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Thème VII

Agressions physiques

EFFETS BIOLOGIQUES DES


RAYONNEMENTS
IONISANTS
INTRODUCTION
Les rayonnements ionisants (RX ou R) largement
utilisés en médecine à des fins diagnostiques et
thérapeutiques ont des effets de nuisance.

L’OBJECTIF DE CE COURS est de:

- Connaître ces effets précoces et tardifs sur les cellules, les


tissus, les organes ainsi que sur l’organisme humain.

- Prévoir les effets des R.I. sur l'embryon afin de conseiller une
femme dont la grossesse est méconnue exposée à un
rayonnement ionisant.

- Préciser les normes de radioprotection afin de réduire au


maximum les effets induits par ces rayonnements (personnel,
patient et environnement) .
RAPPEL
INTERACTION DES RI AVEC LA MATIERE

RAYONNEMENT
Particulaire Electromagnétique
(, et neutrons) (X,)

MATIÈRE: VIVANTE OU INERTE


À l’échelle moléculaire

IONISATIONS EXCITATIONS
QUANTIFICATION DES DOSES: Grandeurs Et Unités

Dose absorbée

L’unité dans le SI est le Joule par Kg ou le Gray (Gy) .

Dose équivalente HT= D . WR

Dose efficace E=  HT . WT
L’unité dans le SI de l’équivalent de dose est le Sievert ( Sv )
dQ
Exposition X=
dm
Dans le SI, l’exposition s’exprime en Coulomb par Kg (C/Kg)
EFFETS MOLECULAIRES
(direct et indirect)
Effet direct

L’ionisation survient au niveau des molécules


constituant la cellule telles que:

• les protéines,

• les enzymes du cytoplasme,

• le noyau

• et le matériel génétique.
Effet direct

• Sous l’action d’un rayonnement, une molécule M


subit une ionisation ou une excitation.

• L’état excité dure 10-13 s et le retour à l’état


fondamental de la molécule M* se fait:

- Soit par émission de photons (de fluorescence)


M*M + h

- Soit par rupture d’une liaison covalente de M et


scission de la molécule en deux
Effet direct
R1°

R1-

R2°
R2+ R1-R2

IONISATION
FORMATION DE RADICAUX LIBRES

• Cette coupure de liaison covalente (formée par une paire d’e-)


n’est pas une réaction d’ionisation.
• Lorsque la liaison est rompue, chaque fraction emporte un e-.
• La fraction emportant un e- libre est appelée radical libre (R°)
très instable.
Effet indirect – Radiolyse de l’eau

Peut se faire soit par excitation soit par ionisation

h
Excitation: H2O  H2O*  HO0 + H0 ( radicaux libres)
H+
Ionisation: H2O  e- + H2O +
+ HO0
H2O
H2 O
e
-
+ -
-
OH + H 0
Effet indirect – Radiolyse de l’eau

En résumé, la radiolyse de l’eau produit:

• des radicaux libres: HO0 - H0


• des e- solvatés très réducteurs

Ces radicaux libres très


réactifs formés vont se H°+ HO°  H2O
recombiner entre eux ou
réagir avec d’autres H0 +H0  H2
molécules donnant des
peroxydes (H2O2, R-O-O-H)
HO0 + HO0  H2O2
très oxydants et très puissants
LESIONS
AU NIVEAU CELLULAIRE
Rappel

Membrane
cytoplasmique

Noyau
Cytoplasme
ADN
Protéines
mitochondries

Les effets des RI s’exercent sur les différents constituants


mais ne revêtent pas la même importance.
Lésions cytoplasmiques

Lésions protéiques

• Essentiellement dues aux radicaux hydroxylés.


• Importance réduite, car les protéines lésées sont
d’importance réduite.

Les mitochondries

• Rôle dans la réparation cellulaire .


• Riches en ADN maternel.
Lésions membranaires

• Phénomène de base: péroxydation des AG (cassures)

• provoque des altérations des structures membranaires


(récepteurs membranaires) phénomène inflammatoire

• Doses nécessaires↑ ↑ ↑.
Lésions nucléaires

L’ADN+++

Cible critique des rayonnements pour:


•Sa sensibilité
•Son importance dans la vie cellulaire.

Pour un même effet: dose nécessaire 100 fois +faible


au niveau du noyau qu’aux membranes.
ADN: Lésions

• Cassures simples+++

• Lésions double brin

• Altération des bases+++

• Dommage des sucres

• Liaison avec les protéines

• Pontages ADN-ADN
ADN: REPARATION
• Eliminer les lésions
• Reconstituer la structure de l’ADN

Reconstitution de l’ADN

intégrale viable mais modifié

réparation fidèle réparation fautive


EFFETS CHROMOSOMIQUES
• délétions

• échanges interchromosomiques

• échanges intrachromosomiques

Anomalies instables Anomalies stables

mutations abortives n’empêchent pas la mitose


CONSEQUENCES CELLULAIRES
Modifications létales de l’ADN mort cellulaire

Modifications viables de l’ADN mutations


cancérisations

La gravité des lésions varie selon la dose reçue par la ¢


et la nature de la ¢ irradiée.
On distingue :

1. Mort cellulaire: nécrose cellulaire qui peut revêtir 2 aspects:

a/ La mort immédiate :

• irradiation importante+++
• ¢ radiosensibles+++ (ex: lymphoblaste recevant 8 Gy ).
• temps de latence court de 20 à 30 mn,
• fragmentation du noyau
• cytoplasme lésé se liquéfie.
• débris cellulaires phagocytés disparaissent dans un temps de
quelques heures à quelques jours.
b/ La mort différée :

• perte irréversible de la capacité de prolifération ¢aire


• qq Gy
• temps de latence plus long
• pourtour cellulaire reste visible et la texture générale du tissu
est conservé.
• Mais à l'examen, il s'agit d'un tissu mort
• avec pycnose des noyaux et anomalies de la membrane
aspect coagulé d'où le nom de nécrose de coagulation
• Les ¢ atteintes sont éliminées lentement ce qui retarde la
cicatrisation de la lésion.
• Mort d’organe quand un nombre suffisant de ¢ est atteint
ACTION DES RAYONNEMENTS
IONISANTS SUR UNE
POPULATION BIOLOGIQUE
MORT CELLULAIRE
Dans une population ¢aire irradiée, la proportion S (survie)
de ¢ survivantes:

S=N = Nombre de ¢ survivantes après irradiation .100


No Nombre de ¢ initiales

Etant donné que la survie peut varier en fonction de la dose absorbée,


de 1 à des valeurs très faibles, on représente graphiquement la variation
de S selon une échelle semi-logarithmique
COURBES DE SURVIE – NOTION DE MODELES

Modèle à cible létale: courbe de survie exponentielle


(cible touchée mort cellulaire)

Modèle par accumulation de 2 cibles sublétales:


courbe de survie avec épaulement
(atteinte en 2 temps d’une cible sublétale mort
cellulaire

Modèle linéaire quadratique: un des 2 mécanismes


précédents mort cellulaire
Les principaux courbes de survie:notion de modèle
• les courbes de survie exponentielles
• les courbes de survie avec épaulement

1. Courbes de survie exponentielle: ¢ hématopoïétiques, TLE élevé

:probabilité d’atteinte d’une cible létale par unité de dose absorbée

S= N/N0= e-D/D0= e -D

Dose absorbée/Gy 5
1

Log S

10-3
DOSE LETALE DL50/30

On définit la dose LETHALE DL 50/30 : la dose qui entraîne la


mort de 50% des ¢ survivantes après 30 jours.

D0
Dose absorbée pour avoir 37% de survie cellulaire.
Est d’autant plus élevé que les ¢ sont radiorésistantes.
D0 dose
37%

-logS
2. Courbes de survie avec épaulement: la plupart des ¢ des mammifères
Mort ¢aire par atteinte en 2 temps d’une cible sublétale

Dose absorbée/Gy 5
1

Log S
S= N/N0= e-D2

:probabilité d’atteinte d’une cible sublétale par unité de dose absorbée

Pente initiale: existence de lésions non réparables


Épaulement:progressive de la capacité de réparation
Partie distale:mort cellulairepour chaque évènement
Modèle quadratique linéaire

Mort ¢aire

Dose absorbée/Gy 5
1
e- D
S
S Modèle linéaire quadratique

S= N/N0= e-( D+D2)


FACTEURS INFLUENÇANT
LA
SENSIBILITE CELLULAIRE
Type cellulaire

Plus une cellule est:


•Jeune
•Peu différenciée
•À forte activité mitotique
Plus elle est radiosensible

¢ très radiosensibles: ¢ radiorésistantes:

¢ pluripotentes médullaires Fibroblastes


spermatogonies endothélium
Fractionnement de doses

• est moins efficace que la dose unique


• favorise la réparation des lésions sublétale
• l'effet de la 2ème dose dépend de la 1ère dose et de
l'intervalle de temps entre les 2 irradiations.

Permet en radiothérapie moins de complications chroniques


pour une efficacité identique au niveau des cellules cancéreuses

Débit de dose
Les doses sont d’autant moins efficaces que le débit est faible
ype de rayonnement,efficacité biologique relative

Une même dose absorbée entraîne des dégâts biologiques


(mort ¢aire) plus importants quand TLE élevée

L’EBR = dose absorbée du rayonnement de référence qui


produit un effet biologique déterminé/dose absorbée d’un
rayonnement m qui produit le même effet biologique.

Plus le TLE ↑↑ plus l’EBR ↑↑ EBR= D0/Dm

Effet oxygène
La radiosensibilité diminue fortement si PO2 est très faible
CONSEQUENCES
AU NIVEAU
DES ORGANES
Tissus Hématopoïétique
• désertification rapide de la moelle
• Pancytopénie vers 20j
•Anémie s’installe en 20 à 30j
• Lymphocytes meurent rapidement (48h)

Intestin
• Epithélium duodéno-jéjunal radio-sensible +++
•¢ des glandes de Lieberkühn sont plus sensibles que les ¢
des villosités.
•Les radiolésions intestinales aiguës revêtent une
particulière gravité: ulcérations (>10Gy)-destruction
tissulaire- perforation, cause de mort rapide.
•A moyen terme: fibroses sous muqueuses et sténose
Epiderme (tissu de radio sensibilité moyenne)

Radiodermites:

• Epilation : 5 Gy
• Erythème: de 5 à 12 Gy : survient 10 à 28 jours après irradiation
• La desquamation sèche : de 12 à 14 Gy
• Epidermite exsudative : de 15 à 20 Gy
• nécrose : doses >> 20 Gy

Radiodermite chronique :

• sujets professionnellement exposés à des faibles doses répétées de R.I.


• lésions des doigts et la main (peau sèche et irradiée, chute des ongles
et parfois ulcération).
• Cancer des radiologistes : le temps de latence très long : 5 à 15 ans.
Tissu Séminifère

•  des spermatogonies vers 50j pour la plupart des doses


• Si dose de 4Gy plus précoce et définitive

Cristallin

Cataracte radioinduite vers 6 mois à 2 ans et postérieure


EFFETS DES RI SUR L’HOMME
LES DIFFERENTS MODES D’IRRADIATION

Danger relatif   X n

Exposition externe 0 0() +++ +++


(radiothérapie)

Contamination externe 0 +++ +++


(poussières, aérosols)

Contamination interne +++ ++ ++


(aérosols, alimentation)
Effets déterministes Effets stochastiques
obligatoires tardifs
Mort immédiate Anomalies
viables
-K
- descendance

Mort différée Retard de mitose


Effets non stochastiques ou déterministe

Définition:

Ce sont des effets obligatoires qui se produisent chez toute personne


à partir d’une dose déterminée appelée « dose seuil ».

Caractéristiques:

• Effets à seuil
• Apparition dans un délai rapproché après l’irradiation (qq mn à qq
semaines) et à forte dose
• La gravité est fonction de la dose reçue
• Réversibilité plus ou moins bonne selon l’importance des lésions
Description des principaux syndromes:
Syndrome d’irradiation aigue: exposition à une dose de 3,5 Gy
( = 350 rads = DL 50/30)

a/ Choc initial: qq h après l'irradiation pendant 1 à 2 j.

b/ période de latence sans symptômes, pendant 3 à 7 j.

c/ Rechute: troubles digestifs intenses avec vomissement


et diarrhées sanglantes déshydratation  perforation intestinale

d/ œdème avec ulcération et inflammation secondaire du


larynx et du pharynx.

e/ syndrome hémorragique généralisé

f/ chute des cheveux.


Syndrome hématologique:

• Effondrement de toutes les lignées globulaires.

• Traitement : transfusion du plasma, antibiotiques,


vitamines, cortisol…
Effets stochastiques

Définition:

Effets qui apparaissent de façon aléatoire même à faible dose

Caractéristiques:

• Pas de seuil
• existence d'effets tardifs
• probabilité d’apparition augmente avec la dose
• gravité de la réponse est indépendante de la dose reçue.
Effets stochastiques

Nature des affections:

• cancers et leucémies

• Maladies héréditaires

relation linéaire entre la dose cumulée d’irradiation et la


probabilité d’apparition de ces effets.
TABLEAU RECAPITULATIF DES EFFETS DES R.I EN
FONCTION DE LA DOSE ABSORBEE

DOSES IRRADIATION TOTALE IRRADIATION LOCALE


100 Gy Mort certaine immédiate dans un dose en radiothérapie
10.000 rads tableau neurologique 30 à 80 Gy
5 à 20 Gy mort par atteinte gastro intestinale stérilisation transitoire d'un testicule
500 à 2000 rads
3,5 Gy Dl 50 pour l'homme Radiothérapie anti-inflammatoire
350 rads (DL 50 Cogaye : 20 Gy)
1à 5 Gy mort probable par atteinte stérilisation définitive d'un ovaire :
100 à 500 rads hémapoëtique (traitement possible castration radiothérapique
par greffe de moelle)
0,3 à 0,8 Gy pas d'effet immédiat gonade : double la fréquence des
30 à 80 rads malformations spontanées
0,1 Gy pas d'effet immédiat fœtus : discuter l'interruption de la
10 rads grossesse.
0,05 Gy - 5 rads dose maximale admissible 1 à 3 rads : dose reçue au cours des
(en fait 5 Rem) pour les travailleurs examens digestifs ou urinaires, transit,
professionnellement exposés UIV, tomographie du rachis,
tomodensitométrie.
10-3 Gy - 0,1 rads rayonnement naturel pas d'effet
radiodiagnostic (1 à2 clichés)
10-4 Gy - 0,01 rads dose gonade au cours d'une pas d'effet
radiographie pulmonaire
ADN2
GROSSESSE ET RI
Le risque fœtal ou embryonnaire induit par une
irradiation in utero dépend de:

• l’âge gestationnel au moment de l’irradiation.

• la dose reçue.

• Nature de l’organe irradié


AGE GESTATIONNEL AU MOMENT
DE L’IRRADIATION

Trois périodes de la vie intra-utérine sont à distinguer :

• La pré-implantation : loi du «tout ou rien » 

• L’organogenèse : risques d’anomalies graves +++

• La période fœtale : les effets diminuent au fur à


mesure que la grossesse évolue vers le terme.
DOSE REÇUE

La gravité et la fréquence d’une anomalie varient


avec la dose reçue.

Interruption thérapeutique de la grossesse à partir de


200mGy
NATURE DU TISSU IRRADIE

Système nerveux++++
• microcéphalie: la plus fréquemment observée

• retard mental

Néanmoins, le risque d’effet malformatif paraît être faible et


c’est plutôt une déficience du développement psychomoteur qui
est le plus souvent notée.
RECOMMANDATIONS

Bonne sensibilisation des professionnels de la santé en


particulier et du public en général +++

A - Proscrire toute exposition inutile chez une femme en


âge de procréer, en ayant un entretien avec la patiente, tout
en précisant la date des dernières règles.

B - Limiter toute irradiation d’une grossesse diagnostiquée.


Dans le cas de force majeure, prendre les précautions
nécessaires pour réduire la dose et ne pas englober si c’est
possible, le contenu utérin dans le faisceau direct.
RECOMMANDATIONS

C - Proposer pour une femme enceinte dont la grossesse


est méconnue et exposée aux rayons X :

 poursuite de la grossesse si examen est sus-diaphragmatique et


dose estimée <200mGy
 Discuter cas par cas si > 200mGy

.
NORMES DE
RADIOPROTECTION
Norme pour personnes professionnellement
exposées est de : 20 mSv/an moyennés sur 5
ans et ne pas dépasser 50mSv/an

Norme pour public est de : 1 mSv/an


PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT.
EXEMPLE: GESTION DES DÉCHETS
RADIOACTIFS HOSPITALIERS

Ils sont de trois types :

• sous forme solide: flacons, seringues, cotons, etc.

• liquides : urines des patients radioactifs, résidus de laboratoire et


de décontamination.

• gazeux: iode 131 volatil

Avant évacuation finale tous ces déchets doivent être contrôlés


selon les normes.
Tout sac destiné aux ordures urbaines ou à la filière
hospitalière doit être obligatoirement contrôlé.

Moyens de détection:

- le Geiger Muller: détecter des  de moyenne énergie, les x et 

- le détecteur à scintillations: détection de x et  de faible ou moyenne


énergie.
En curiethérapie métabolique :
• La contamination des déchets provenant des chambres est due au
patient lui-même (salive, sueur, air respiré, urines, etc...).

• Les chambres possèdent normalement des WC à deux


compartiments : un réuni de façon traditionnelle à l’égout pour les
fèces, l’autre réuni à des cuves pour recueillir les urines.

• Chaque cuve remplie attend une durée de dix mois environ avant
d’être vidée à l’égout. Le stockage permet une décroissance telle que
l’atténuation sera de l’ordre de 1012, c’est-à-dire, de passer du Curie
au pico Curie (1picoCurie = 10 –12 Curie).

La Norme est telle que : L’activité volumique doit être < 7 Bq / l


TESTS D’EVALUATION
Test n° 1 : Le ²²²Rn (gaz) est un émetteur alpha dont l'énergie est
de 5,5 Mev ; le 99mTc (en solution) est émetteur  pur dont l'énergie
est de 140 Kev.

Quelle est (à activités égales) des 2 sources radioactives celle qui


détermine l'irradiation la plus grave.
a/ par irradiation externe
b/ après injection ou inhalation

Réponse:
a/ gamma
b/ alpha
Test n° 2 : Le ²²²Rn est un émetteur alpha dont l'énergie est 5,49
Mev, le 32P est émetteur bêta moins dont l'énergie maximale est
de 1,7 Mev.

1) A activités égales, quelle est des deux sources radioactives celle


qui détermine l'irradiation la plus grave :
a/ par irradiation externe
b/ après injection ou inhalation

2) Quelle est, des deux sources, celle qui vous semble la plus indiquée
pour détruire une tumeur cutanée localisée (type angiome).

Réponse:
1) a/ phosphore32
b/ Rn

2) Béta
Test n° 5 : Une dose absorbée de 4 Gy a-t-elle les mêmes effets
biologiques dans le cas d'une irradiation externe accidentelle par
une source de cobalt :
a/ au niveau de la main
b/ au niveau de l'organisme entier

Réponse: Non
Organisme entier >>>Main
Test n° 10 : 1/ Définition de doses Do, DL 50/30

Réponse:

On définit la dose LETHALE DL 50/30 : la dose qui entraîne la


mort de 50% des ¢ survivantes après 30 jours.

D0 Dose absorbée pour avoir 37% de survie cellulaire.


Est d’autant plus élevé que les ¢ sont radiorésistantes.
Test n° 11 : Associer les valeurs des Doses reçues par un adulte en
irradiation totale à leurs effets :

A : 15 Gy B : 3,5 Gy C : 0,05 Gy D : 100 Gy E : 55 Gy

1 - mort probable par atteinte hématopoïétique


2 - mort probable par atteinte gastro-intestinale
3 - mort certaine par atteinte neurologique
4 - mort probable par atteinte neurologique
5 - dose maximale admissible pour les travailleurs sous
rayonnements.

Réponses:
1: B
2:A
3:D
4:E
5:C
Test n° 12 : Préciser les paramètres dont dépend la
conduite à tenir face à une femme enceinte qui vient de
subir un examen radiologique et qui désire poursuivre sa
grossesse.

Réponse:
•Age de la grossesse au moment de l’irradiation
•Dose reçue par le contenu utérin

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