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Est-ce que François Rabelais a été un auteur politique 

Le XVIe siècle est un siècle de transitions dont l’histoire est riche


d’événements considérables : l’humanisme introduit une nouvelle vision du
monde, la Réforme détermine l’avenir de la Chrétienté et les sociétés européennes
s’est modifie et les perceptions sur l’univers change grâce à la conquête du
Nouveau Monde. En France, ce siècle commence par les guerres d’Italie et se
termine par les guerres de religion. Ces évènements influent sur la littérature du
XVIe siècle.

OUI  : François Rabelais a été un auteur politique  :


Dans l’œuvre de Rabelais on peut rencontre quatre aspects principales qu’il a manié a travers
ses œuvres : 
 La Royauté
 Le Clergé
 La Noblesse
 La Justice

Le premier argument  : La Royauté. Avec la plupart de ses contemporains, Rabelais


partage l'idée que la monarchie est le meilleur gouvernement. Rabelais dans son prologue au
Gargantua, il promet des révélations sur " l'état politique et la vie économique " du XVIe siècle,
il défini le monarque idéal, ses droits et ses devoirs.
Dans son opinion la monarchie idéale est conformé a la nécessité de la morale antique et
de l'Evangile. L’image qu'il se fait du roi, reflète encore la tradition féodale, mais il fait confiance à 
un monarque éclairé d'un type nouveau, le roi philosophe. Il s'oppose aux leçons de Machiavel et
du réalisme politique. Les humanistes recommandent aux rois une politique pacifiste. Pour un roi
chrétien seulement la guerre défensive est admissible. Si le roi ne détient pas son pouvoir de droit
divin, il doit être une image de Dieu dont le prince de Rabelais a les attributs majeurs : puissance,
sagesse, bonté.
Mais parce qu’on ne peut pas toujours éviter les conflits, la guerre est conduite avec toute
l'humanité possible. Un exemple qui on peut voir dans sa œuvre : est quand Grandgousier
recommande à son fils :
“ L'exploit sera fait à moindre effusion de sang que possible, et si possible est, par engins plus
expédients, cautèles et ruses de guerre, nous sauverons toutes les âmes et les envoyions joyeux à
leur domicile. "
Le deuxième argument  : Le Clergé. Dans la vieille monarchie Le Clergé, formait un
ordre politique en même temps qu'un corps religieux. A la fois religieux (franciscain, puis
bénédictin, puis curé) «  Rabelais paraît partisan d’une morale plus conforme aux exigences de
la Nature et de la vie qu’il a chantée sous toutes ses formes ; et sans pousser jusqu’au
rationalisme, il tendait probablement au déisme. »
Dans la majorité de ses œuvres, Rabelais ridiculise le catholicisme : les moines sont
inutile du point du vue sociale, ils prient sans y penser ni entendre, la vénération des reliques et
les pèlerinages sont quelques exemples des moqueries de Rabelais.
Parce’ que Rabelais a eu l'expérience de la vie monastique, il dénonce les faiblesses et
les tares d’une manière joyeuse et avec facilité. Pourquoi les moines sont-ils refuis du monde ?
(titre du chapitre 40 de Gargantua) : c'est que le moine ne " laboure comme le paysan, ne garde
le pays comme l'homme de guerre, ne guérit les malades comme le médecin, ne prêche ni
endoctrine le monde comme bon docteur évangélique et pédagogue, ne porte... les choses
nécessaires à la république comme le marchand ".
Le troisième argument : La Noblesse. Parce’ que elle est un corps politique, il faut
que la noblesse soit riche si elle est pauvre elle ne se soutiendrait pas. Un moyen de conserver
dans la noblesse les grandes fortunes : c'est la pratique du droit d'aînesse. Par là, les maisons
se forment vite et, une fois formées, elles subsistent et si on enlève ce fondement, toute
tombe. A chaque génération, la fortune se divise. Elle s'en va diminuant sans cesse et, en court
temps si le travail ne l'a renouvelée, elle s'effacera entièrement.
Comme le travail n'était pas noble, au XVI siècle, la division des héritages entre tous les
enfants « soient males ou femelles » c'était la ruine de la noblesse, et c'est ce que Rabelais a
demandé. Il sait bien qu'à brève échéance, « la maison sera dissipée, » mais cela ne l'arrête
point, car, dit-il, ce partage égal, « raison le veut, nature l'ordonne et Dieu le commande. »
Autre thème d'indignation pour Rabelais : La Justice. Il a fréquenté le cercle
d'éminents juristes comme Tiraqueau. L'étude des textes de droit on peut le rencontre au
programme de l'instruction de Gargantua, ayant la condition de revenir aux textes originaux,
sans commentaires lourdes. Ce vœu exprimé avec force en 1561 par les Etats d'Orléans, était
déjà celui de Rabelais.
D'une part, il attaque les mœurs basses, vénales ou barbares des magistrats ou de leurs
agents; de l'autre, il raille les lois mal faites et indique dans quelles conditions on pourra
rédiger de bonnes.
Rabelais rêvait d'introduire dans nos lois la simplicité, l`unité, la grande lumière ; le respect du
droit, l'humanité, la promptitude; mais qui n’étaient représentés seulement par leurs
contraires, la Constituante les réunit et en fit pour toujours, le fond de nos institutions et de nos
codes.

Toutes ces arguments montrent que Rabelais en abordant les problèmes politiques de
l`époque il a été influencé comme écrivain par la période transitoire qu`il a vit, et pour ça on
peut prouver qu`il est un auteur politique.
Non, Rabelais n’été pas seulement auteur politique
Parce ‘qu’il, à travers de ses œuvres même s’il a abordé les éléments politiques de l’époque qui
ont été la réalité de cette période, il les a écrits pour les ridiculiser et pour faire ses lecteurs
rire :

«Rire est le propre de l’homme.»


[ François Rabelais ] – Gargantua

Et surtout il a été nome: maître du rire, très doué pour la satire et comédie. On trouve
chez lui plusieurs degrés du comique : les farces lourdes, les jeux de mots, la gauloiserie
poussée jusqu’à la grossièreté, etc.
En plus il a eu autres préoccupations et il n`a mis l'accent seulement sur la politique, mais
contrairement par l'entremise de la politique il a délinée ses œuvres, en résultant des satires.

Il a été  :
Moine  et Traducteur: Il devient moine à l’âge de 27 ans, chez les franciscains du Puy-Saint-
Martin à Fontenay-le-Comte. Là-bas, il se passionne pour le grec et échange des lettres avec
Guillaume Budé. Il traduit aussi en latin le second livre d’Hérodote. C’est pourtant au cours de
ces années que Rabelais accumule un ensemble de connaissances dans de nombreux domaines.

Médecin : A Montpellier, en septembre 1530, Rabelais étudie alors la médecine pour gagner
sa vie et élargir sa culture car il a étudié aussi l’anatomie, la physiologie, la physique et l’histoire
naturelle.
Rabelais devient bachelier en seulement six semaines et est candidat à la licence. Il
complète aussi un doctorat dans cette même université. À la suite de ses études dans
différentes villes de France, Rabelais devient médecin et commence la pratique de cette
profession. Il y dissèque de nombreux cadavres, méthode nouvelle d’observation qui obtient un
vif succès.

Humaniste  : Rabelais est considéré comme l'un des premiers humanistes.


La morale de Rabelais se résume tout entière dans le principe de Thélème : « Fais ce
que voudras ».
Conclusion :
On ne peut dire que Rabelais a été seulement un auteur politique, même s’il
été pourtant comme un témoin bien informé du monde politique, parce’ qu’il a été
un figure représentatives du XVIème siècle par son multiple dons. Rabelais n'a pas
voulu faire uniquement la caricature de son siècle, mais il a donné la satire vivante
de toutes choses. Ses critiques des traditions du Moyen Age font de Rabelais l'un des
plus grands auteurs de la Renaissance.
Il est difficile de connaître quelle était la véritable personnalité de Rabelais, 
« ivrogne et paillard ou bien un érudit passionné de lettres ». Ses œuvres restent
dans l’histoire de la littérature, dans l’histoire des idées, l’une de la première œuvre
grand et moderne, la plus vaste image d’une époque et d’une crise (de conscience et
de développement) La Renaissance.
Rabelais utilise la satire pour faire face au désaccord des humanistes de la
Renaissance. Plus important, il remet en question ses propres idéaux de
l'humanisme. Rabelais est capable de ridiculiser les institutions de son monde, sans
être offensive. Il incite ses lecteurs à rire des événements et des pensées de l'homme
de sa génération.

"Ignorance est mère de tous les vices"


(François Rabelais / 1484-1533)

Bibliographie : Herman Ligier –La Politique de Rabelais


Les Chroniques de l’histoire

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