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La newsletter pour décideurs
[ 9 DÉCEMBRE 2010 – N° 40 ]

Stop à la protection disparate des


consommateurs en Europe
surréglementation, car il ne peut pas profiter chandises et services aux consommateurs sur
des offres étrangères concurrentes qui lui per- le marché intérieur, sans entraves juridiques
mettraient de bénéficier d’un choix plus éten- inutiles. La nouveauté de cette proposition de
du et de prix plus bas. De nombreux directive est qu’elle renonce au principe de
consommateurs se plaignent de ne pas pou- l'harmonisation minimum pour appliquer
voir profiter pleinement du marché intérieur. désormais celui de l’harmonisation complète.
Cela ébranle leur confiance dans le commerce
transfrontalier.
L’harmonisation complète est la
Selon la Commission européenne, 61% des Le gain d’efficacité d’un régime européen
meilleure manière d’accroître la
commandes transfrontalières dans le commer- unique de protection des consommateurs
confiance des consommateurs
ce électronique ne se feraient pas, parce que serait pourtant énorme. À condition que la
le commerçant ne serait pas disposé à livrer liberté, la sécurité et l’équité soient garanties
et la volonté des entreprises
dans le pays du consommateur. En effet, de tant pour l’entreprise que pour le consomma-
d’opérer au-delà des frontières.
nombreuses entreprises – principalement des teur. Et à condition que les États membres ne
PME – refusent souvent des transactions puissent ajouter des exigences complémen- Cela signifie que, dans le domaine couvert par
transfrontalières parce qu’elles ne veulent pas taires à ce régime européen, au risque de faire la directive, les États membres ne peuvent
être confrontées à l’insécurité juridique et aux échouer ce plan. maintenir ou introduire des dispositions qui y
coûts juridiques élevés engendrés par le res- La Commission européenne a déposé une pro- dérogent.
pect des droits étrangers des consommateurs. position de directive relative aux droits des La FEB est favorable au principe de l’harmoni-
La raison essentielle de cette réticence des consommateurs dans ce sens. Elle vise à sation complète. C’est la meilleure manière de
entreprises réside dans la disparité de la regrouper quatre directives réglant chacune un lever les obstacles au marché intérieur, d’ac-
réglementation relative à la protection des aspect essentiel du droit des consommateurs croître la confiance des consommateurs et la
consommateurs. Les États membres ont ajou- concernant les contrats conclus à distance ou volonté des entreprises d’opérer au-delà des
té aux nombreuses directives européennes des en dehors d’un espace de vente, les clauses frontières. La FEB demande donc instamment
règles nationales, souvent plus sévères encore, abusives et la vente de biens de consomma- à la présidence belge de ne pas toucher à ce
obligeant les entreprises à s’informer et à tion. principe dans les négociations en cours au
s’adapter chaque fois aux prescriptions natio- La proposition poursuit un double objectif, à sein du Conseil. Il faut à tout prix éviter une
nales en matière d’obligations d’information, savoir assurer, d’une part, que les consomma- ‘nationalisation’ de la directive. De plus, cette
de temps de réflexion, de délais de garantie, teurs des 27 États membres de l’UE puissent directive doit rester praticable et répondre aux
de possibilités de remboursement ou de répa- avoir confiance dans un niveau élevé de pro- besoins et à la réalité du marché intérieur.
ration et de clauses abusives. tection et, d’autre part, que les entreprises, PHILIPPE LAMBRECHT,

Le consommateur fait aussi les frais de cette petites et grandes, puissent vendre leurs mar- ADMINISTRATEUR-SECRÉTAIRE GÉNÉRAL

À ÉPINGLER LE CHIFFRE DE LA SEMAINE


> BUSINESSEUROPE> Un Conseil des présidents très
Encore un effort !

2,2
réussi à Bruxelles !
Selon les dernières prévisions de la Banque nationale
SURVEILLANCE DU MARCHÉ > Le rôle de l’Inspection
de Belgique, il faudrait encore réaliser en 2011 un
économique
effort de 2,2 milliards EUR pour atteindre l’objectif
INVESTISSEMENTS VERTS > La FEB, Agoria et Febelfin milliards EUR budgétaire de -4,1% du PIB : 700 millions EUR sont
unissent leurs efforts imputés aux autorités fédérales, alors que les 1,5
milliard EUR restants sont à charge des Régions et des autorités locales.
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959 www.feb.be > publications > chiffres et faits
[ INFOR FEB 40 — 9 DÉCEMBRE 2010 ]

> SURVEILLANCE DU MARCHÉ très large : transparence des prix, crédit à la > INVESTISSEMENTS VERTS
consommation, contrefaçon, arnaques à la
Le rôle de l’Inspection consommation, conditions d’accès à la profes- La FEB, Agoria et
économique sion, publicité mensongère, repos hebdoma- Febelfin unissent leurs
daire, etc.
Toutes les entreprises, quelle que soit leur L’Inspection économique ne se croise pas vrai-
efforts
taille, sont susceptibles d’être un jour ou ment les bras : l'année dernière, elle a dressé Tandis que les experts et responsables poli-
l’autre confrontées à l’Inspection économique. près de 7.000 procès-verbaux et avertisse- tiques négocient à Cancún un nouvel accord cli-
La Direction générale Contrôle et médiation ments. Elle agit en quelque sorte comme une matique international, Agoria, la fédération de
(c’est son nom officiel) relève du SPF Écono- 'police économique'. Ses agents disposent de l’industrie technologique, et Febelfin, la fédé-
mie. Elle a pour mission de protéger les droits pouvoirs d’investigations étendus, sous la sur- ration belge du secteur financier, ont organisé
des consommateurs et des entreprises par l’in- veillance des procureurs généraux. Ils peuvent une conférence de presse sur les investisse-
formation, la prévention et la répression. Elle ainsi enquêter et entendre des témoins, péné- ments verts à la FEB. À la demande de la FEB,
surveille le marché des biens et des services trer dans les propriétés durant les heures nor- ces deux fédérations ont conçu un outil qui
afin de s’assurer du respect des réglementa- males d’ouverture ou de travail, prélever des aide les banques à évaluer et à traiter plus rapi-
tions économiques. Son champ d’action est échantillons, saisir des marchandises et des dement les demandes de crédits introduites
documents, contrôler tout moyen de pour des investissements en économies d’éner-
transport… La FEB et l’Association gie ou des investissements verts. Il s’agit d’une
belge d’étude du droit de la concur- liste de référence indiquant les économies réa-
rence ont récemment invité Marc Van lisées grâce aux technologies de base en matiè-
Hende et Bruno Andries, respective- re d’efficacité énergétique. Cette initiative
ment directeur général et conseiller embraye sur les pistes initiées par la FEB il y a
général de l’Inspection économique. un an lors de son forum sur l’efficacité énergé-
Ce fut l’occasion d’apprendre à mieux tique. Thomas Leysen, président de la FEB : “Si
connaître cette institution qui, grâce nous souhaitons figurer au nombre des écono-
à ses missions de contrôle du respect mies les plus performantes sur le plan énergé-
de la législation économique, contri- tique en 2030, il importe que nous rattrapions
bue au bon fonctionnement du d'urgence notre retard en la matière. Le frein à
marché. cet égard pour nos entreprises ne réside pas
Charles Gheur – cg@vbo-feb.be tant dans la motivation ou l'expertise, mais bien >

ACTION FEB

> Forum For the Future le thème ‘Smart Regulation & Smart
La 2e édition du Forum For the Future, qui Communication’. Des experts internationaux
s’est tenue à Tour et Taxi le 1er décembre, a ont expliqué de manière interactive comment
réuni plus de 2.250 participants. La FEB y a améliorer et simplifier dans la pratique la com-
activement participé dans le cadre de la séan- munication relative à une réglementation sou-
ce de clôture organisée sous la forme d’un dia- vent complexe. La FEB espère que cette
De g. à dr. : Leupold Henning (Policy Analyst,
logue entre les professions économiques et le conférence contribuera à une meilleure com- Commission européenne), Sven Völcker (WilmerHale),
Andrea Lofaro (RBB Economics).
monde des entreprises. Après une première munication de la réglementation à tous les
niveaux politiques. pratique de ce cadre réglementaire, la Brussels
partie dédiée à une réflexion critique sur les
Stefaan Verhamme – sv@vbo-feb.be School of Competition s’est adjoint les services
atouts fiscaux de la Belgique, la session s’est
de deux praticiens confirmés, Sven Völcker
terminée par un débat fructueux sur de futures
collaborations entre les représentants des pro- > Vers une coopération sans (avocat, WilmerHale) et Andrea Lofaro (RBB

fessions économiques (de l'IPCF, l'IEC et risque entre entreprises ? Economics). Les participants à ce module
Dans l’élaboration d’une stratégie commercia- consacré aux accords horizontaux ont ainsi
l'IRE), d’une part, et les représentants de
le, les entreprises mettent souvent en com- appris à évaluer, sous l’angle du droit de la
l’UCM, UNIZO et de la FEB, d’autre part.
mun des ressources afin de limiter notamment concurrence, les programmes de coopération et
Jean Baeten – jb@vbo-feb.be
les coûts et les risques afférents à certaines de partenariat entre entreprises. La Brussels
activités, telles que la R&D ou la production de School of Competition offre un programme
> Une conférence sur la certains composants. complet de formation en droit et économie de
Smart Regulation En droit européen de la concurrence, on parle la concurrence. Il est également loisible de
La FEB a organisé le 6 décembre, en collabo- alors de relations horizontales. Celles-ci sont suivre un ou plusieurs module(s) séparément.
ration avec le Service Simplification adminis- régies par un certain nombre d’instruments Charles Gheur – cg@vbo-feb.be
Pierre Sabbadini – psa@vbo-feb.be
trative, le Dienst Wetsmatiging et la dont l’application peut se révéler très com-
Bertelmann Foundation, une conférence sur plexe. Afin de présenter une vision claire et www.brusselsschoolofcompetition.eu
[ INFOR FEB 40 — 9 DÉCEMBRE 2010 ]
> BUSINESSEUROPE

Un Conseil des présidents très réussi à Bruxelles !


Dans le cadre de la présidence belge de l’UE, ce fut le tour de la FEB spatiale internationale et membre de la prestigieuse Agence européen-
d’organiser, les 2 et 3 décembre derniers, le Conseil des présidents de ne spatiale, fut un orateur de choix pour cette soirée très européenne.
BUSINESSEUROPE (COPRES). Celui-ci réunit les présidents des fédé- Le lendemain, c’est dans le cadre prestigieux du Palais d’Egmont qu’eut
rations sœurs de la FEB en Europe. L’événement fut lancé le 2 lieu la réunion du COPRES sous l’égide de J. Thumann, président de
décembre avec l’organisation, à la FEB, d’un débat sur le Marché inté- BUSINESSEUROPE. La compétitivité européenne et les négociations
à la Conférence climatique de Cancún étaient au centre des discussions.
© Triptyque

Ce fut l’occasion pour le Commissaire O. Rehn, en charge des Affaires


économiques et financières, de souligner la dichotomie entre, d’une
part, une économie réelle qui se

© Triptyque
redresse et, d’autre part, des mar-
chés financiers turbulents, en
particulier celui des dettes sou-
veraines, toujours caractérisé par
une ‘nervosité aiguë’. Par ailleurs,
la FEB avait invité à la tribune du
COPRES Steven Vanackere,
L.A.R. le Prince Philippe et la Princesse Mathilde saluent (de g. à dr.) Frank De Winne, premier astronaute
Jürgen Thumann, président de BUSINESSEUROPE, Thomas Leysen,
ministre des Affaires étrangères. européen aux commandes de la
président de la FEB, et son épouse, Philippe de Buck, directeur Ce dernier mit en exergue les Station spatiale internationale, lors
général de BUSINESSEUROPE, et son épouse, et Diane Struyven, principaux succès engrangés par de son exposé très remarqué.
directeur du Département européen de la FEB.
la présidence belge, comme l’Accord de Libre Échange avec la Corée
rieur, avec le Commissaire Michel Barnier. Rudi Thomaes, administra- du Sud ou le paquet sur la supervision financière. S’agissant du brevet
teur délégué de la FEB, attira l’attention sur la double taxation des de l’Union, qui revêt une importance capitale pour l’innovation et la
dividendes, qui constitue un obstacle majeur au bon fonctionnement du compétitivité, le ministre fit observer qu’une minorité d’États membres
marché du capital à risque, tant pour les PME que pour les épargnants. bloque le dossier et que la voie de la coopération renforcée est, dès lors,
Les participants furent ensuite reçus au Palais Royal par L.A.R. le envisagée. Selon lui, la Stratégie UE 2020 a des chances d’aboutir
Prince Philippe et la Princesse Mathilde. notamment en ce qu’elle définit des objectifs précis à atteindre par les
La journée fut clôturée par un dîner de gala au Musée des Beaux-Arts, États membres, d’une part, et en raison de l’attention particulière qui
rehaussé par la présence de la est réservée à la gouvernance, d’autre part. J. Thumann félicita la FEB
© Triptyque

ministre Sabine Laruelle et pour l’excellente organisation de ces deux journées inoubliables.
pendant lequel Thomas Diane Struyven – ds@vbo-feb.be
Leysen, président de la FEB,

© Triptyque
remercia la présidence belge
pour l’excellent travail accom-
pli depuis le mois de juillet.
La FEB accueille le Commissaire Le Vicomte Frank De Winne,
européen en charge du Marché premier astronaute européen
intérieur, Michel Barnier. On le voit
ici entouré (à g.) de Jürgen Thumann aux commandes de la Station
et (à dr.) de Thomas Leysen. La séance plénière du COPRES, au Palais d'Egmont.

> dans le financement de leurs investissements et deuxième piliers. L’étude, intitulée Atlas tionnaires retraités touchent 4.653 EUR en
pour de nouveaux projets. L'outil qu'Agoria et des pensions, porte sur la moyenne de la pen- moyenne, et deux indépendants 1.012 EUR
Febelfin ont élaboré pour faciliter les investis- sion de retraite par catégories (hommes, (heureusement, ils ne sont que 1.024
sements verts répond donc à un besoin urgent femmes, salariés, indépendants, fonction- couples !). L’Atlas montre également que 35%
du monde économique belge”. naires, etc.). Elle fait état d'une très grande des retraités salariés ont une pension du
Birgit Fremault – bf@vbo-feb.be diversité. L’exemple le plus frappant est la deuxième pilier.
grande différence existant entre la moyenne Les pensions payées aujourd’hui sont le
> PENSIONS par régime professionnel et par sexe (voir gra- reflet du marché du travail d’hier. Ainsi, la

Les disparités entre phique). On ne peut que le constater : la pen- faible moyenne des pensions des femmes
sion des femmes peut être très peu élevée, observée dans l'étude s'explique par les car-
régimes sont énormes ! même si, dans certains cas, cela est fort heu- rières très (trop) courtes qui étaient la norme
À la demande du SPF Sécurité sociale, l’équi- reusement corrigé quand on prend en compte auparavant. Et le faible pourcentage de pen-
pe du professeur Berghman a analysé les don- le ménage. Ainsi, le montant moyen de pension sionnés ayant accès au deuxième pilier est le
nées du cadastre des pensions. Ce cadastre de retraite que peut toucher un couple de sala- résultat du très faible taux de remplacement de
reprend toutes les pensions payées des premier riés est de 2.209 EUR, tandis que deux fonc- la retraite chez les cadres. Il y a donc un impor- >
[ INFOR FEB 40 — 9 DÉCEMBRE 2010 ]

AGENDA Les véhicules du futur DATE : LIEU : BRUSSELS EXPO


Comment lever les obstacles au développement des 20 JANVIER 2011 INFO : Nathalie Petit
14H30 T 02 515 09 64
véhicules électriques en Belgique ? F 02 515 09 15
Le colloque se déroulera dans la cadre de la 89e édi- np@vbo-feb.be
tion du Salon des véhicules utilitaires légers, véhicules
de loisirs et motos. L’inscription au colloque vous
donne également droit à une entrée pour le Salon.

Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

Pension mensuelle moyenne du 1er pilier des bénéficiaires d’une pension de retraite
enregistré un indice de > PROVISIONS POUR PÉCULE
risque nettement (10 fois) DE VACANCES
d’après le régime de la pension de retraite (PR) et le sexe (2007, montants en EUR).
supérieur à la moyenne de
Bilans au 31 décembre
2.500
2.374 leur secteur sont considé-
■ HOMMES
■ FEMMES rées comme présentant un 2010
2.022
2.000 risque aggravé et doivent
En réponse à la demande écrite de la FEB,
verser à leur assureur une
l’Administration des contributions directes a
1.500
cotisation de prévention
1.287 confirmé les taux proposés par la FEB pour les
forfaitaire.
Source : Atlas des pensions 2010.

1.000
provisions pour pécule de vacances compta-
763 Celle-ci varie de 3.000 à
bilisées dans les bilans au 31 décembre 2010
629
15.000 EUR en fonction
qui peuvent être admises en frais profession-
MONTANT

500
233 de la taille de l’entreprise
nels. Ces taux sont les suivants :
et sera affectée à la pré-
0 • 18,8% des rémunérations fixes et variables
PR Travailleurs salariés PR Travailleurs indépendants PR Fonctionnaires vention des accidents au
allouées en 2010 aux employés admis au
sein de ces entreprises. La
bénéfice de la législation sur les vacances
> tant 'besoin' pour un deuxième pilier, et ce nouveauté est le fait que sont désormais uni-
annuelles des travailleurs salariés.
besoin augmente pour toutes les catégories de quement pris en compte les accidents d'une
• 10,27% des 108/100 des salaires accordés
travailleurs. Aujourd’hui, les carrières des certaine gravité (au moins 4 jours d’incapaci-
en 2010 aux ouvriers et apprentis admis au
femmes sont en augmentation continue et té). Par ailleurs, il faut aussi que l'entreprise
bénéfice de la même législation.
l’accès au deuxième pilier se généralise. De là présente un indice de risque au moins 30 fois
Jean Baeten – jb@vbo-feb.be
à conclure qu’il n’y a pas de problème en pen- supérieur à la moyenne de l’ensemble du sec-
sions, c’est une autre histoire… teur privé. Ces adaptations ont pour but de
Bernadette Adnet – ba@vbo-feb.be cibler davantage les véritables 'amateurs' et
d'exclure les effets du hasard.
Les adaptations apportées en vue
Brussels calling
> ACCIDENTS DU TRAVAIL d’améliorer l’efficacité du système sont posi-
une newsletter FEB
tives. Il est important de mettre les mauvais à lire en ligne
La cotisation de éléments de la classe en face de leurs res-
prévention, adaptée en ponsabilités. Mais, parallèlement à ce systè-
Prenez le pouls
cas de risque aggravé me arithmétique, qui ne pourra jamais être
de l'actualité de
juste à 100%, il est essentiel que l’Inspection
Au Moniteur belge du 26 novembre dernier est prenne des mesures immédiates et énergiques la présidence belge
paru un arrêté modifiant le système de la coti- à l’encontre des entreprises peu soucieuses de de l'UE
sation forfaitaire pour les entreprises où les la sécurité et de la santé de leurs collabora- http://eupresidency.vbo-feb.be
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

statistiques font apparaître un risque aggravé teurs. (site web, agenda, newsletter, etc.)
d'accidents du travail. Les entreprises qui, sur
une période d'observation de trois ans, ont Kris De Meester – kdm@vbo-feb.be

• Issue 1
13/07/2010

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siness News
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FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL Belgian EU
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rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15
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ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be Editorial innovate. Theref
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ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com Presidency: should be develo hip in clean
Belgian EU es ahead to industrial policy
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CHANGEMENTS D’ADRESSE : FEB – Service mailing – tél. 02 515 09 06 – fax 02 515 09 55 – mailing@vbo-feb.be The Belgian
EU Presidency
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