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iw le die at bo inkerprelahin stmt. 1058 -5D-- [A]. 12) wovemene vase haldiee - Giatelap eng = 3 Ahi, ta Gers, okey aS, (HEAR pops Di he A Soa fag p SA. 2, Nous allons parler cotta ennée du désir ct-de son intere: prétation. “les | “Une analyse est uns thérapeutiquo, dit-cn ; disens un traitonent, un traitement psychique qui porte & divers nivesou du poyehisne sur, dtabord g'a été le premier objet sctanti- | fique de son expérience, de ce que nous aprellerons les phé= : nomdnes warginaux ou résiduels, le sve, les lapsus, le : : ' * trait d'esprit, J'y ai insisté l'année dernitre;’ sur des i synptOnes. we see : I D'autre part, si-nous entrons dans cet aszect curatif, du treitesent sur des syaptOmes au sens lorge, pour autant auti¥o ce “senifestent dene le sujet par des inhibitions, qutelics sett constituées en syaptines et soutenues per: ces synzt0aes, dtautre part ¢d traiténent nodificatour de i struéfures, de’ ces structures qui atappetiont névroses ou | neuro-psychoses que Freud a dtabord en réalité structurées et qualifies o. e neuro-psychoses de défense. La psychanalyse intervient pour traiter & divers ni- ‘veaux avec ces diverses réalités phénoménales en tant qutelles nettent en jeu le désir. Ctest nomménent sous cette rsbrique du désir,conne significatifs du désir cus les phénoatnes que j'ai apzelés ¢ arg: ux, ont été dtabord app: les symptOnes ie nous voyons déerits d'un bout 2 l'autre de la penaée de Freud, ctest l’intervention de l'angeisse, : §i nous cn faisons le yoint olé do le détVyninattoa des sympt9nes, mais pour autcnt qua telle ou telle activité qui va entrer dans le jeu des synyttncs ect érotisée, mieux : ctes dire pris? dans ls aécanisze du aé: Enfin, qu . signifie mine le tere de défanse & prom pos ded neuro-paychoses, si ce n'est défense contre quot ? Contre quelque chose qui n'est pas encore eutre chose que “de adsir. : ‘| Et pourtant cette théorie analytique au centre de la~ . quelle il est suffisant a#indiquer que le notion de libido se situe, qui ntest scint autre chose que l'én chez: chiuue dudgair, at _guelaus chose, stil st git dténe dans quoi, je l'ai 2éjh indiqué en passent, rarpelez-veus autretdlp la ntaphore de L'usine, certaines sonionetions igque et _du_réel sont nécessaires pour que méne subsiste la notion d'énergie. Mais je ne veux pas ici, ni starréter ni m'appesentir. Cette théorie analytique donc repose tout entitre cur “eette notion de libido, aur l'énergie du désir. Veiei que depuis quolque temps nous la voyons de plus en plus orien- tée vers quelque chose que ceux-1h m2meo qui soutiennent cette nouvelle cricntetion, articulent eux-némes trés cons— 23, ; oh og (4, ctenment, eu moins pour Led plus conseients g!entre eux ayant, WY" enprunté b Fai born, il l'écrit & plusieurs recrises, zarce qutil no cesse d'articuler ni d'écrire, nonménent dans le recueil qui stappelle " sychoanelytic Stwkies of the per sonalgty”, que la thSorie moderne de L'analyse 2 que_chose 4 ltaxe gus Ini evait donné dtador sant ou en considérent que ta libido n'est p. Tplessure-seting", cenne stexpr "objecta=seeking". Clest dire que nonsieur Fed, “plus typigue de cette tendance moderne. Go que signifie cette? tendance orientant’ le fonction de le Livido en fonction dtun objet qui lui serait cn quel- que ‘Sérte grédestiné, ctest quelque chose A quoi nous avions déji feit allusion cent fois, et dont je vous ai nontrdé sous nille-formes les incidences dans la technique ct dans ours re= la théSsie analytique, evec ce que j'ai cru & plus <7 \ prises pouvoir vous y désigner comae entrafnant des dévia~ au 6 We ; _ tions pratiques, quelques unes non sans incidences dangereuses d'un amour qui se refuse mine & stavouer. L'inportance de ce qne je veux fous ticna pour vous faire eborder aujourd'hui le problans, ctest en sonne ce 1 yoilescnt da rot ntne dési pulation de l'expérience analytique, et en quelque sorte : qui apparaft dens toute la mani- quelle inpression je ne direis'ras de renouvelienent, je dirais de dépaysenent, nous produisons & le réintroduire ; je veux dire qu'au liew de parlex de Libido ou atobjet séni~ a7 z tal, nous parlons de désir génitel, "Rous epparattra peut-, @tre tout de suite beaucoup pluo’difficile de censidérer comme allant de soi que le désir cénital et se muturation inpliquent par Soi tout seul cette sorte “& possibilité,au- @touverture, ou de plénitude de réalisation sur l’enour dont il secble que se soit devenu ained doctrinal, d'une eer ne perspective de le saturation de la libido ; téengance, et Féalisatiog, et implication quant 2 la naturation 4e la i+ bido, qui parcissent tout de nine d'eutant plus surpronzates qutelles se produisent au sein d'une doctrine quia été oré~ cisénent le rremitre non seulerent 2 mettre en relief, néne & rendre conpte de ceei que 4a classé sous le ti- tre'du revalement de la vie anoureuse, clest & savoir que’ si eh/effet le désir senble entrafner avec soi un certain quantum on effet d'ancur, clest justenent et tres précisd= ment, et tres souvent dtun emour qui se présente & 1a pere sonndlité comne conflictuel, d'un amour qui ne stavoue res, | | | -5- _D'eutre part, si nous réintrodvicons eussi ce act dée sir 1k ol nous déterninons coaue affectivité, soune seatie nent positif ou négatif, sont enployées courannent dans uae ; sorte d'approche honteuse si-on pcut dire, des forces en- core efficaces, et nouaénent par la reletion anclytique, var meued ze transfert. Il ne semble que du_seul ¢. itde l'emploi de Denies ge_mot, un clivace se produira qui aura gar luicngme quelque chose d'éclairent. Il stagit de savoir si le transfert est constitué, non weep ke ‘ plus par une effeetivité ou deo sentiments positifs cu né~ May to > $ gatifs que ce terme comporte de vague et de vei sais “il stagit, et ici an-nomue le désiz éprouvé par un seu, sexuel, ¢gsir ressif & ltendroit « iyse, qui nes : 7 apparaitra tout de suite et du yrenier coup dtoeil. ces ¢ oe sirs ne son de ce frit nfne le transfert nécessite d'étre défini par eutre chose sue ‘ . g ow négative (d'affectivité); et enfin de sorte que si nous pronongens 12 mot désir, le dernier bénéfice de cet usege” pleinne'est que nous us denenderons_qutestace, shest que _le désiz. Ce ne seza pas une question A laquelle nous ons ou nous pourrons réponire, Sinplenent, si ge n'étais ici 1ié : par ce que je pourrais appelor le rendec-vous urgent que eee “ ‘ei avec mes besoins pratiques expérienticls, je we serais . permis une interrogation sur le cujet du sens do ce not sir, aupris de ceux qui ont été plus qualifiés pour en va- 7 loriser l'usage, ctest & savoir les po¥tes et les philosophes, Jene le ferai pas, @tabord parce que l'usage du mot 4ésir, la transeission du terae et de la fonetion du dési: dans la podsie, est quelque cho: que je dirais, nous retrou~ verona aprés coup si nous poursuivons adgez loin notre ine vestigation. S'il est vrai, conme ctest ce qui sera toute “sla suite de non développenont cette année, 7 du_désir_est profondément marause, ar taine fonttion du Jongage, & wn certain repcort du sujet au Signifiant, ltexpérience analytijue nous portera, je l'espere tout au moins, assez loin dans cette e: oration pour que nous trouvions tout le temps & nous aider, peut-Stre de . l'évocation proprenent poétique, qui pout en Stre faite,et aussi bien & conprendre plus srofendénent & la fin la nature “de 1a création poétique dans ses rapports avec le désiz, Sinplerent je ferai remarguer que les difficultés dans le fond nine du jeu d'toccultetion que vous verres étre au, fondyge ce que nous découvrira notre expérience, apparatt . déjb en coci par exemple que précisénent envoit bien dans la podsie conbien ler. ies 20. f nmode L ai Bal, si on peut dire, de 1a seinture de son objet. Je dirais, © $ quite cer%gard la pod figurative - j'évoque presque les pet, Foses et les lys de la beauté - a toujours quelque chose qui nt ime que le désir dans le registre d'une sincu~ (litre froideur ; que par centre la lof X grrr pads do ce groblénc de l'4vocation ¢u désir, clest dans une poé~ sie qui curieusement se présente conme le podaté que l'on ct appolle aétayhysiaue, ot pour ceux qui lisent l'anglais, je : mo prendrai ici que le référence lo.rlus éninente des postes nétaphysiques de la littérature anyleie®, John Dawee.., our + que vous vous y reporties pour constater combien ctest t -+préciséaent le problime do la structure des repports du dé~ siz qui est 1& évoguée dans un podae eSlibre, par exeaple ; ; Ye . . "The -cogeusy", ot dont le titre indique asses les an ees, on s'élabore peétig i | avoad sur le plan lyri- que tout ai noins, Bl p06 igque du désir quand il est Je laisse de cdté ceci qui assurénent v2 becucoup plus ae oin pour présentifier le désir, le jeu du pobte quend 12 -starne de l!action drasatique. Ctest-trés précisé at ls i : : ' dimension sur laquelle nous aurons 2 reveniz cette eanée. rd : Je vous l’annonce d4éja parce que nous nous en éticns eppro- si chésnl'ennée dernitre, c'oct la direction de la coxéat _ y —— Haia laissons 1i-les pottes, Je no leo ei nonnés 18 A . | qu'a titre d'!indication lininaire, et your vous dirs gue nous les retrouverons slus tard plus ou moins diffusénent. ee ~ (Je veux“plus'ou coins alarréter.& ce qui a été a-cet endroit’ la position des philosophes, parce que je crois qu'elle a cat dota pater oe ett EEE été trbs exenplaire du point ot se situe ; Fl oot ur nous le pro~ . ‘ bline. Jtai yris coin de vous écrire l&-haut ces trois ter- en tant qutelles recherchent le ilaisir, en tant qutelles recherchent 1'ob= je + Clest is_toujouks s'est zosé cour la réflexion et pour la morsle - j'entends la norale théo- Fique, 1a opérations de philosophes, teut spécialenent dit-on, d'éthi- eiens. Je vous ai déj& indiqué- remarques au pessace en fin de compte 1a base de toute morale qué l'on vourrait ap= peler fealiste, conae on pourrait voir en quoi le terae ale nme sens, en quoi la philosophie nédisvele, on . Coale! de théorie physique de 1! est opposée & 1a théorin ty! rle mour, au sens ob p: nkelle fatigue de l'amour. La base de toute morale qui s'est excrinée jusqu's présent, jusqu'é un certain point dans 1s tradition chilosophique, revient en . sonae & ce qu'on pourrait appeler le tradition hédoniste t_una_sorte_d'éouiyalence entré 3 ob llobjet le Libido, au sens ot il est un biens plaisir su reng des « e.sujet, voire mine & sty refuser dés lors quton en a le néme critare au rang du souverein bien. bt Gette tradition hédoniste de la morale est une chose ‘cette naftrise d'une morale de maftre, de ce gue le -o- re, qui assurdment ntest cazable de cesser, d prendre guta pertir du woment ob l'on est en quelyue sorte engagé dans je dialogue de 1'école, qu'on ne o'apergoit plus de ses pa Fedoxes, car on fin de conpte quoi de plus contreire & ce que nous appellerons l'oxnériease de le raison pratique, gue cette pré tue convergence du pleisir ot du bien ? En fin de compte, si l'on y regarde de pros, si l'on regarde par exemple ce que ces choses tiennent dans aris- tote, qutest-ce que nous voyons g'éleborer ? Et clest trés clair, lec choses cont tras pures dans Arist te. Clest assu- rément quelque chose qui n'arrive flatteur, les toraes de la tempérance ou de l'intempérance, elest-a-dire de quelque chose gui re ausot s sve de le a quert. 2 ses nroores habitudes, ee de cette théorification ost tout & fait fraypante. si Yous relisez ces passages célébres qui concernent précisé~ ment l'usago des pleisirs, vous y verrez que rien n'eatre danséeette optique morelisante qui ne soit du registre de P ipliner, peut discivliner beaucoup _de_choses, prine peut diseipliner, pew cipel nt conportant relativenent & ses habitudes, ctest- A-dire au manienent et 2 l'usage de son noi. Meis pour ce siz, vous verrezaqual point Aristote lui-néme gui_est dua - 10 - doit reconnaftre, il est fort lucide et fort sonsesont que ce qui, résulte de cotte tide } sation morale pratique st théoe : : j | rigue, c'est que. les ca Ors viz les désiva oe résentent tzbo rozidenent au-dola dtune certaine linite qui est pré- cisément le limite de la naftrise st du nod 4 : eee ee eee nny ans le domaine de ce gu'il eppelle nonaénont la bestialité, Les _désirs tant est gu . Moeccasion ctest tme quelque chose et d'ailleurs il a une conception & moderne du fait cue quel; 2 chose 2 pourrait assez bie traduire par le fait que 1 seurait @tre juzé la-dessus, ce qui reviendre dire que dens notre vocabulaire, {1 ne caurait tre seconnu comze responsable. Ces textes valont le seine d'étre 16s. Vous vous z sees nti ot ATA She EM > y Gclaires & vous y rerorter, : Ve quelqutun que de‘ cot shigue, il est Je voudraia tout de atse ici nonzer, nomnex, conse 2 nes yeux le oré “y trois 2tre nouveau, qu'il neus urseur de ce quelaue chose que je faut considérer comne nou= : Yeau dans, disons, le prosris, le sens de certains r pports de Lthomns & luinnéme, qui est celui de l'analyse que Pred ! Seieeye. * Crest spi e 3 , Spinoza, car aprbs tout je crois que ctest chez os : te constitud. : 7 how ste te elle nnsl, que l'on Bik,ep tout cas avec un accent asses excep peut lire une formule coame celle-ci : Quo le décir est Ltessence mtn: se_ithomne", Pour ne pes iccler le conrence- ment de le formule de sa suite, nous ajouterons ; “Your ausant qu'elle est congue a partir de quelgutuncde ses affec- tions, congue cone déterminde ef dominge par l'une quel- Songue €o sex affections & faire quelqudpphose". On pourrait déja beaucoup f ire i partir de 1&8 pour articulsr ce qui dans cette formule reste enco: si je puis dire, irrévdlé ; je dis irrévélé perce que bien entendu oa Fem ne pout pas traduire Spinoze parni Freud, £2 est quand nfne tris singulier, jo vous le donae conse un téao. singulier, sans doute ycersonnellencat .jtai. p de propension qu'un sutre, et dans des temps trés enciens i besucoup pratiqué Spinoza. Je ne crois pas sour autant - que ce soit your cela qu’ le relire & partir de mon expé= fience, il me cenble que quelqutun qui particiye & ltexpé- | rience froudienne pewt se trouver aussi A l'aise dans des | i xtes de celui quia éerit le wesservirt husane", et pour qui toute la réalité hunoine séa. structures. storganisant en fonction des attributs ¢e la substance divine. Hais leissons de cété aussi pour l'instant, quite x { ‘revenir, cette anmorce, Je veux vous donner un exenple beaue i coup ply accessible, et sur lequel je clorai cette référence philosophique concernant notre probltne. Je l’ai pris 18 au a ae Se aiveau'lo ylus accessible, voire le plus vulgsire de ltace : evs que vous pouvez ¢n avoir. Ouvrez le dictionnaire du char~ mant défunt Lalande, “Le vocabulaire philosophique™, qui est toujours, je dois dire, en toute ¢ ce d'exercice de cette nature, celui te faire un vocabulaire toujours une “ des choses les plus périlleuse fructueuses, telleaent le len qui est dec grebliwes, On cst sr q s+laire on fera toujours quelque chous de suggestif. Ici nous trouvons ceci : "Désir (Begerane, Beguerung)"= il n'est pas en Gnutile de rapzeler ce qutarticuls le 46 dans le plan fante [ messeemtess allemand - "tenéunce spontande et © vers une fin gue vous imaginez". ine, fin gue veus imagss * "Le désir r- pose done sur la tendance dont il est un ces particulier et plus complexe. Il stpppose dt part a le volonté ou & la volition en ce qufelle superpose 12 la cops- @inetion, au moins monentangéc, des tendances ; 22 l'opyos Z tion du sujet et de l'objet ; 32 1a conscience de se prom Ss ; : : + pre efficacité ; 42 la pensée des moyens par lesquels se réa- lisgra la fin voulue”. : & . Ges reppels sent fort utiles, seulenent il est & _rener- lans_un es pour le situer par zhicle qui yout définir le désir, il y a eee deux lign t Bla _tendance, et. que_touy oppenent se rapporte & la volonté.. Glest effectivenont & ceci que se réduit le discours sur lo désir i | ; ' { i =e @ans ce Vocabulaire, & ceei pros yuton y ajoute encore : : . “Bnfin selon certains rhiloscphes, il y a oncore b la ( volonté un fiat..dtuag nature spécisle irréductible aux ten } dances, et gui constitue la liberté”. Je né sais quel air dtironi. dons ces dernitres lignes e désir et la tendance & procurer une énoticn En_note © au: ineginge, ctost le volonté naturel) egtun plaisiz" (Citation de Rocue). Ce terme de volonté naturelle ayant tout son inté de référence. Yay A quoi Lalande personnellement ajoute : "Cotte défini- zl tion arett trop étroite en ce qu'elle ne tiont yas asses conte de ltantériorité de certaines tendences rar razr 3 ¢ - "+ aux Snotionz corrospondantes. Le aésir semble = re escentiel~ t qi Jement le désir d'un acte ou d'un état, sans gutil seit né- cessaire dims tous les cas de le représentation du affectif Je catto fink. i Jeo pense que cela veut dire du pleisir, ou de quelque ciost dtautre. Quoiqu'il en soit, ce n'est certainenent as “sanéQposer slo probldze de savoir de.quoi il s! c'est de la resrésentation du plaisir, ow si c'est du plaisir,! Certainement je ne pense pas. que la tiche de ce gui sto= pere pgy le vole du vocabulaire, pour easayer de sérrer la Signification du désir, soit une t&che simple, d’autant plus gue peut-Stre la tache veus ne l'aures pas non plus par la - ue i tradition 3 quoi elle se révile absolumant gr 7 tout le decir oct-il le réelité psychologique,rebelle & : Repteterganiantaoni-eteen-eis-actconpe bers ceae-uae ive < 7 agustraction des caractires indiaués our Stee ceux do le i volonté que nous pourrons arriver i ncus approcher de os i quiest la réalité du désir ? ae 7 Nous aurons alors le centraire de ge,qui nous 2 eban- 4 donné 1a_non coordinotion, ‘nine mozs} anée,des tendances, ., Lopposition du su, e Liobjat, serait yrainent rating. De af: nous serions 1& dans une présence, une tendance ‘ ; teacité, “SE: sans conscience de sa yropre sfficacizé, Sins penser les nots par lesguels elle réalisera la fin désirée. Bref, assu- | réuent nous sopavs 23 dans un e ye Ltanal i : 4 ' I { { | i "lyse dessine tris précisément au niveau, 4 ses différents niveaux, la_puls Qe non L [de wot jecorgination, ntaz moaentan on, pour autent qu'elle est justement ceci : des tendances, le fan~ 7 facme pour autant qu'i? introduit uné erticulation essen- tielle, ou plus exactexent une esptee tout & fait carectéri- tay sée.3 lin’ ieur de cette vague déternination la non op position du-sujct et de l'objet. Ge sera précisézent ici cette année netxe but que dtea- fe :sayer Sé/aéfinir oc cutest Je fante peut-¢tre agre ua poo pou plus précicézent que la tradition analytique jusqu'icd -15- . aéfinir, Pour ce qui reste, dornierstcrmedde l'idéalicae de le 7 pragaative, qui sont ici iapliqués, nous n'ea retiendrons pour l'instant qu'une chosestrés nrécisémont conbien i 4 sir et ae [tfansizeer en fone~ & a leas difficile. ¢e situer le di tion de références purcaent objectalea. Neus allone ici nous arrfter pour Ghtrer i proprenent Le parler danc lcs termes dans lesquels je pense pouvoir cette a ‘ennée articuler your vous le problime de notre expérionce, en tant qu’ils sont nowa ent ccux du désir, du désir et de So son interprétetioa. Déjl le lien interno, le lien de cohé— iz et de son ine | Fenee dans ltexpérience saalytigue du dés. lque chosr que seule - : ang gerne | Lhabitude nous enpSche de voir, cosbien est subjective aéje & soi tout seull'intergrétation du désir, et quilque chose qui nous soit en quslque sorte lig do fecon aussi interne, ion du dézir. ifzste 41 senble bien, 3 Yous saves de quel point de vue, je ne dirais pes.n i partons, neas chemincns, car ce n'est pas dtaujourd' aud que ‘gpus somaes enseable, je veux dire qu'il y a déJi cing i ans qie nous essayons de désignsr les linganents de lu coa~ j préhension par certeines articulations de notre expérience. ; Yous" sgyez que ces lindanents viennent cette année coaverger sur ce problime qui peut tre le problime point de concours 7 : desous ces points, certains éloignés les uno des. autres, dont | | i | i i ~ 16 - je veux d'abord pouvoir prépsrer sen abord. - La psychanalyse - et nous.avons merehé ensemble au cours de ces cing an lyse nous acntre essentioll ts tituant dz le chatne fiant Que cette prise sens doute ost lide au fait de l'honme, %, néis aue cette prise n'est’ pis coextensive » ee fait dans ce sens que l’houne parle sens dcute, mais pour parler ik a A entre: dans le lengage et dans son discours préexistant. Je.dirais, que cotte loi de la subjectivitésque l'analyse., elief, oa dérendance fendanente. sigue chos: de tellenent essentiel que Litté~ Logie en eux-m ralenont clei slisse toate la ps7eh Nous dirons qu'il 7 a une psycholosie qui ect serrie, i pour auteat que nous pourrions la définir conne la somne des études concernang ce gue nous pourrons. epreler au seas lar: Bref, les fonctions de la sensivilité yar raypert L un organisze. Tous voyez qué ; 1a tdut est dnpliqué, non seuleaent toutes les données exe périnontoles de le psycho-ghysigue , nais aussi bien tout ce que sout epporter dans l'ofdre le plus général, le mise en jew'yes notions de la forme quant & lteppréhension des 7 ~moyens du naintien de la constence de l'organisae. Tout un + champ la psychologie est ici inscrit, et l'expérience i i | i 1 i i t ot 7 7 7 = ! | i - ate i Beet “" propre Soutient cc champ dans lequel la recherche a2 -po: reuse. : : Mais ta gad ectivité dont 1) stagit, en tunt gue i Hl : ans le langace, em tent qu'il est pris, qu'il i le veuille ou pas, ct qu'il y est pris bien au-del: du sae i : voir qu'il en a, ctest une subjectivité qui n'est pas i: : 7 nente & une sensibilité en tant qutici le terme sensibilité | Yeut dire le couplestinulus-réponse, pode la raison suivan- i te : ctest que le stimulus y est donng en fonction _dtin etde . i Ghee peau aanane doe ordre, au besoin qui doive sty traduire, | eee Starticule ici L'énission, et non pag, dtun sisne conne ! on peut & la rigueur le dire, au moins dana le yersyective ' expérimentale, dans 1! euve cxpérineatale de ce gus jtap- | | pelle le cycle stinulus-résonse. On peut dire que ctest un signe que le milieu extézieur donne & l'organisme dtevsir & répondre, d'avoir & se défendre. Si vous chatouilles 1s _ Plante des pieds dtu: nouille, elle assure un sicae, elle wy répond en faisant une certaine détente musculaire. Mais pour _autant que la‘ subjectivité est sris 5 he langege, il ya ésission, non pas d'un signe, nais d'un si gniffiant, clest-Lsdire retenez bien ceci qui paraft sinple : que quelque chose, le sicnifiant gui vaut non pas co: on Je dit qusnd on parle de la tnéorie de la communication de chose, 7 “Ts quetqug, chose, qui vaut par rapport 2 une troisit 5: que ce signe représénte encore tout récemment, on. peut lite ceci avec trois termes + ce sont les termes ainimtm, il sas abel D 4 18 - dente? faut’ qutil y ait vnf elt conus qui entend, 12 suffit eae suite d'un signifiant, il nty.a néme pas besoin de parler Q'ézettour, il suffit d'un signe et de dire que cesicne ‘signi fie_une_troisti chose, gutelle reorésente On la construit fausse, parce que le signe ne vaut pas par. rapport & une troisime chose qu'il représente, mais il vaut 4 par rayport & un autre signifient qu'il “test pas. Quant A ces trois schémes que je viens de mettre our “Le tableau : i ( Je. veux vous en nontfer, je dirsis non pas la gondse car ne vous imaginez pas qutil stazit 1h d'étape, encore que quelque chose puisse sty retrcouver 4 l'occasion a'étare ef- “D, fectivenont réalisée par le sujet, il faut bien que le sujet” _voyes_oas. U d’diyres an fens ow 3 y prenne sa glece, mais il atagirait e'étace typiquey at étapes [deideelabion J stagit Hiatot.atune génération, et wav marguer ej \ooigue de chacunde_ces [sdérag sacle qu = : am ? e- aoe A Ch Ba] ch mn ET celui qui le auit. Quiest-ce que représente ceci que nous appellercna 2, Sihnes seaeieet tia tiara ifinnte. Gutost-ce & dire ? Cette structure basée, fon- Ceci reurésente Js chatn a f damontele, scunct toute manifestation te lanrage & cette condition d'étre réglée par una succession, eutrement. dit par une djachronie, par quelque chose qdi se déroule dons le temps. Nous. laissons de cdté les rropriétés tonporelles “v intéréssées. ous aurons pout-ftre Ly revenir dens leur temps. Disons qufansurdnent toute 1a plénitude de 1'étorre ‘eg temporslle, cone on lit, nty est point appliyuée. Tci-tes choses se résuzent b le nction de le successicn, ave se ut déj& emoner et implis er de noticns de scan~ 3 nous nten so: encore 1k. Le seul a énent discret, ctest-k-dire différenticl, est ta base sur laquelle va s'instaurer notre proptéae de l'implication du sujet dans le sigaifiant. ique, étant donné ce sue je viens de vous fai- jee Cec. re-remarquer, 2 savoir nifiant se définit yar son rapgort,.sen sens, ct grend sa valeur du rarnort & un autre nifiant d'un syotime itoysccit, ze ns dévelcppe dans uns dinension qui inpliaue au 5 eset ie " en aéne temps une certsine synehronie des signi Ss, Sree ctest cette synchronie des signifients, 2 savoir ivexis~ 4 “tence d'une certaine batteria sicnifiante dont.on peut poser vsommes loin d'en tre réduits 2 ce mint = 20- le probline de savoir quelle est la batterie minimale. J'ai essayé d2 uexercer 4 ce petit grobline. Cela no vous entrate nerait pas trop loin de votre expérience de saveir si apres tout on pout faire an langage vee une batterie qui sonble tre la batterie nirincle, unc batterie de quatre.Jé. ne crois pas ques ce soit impensable. wWais laisscns cela-de cote. 3, IL est cleir que dans 1'état actuel des choses, new. ligne rezrésentitive de la chatne signifiante, O'est & sa- veir la fagon dent le sujet a l_entrer dans le jeu de la chaine sicuifisnte. Ceci qui est rozrésenté par la lisne pointillée resrésénte la promitre rencontre au niveou chronique, eu niveau de la sinultanéité des sicnifiants. Tei s'est 11 gue jtappelle le goint de rencontre du code, in d'autres ternes, cfest your autant que l'enfant stadresse & un sujet qu'il cait garlant, qu'il e vu parlant, qui lta énérs pénéjs: nidre du jour ; c'est ;our autant qu'il y a quelque chase ae ra, is le début de son dveil & le lu- qui jouc cozae jau du sicnifiant, come moulin & paroles, que le sujet a 2 approndre trbs t0t que ctest 14 une voie- aérilée ar ot essentis t doivent stabeisser les na le: nifestations de ses desoins pour étre satisfeitey -21- c iy’ Tei le deuxitme point de recoupument ost le yeint ob deuzitne point de reeoupone: i : se produit le meszage, et est conatitué par ceci : etest que | SESEese ctest toujours par un jou rétroactif de la suite des sig fiants que lo significetion steffirme et se grécise, clest= i B-dire que clest aures cous cue le message orend forme i partix du cisnificnt qui est 14 enevant de lut, du code %3, : qui eat on avant de‘ lui, et sur lequel itversenent lui, le - messoge, pendent qu'il se formule & tout instent, enticipe tire une traite. . 7 . Je vous ei déju indiqué ge qui résvite de ce processus. En tout cas ce qui en résulte et gui est makquable sur ce schéma, c'est ceci : ctest que ce quiiest & J'oricine scus = * la fers: d'écleston du besoin de le + ance, conre dissent .) les psychologues, qui est 1h représenté sur son schéza, 12 , Gy au niveau de ce Ce qui ne seit ras ce quiil dst, qui étont l pris dens le lencase, ne se réfléchit » s de cet apport innocent dz langage dens laquel le sujet se feit dtaberd discours. Il en résulte que néme réduit & ses forads. los ‘plus yrimitives d'apyréhension de ceci par le sujet, qu'i est@h rapport avec atautres: sujets parlants, se_produit ce quelque chose au bout de le chaine intentionnelle que je , 4 vous af appelée ici la uresitte identification urinaire, la : + premit@e, réalisation dtun idgal dont on ne peut aéme pas @ h ce moment du schéma qu'il stagisse d'un idgal du'moi, : mais qu’assurément le sujet y a recu le premier seing, sig- nur, de o2 relation avec l'autre. Lo deuxiime Stape du sehéne psut recouvrir dtune cor teine facon une certaine étaze évolutive, i cette sinple condition que vous ne les considériez zas comme tranches. Il y a des choses tranchées dans 1'évolution, ce n'est yas au niveau de ces étapes du schéme que ces césures so tronvent LA. Ces césures, comme quelque part Preug,1'a reaargué, se sarquent au niveau du jugerent dtattribution par rapport & sla nomineti: mh siaple. Ce n'est pas de cela gue je vous pare le meintenant, jty viendrai dans la suite. : 5 fen Dans la prowitre partie du schéna et fans la’ seconde, il stegit de la différence d'un niveau infens du diseours, car il atest p teftre atze yas nécessaire que ltenfant He ennareiy le encore pour que déja cette aarque, cette ezyrunte aise sur le besoin yar la demande, s'exerce au niveau, déja des vagissezents alternants. Cele peut suffire. La deuxime partie du schéma inzlicue que fant ne sait-pas chcore tenir un discours, tout de » il gait parler, et ceci tionttrbs tht. Quand je dis sait parler, je veux dire qu'il stagit, au niveau de le deuxiéne "b = Stepe, du scaéma, de ouelgue chose cui va aucdel’ de la prise dans le langage. Il y a & yroprenent parler rapport pour autant qu'il y a appel de l'autre comme ordsence, cet appel de l'aut¥e conne présence, conse présence sur fond{d'um sens; ; ’ Yabiece A’ce noaént signalé au ford, qui a si viverent dupression: i - 27 - i; Freud & la date yue nous pouvons fixer & 1915, eyant été ot ' apgelé aupros d'un de ses petite-filef devenu lui-mtse un poychanalyste Je parle de l'enfant cui a été l'ovdjet de l'observation de Freud. Voil& qui nous fait passer au niveau de cette seconde tion du schéza, dang ce sens avtiet,/eardena] de ce qularticuls le chatng. de ditcours Bonne existante, étape de réal. gu-deli du sujet et lui imposant,qu'il le veuille ou non, eee “sa forme, au-deli de cette appréhencion, qi l'on peut dire, 1 : innocente de la forne lengagikine ueloue : le suiet, *S chose dtoutre va se oroduire qui cst 1ié au fait ous etest a cette expérience du lencage que se fonde son avoréhen= ion de l'autro comme teM de cet autre qui peut lui donner on le réponse, la onse & son appel, cet autre auguel fen- @anentalenent il pose la question cue nous voyons dans le “"Diable amoureux" do Gagotte conme étant le au, la forne terrifique qui représgnte l'apparition du curmoi, en réponse & celui quial'® évoqué dans une caverne napoli- ssencnt de taine : Cheviot? wue veux-tu ? "La question posée & l'autre désir de l'autre, le désir grace 2 quoi il s'asere : goit'gutil réalise conne étant cet au-deld autour de quoi” ‘ By que ltoutre fera eutun sicnifiant ou l'autre sera: , : ou_ton dans la présence de la parole, que ' qutre lui donne a4 = Lfexpérience dé son désir en xfnz temps qu'une expéricnce esscaticlle, car jusqu's présent c'était en soi que la tase terie était 1k des signifiants, dans laquelle un choix gou- vait Gtre fait, nais maintenant ctest dans l'expérience que “eo choix s'avire comme conmmutetif, qu'il ect & le portée de l'autre de faire que itun ou lfautre des cignifiants soit 1a, que ctintroduis°@ine l'expérionce, 42, a ce niveau de L'expérionce, les deux nouveaux princiyes qui viennent s!ad- oe eee bees bord vur et simple princive, de @itionner & ce gui était 4! Suggession inpliquant ce principe de choix. Wous_avons maine on tenant un. srincive de substitution, car = &t ceci est essen- tiel ~ clést cette connu! partir @ de.sistas v1it pour le'sujet ce que j*appelle, 2: ae our te suet le sign. et le signifié cette coexistence, cette simultandité qui est en mése temps marquée d'une certains impénétrabilité, j dire le ngintien de la différouce de la distance entre le signifiant ct le signifié. . [Ghose curieuse, la thgoric Jes groupes telle cuton lap~ prend das 2 ude abstraite des ensezbles, nous montre le Lien absclunent_sasentie] de toute conautativité possibigité néne dtuser de ce qur jtappelle ici Ye sione de la batie dont on se sert pour la représentetion des fractio: = 25 = y gu sujet cui était dtehord innasante, mais qui ici - le auan- ia issous cel our L'instant ds cOté. ct | zl tion letérale sur ce dont il s \ d La structure de la chafne signifiante & partir duno | cee nent of elle a réalisé Leppsl de Iautre, clesteidive oh | | ate EA atsnoneistion, le srocks dy 1'énonsiuticn so sugervocs, se; ‘ coop te” aii Uae pence he, : - Peruri aah, ee Ska gpk arWents dar UN Leantick pr fon, SRE ee ante fee dl (Ues Gay uote fropes, pessele Sagk da alae do gepeh ae ST ee 2 Sh a Se © pate Pow bo he eet Cation (7/737) in obseuss obscure, Voila done pourguoi J iz ne veus dis pas que je vous af rendy pour autant l'exp he ++ plus facile, c'est rour cela gue maintenant, your la dé= tendre, cette expériznce, je veudrais vous en donner tout | de suite des petites illustrations. Ces illustrations, jten Pi renérei un@ d’abord,.et vrainent au niveau le plus single ts du sujet ou signifiant, la 13, 7 noindFe,est le prenidre des choses qu'on cuicse ex Atun B quoi il yeut cervir B propos au fait Je ne suis souvent de quelque chese a we jtavais ie autrefois duns le livre de Darwin sur l'ex ession ches Lthorme-ct chea L'animal, ot qui je dois dire, a'avait bien emusé. Dervin raconte ystun nonzé Sidney Snith qui, de sup- pose devait ftre un hone de la société anglaise de scn tenps et dont il dit ceci : il pose unc quoStion, Darwin, il dit + ai entendu Sidney Szith icns unw soirde, dire tout & f. tranguilleseat le » tase suivante : "Il n'est rsveny . orgilles que le chire vieille lady Cock y a coupé". Za réa~ . * 1ité “aver look" veut dire que le csurveillant de l'e pas “over look” est atun usage zou- soy-Tl-nty-e-rien“de-cerrs n= dant dans notre usage courant. C'est your cela gue l'usage des rakgues est a la fois si utile et si nuisible, parce . qu'il nous évité de feire des efforts, de faire cette subs- eee - 33H ; ae tituticn de o ificnts dans notre ,ropre langue, grace % laguclle nous pouvons arriver & viser un certein cirnifié car il stagit de chancer tout le contexte pour obtenir le unéme effet dans unc société enalogue. Cela yourrait you~ loir dire : ltecil lui est passé eu-dessus, ot Darwin s'énerveille que ce fut absolument arfaitenent clair your ehacun, nais sang atcun deute que col voulzit dire que’ le aiuble l'avais, oubliée, jo veux dire qx*il aveit cudlis te : 7 2 2s, ter dens la tomde, ce qui scmbdlé avoir été 4 ce no~ Liem: nont dens l'esprit de l'auditeur se plece naturelle, voire souhsitée. Et Darvin laisse vrainert le point étintezro~ cation ouver Consent fit-il pour objenir cet 2ffab, cit P af , Darvin ? Yoilh, j¢ suis vraiment incapable de le dire. Remarquez que avis 2 ctre reconazissants & , ui-néce de marquer l'expérience qu'il fait 18 d'une fagen spécialonent significative et exenyla re d2.sa propre lini ob: bme. Qutil ait pris dtune certain sion des » justenent & cause dans l'abord de ce fagon le yroblize des éxotions, dire gue l'exgr Emotions y est tout ae fait que le sujet nion dise cola "zlacidely", ¢ peu loin, Zn tous cas Do 7 ment trds étonné de ce quelque chose qu'ii faut prendr pied de la lettre, parce gue comune toujours quand now: dions un cas, 41 ne faut pas le réduire en le rendant (aaa slers que le diable at particize d'une connaissance frappante, zarce ya'enfin i2 Darvin dit : tout Le monde a comgris quel nulls part, ct clest cela qui est intérecsant, c'est que Darwin nous.dise que le fris- son du diable est passé sur ltassemblée. Essayons maintenant un peu de comprendre. Nous ntallons pa s nous atterder sur les linitations mentales propros h Darwin, nous ¥ viendzons forcénent tout 7 de none bien, nais yas tout de suite. ce qu'il ya de care tain, ctest qu'il y a/dts-le grenier ebord quelque chose qui gutil nferticule ntne pas,dans le commences quand on dit "lady Cock" por "ill", malade : j'ai entendu dirs quand ofne qu'il y a quelque chose qui ne’ tourne yas ron, done que la substitution de quelque chose qui parett que l'on attend une nouvelle concefnant le santé de le vieille dane, car clest touj de leur santé que l'on s'cccuye d'abord quand il stugit des vieilles dunes, est renplacé par quelque chose d'autre, voire néme d'Werdvérencieux par certeins cOtés. . Il-ne dit pas, ni qu'elle ost & la mort, ni non plus stendu ntovait pas justenent été carsetéricé eos: orte Bart bien. Ii dit 1 Alors ici qutest-ce qui intervient zétarhorivuc, & savoir en tous cas de qu2liue chose d'sutre que ce gue cela voudreit dire $4 r look" pouveit Ctre attendu ? Ctost on tant qu'il n'est gas ettendu ié se substitué bun autre signifiant, qu'un effet de sic % nouveau, qui nest ni cdpg le ligne de ce quton a tenté, ni dans.ls ligne de l'ifnsttendu. Si cet inat- imattendu, ctest quelque chose d'oviginal qui d'une gerteine fagon a <5 B Stre réalisé dans l'esprit de ehacun selon. ses ancles de réfraction propres: Dans eas il y acela qu'il ge ouverture d'un netvoay signifié L ce quelque chose qui fait , que Sidney Saith rasse ¢ & ltenseable pour un it, cesta! dire no stexprime pas sar clichés. Hais pourquoi diable ? Si nsus nous reportens & notre cela neus aidera tout ce mine beaucoup. C'est A cela que ga sert, si l'on fait des schémas, c'est pour sten servir. On peut @'aillours arriver au passant, te mentre tris nt ce qui se passe 18 dans le réel, desi, gui sep st un fan) me & proprement perler, et par « Scanisnes ? Clest ici que-le schéma aussi peut aller quels plus loin’ que ce que perzet, je direis, une espee de notion i i ‘ += 36 =. nafve gue les choses sont faites jour exyriner yurigue chose qui en somme se communiquerait uno émotion comme on dit, comme si les émotions én elles-mémes ne posaient pas & soi toutes seules tellement d'autres problines, & savoir ce-qutel~ les sont, & savoir ef elles n'ont yas. besoin a4jh elles de conmunication. Notre sujet, nous dit-on, est 1k pa¥faitenont tranquille, “etest-l-dire qu'il 96 présente en quelyue sorte 2 1l'étst ‘pur, le piésence de sa parole étant son pur effet nétony nique ; je veux dire sa’parole en tant que_psrolé dans sa ‘S$ continuité de parole, et dans cette continuité de perole préciséacnt 41 fait inteiveniz ceci : 1a présence dz la cert en tant yne le sujet peut ou non lui échanper, c'est-h-tire pour sutint qu'il éyoque cette présence de quels a la plus lui-aGne, je vou dire que s'il y a une dimension aty en a glus, tenent évoyxé, et en afme teaps voils, main en tout cas in- nent: 2 un ecte,ctest bien l'articulation. est done pour autaat a aa bien placiditdé avec laquelle il en’ qu'b cet dgard il a dosing son 2. "pue et ertve 1" * 4 tine dit pas cele, il artienle singlenent cercinsa i + : ‘ gue ce qui cat le nivean qui nous veut cof | ‘Jenacua i A notre tour 1k pour un ins t oudlié, Hais ecla, si ‘je puis H slexsriner ainsi,.ce nest zas le didble, ot 2° } ba viendre un jour ou l'autre, et du afme cour ce personnace, lui, se ze qualgu'un qui ne redzto saz de s'éca) | ser svec eclle font a 2 parle, de se mettre au nize aivean, ssous le ceup de la none feute, de le rome légalicetion ter- minale ger le naftre ebsolu i_présentitié, 7 En-d'eutrse tornes, ied lo eujat se révule b Lonérett de ce qui ost voils du langase conae y ayant cette sozte vde, do plénitude du nanicnent du fumiliarité, de.éomplé 2 chess sur quoi langage qui suggire quoi ? Justesont qurig je veux torsiner, parce que cfost ce qui menquait & tout ce Schama} que jtai ait @ans zon dévelopsement qulied le ressort, le reflef de ce 4) ‘ ticuler soit complet. 1 Sch du niveeu da pronier_sebéna nous avons l'image innc=_ conte, Ii cst inconscicnt bien s@r, mais ctest une incens~ *, 7 cience qui ne des onde qu'h passer ou saveir. gboublions as que as l'inconscience cetts dicension de aveiz conceience, ¢ mGme en frangais, inplique cette notions : °. “Shey, J an Rvcau de ts xitae et de la troisitwe étape du’. a schéna, je vous ai dit que nous avions un usege beaucoup heat Y seveir, je veux dire que le sujet plus cons f : parlor ef qa'il parle. Ctest ce qu'il fait nd dl sppelle. | HE l'autre, ct sourtant c'est 1h & groyronont parlsr que se i ' trouve loriginalité du ehanp que Freud e deccuvert et gutil | : gppolle l'inconseient, clest-2-dire ce guclgue chos 7 —— cee eee : Spahr met _toyjoursite su i _certzine distance 26 co i : Z ' fire ne vojoint jexeis, | et quo eles 2 3) tik est nécesseire gu’il.ne seus dons cette faire autrenent que. Agie nynie de 1'étre dens le sujet qu'est le désir. ' - Et pourquol ? Pace qu'eu niveau ob lo cujet est enzazé, entré lui-mtnc dans l= parole et par 13 dan: ltoutre conte tel, come lieu de le pcrele, ily ¢ un signin Sapient ant qu touj i que cfast-un | signifiant, et le signifiant est slazent ¢é1égué au rapport du sujet avec 2 $ nos, cisst_le shatlus. Le _agsir ect le ndtonysie de 1'Zire dans le sujet j le 4A phallus sot le sdtonyais du sujet dans Lidtre. Nous y re~ tant gutil est nifiont. Ce signifiant o un Riefiroas. Le engage tout 7; qui fgjt que le sujet dens toute, et pour autant gu'il gst eee impliqué dans la parole, tombe sous le coup de ce qui/Séve- -3- i en toat qutantérieur au code grend aa eslidité, on dfattres t teres, que dans la diechronie, c'gst-L-dire tens 14-€ f loppen:nt de co disceurs sppsratt coe gui-s'azzelle sini= ] ; nr, fMtcelle ce” 7 qufon aprolle unv s2tisfsetica sacteue, dy reins de refus, : & savdir le texzs de here. + : ce rusport gue : j até i apgaraitre et se sous la fsrne fraczentée _ : nous ‘voyons svbsistur ici, & savoir sous la ferme succession 4'élsnents diservts,dene oéyardy cette soliditdé dc l'affirmation diachrznigue ot-le consti- pution | let do ls 7 “Done etest adtéricurenent a1 code, cu en-dega iu ecdo, gue chtte ligne se présente conve continue. Pur conizs ce que représonte ici ce graphe par lg Liras fracsentée gut est celle de_l'intextionslité dy aujet, quiest-ce que ctest 7 Ss Observons que déjk le foit d'affirner le contexte de le de- nande si: plifie la diversité supposée du sujet, 2 savoir ceed qui se présente conae essentiellsnent nouvant des moments, des variations de ce point. Yous le savez, ce problanc_de we livré & eo quten 3 siz, choses, zrut se poser ct staffirn: le probiind dont. i2 jou dtun: besoin ¢ delte = Lied. jusq rétroactlon sur ce tinue, ascurézent le de 1A fore rri: e. Ctest la_teod le_forne d'éién iat ctest ce qutelle = ctestpourguoi dan: code, uais du meas. sa forme fragrenté que j'e8,d8ji cut y passer vite cain element du coeur coawe on l'e dit, iais deb. yood depuis lonztenys coax pourquoi ua tre secentivllenant peler les interrittences, nen ras @'tautres | sdnent aéjh la = & ah 1a derande ost adj Purique chose gu ten ce A, cfost autre chose, clest la tte eeuvance b le fois continue of diccun- confuse, nous devons la supgocer Str: cele 5 nitive, dels nenifestation ori la rétrscction cur elly : s‘discrets que lui invose 1s discourse re a abifredt tropfactivenent de le aiscursivité, 3 cutte licne, ctest enedege non yas dy age luisnfze, que le ligne, apser + Ce duit s isamsent souligné b d'autres tenant, clest ceci.: ctest l'identificetio, quicon résulte du_sujet & l'autre de la dezonde en tant que So See eee et | ‘| S¢ : | = lly. | 7 ce que je veux dire gar 1a dans l’évolutien, dias le aévo— eafaat-ctre, sour le d : que le ghelzue chose dont ‘ ele segzznt y ‘ dele form: i, le noyau dc 1*identificatien auquel S. til abéWtit,ce processus, il 3? de ce qui se produit * pour autant que la_ndre nfest pes simplenent celle qui donne

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