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Option : communication
Thème
Etudes et realisation d’un détecteur de
niveau d’eau de lave-glace
Présenté par
SIBOUS Mouhand.
BOUMEDJMADJEN Sofiane.
Promoteur
r
M GEURMOUZ
Promotion 2010
Remerciements
En premier lieu, on remercie le Dieu, de nous avoir donné la force et la patience
pour pouvoir mener ce travail à terme.
Dédicaces
Je dédie ce travail à tous ce qui sont chers à moi :
B. Sofiane
S. Mouhande
Sommaire
Introduction générale …………………………………………………………………..…….01
Chapitre I
(Généralité sur les détecteurs de niveau d’eau).
I.1 introduction………………………………………………...………………..…….…….……02
I.2 détection de niveau par flotteur……………………………………………………….….02
I.3 détection de niveau par micro-ondes……………………………………………………..04
I.4 détection de niveau par lames vibrantes ………………………………………………….05
I.5 détecteur de niveau à palettes rotatives ………………………………………………….06
I.6 méthodes électriques de mesure de niveau……………………………………………….07
I.6.1 sondes conductrices …………………………...………………………………………….…...07
I.6.2 sondes capacitives…………………….…………………………………………...………08
I.7 détecteur de niveau optique……………………………………………………………... 08
I.8 détecteur de niveau par fibre-optique ……………………………………………………09
I.9 détection de niveau par sonde(s) de conductivité…………………………………...……09
Conclusion………………………………………………………..………………………..…...11
Chapitre II
(Les portes logiques)
II.1 introduction…………………………………………………….…………..……...……..12
II.2 porte logique NON………………………………………………………………………12
II.3 porte logique ET …………………………………………………………...…..…………13
II.4 porte logique OU………………………………………………………………...………...14
II.5 technologie des fonctions logiques TTL et CMOS……………………….………………..15
II.5.1 La famille TTL…………... ………………….………………………………….…15
II.5.2 Caractéristiques de cette famille…………………………..…..………………15
II.5.3 les avantages de la TTL………………………………..………………...………15
II.5.4 les Inconvénients de la TTL……….…………………………………………………15
II.5.5 La famille CMOS…….……………………………………………...………16
II.5.6 L’avantage de cette technologie……………………………………………………....16
II.5.7 L’inconvénient de cette technologie…………………………………….…………….16
II.5.8 Paramètres caractérisant de ces deux familles technologiques ………………….…..16
a) Les paramètres d'entrées
b) Les paramètres de sorties
c) Caractéristiques générales de TTL
d) Caractéristiques générales de CMOS
Chapitre III
(Les semi-conducteurs)
III introduction…………………………………………………………………….…………18
III.1 la diode ………………………………………………………………….……………………….18
III.1.1 définition…………………….…………………………………………………..………18
III.1.2 symbole de la diode ……………………………………………………………….…19
III.1.3 Caractéristiques courant tension d’une diode a jonction …………...………….….…19
III.1.4 les trois approximations d’une diode………. ……..…………………………………20
a) Diode idéale
b) Diode avec seuil
c) Diode avec seuil et résistance
III.1.5 Applications usuelles………………………..…………………………………………..22
III.1.6 domaines d’utilisation…………………………...……………………….………………….22
III.2 diode ZENER………………………………...…………………………………………..23
III.2.1 Symbole de la diode ZENER………………...………………………………………23
III.2.2 Caractéristique de la diode ZENER…………………………………………………..24
III.2.3 Résistance différentiel ……………...………………………...…………………………..24
a) Source de tension constante
b) Fonctionnement en charge
III.3 les transistors……………..……………………………………………………………25
III.3.1 Introduction………………………….……………………………………………….25
III.3.1 définition………………………………………………………………………………26
III.3.2 Transistor en commutation……………………………………………………………26
III.3.3 Symbole de transistor bipolaire…………………………...…………………………….26
III.3.4 Caractéristique de transistor………………………………...…………….……………26
III.3.5 Caractéristiques générales…………………………………………………………….28
III.3.6 Application…………………………………………………………………………….28
III.3.7 Emploie …………...………………………...…………………………………………….28
Chapitre IV
(Description des circuits fondamentaux)
Introduction ……………………………………………………………………………….…29
IV.1 circuit RC en commutation………………………………………………….………….29
IV.1.1 lois de la charge d’un condensateur ……………………………………………….…29
IV.1.2 lois de décharge d’un condensateur ……………………………………...………......…30
IV.1.3 Expression générale da la charge et décharge d’un condensateur …………...………32
IV.1.4 transmission du potentiel sur un condensateur ………………………………………32
IV.1.5 le condensateur initialement déchargé ……………………………………………….33
Conclusion ………………...…………………………………………………………………35
IV.2 Oscillateur ………………………………………………………..……………………35
IV.2.1 définition……………… ..……………………………………………………………35
IV.2.2 différent types d’oscillateurs………………………………..…..……………………35
a. Les oscillateurs sinusoïdaux ……………..…………………….………….…..……35
b. les oscillateurs non sinusoïdaux (multivibrateur) ……………..…………..….…….35
IV.3 Oscillateur monostable…………………...……………………………………………36
IV.3.1 Définition…………………………………………………………………………….36
IV.3.2 Etude d’un monostable à porte MOS…………………………………………………37
Chapitre V
(Description des circuits fondamentaux de la réalisation)
Introduction…………………………………………………………………...…………...…40
V.1 Le principe de fonctionnement …………………………………………….….…..……40
V.2 Le circuit d’alimentation…………..……………...………………………….………..…..42
V.3 Le circuit intégré…………………………..…………………………………………….42
V.4 Le circuit oscillateur…………………………...….………………………………………...42
V.5 Le circuit monostable……………………………………………………………….…..44
V.6 L’étage intégrateur………………………………………………………………………45
V.7 réalisation pratique ……………………………………………………………………...46
Introduction……………...………………………………………………………………46
V.7.1 Le circuit imprimé…………………………………………………………………….47
V.7.2 Implantation des composants …………………...…………………………….………48
V.7.3 préparation du boitier …………………………………………………………………50
V.7.4 Réalisation de la sonde ………………………………………………………………..50
V.7.5 Soudure ……………………………………………………………………………….51
V.7.6 Photo de l’implantation des éléments de circuit…………………………………...….52
V.7.7 Essais ………………………………………………………………………………….52
V.7.8 Installation …………………………………………………………………………….52
V.7.9 Photo de montage réalisé …………………………………………………………….53
Conclusion……….……………………………………………………………………54
Références bibliographiques
Annexe
Introduction générale
L’évolution de l’électronique et la diversité de ces composants ont offert dans tous les
domaines de la vie quotidienne un champ d’application très vaste dont ses limites
s’élargissent sans cesse.
Tout être vivant est doté de sens lui permettant d’être renseigné sur certain élément
du milieu extérieur. De nature physique (vue, toucher, audition) ou chimique (gout odorat).
Mais si nos sens sont à même de fournir des informations sur le milieu extérieur, ces derniers
sont limités par le manque de précisions fournis. Certains phénomènes ne peuvent même pas
être sentis, Tel que le magnétisme. Aussi l’homme a crée et inventé des outils (capteurs,
détecteurs) lui permettant de surmonter cet handicap.
On effet Les détecteurs jouent un rôle de plus en plus important. Ce sont eaux qui
permettent de détecter les phénomènes de hautes natures qui agissent sur l’environnement de
l’homme. Avec l’évolution de la technologie en générale et de l’électronique en particulièr,
leur importance s’accroit, car ils permettent d’assurer la liaison entre l’homme, la machine et
l’environnement.
C’est pour quoi il été intéressant dans le cadre de notre projet de développer ce sujet
sur le détecteur de niveau d’eau de lave-glace.
Pour se faire notre travail sera réparti comme suit :
Introduction
Chapitre I : généralité sur les detecteurs
1
Chapitre I Généralité sur les détecteurs de nivau d’eau
I.1 Introduction :
Un détecteur est un dispositif technique (instrument, substance, matière) qui change d'état
en présence de l'élément ou de la situation pour lequel il a été spécifiquement conçu.
Des fonctions supplémentaires peuvent apporter des précisions qualitatives ou quantitatives
sur la nature du phénomène observé.
Les détecteurs sont donc des systèmes en général d'un coût moins élevé que celui des
dispositifs de mesure continue mais fiables car la sécurité des personnels et des installations
repose souvent sur eux.
Un flotteur est guidé par un tube non magnétique étanche qui le traverse en son
centre et le long duquel il se déplace verticalement. A l'intérieur du flotteur se trouve un
aimant permanent. De même, à l'extrémité du tube se trouve un aimant fixe de pôle opposé à
celui de l'aimant mobile situé dans le flotteur. Ces deux aimants ont tendance à se repousser,
donc un liquide de faible densité peut aussi déplacer le flotteur lors de la montée de son
2
Chapitre I Généralité sur les détecteurs de nivau d’eau
niveau. Lorsque le niveau monte, l'aimant du flotteur passe autour de la capsule du relais
bistable (type Reed) dont le contact change d'état. Ses lamelles contact sont en effet sensibles
à l'action du champ magnétique. Ce contact ne s'inversera qu'au passage du flotteur à la
descente du niveau.
a. Avantage :
Simplicité, coût, indépendance par rapport aux caractéristiques physiques (en particulier la
masse volumique) et électriques du produit.
b. Inconvénient :
Ne convient qu'avec les liquides et à condition qu'ils soient peu corrosifs, peu agités, peu
chargés de particules susceptibles de se déposer, nécessite un entretien (usure, corrosion,
dépôts, ...)
3
Chapitre I Généralité sur les détecteurs de nivau d’eau
Les micro-ondes traversent les parois en plastique (P.V.C, polyéthylène, téflon, ...)
mais pas les parois métalliques. Donc l'émetteur et le récepteur sont protégés du produit par
une paroi en plastique ou en verre, la paroi latérale métallique du réservoir étant percée de
deux trous en vis-à-vis. Avec un réservoir en plastique, le montage peut être entièrement
extérieur.
a. Avantage :
Mesure sans contact, convient pour de très nombreux produits liquides ou solides (en
poudre, granulés ou en vrac), pas d'influence des poussières ou de la vapeur, nécessite
peu d’entretien.
b. Inconvénient :
Ne convient pas pour les produits plastiques.
4
Chapitre I Généralité sur les détecteurs de nivau d’eau
Deux lames métalliques parallèles agencées côte à côte sur une membrane métallique
sont amenées par effet piézo-électrique à leur fréquence de résonance. Lorsqu'elles entrent en
contact avec le produit, la fréquence ainsi que l'amplitude de vibration de ces deux lames
diminuent.
a. Avantage :
Dispositif convenant aussi bien aux liquides (même visqueux, assez corrosifs, ou
assez chargés de particules solides) qu'aux solides en poudre ou en grains de granulométrie
jusqu'à 10 mm, peu encombrant (il suffit d'un piquage de diamètre 25 mm), robuste,
pratiquement sans usure donc sans entretien (pas de pièces mobiles).
b. Inconvénient
Contact avec le produit, ne convient pas aux fluides très corrosifs ou très chargés de
particules solides pouvant se déposer et bloquer les lames, aux solides de granulométrie
supérieure à 10 mm, pression maximale de service limitée (ex: 20 bars).
5
Chapitre I Généralité sur les détecteurs de nivau d’eau
Ce principe est utilisé avec les produits solides pulvérulents. Un moteur fait tourner
lentement une ou plusieurs palettes métalliques (exemple du schéma ci-dessus: 4 plaques
rectangulaires soudées en croix sur l'arbre du moteur). Lorsque le produit entrave la rotation
des palettes, le couple résistant augmente. Un dispositif mécanique ou électrique détecte cette
variation du couple et actionne un contact.
a. Avantage :
Simple, économique, pas de réglage nécessaire, montage vertical ou horizontal
b. Inconvénient :
Ne convient qu'aux solides de granulométrie jusqu'à 10 mm (pulvérulents, granuleux,
en vrac à condition de ne pas détériorer le détecteur), non abrasifs.
6
Chapitre I Généralité sur les détecteurs de nivau d’eau
Elles utilisent les propriétés électriques des liquides dont on veut mesurer ou
contrôler le niveau et sont les seules à utiliser des capteurs traduisant directement le niveau en
signal électrique.
Elles ne conviennent que pour les produits conducteurs (liquides, pâtes, granuleux...),
ne sont pas sujettes à l'usure et permettent la détection d'un niveau haut, bas ou intermédiaire.
Ces sondes sont dotées d'une ou plusieurs électrodes selon les modèles.
Chaque électrode est installée par un passage étanche de telle sorte que leur extrémité
inférieure se situe au niveau à détecter. Elle doit être isolée électriquement de la masse du
réservoir quand il est métallique. Dés que le liquide touche une électrode, il met à la masse un
circuit alternatif basse tension. La masse est constituée soit par le réservoir métallique, soit
par une deuxième électrode quand le réservoir n'est pas métallique. Le faible courant
parcourant l'électrode est d'amplitude proportionnelle à la longueur d'électrode immergée et
suffit à actionner un relais.
On utilise une basse tension alternative afin d'éliminer tout risque d'électrolyse du
liquide.
7
Chapitre I Généralité sur les détecteurs de nivau d’eau
Elles sont d'un emploi plus répandues que les précédentes et fonctionnent à l'aide
d'une électrode plongeante dans le réservoir.
Pour les produits isolants (huile, pétrole...) la sonde est constituée d'une tige métallique isolée
du réservoir. Quand la sonde est découverte, le diélectrique est alors l'air ambiant (constante
diélectrique = 1). En présence d'un produit isolant, la capacité du condensateur augmente sous
l'effet de produits qui possèdent une constante diélectrique supérieure à 1. Cette variation de
capacité est traitée pour actionner un relais ou fournir un signal de sortie proportionnel au
niveau du produit.
Sondes capacitives " Milltronics "
Le faisceau lumineux étroit et directif, d'axe horizontal d'une lampe est détecté par
une cellule photoélectrique. Lorsque le niveau de liquide (non transparent) intercepte ce
faisceau, l'intensité lumineuse reçue par la cellule diminue. Si le liquide est transparent (par
exemple, de l'eau propre), il peut aussi réfléchir un faisceau lumineux oblique vers une cellule
qui ne le détecte alors qu'à un niveau haut.
8
Chapitre I Généralité sur les détecteurs de nivau d’eau
L'indice de réfraction du liquide est différent de celui de l'air. Lorsque le niveau est
bas le rayon lumineux arrivant dans la fibre optique est réfléchi par son extrémité en forme de
prisme et détecté à sa sortie. Par niveau haut, le rayon est réfracté dans le liquide.
b. Inconvénients:
Une sonde (électrode, simple tige métallique d'axe vertical isolée de la masse du
réservoir) a son extrémité inférieure toujours immergée dans le liquide. Celui-ci est
conducteur de l'électricité (ex: eau, acide). Lorsque le niveau monte, ce liquide arrive en
contact avec l'extrémité de la deuxième sonde située plus haut. Le circuit électrique est alors
9
Chapitre I Généralité sur les détecteurs de nivau d’eau
fermé, un courant alternatif sous très basse tension passent entre ces deux électrodes. Cette
variation de résistance du milieu qui passe de l'état d'isolant (gaz ou vapeur) à l'état
conducteur (liquide) produit une variation de tension détectée par un circuit électronique qui
change l'état d'un contact ou d'un signal de sortie.
Il est simple de placer plusieurs détections de niveau (très basse, basse, haute, très haute, ...)
en utilisant des sondes (électrodes) de longueurs différentes.
On remplace parfois l'électrode la plus longue dont l'extrémité doit toujours être immergée par
la masse du réservoir s'il est métallique.
Une électrode peut aussi être montée horizontalement si on dispose d'un piquage latéral sur le
réservoir.
On utilise un courant alternatif sous faible tension pour éviter tout risque d'électrocution et
sous faible intensité pour qu'il n'y ait pas d'électrolyse du liquide dont on mesure le niveau.
10
Chapitre I Généralité sur les détecteurs de nivau d’eau
a.avantage :
Simplicité, coût, indépendance par rapport aux caractéristiques physiques du produit
(en particulier sa masse volumique).
b. Inconvénient :
Ne convient qu'avec les liquides et à condition qu'ils soient conducteurs électriques
(eau, acides, solutions), peu corrosifs (sinon, remplacer périodiquement les électrodes, leur
cout étant faible), peu chargés de particules susceptibles de se déposer.
Conclusion :
Dans cette partie nous avons donné quelques méthodes utilisées pour la détection de
niveau d’eau et de liquide en générale.
La détection d'un niveau est une simple comparaison de la valeur de celui-ci avec une valeur
de référence. Le signal de sortie d'un détecteur est donc binaire (on dit T.O.R. pour "tout ou
rien") alors qu'un capteur de mesure d'un niveau fournit un signal image continue et fine de ce
niveau.
On peut conclure que les détecteurs sont donc des systèmes d'un coût moins élevé que
celui des dispositifs de mesure continue mais fiables car la sécurité des personnels et des
installations repose souvent sur eux. Répité au introduction
11
Chapitre II les portes logiques
Introduction :
Ce chapitre portera sur quelques portes logiques et leurs technologies CMOS et TTL.
Cette porte est strictement l'inverse d'une porte OUI. En effet, la sortie va
complémenter ce qu'il y a en entrée. C'est à dire que le niveau logique de sortie est l'inverse
du niveau logique d'entrée.
Ainsi, si en entrée on a un niveau logique 0, alors en sortie on a un 1, et vice-versa si il y a un
niveau logique 0 en entrée.
Formule booléenne S = E
Voici la table de vérité de cette porte logique. On constate clairement que le niveau en
sortie est effectivement le niveau d'entrée complémenté.
12
Chapitre II les portes logiques
Entre Sortie
0 1
1 0
Voici enfin une porte intéressante à étudier. Cette fois-ci, il y a 2 entrées sur la porte
logique. Cette fois-ci la condition à respecter pour que la sortie soit au niveau logique 1, c'est
qu'il faut que les 2 entrées soit à 1. Dans le cas contraire la sortie est à 0.
Formule booléenne Il faut bien noter que sur cette formule le point se prononce "et". S = A.B
Voici la table de vérité de cette porte logique. Comme nous avons pu le dire
précédemment, la sortie est au niveau logique (NL) 1 uniquement si les deux entrées
sont à 1 également.
Entre Sortie
A B S
0 0 0
0 1 0
1 0 0
1 1 1
13
Chapitre II les portes logiques
Cette dernière porte de base est un peu du même genre que la porte ET. Cette fois-ci
la sortie est au NL1 si au moins une des 2 entrées est à 1.
Sur cette table de vérité on voit clairement que la sortie est à 1 si au moins une des 2
entrées est au NL 1. Vu d'un autre angle, on peut aussi dire que la sortie est au NL 0 si
les 2 entrées sont à 0.
Entre Sortie
BB A B S
0 0 0
0 1 1
1 0 1
1 1 1
Les portes logiques s’appuient sur les principes de la logique binaire (0, 1). Le (0)
représentent un interrupteur ou contacteur ouvert (le courant ne passe pas). Le (1) représente
un contacteur fermé (le courant passe).
Un contacteur normal (a) laisse passer le courant quand on l'actionne, un contacteur
inverse ( ) quand on le laisse au repos.
14
Chapitre II les portes logiques
Avant toute chose il faut définir ce que sont TTL et CMOS. Ce sont deux familles
technologiques utilisées pour les circuits logiques en électronique.
TTL est l’abréviation de (transistor-transistor logique), Cette famille est réalisée avec
la technologie du transistor bipolaire et tend à disparaître du fait de sa consommation
énergétique élevée (comparativement aux circuits CMOS).
Cette famille de composants allie une bonne vitesse de commutation à un faible temps
de transfert.
L'immunité aux parasites est bonne à condition de découpler l'alimentation au plus
près de chaque circuit par un condensateur de filtrage.
Les entrées en l'air, sans état fixé, sont à l'état logique « 1 » par défaut (elles ne
débitent un courant important que si on les met à zéro et elles sont en gros
équivalentes à des résistances vers =5 V).
L'alimentation des circuits TTL doit être précise +5v ( 5%) en comparaison aux circuits
CMOS qui ont, eux, une plage de tension d'alimentation bien plus vaste (de +3 à +18 V). En
cas de non-respect de cet impératif, on risque un fonctionnement erratique du circuit, et au
pire, une destruction partielle ou complète du circuit.
15
Chapitre II les portes logiques
VIH min : tension d'entrée minimum pour avoir un niveau Logique "1" en entrée
Vil max : tension d'entrée maximum pour avoir un niveau logique "0" en entrée
I IH max : courant d'entré maximum permettant de conserver un Niveau logique
"1" en entrée.
I ILmax : courant d'entré maximum permettant de conserver un Niveau logique
"0" en entrée.
VOH min : tension de sortie minimum pour avoir un niveau logique "1" en sortie
VOL max : tension de sortie maximum pour avoir un niveau Logique "0" en
sortie.
16
Chapitre II les portes logiques
IOL max : courant de sortie maximum permettant de conserver un Niveau logique "0" en
sortie.
La tension d’alimentation " positive " est notée Vcc et a pour valeur 5V +/- 5%.
La tension d’alimentation " négative " est notée GND a pour valeur 0V.
La consommation est plus élevée que pour les CMOS.
La tension d’alimentation " positive " est notée Vdd et varie entre 3V et 18V
La tension d’alimentation " négative " est notée Vss a pour valeur 0V.
Ils sont moins rapides que les composants en technologie TTL.
Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons fait une étude sur les portes et la technologie des circuits
TTL et CMOS.
Vu que le circuit intégré de notre montage est réalisé avec des portes logiques il est
intéressant de comprendre les notions de base de la logique combinatoire et les technologies
SMOS et TTL pour comprendre le fonctionnement de notre circuit intégré.
17
Chapitre II les portes logiques
Introduction :
Les meileurs conducteurs (argent, cuivre, or) ont un électrone de valence, tandis que
les meilleurs isolants en ont huit. Un semi-conducteur est un élément dont les propriétés
électriques sont a mi-chemin entre les conducteurs et les isolants. Comme on peut le prévoir,
les meilleurs semi-conducteurs ont quatre électrons de valence.
Example : germaniume et le silicium.
III .1 diode
18
Chapitre II les portes logiques
19
Chapitre II les portes logiques
La représentation de la diode par sa loi logarithmique est un peu complexe pour l'emploi
de tous les jours. Plusieurs schémas équivalents simplifiés sont proposés :
a) Diode idéale :
Dans ce cas, on néglige la tension de seuil et la résistance interne de la diode.
Lacaractéristique est alors celle de la figure ci-dessouse.
Ce schéma est utile pour des prés calculs, surtout si les diodes sont employées dans des
circuits où les tensions sont élevées (plusieurs dizaines de volts) : la tension de coude est alors
négligeable.
20
Chapitre II les portes logiques
On peut continuer à négliger la résistance interne, mais tenir compte du seuil de la diode.
La caractéristique devient :
Ici, on prend en compte la résistance de la diode. Ceci peut être utile si on utilise la diode
en petits signaux alternatifs et qu'on a besoin de sa résistance dynamique.
21
Chapitre II les portes logiques
Dans ce cas, on considère que la résistance dynamique est constante, ce qui n'est vrai
que si la variation du signal alternatif est très petite autour du point de polarisation en continu.
La diode est très intéressante pour le redresement des signaux alternatifs. Cette
fonction se rencontre surtout dans les alimentations continues, mais on l’utilise aussi pour
detecter l’amplitude d’une tension (par exemple dans certains amplificateurs à commande
automatique de gain).
22
Chapitre II les portes logiques
Lorsque la diode est utilisée dans la zone de claquage, elle conserve une tension
constante à ses bornes, la valeur dépendant du composant choisi. Pour les diodes ordinaires,
on cherche à rejeter ce phénomène le plus loin possible : la tension correspondante est souvent
de plusieurs centaines de volts. Dans certains cas, on veut au contraire utiliser cette zone de
claquage afin de maintenir une tension constante : on fait appel pour cela à des éléments
particuliers, les diodes stabilisatrices de tension ou diodes Zener, pour lesquelles la tonsion de
claquage est faible (quelques volts ou quelques dizaines de volts).
23
Chapitre II les portes logiques
24
Chapitre II les portes logiques
Pour que la stabilisation soit effective, il faut que Iz soit toujours compris dans les limites
Imin < Iz < Imax
En connaissant U et Uz, ainsi que Imin et Imax, on détermine R
b) Fonctionnement en charge :
I = Iz + Ir
si R , Ir=0 et I=Iz, c'est le fonctionnement à vide
si R=0, Uz=0, Iz =0, I=Ir=U/ Rp, la stabilisation a disparu
Limite de la stabilisation: la stabilisation disparaît lorsque Iz devient inférieur à Imin.
Introduction :
25
Chapitre II les portes logiques
III.3.1 définition :
B : base
E : émetteur
C : collecteur
La jonction Base - Emetteur est équivalente à une diode dont la caractéristique est la suivante.
26
Chapitre II les portes logiques
Remarque :
27
Chapitre II les portes logiques
III.3.6 Application :
III.3.7 Emploie :
Sauf dans le domaine des fortes puissances, il est devenu rare de n’avoir qu’un seul
transistor dans un boîtier (pour les fortes puissances on optera pour un montage Darlington,
permettant d’obtenir un gain en courant plus important).
28
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
Introduction :
Un circuit électrique ou électronique est réalisé par un ensemble de pièces de
différentes espèces ayant des fonctions diverses et généralement connues sous le nom
de « composants ».
Ces composants sont formés de résistances, condensateurs, inductances, transformateurs,
tubes électroniques, semi-conducteurs, circuits intégré, matériaux de raccordement et de
commutation.
On peut les classer dans deux catégories : les composants passifs et actifs. Le technicien doit
connaitre ces composants afin de les utiliser dans les meilleures conditions.
Figure IV 1 : circuit RC
29
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
On peut écrire :
E=Uc(t)+UR(t)
Avec :
Uc(t)=U0+
En passant par la transformé de LAPLACE on trouve :
I(p)=
I(t)=
On a : UR(t)=(E-U0)
Et :
(t)=E-UR=E-(E-U0)
Finalement :
30
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
0= (t)+UR(t)
Avec :
= +
Donc :
0= + +Ri(t)
i(t)=
Et : UR(t)= -
Donc :
Si on suppose que l’instant t1 est suffisamment éloigné de l’instant t0, le condensateur aura le
temps de se charge complètement et d’atteindre la valeur E, ce qui veut dire : =E.
En supposant aussi que U0=0, les équations de la charges et de la décharge du condensateur
deviennent :
(t)=E
(t)=E.
31
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
E .
t
t0 charge t1 décharge
On peut établir une seule expression universelle qui est donnée par la formule suivante :
(t)= - .
32
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
Même en très haute fréquence, par exemple à 100kHz, le signal met 5μs pour passer du
minimum au maximum de tension.
+10 +10
-10 -10
Le signal met 5μs pour passer de -10V à +10V le signale met 1ns pour passer de -10vV à +10V
L’étude qui suit ne concerne que les signaux de type “carré “, à brusque variation de tension.
Considérons d’abord un circuit RC alimenté par une tension continue de 10V, muni d’un
interrupteur K. nous supposerons que la fermetur de K dure une demi-nanoseconde et donc
que le montage est brutalement soumis à une ddp de 10V (figure IV.4).
A l’instant t0 +1ns, les charges (-) atteignet l’armature B. par conséquent, l’armature
A réagit en raison de l’équilibre électrostatique, en perdant la même quantité de charges
négatives, c'est-à-dire en se chargeant positivement. Le condensateur entame alors sa charge
progressive. La tension à ses bornes augements à mesure que les charges s’écoulent dans les
fils du montage. La loi des mailles reste valabe quel que soit l’intant auquel on applique :
33
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
VB
10 ……….
0 t0 t
VA – VB
10 ………………………
t0 t
34
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
Conclusion :
A l’instant précis ou le potentiel d’une armature de condensateur varie brutalement d’une
quantité V, l’autre armature varie de la mème contité V.
IV.2 Oscillateur :
IV.2.1 définition :
35
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
multivibrateur bistable
multivibrateur monostable
IV.3.1 Définition :
Un multivibrateur monostable est un oscillateur dont la sortie possède deux niveaux : l’un est
stable, l’autre est instable, et revient ensuite de lui même à l’état stable au bout d’un temps T
appelé pseudo-période du monostable.
Impulsion sortie
E
Monostable
R C
Impulsion d’entre
Sortie monostable
36
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
Remarque :
Le terme « période » est impropre car cet oscillateur n’est pas périodique, mais ce
terme est conservé par abus de langage. L’impulsion d’entrée peut être négative, et la réponse
du monostable peut être un « 0 », contrairement à la figure 12-1 ou entré et sortie sont des
« 1 »tout dépend de circuit considéré .la duré T peut être choisis par le manipulateur par
variation d’une capacité est d’une résistance.
Un monostable est utilisé à chaque fois qu’on a besoin’ arrêter ou de faire démarrer une
portion de circuit ; par exemple un comptage d’impulsion d’horloge sur la durée T.
Ce monostable est conçu en utilisant des portes non du circuit intégré CD4069.On considère
le monostable de la figure ci-dessous :
37
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
V(E)
VH
VB .………....
t
V(A)
VB
t
V(B)
VH
v seuil……………………….
V(S)
VH
VB ………….
t
Stable instable
38
Chapitre IV description des circuits fondamentaux
= R. C ln
39
Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
V- réalisation pratique
Introduction :
Dans cette partie nous allons décrire le montage en exposant les différents circuits
principaux. Notre montage est composé de cinq blocs: oscillateur, monostable, mise en forme,
intégrateur, amplificateur. Chaque bloc a un rôle très important dans le fonctionnement du
montage, le tout donne une boucle ou une chaine bien organisée dans leur emplacement.
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
Lorsque le niveau d’eau est insuffisant, la sonde est en l’air et C4 est isolé de
l’oscillateur. La fréquence de sortie est alors de 2000 Hz environ.
La sonde est alimentée en signale alternatif. Sans composant est continue pour éviter
toute électrolyse et oxydation des électrodes. C4 intervient l’orsque la sonde est plongée dans
l’eau. La fréquence de sortie de l’oscillateur est alors de 50Hz seulement. Le circuit
monostable est composé de C2, R5 et des portes inverseurses 3 et 4, il délivre des impulsions
calibrées et synchronisée sur l’oscillateur. La diode D3 transmet ces impulsions de durée
0.2ms et d’amplitude 7.5 V à l’étage intégrateur (convertisseur fréquence-tension) composé
de R6, C5.
Le schéma est donné par la figure ci dessous :
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
Le circuit de notre montage est IC1 : CD4069, il fait partie de la famille CMOS, qui
utilise 6 portes NON inverseuses. Comme indiquée dans l’annexe.
V.4 Le circuit oscillateur :
Le circuit oscillateur est représenté comme ci-dessous.
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
lorsque le niveau d’eau est normale la fréquence de sortie est environs 50Hz cette
fréquence dépond des condensateurs C3 et C4
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
On voir que le signal sortant de ce monostable est de même amplitude que celui du
circuit précédant mais différent en périodes.
Le signal sortant du monostable sera transmis ver, la diode D3 qui le transmettra
avec des impulsions de durée 0 .2 ms et d’amplitude 7.5V à l’étage intégrateur.
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
Introduction :
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
Un circuit imprimé est un circuit électrique reproduit sur la surface d’un support
isolant en général un stratifie en plastique ; il pourra être reproduit facilement par la méthode
photographique, facile à monter il est fabriquée en série. Il a de bonnes propriétés électriques
et mécaniques.
On a commencé à percer le circuit avec les forets suivant :
Ф =0.8 mm pour l circuit intégrée IC1 ; Ф1.2mm pour le satrape ; les six filles de
raccordement à la face avant, puis la LED, puis on à perce avec le diametre (Ф 1 mm) pour
les autres composants (résistances, diodes et condensateurs).
Le tracé du circuit imprimé est représenté sur la (figure V.12). Le dessin est assez
serré, donc il faut faire attention et éviter les contacts des pistes aux moments du soudage.
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
Mètre la LED D4 dans le circuit imprimé sans la souder et fixer la face avant
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
Après avoir percé les trous de la face avant de boitier teko plastique, comme indiqué
sur la figue ci-dessous on a fixé les divers composants de la face avant (dominos
d’alimentation et de à sonde) puis le buzzer pièzo-céramique.
Elle est composée de deux tiges de cuivre de longueur 20 cm on les fixe dans un
domino de modèle moyen (voir photos1) représenté ci-dessous. On raccorde la sonde au
boitier par un secteur de longueur suffisante.
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
V.7.5 Soudure :
Cette partie est plus manuelle. Elle consiste à souder les différents composants sur une
plaque fine de plastique métallisée.
L’opération est réalisée à l’aide d’un fer à souder (environ 310 ).
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
V.7.7 Essais :
V.7.8 Installation :
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
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Chapitre V Description des circuits fondamentaux de la réalisation
Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons fait une description sur les blocs fondamentaux de notre
montage en donnant le schéma de chaque bloc et leurs signaux de sortie.
Ce qui nous a permet de comprendre le rôle et le fonctionnement de chaque bloc, ainsi que
de comprendre le fonctionnent de tout le montage.
Ensuit nous sommes passé à la description de la réalisation pratique.
Après quelque test, nous avons conclus que notre détecteur et très efficace pour la détection du
niveau d’eau dans le bocal, car dés que le niveau d’eau commence à étteindre la zone minimale du
bocal, notre détecteur nous alarme avec l’allumage de LED et la sonorisation de BUZZER.
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Annexe
Conclusion générale :
Dans ce travail nous avons présentés l’étude et la réalisation d’un détecteur de niveau
d’eau de lave glace d’une voiture.
Ce qui nous à permis d’élargir nos connaissances théoriques et pratiques dans le domaine de
l’électronique.
L’avantage que présente ce détecteur et qu’il assure une bonne sécurité pour l’être humain en
lui facilitons la tache d’être informé sur l’état du niveau de bocal lave-glace.
L’appareil est on bonne portée et présente une bonne sensibilité. En fin nous souhaitons que
ce travail puisse servir de guide et de référence à d’autre étudiant ayant l’idée d’entreprendre
un travail dans ce sens.
Annexe
Annexe
Resistances :
Condensateurs :
10 µF 16V chimique radial
: 10 nF plastique métallisé
: 4,7 nf plastique métallisé
: 220nF plastique métallisé
22 nF 16 V chimique radial
Diodes
:I N 4007
: Diode ZENER BZX85C 7,5 V
: IN 4148
: LED rouge 5 haute luminosité
Circuit intégré
IC1 : MC 14069
Annexe
Transistors
=BC 337
Divers
BZ : buzzer : piézo-céramique
2 entretoises longueur 15mm
2 dominos doubles de petite dimension (boitier)
1domino double de moyenne dimension (sonde)
Annexe
Annexe
Annexe
Annexe
Bibliographie
Bibliographie
[4] - http://www.elektronique.fr/cours/porte-logique/portes-de-base.php
[5]- l’electronique de A à Z .Tahar Neffati.campus.dunod