui est placé en haut
du poteau .

Le disjoncteur à image thermique est doté d'un bloc déclencheur dont le fonctionnement est basé sur le
principe de l'image thermique. En plus, il est doté d'un indicateur de surcharge qui avertit l'exploitant dés
que la puissance totale demandée dépasse les 80% de la puissance totale.

-Le disjoncteur est destiné à protéger un transformateur sur poteau contre les surcharges et les courts-
circuits basse tension.

-Le bloc déclencheur 3T,6T est réglable à 50kva et 100kva

-Le bloc déclencheur 7T est prérégle à 160kva.

Disjoncteur BT complet Disjoncteur sur poteau

Bloc déclencheur

Plage de fonctionnement:
Température ambiante
Temporisation
+20°c +50°c

Supérieur à 8heures 1.15 In

Supérieur à 30mn 1.2In 1.0In

Entre 3mn et 30mn 1.4In 1.2In

Entre 0.2s et 3s 13.2In 13.2In

Indicateur de charge:

Le rôle de l'indicateur de charge est d'avertir l'exploitant dés que la puissance totale demandée atteint 85%
de la puissance nominale.

Les temps de fonctionnement à plus de 85%de Pn sont comptés en temps réel et en unités jusqu'à 24
heures. Ce compteur possède deux(02) positions de fonctionnement:

-Déclenchement : Sur cette position, quand le compteur a atteint 24 heures de fonctionnement, il donne
un ordre d'ouverture du disjoncteur.

-Signalisation : Sur cette position quand le compteur a atteint 24 heures de fonctionnement, il libère un
voyant rouge puis continu le comptage avant d'être remis a zéro.

Principe de l'image thermique :

-Les bobinages du transformateur sont représentes par 3 thermistances qui sont alimentées par un T.I
délivrant un courant proportionnel à celui de chaque phase.

-Les constantes thermiques du transformateur (noyau-huile) sont représentées par un bloc métallique dans
lequel sont intégrées les thermistances.

-Le système de refroidissement du transformateur vers l'extérieur est reproduit par une enveloppe isolante
dimensionnée de façon à dissiper les calories du bloc de la même manière que le transformateur.

Principe du bloc sonde :

Le bloc sonde modélise les échanges thermiques entre les enroulements du transformateur et l'extérieur
.quand une phase du transformateur est trop chargée, la thermistance qu'elle alimente, voyant un courant
supérieur ,s'échauffe.

Le bloc métallique autour des thermistances établit un équilibre thermique identique à celui du
transformateur. Quand l'échauffement atteindra une valeur limite de 120°c pour le point chaud du
transformateur, la thermistance basculera et sa valeur passera de 50 ohms à 5000 ohms.

Chaîne de fonctionnement:
Cette variation de la valeur de la résistance résultera, avec l'aide d'une carte électronique appropriée, en
un ordre de fermeture d'un relais électromagnétique qui transmettra un ordre mécanique d'ouverture du
disjoncteur.

Avantages du disjoncteur à image thermique:

Cette nouvelle protection dite à " image thermique" est basée sur la température du point chaud des
enroulements du transformateur et pas seulement sur la valeur du courant de charge, il en résulte une
meilleure préservation du risque d'avarie par temps chaud et en même temps que la suppression des
déclenchements intempestifs par temps
froid.

La caractéristique essentielle de ce nouveau déclencheur est qu'il autorise une exploitation en régime
fortement déséquilibré.

DÉSÉQUILIBRE DES RÉSEAUX BT


Introduction:

Dans toute distribution basse tension triphasée, il existe un déséquilibre d'intensité entre les trois (03)
phases mais le souci de l'exploitant est de le ramener à des proportions raisonnables.

SONELGAZ à limité le seuil de déséquilibre à 15 % , au delà de cette valeur, des actions sont à
envisager en l'occurrence le rééquilibrage des phases.

Le déséquilibre se répercute par un courant important au niveau du neutre du réseau ainsi que la
perturbation des abonnés branches sur la phase la plus chargée qui se manifeste par une chute de
tension sur cette phase et la fusion intempestive du fusible protégeant cette phase .

Taux de déséquilibre:

Il est calculé comme suit:

D =100*Max[(I1-Imoy), (I2-Imoy) , ( I3-Imoy)]/Imoy

I1 , I2 et I3 Intensités mesurées sur les phases.

Imoy = (I1+I2+I3)/3

Exemple A:

I1= 219 A , I2 = 190 A , I3 = 230 A Imoy = (219 + 190 + 230)/3 =213 A

[I1-Imoy] = 219-213 = 6A [I2-Imoy] = [190-213]= 23 [I3-Imoy] = 230-213=17A

La plus grande différence est I2-Imoy = 23A

D = 100*(I2-Imoy)/Imoy = 100* 23/213 D = 10.79%

Le taux est de 10.79% inférieur au taux de 15% donc il est toléré.


Exemple B:

I1 = 130A , I2 = 80 A , I3 = 90 A , Imoy = (130+80+90)/3 = 100 A

[I1-Imoy] = [130-100] = 30 A , [ I2-Imoy] = [80-100] = 20 A [I3-Imoy] = [90-100]= 10A

La plus grande différence est : I1-Imoy = 30A

D = (30*100)/100 = 30 %

Le taux de déséquilibre est D = 30 % . Inadmissible car supérieur à 15 %.

NB: Il faut équilibrer le réseau en répartissant les branchements sur le réseaux.

INTENSITÉS ADMISSIBLES DANS LES LIGNES ET CÂBLES

LIGNES AÉRIENNES:

NATURE SECTION INTENSITÉ

ALMÉLEC 34.4 mm2 145A

ALMÉLEC 54.6 mm2 190A

ALMÉLEC 93.3mm2 290A

CUIVRE 17.8mm2 118A

CUIVRE 27.2mm2 153A

CUIVRE 38.2mm2 200A


CUIVRE 48.3mm2 230A

CUIVRE 74.9mm2 300A


ALU-TORSADE 35mm2 130A
ALU-TORSADE 70mm2 190A

CÂBLE P.R.C âme en cuivre

PRC:Polyethylene réticulé chimiquement

1-DANS L'AIR
SECTION INTENSITÉ SECTION INTENSITÉ

25mm2 124 A 95 mm2 275A

50mm2 180 A 150 mm2 355 A

70mm2 225 A 240 mm2 480 A

2-ENTERRES

SECTION INTENSITÉ SECTION INTENSITÉ

25 mm2 156 A 95 mm2 395 A

50 mm2 230 A 150 mm2 450 A

70 mm2 285 A 240 mm2 610 A

INTRODUCTION
I - LES FAITS
point de vue du
distributeur
d'énergie
point de vue du
client
II - LE COS Phi : UN
PEU DE THEORIE
:
qui est-il ???
une
expérience...
III - QUELQUES
VALEURS DE
COS Phi :
IV - INCONVENIENTS
D'UN MAUVAIS
COS Phi :
V - COMMENT
AMELIORER LE
COS Phi :
VI - OU INSTALLER
UNE BATTERIE
DE
CONDENSATEUR
:

INTRODUCTION :

Tout système électrique utilisant le courant alternatif met en jeu deux formes d'énergie :
l'énergie active et l'énergie réactive. Dans les processus industriels utilisant l'énergie électrique
seule l'énergie active est transformée au sein de l'outil de production en énergie mécanique,
thermique, lumineuse, etc... L'autre, l'énergie réactive sert notamment à l'alimentation des
circuits magnétiques des machines électriques (moteurs, autotransformateurs, etc...). Par
ailleurs, certains constituants des réseaux électriques de transport et de distribution
(transformateurs, lignes, etc...) consomment également dans certains cas d'exploitation de
l'énergie réactive.

I - LES FAITS :

1. Point de vue du distributeur d'énergie :

La circulation des puissances active et réactive provoque des pertes actives et des chutes de
tension dans les conducteurs. Les pertes actives réduisent le rendement global des réseaux et
les chutes de tension sont néfastes au maintien d'une bonne tension que doit le distributeur à
ses clients. Ainsi est-il donc préférable sur le plan technique de les produire le plus près
possible des lieux de consommation.

Pour la puissance active, on montre qu'il est plus économique de la produire d'une manière
centralisée et de la distribuer ensuite aux clients. Le coût du transport est bien moins élevé
que le surcoût d'une production réalisée localement.
En revanche, pour la puissance réactive, il est économiquement plus intéressant de la
produire, en tout ou partie, localement par des générateurs d'énergie réactive autonomes
comme les condensateurs par exemple. Cette pratique est appelée COMPENSATION.

2. Point de vue du client :

Comme pour le distributeur, le transport de la puissance réactive sur le réseau intérieur du


client entraîne les inconvénients suivants :

surcharge ou surdimensionnement des installations (transfo, câbles, etc...)


pertes actives plus importantes dans ces ouvrages
augmentation de la facture SONELGAZ.

II - LE COS Phi : UN PEU DE THEORIE :

1. Qui est-il :

Nous venons de voir que tous les moteurs et tous les appareils fonctionnant en courant
alternatif et comprenant un circuit magnétique absorbent deux formes d'énergie :

une énergie dite active, qui se manifeste par un travail sur l'arbre d'un moteur par exemple.
une énergie dite réactive, qui ne sert qu'à aimanter le fer du circuit magnétique.

A chacune de ces énergies correspond un courant actif (Ia), en phase avec la tension du
réseau et un courant réactif (Ir), appelé aussi courant magnétisant. Celui-ci étant déphasé de
90° en arrière par rapport au courant actif. Les deux courants actif et réactif se composent
vectoriellement pour former le courant apparent, déphasé d'un angle Phi par rapport au courant
actif. Ce courant dit apparent est cependant bien réel, puisque c'est celui qui parcourt les divers
conducteurs du circuit, depuis la source jusqu'au récepteur inclus, et qui provoque entre autre
l'échauffement de ces conducteurs, donc les pertes d'énergie par effet joule.

Représentation des courants par FRESNEL :


D'après la représentation ci contre et sachant
qu'en monophasé :
P = U.It.Cos Phi
Q = U.It.Sin Phi
S = U.It

Rappel :

Sin Phi = Opp/Hyp


Cos Phi = Adj/Hyp
Tg Phi = Opp/Adj
Ia = It.Cos Phi donc It = Ia/Cos Phi
Ir = It.Sin Phi donc It = Ir/Sin Phi

Nous pouvons donc écrire :

P = U.Ia
Q = U.Ir
S = U.It

De cela nous pouvons donc voir qu'il est très simple de retranscrire le diagramme des courants
donné précedemment par le diagramme suivant :

Du facteur de puissance à la puissance réactive...


Remarque :

Les équations ci contre donneraient


les mêmes résultats si nous étions
en triphasé.

LE FACTEUR DE PUISSANCE EST


LA PROPORTION DE PUISSANCE
ACTIVE DANS LA PUISSANCE
APPARENTE.

Nous pourrons donc dire, et puisque


le facteur de puissance est égal au
rapport de la puissance active par la
puissance apparente que :

le facteur de puissance est égal


au Cosinus Phi.
le Cosinus Phi = P/S ou Ia/It
P < S donc 0 < Cosinus Phi < 1.
It sera d'autant plus grand que le
Cosinus Phi sera petit...

1. Une expérience mettant en évidence l'incidence d'une variation de Cos Phi :


Considérons deux appareils électriques fréquemment employés, fonctionnant en monophasé
sous la tension de 220V alternatif :

Un four électrique à résistances


Un moteur monophasé dont le rendement sera égal à 1.
Une expérience... :-))
A puissance utile égale nous
pouvons voir que :
I moteur > I résistances
Smoteur > Srésistances

Ainsi pour une puissance active


identique (P=8800W), le moteur
appelle sur le réseau une
puissance apparente (S = U.I =
220.50 = 11000VA) supérieure à
celle qui est appelée par le four (S
= U.I = 220.40 = 8800VA). Cela est
dû au fait que pour disposer de
8800W de puissance active
(moteur), il faut aimanter le circuit
magnétique de ce dernier et donc
consommer de l'énergie
REACTIVE.

Calculons le Cosinus Phi dans


chaque cas :

résistances : Cos Phi = P/S =


8800/8800 = 1
moteur : Cos Phi = P/S =
8800/11000 = 0,8

III - QUELQUESVALEURS DE COS Phi :

APPAREIL Cos Phi Tg Phi OBSERVATIONS


Moteurs asynchrones 0% 0,17 5,8
ordinaires chargés à : 25% 0,55 1,52
50% 0,73 0,94
75% 0,8 0,75
100% 0,85 0,62
Lampes à incandescence 1 0
Lampes à fluorescence 0,5 1,73 Ces lampes sont généralement
compensées. Le FP est alors
satisfaisant.
Lampes à fluorescence compensées 0,93 0,39
Fours à résistances 1 0 Sauf si le réglage est assuré par
gradateur à thyristors
Fours à induction 0,85 0,62 Cette valeur suppose une
compensation par condensateurs
prévue par le constructeur.
Machines à souder à résistances 0,8 à 0,9 0,75 à
0,48
Postes statiques monophasés de 0,5 1,73 Sauf si la compensation à été prévue
soudage à l'arc par le constructeur.
Chaudières à thermoplongeurs 1 0 Sauf si la régulation est assurée par
des thyristors fonctionnant à angle de
phase; les thyristors à trains d'onde ne
modifiant pas le facteur de puissance.

IV - INCONVENIENTS D'UN MAUVAIS COS Phi :

Comme nous venons de le voir précedement, pour une même puissance utile fournie par un
appareil électrique, il faut transporter dans tous les circuits électriques une intensité d'autant
plus grande que le Cos Phi est faible, cela entraîne :

Une augmentation du montant de la facture SONELGAZ.(une consommation excessive


d'énergie réactive peut également entraîner une majoration sous forme de pénalité du
montant de votre facture SONELGAZ : difficulté qu'a SONELGAZ à prévoir la quantité
d'énergie à produire).
Une surcharge ou un surdimensionnement de l'installation. En effet, si le Cos Phi diminue, It
(courant réellement transporté) augmente, or, les facteurs qui limitent la puissance maximale
que peut transmettre une ligne sont, d'une part la chute de tension (fonction de I), d'autre part
la température maximale admissible par l'isolant : à peu près 70° pour du PVC (fonction de I²)

Ce qu'il faut retenir :

Un mauvais Cosinus Phi :

accroît les chutes de tension dans les câbles,


augmente les pertes par effet joule lors du transport de l'énergie électrique
entraîne une surfacturation SONELGAZ par une surconsommation ou une pénalité
dégrade la capacité de transport de l'énergie électrique par des câbles
entraîne un surdimensionnement des installations neuves : câbles (section), transfo (S), etc...
entraîne des renforcements prématurés des installations existantes
Ne laisse pas de réserve de marche au secondaire du transformateur

V - COMMENT AMELIORER LE COS Phi :

L'amélioration du Cosinus Phi doit passer par l'installation d'un moyen de compensation qui
constitue la solution la plus efficace : très généralement une ou plusieurs batteries de
condensateurs (Véritable générateur d'énergie réactive : I en avance de 90° sur U réseau)

Rappel : Q = P.Tg (Phi)

Soit un appareil ou groupe d'appareils appelant une puissance active P (en Kw) et une
puissance réactive (en KVAR). On souhaite réduire la Tg(Phi) à une valeur plus faible Tg(Phi').

Puissance réactive des condensateurs à installer :


Q = P.Tg(Phi) et Q' = P.Tg(Phi')

La puissance du ou des condensateurs à


installer sera égale à : Qb = P(Tg(Phi) -
Tg(Phi')) = Q - Q'

Dans l'exemple précité : Qb = 30(0,75-


0,31) = 13,2 KVAR

NOTA : la valeur du Cos Phi ou Tg


Phi évoluant avec le temps il convient
d'utiliser les valeurs moyennes de ces
derniers pour l'utilisation de la formule
précédente "Qb = P (Tg(Phi)-Tg(Phi'))"

Calcul de la capacité des condensateurs à installer :

La quantité d'énergie réactive fournie par un condensateur est Qc = U².C.w

avec :

U = tension aux bornes du condensateur


C = capacité du condensateur
w = 2.PI.f = pulsation du réseau d'alimentation

Si nous avons un couplage triangle alors 3 condensateurs :

=> Quantité d'énergie réactive à apporter par condensateur : Qb / 3 d'où Qc = Qb / 3 ce qui


nous donne :

C = (Pabs(Tg(Phi)-Tg(Phi'))/(3.U².w)

Si nous prenons les valeurs de l'exemple précédent et que le réseau d'alimentation est de 3 x
400V~ alors C = 87,6 MicroFarad. Si nous avions couplé nos condensateur en étoile, nous
aurions obtenus une capacité par condensateur de C = 264,9 MicroFarad sous une tension
d'alimentation de 230V~.

Conclusion :

La capacité des condensateurs couplés en triangle est trois fois plus petite.
La tension à supporter par les condensateurs lors du couplage étoile est dans un rapport de
racine de 3.
les dimensions de la batterie de condensateurs couplés en triangle seront plus petites.

VI - OU INSTALLER UNE BATTERIE DE CONDENSATEUR :


LE TRANSFORMATEUR MT/BT

Introduction:

Le transformateur MT/BT est le maillon essentiel dans la distribution publique, il doit faire l'objet d'une
attention particulier. Il doit être protégé convenablement contre les surcharges et les court-circuits.
Pour cela , il faut connaître les intensités débitées par phase de chaque gamme de puissance.

Intensités débitées par phase par le transformateur:

les principales puissances utilisées à SONELGAZ sont les suivantes:


50- 100 - 160 - 250 - 400 - 630 (kVa)

PUISSANCE INTENSITÉ PUISSANCE INTENSITÉ

50 kVa 72 A 250 kVa 363 A

100 kVa 144 A 400 kVa 577 A

160 kVa 232 A 630 kVa 914 A

Il est donc nécessaire d'adapter les protections BT à l'intensité nominale débitée par le transformateur.

Coefficient d'utilisation du transformateur:

k = (I moy*100)/In Imoy = (I1+I2+I3) / 3

Pour un meilleur rendement du transformateur, la charge doit être comprise entre 50 et 80%
de la puissance nominale.
Exemple:

(Sn = 100 kVa In = 144 A) I1 = 160 A , I2 = 170 A , I3 = 165 A

I moy = (160+170+165)/3 =165 A

K = (165*100)/144 = 114.58 %

Le transformateur est sur utilisé, une augmentation de puissance est impérative, dans ce cas il doit
être
remplacé par un 160 kva.

NB: Ne jamais utiliser les fusibles BT de classe AM pour la protection des


transformateurs car ils ne répondent que pour les court-circuits et ne répondent pas lors des
surcharges prolongées. Il faut toujours utiliser les fusibles BT de classe gl.

Mode de refroidissement:

les différents modes de refroidissement utilisés dans les transformateurs sont repérés par les
symboles du tableau ci-dessous.

Nature de l'agent de
Symbole
refroidissement
huile minérale O
askarel L
gaz G
eau W
air A
isolant solide S

Nature de la circulation Symbole


naturelle N
forcée F
forcée et dirigée dans les
D
enroulements

Exemple de désignations :

-Transformateur immergé dans l'huile minérale à circulation naturelle: ONAN

Diagrammes vectoriels et couplages usuels des enroulements:

Les enroulements de phase d'un transformateur triphasé peuvent etre connectés de trois facons
différentes:

- en triangle , en étoile , en zigzag , qui sont respectivement repérés par les lettres D ou d, Y ou y, Z ou
z.
Lorsque le point neutre est sorti (étoile ou zigzag), il est signalé par les lettres N ou n

Le diagramme vectoriel met en évidence le déphasage entre les enroulements haute et basse tension. Ce
déphasage est conventionnellement exprimé par l'indice horaire.

Le vecteur origine positionné en O est celui qui correspond à la haute tension.

Exemple: couplage Yzn11 , étoile zigzag neutre sorti déphasage entre primaire et secondaire 330°

Fonctionnement en parallèle de transformateurs.

Pour connecter directement bornes à bornes plusieurs transformateurs, il faut que:

- Leurs rapports de transformation soient identiques,

-Les tensions de court-circuit à courant nominal soient égales,

- Les couplages soient compatibles, c'est à dire que leurs indices horaires soient identiques ou qu'ils
appartiennent à l'un des quatre groupes suivants:

groupe I: indices horaires 0, 4 et 8

groupe II : indices horaires 6, 10 et 2

groupe III : indices horaires 1 et 5

groupe IV : indices horaires 7 et 11

NIDS DE CIGOGNE SUR R/HTA AÉRIEN


Problèmes causes par les nids de cigogne
La présence de nids de cigogne, présente un problème crucial
Pour la continuité de service sur les lignes aériennes HT A
Nid de cigogne sur R/HTA
En présence d’humidité, les branches qui composent le nid
De cigogne amorcent lorsqu’ils touchent les conducteurs
Ce qui engendre des ouvertures intempestives des départs
HTA, ce qui se engendre une mauvaise qualité de service
En plus ,les oiseaux en général subissent une électrocution,
Sachant que la cigogne est une espèce protégée, il fallait
Faire quelque chose. une initiative a été lancée par le district d'AKBOU pour
remédier au problème.
Ce qu’il ne faut pas faire
 Ne jamais déposer un nid de cigogne car il
s’empresse de le remettre presque
immédiatement, et le risque d’amorçage
augmente lors de la première phase de
construction du nid.
Nid sur TR 66 AMALOU

LA SOLUTION
La solution préconisée consiste à déplacer le nid de
Cigogne dés le début de sa construction vers un autre
Support hors service ,ou créer un support spécialement
Pour le nid.
La distance entre l’origine du nid et le point vers lequel il
Va être déplace doit être la plus courte possible , elle doit
Être en général inférieur à 100m.

Nid sur départ 30kv IFRI

Dépose du nid
Préparation mise en place du nid
Levage du nid

Nid levé et mis en place

Cigognes sur le nid déplacé

Cigognes sur leur nouvel habitat

SUR ISOLEMENT
Lorsque le nid est placé sur un support poste,
On peut envisager de sur-isoler le conducteur du milieu
Grâce à des rallonges ou des chaînes d’éléments.

Conclusion: cette méthode a donné de très bon résultats


Sommaire

Das könnte Ihnen auch gefallen