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L'homme et son milieu

Avec un brin d'humour, Partons du principe qu'un homme ou une femme


standard est une personne qui a obtenu un diplôme universitaire ou technique
d'un niveau BAC+2.

Cette personne est sortie d'un milieu scolaire après plusieurs années depuis la
maternelle jusqu'à la dernière épreuve notée, soit environ 20 ans.

Au regard de la loi et des principes du code du travail, cette jeune personne n'a
aucune expérience hormis, ses études, ses stages éventuels et ses missions
saisonnières durant les vacances.
En aucun cas, le monde professionnel, n'a laissé une trace dans son esprit ou son
comportement pour affirmer que cette expérience l'a enrichie notablement.
Certains métiers, comme la restauration, l'hôtellerie ou la mécanique générale
peuvent s'extraire de ce postulat outre le faite, que ladite personne reste dans le
même secteur d'activité, ce qui n'est pas toujours vérifié.

L'Homme avec un grand H intègre un nouveau milieu complètement étranger au


précédent, tous les repères sont modifiés et nouveaux pour lui car le règlement
ou les questions posées ne sont plus les mêmes. Il compare ce qu'il vient
d'apprendre avec les problèmes et adapte son raisonnement avec ses nouveaux
collègues en vue de se faire comprendre et expliquer ses réponses dans un
premier temps très académiques. Personne ne lui a dit que le monde du travail
ne correspondait pas au monde scolaire et que les théories apprises devaient
êtres rangées au placard, donc il se persuade que ce nouvel atmosphère ne va
pas le faire suffoquer ou affaiblir son esprit intelligent. Ce même esprit intelligent
qui à été légitimement "sanctionné" par les derniers professeurs de l'état par un
diplôme ouvrant l'horizon à des perspectives positives.

Très vite le bain est à une température acceptable, ni trop chaud, ni trop froid
mais très vite aussi le rythme s'accélère et déplace les idées reçues et centres
d'intérêts de la personne fraîchement embauchée. Le sérieux prend le pas sur les
plaisanteries de récréation et le restaurant d'entreprise feutré et calme remplace
la douce et bruyante cantine universitaire pleine d'odeur de tabac. Les
conversations extra-professionnelles ne sont plus axées vers les sorties nocturnes
de la veille ou le dernier jeu vidéo à la mode mais plutôt orienté vers la future
maison, pas la sienne mais celui du collègue qui va bientôt fêter ses 30 ans et
fraîchement marié.
Non à 25 ans, on rêve encore de quitter ses parents, s'installer avec son ami(e) et
gagner son indépendance à la sueur de son front.

La liberté va bientôt rimer avec loyer mais aussi facture rythmera les fins de mois
durs et les soucis du premier découvert, de la ceinture serrée et des pâtes au
goût d'eau salée sans couverts.

Revenons au milieu précédent car ce dernier s'enchaîne semaines après


semaines, mois après mois et nous étions loin de nous imaginer des nouvelles
capacités et attributions qui sont les notre aujourd'hui.
L'autonomie et le diplôme de natation en eau trouble sont devenu nos amis car
ils nous rassurent et confortent notre avenir mêmes si notre esprit est encore
plein de vide et une succession de morse ou de bips encore inconnus. L'avantage
d'être jeune, c'est que cela se voit et que nous sommes encore pardonnés de nos
erreurs et du " manque d'expérience" vite comblée par, "l'ancien" présent à
toutes les réunions pour nous écraser d'avantage. C'est vrai, les presques
retraités ne sont pas tous comme ça, nous pouvons comparer l'ancien qui ne
partage pas à l'expert très pédagogue.

Concentrons-nous sur le milieu. Quel est-il ?

En fait, certain l'appelle la culture d'entreprise et l'autre une fourmilière. Entre les
deux, il y a un ensemble de mondes professionnels très personnalisés ou
complètement étrangers aux principes et aux respects de l'individu.
Accrochons nous à la culture d'entreprise, celle qui à mon avis est la plus
humaine et en accord avec les équilibres Travail-Famille-Patrie. L'individu lambda
qui grandit au sein de cette culture aura une pousse bien droite et saine et est
rythmé par des activités aussi riches les unes que les autres. Les rencontres
professionnelles et séminaires lui apporteront toute l'expérience nécessaire à
l'accomplissement de soi, selon Maslow évidemment. Que va t-il se passer dans
son esprit, les repères méconnus alors deviennent peu à peu sa logique, son
comportement est tout à coup adapté à son milieu, la justesse de ses propos
commencent même à atteindre l'intérêt des responsables et de l'encadrement,
l'individu devient tout à coup une entité à part entière à la société et aussi une
produit commercial et estimable.

Le fruit de la première société est devenu un produit commercial ou un candidat


potentiel, il peut maintenant écrire une ou deux lignes sur son curriculum vitae
sans complexe et avec fierté.
Par contre que reste t-il de son milieu original ?
Une fusion intellectuelle est créée avec le passé et dévoile un potentiel
professionnel pour réagir aux opportunités qui se présentent.

L'individu découvre une nouvelle nageoire que l'on appellera l'avenir. Tant que le
scolaire n'aura pas nagé suffisamment dans un milieu inconnu, ce dernier ne
pourra pas appréhender l'avenir sainement. Il faut expliquer schématiquement à
quoi correspond la fusion. Prenons l'exemple des nombres entiers et comparons
les à une bulle de savon dans laquelle nous injecterions un peu de fumée
blanche. Que pouvons nous observer ?

La fumée blanche opacifie la paroi de la bulle sans remplacer les nombres


entiers, cette dernière grossit en devenant plus flou en son coeur. Voici ce que
peut être la fusion selon moi.
Seulement lorsque l'apprentissage nous apporte des réponses d'autres facteurs
de l'enrichissement ne s'intègrent pas immédiatement dans nos esprits.
Nous pourrions imaginer un ensemble de sphères collées les unes aux autres
avec un phénomène de lien inconscient en comparaison à la surface visible
commune aux deux bulles de savon. Certaines éclatent, d'autres s'absorbent ou
encore grossissent mais dans tous les cas un phénomène se passe dans l'esprit
de la personne.

Tout dépend du milieu dans lequel il se trouve, mais le changement d'un homme
ou d'une femme peut être radical ou lent. Son évolution sera positive ou négative
mais en aucun cas ne stagnera très longtemps. Ces modifications seront visibles
par son entourage professionnel si l'encadrement ajoute un paramètre que nous
appellerons la confiance. Cette confiance est synallagmatique et permet un
rapprochement avec les responsables augmentant ainsi les probabilités de
réussir et conquérir de nouveaux projets. Dans ce cas, le milieu ressemble à celui
de son enfance mais adapté au moment présent, c'est à dire que l'état de confort
s'apparente à la famille et aux gestes familiers, presque intimes. En effet,
l'individu décomplexé fera sauter ses barrières et ressemblera de plus prêt à sa
réalité personnelle et non professionnelle.

Nous pouvons avancer très facilement la théorie que L'homme est plus prêt de sa
vraie personnalité lorsque son milieu est connu.

Si nous devions mettre son expérience en équation, plusieurs facteurs seront


nécessaires.
Tout d'abord Lui même, l'agent "a " qui ni plus ni moins est l'individu en cours
d'évolution par rapport à un milieu définit.
Ensuite, nous avons le milieu " m " , l'endroit, la zone ou évolue l'agent et dans
lequel il évolue à l'instant t.
Après nous avons le facteur temps " t ", nécessaire pour marquer la durée de
l'agent dans un milieu définit.

Nous allons déterminer la notion d'expérience de l'agent en fonction d'un


milieu dans lequel il opère durant un certain temps. Ceci "n" fois où ce principe
est différent pour un même agent.
Cette cellule du temps pour un agent pourrait se définir de la façon suivante : a
(m+t) exp n
Nous aurons aussi, la période entre chaque cellule déterminée par un facteur
correspondant à la période inactive de l'agent. Ce facteur correspondra à la
somme des durées entre 2 périodes actives. Nous l'appellerons "v".

Soit un Niveau d'expérience Epsilon:


E=a(m+t)expn/v

La période v est importante dans le sens où les connaissances se perdent peu à


peu, partant du principe que la régularité du geste ou l'entraînement quotidien
permet de conserver de la rigueur et une certaines habitude professionnelle.
Donc plus la durée est importante et plus les acquis disparaissent
irréversiblement dans certains cas.
Pour les sujets extrêmes, perdant totalement l'apprentissage scolaire pour jamais
n'avoir travaillé dans le monde professionnel. Il peut arriver que ces personnes
deviennent analphabètes ne sachant plus lire ni écrire correctement. Un
apprentissage supplémentaire est nécessaire pour remonter la pente et retrouver
une place dans la difficile société d'aujourd'hui.
A l'inverse, nous avons l'individu qui à toujours travaillé sans interruption et
présente un CV extraordinairement remplit avec une multitude d'expériences.
Dans ce cas, le facteur v correspondrait au chiffre 1 car n'aurait aucune incidence
discriminatoire sur la notion d'expérience.

L'exposant "n" peut s'expliquer par le nombre d'expériences différentes ou


similaires. Dans tous les cas, la notion de milieu changera l'individu, surtout
lorsque ce dernier est jeune, il aura plus de facilité pour se remettre en question.
A la différence avec l'Homme expérimenté qui imposera plus facilement son
savoir faire dans un nouveau milieu. L'influence sera inversée.
L'homme inexpérimenté sera influencé par son milieu alors que l'homme assis et
expérimenté influencera le milieu dans lequel il se trouve.
Soit un milieu non modifié avec un agent jeune et un milieu légèrement ou
totalement modifié avec un agent plus ancien. Par ricochet ou association,
l'agent ancien influencera l'agent jeune. Ceci s'explique avec l'exemple d'un
changement de directeur ou l'entrée d'un expert dans une cellule de travail. On
se rend bien compte que des modifications s'opèrent par de nouvelles méthodes,
des formations pour augmenter la qualité des résultats. Nous pouvons même
facilement imaginer que la notion d'expérience appliquée sur un individu pour
être associée à l'entreprise dans laquelle il se trouve.
La quantité d'individus expérimentés dans une même cellule de travail accroît la
capacité de l'entreprise à intégrer des projets de plus en plus complexes. Ce qui
accroît aussi la fiabilité, son chiffre d'affaire et sa crédibilité envers les clients
potentiels.

Nous voyons un changement rapide lors des discussions sur un sujet précis où il
faut absolument avoir des réponses à fournir rapidement. Chaque agent
apportera une pierre à l'édifice en ajoutant une remarque ou une idée appelant
une autre et une autre jusqu'à trouver la solution. A l'image du jeu : " j'en ai
marre - marabout - bout de ficelle - scelle de cheval - cheval de course...." On se
rencontre que l'expression "Etre un maillon de la chaîne" prend un sens lorsque
l'on participe à des réunions dans lesquelles la synergie de groupe est
importante. Positivement, le plus jeune du groupe avec le moins d'expérience
aura contribué à faire avancer un problème et gardera en mémoire cet instant
limité comme une couche supplémentaire de son savoir.

En fait, l'importance du sujet à l'instant "t" est proportionnelle à l'expérience


engendrée. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, le temps n'est pas un
facteur d'évolution, il est simplement une constante...Si nous devions résumer ou
calculer le temps réel passé à augmenter son expérience, nous serions surpris
du temps perdu.
Prenons l'exemple d'une journée de 8h00, un individu lambda travaillant dans un
bureau, remplit ses tâches quotidiennes, rencontre des individus, discute sur
différents sujets, mange en parlant ou parle en mangeant selon, ou encore se tait
et réfléchit. Combien de temps a t-il consacré à se réaliser pleinement au sein de
l'entreprise. Même si cette personne est capable d'apprendre tous les jours
quelque chose de nouveau, il devra passer du temps à échanger et faire des
actions administratives ou sans valeurs ajoutées pour lui-même.
Sur une durée de 5 ans dans un même milieu, à raison de 218 jours travaillés
(selon les standards du code du travail français), nous avons 218 jours x 8
heures x 5 ans.
Soit = 8720 heures de présence dans la société. Admettons que nous avons un
réel apprentissage à hauteur de 20 à 30 % du temps passé chaque jour, nous
aurions un maximum de 2616 heures consacrées à de nouvelles expériences. Sur
5 ans, nous avons passé 1an et demi à grossir notre expérience.

Soit par tranche de 5 ans :

5 ans ==>1,5 an d'expérience 3,5 ans de " temps perdu " soit t=1,5
10 ans ==>3 ans d'expérience 7 ans de " temps perdu " soit t=3
15 ans ==> 4,5 ans d'expérience 10,5 ans de " temps perdu "
20 ans ==> 6 ans d'expérience 14 ans de " temps perdu "
25 ans ==> 7,5 ans d'expérience 17,5 ans de " temps perdu "
30 ans ==> 9 ans d'expérience 21 ans de " temps perdu "
35 ans ==> 10,5 ans d'expérience 24,5 ans de " temps perdu "
40 ans ==> 12 ans d'expérience 28 ans de " temps perdu "

Il est vrai que l'on ne peut pas dire non plus que la première année et demie ne
sert à rien, donc il faut imaginer que potentiellement, nous apprenons plus de
choses entre 0 et 2,5 ans que nous n'en apprenons entre 2,5 ans et 5 ans. Mais
ce laps de temps orientera nos capacités d'apprendre et confirmera ou non notre
motivation dans le secteur choisit.

Sur la totalité d'une vie professionnelle, nous arrivons à observer que nous avons
passé moins de 15 ans à réellement apprendre grâce à notre métier. Nous
pourrons éventuellement changer le pourcentage (%) jusqu'à 50% ou 60%
lorsque les métiers sont dans les secteurs de la recherche (multiples) , de la
médecine ou de la politique.
Sommes-nous certains que tout ceci est du temps perdu ?

Oui en partie, mais si nous prenions la moitié de ce temps pour le consacrer au


rapport humain nous nous rendrions compte que l'évolution personnelle passe
aussi par le rapport sociale au contact de nos "congéllègues" (collègues
congénères) . L'observation est un "sens" propre à l'homme qui lui permet
d'apprendre et répéter par lui-même pour ses propres offices. Tel un radar furtif
et équipé de tous les appareils modernes, l'individu récupère ce qui lui servira
plus tard. De manière indirecte et grâce au milieu dans lequel il se trouve, la
moitié de son temps est consacré à l'observation des autres. Dans certains
milieu, il est aisé d'apprendre des autres et réaliser une juxtaposition de son
savoir avec celui d'autrui. Malheureusement, le bien a toujours son contraire et
nager quelquefois en eau trouble, oblige de croiser quelques requins inattendus.
Il ne faut pas perdre de vue, le rôle de l'Homme dans une "société", car son
potentiel est sans cesse remis en cause par l'encadrement.

La hiérarchie à son intérêt dans la capacité d'un employé à raisonner devant un


projet et résoudre les problèmes rapidement. Sa valeur commerciale dépend de
la crédibilité de cette personne à l'intérieur du milieu. Le milieu peut devenir
alors, un groupe de personnes. En autarcie, le groupe peut se développer
indépendamment du reste des groupes d'une même entreprise. Il arrive même
que les méthodes diffèrent d'un groupe à l'autre, alors que tous les individus
travaillent dans la même société.

Dans ce cas, il est difficile d'imposer un milieu identique dans une société
regroupant un grand nombre de personnes. Au delà de 150, l'influence n'est plus
la même, nous pouvons représenter l'influence avec une pierre jetée
verticalement dans l'eau. L'onde de choc sera différente et n'éclaboussera pas
toutes les personnes de la même façon, selon le rapprochement ou l'éloignement
que nous avons avec la hiérarchie, dans de l'information symbolisée par la pierre.
Ce qui revient à dire que le coefficient "m" du milieu ne peut pas s'appliquer sur
toutes les personnes de la même manière. Elles sont plus ou moins influençables.

Soit m et n directement lié avec a, sous les formes suivantes :

Pour un agent jeune dans le premier milieu , a < m exp (n) et n = 1 ;


Pour un agent ancien dans un milieu , a > m exp (n) et n= nombre de milieux
différents ;
Pour un agent intermédiaire , la difficulté de le mettre en équation réside sur la
capacité d'adaptation de "a" à s'intégrer dans "m" surtout si "v" intervient dans la
formule.

soit :

La notion d'expérience est un principe qui relève de l'objectivité des personnes à


percevoir une capacité professionnelle envers son voisin. Nous sommes capable
de juger de la supériorité ou de l'infériorité, appelé aussi aptitude d'une
personne à être qualifiée pour un travail donné. Comment être certain de
l'aptitude de la personne à savoir gérer un stress, s'adapter à un contexte ou se
sociabiliser dans un groupe.

Est-ce qu'un homme expérimenté sera toujours supérieur au candide ?


Il n'est pas certain que les paramètres mis en placent soient suffisant si l'agent
"a" n'est pas pris en compte de manière plus intuitive.

L'axiome ne prend pas en compte l'humeur ou la sensibilité de la personne. Il


faut dans l'intérêt d'un résultat plus précis, établir un barème, lui basé sur le
retour d'expérience, afin de calculer "a" en fonction des sentiments de l'individu.
On peut préfigurer un individu lambda anti-sociale comme un facteur négatif au
groupe et au contraire quelqu'un de très avenant ou "moteur" comme un agent
positif dans le groupe. Avec cette façon de percevoir les choses, nous pouvons
inclure des expériences négatives, au même titre que nous pouvons déterminer
des milieux négatifs à la croissance.
Dans un cas "a" diminuera la somme des expériences , à l'image d'une personne
pas faite pour ce milieu professionnel.

Dans un cas "m" diminuera la somme des expériences, à l'image d'un groupe ou
d'un encadrement ayant une influence négative (pression, stress, mauvais
résultats) sur l'agent. De même qu'un projet sans intérêt ne fera pas évoluer la
personne au sein d'un même milieu.

Est-il possible d'avoir a=m ? Est-ce que l'agent est égal au milieu ?
Oui, lorsque le dernier est créé par le premier !
En effet, un artisan construit un milieu qui lui est propre et ne se sert que de sa
propre expérience. Dans son cas, le milieu influant sera extérieur à son milieu
professionnel ou part une société comparable à la sienne. Car il devra se projeter
pour améliorer ses résultats au titre de la concurrence et du meilleur produit sur
le marché. Dans ce cas, seul le temps influencera ladite expérience de la
personne. Le terme du savoir-faire prend une certaine importance dans ce
contexte car le geste sûre et l'appréhension du problème seront déterminante sur
le résultat obtenu. De l'artisan ébéniste travaillant de ses mains à l'artisan
boucher choisissant la meilleure viande, il faudra du temps pour acquérir une
expérience reconnue. Seule la persévérance et l'opiniâtreté garantira à l'agent un
juste retour des choses sur l'appréciation de son travail.
Ces Hommes ou ses femmes resteront dans un milieu identique sur une grande
durée et accompliront "l'œuvre de leur vie".

NT

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