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Les systèmes de répartition aérienne, la troisième partie

Les disjoncteurs à réenclenchement automatique (réenclencheurs) et les auto­sectionneurs: On peut 
classifier les réenclencheurs selon leur moyen d'interruption en réenclencheur à l'huile, à vide et au gaz 
SF6. On installe le réenclencheur afin de diviser une artère assez longue et aussi pour diminuer le 
nombre le nombre de le nombre de déclenchement du disjoncteur situé au poste de transformation soit 
dans l'appareillage de commutation du poste soit installer a l'extérieur du bâtiment du poste. Quand il y 
a un disjoncteur (au poste de transformation) avec ses relais de protection en série avec un 
réenclencheur, on doit coordonner les courbes (courant vs. temps) de ces deux dispositifs. Aussi, on 
peut trouvez dans les systèmes de distribution aérienne l'auto­sectionneur. Toujours, des réenclencheurs 
complémentaires (de secours) des caractéristiques assignées convenables (la tension, le courant 
nominal, le pouvoir de coupure) sont en amont de ces sectionneurs. On trouve l'auto­sectionneur aux 
points stratégiques à travers de l'artère (le feeder), aux branchements (dérivations) ou aux prises de 
courant de la ligne principale. Quand un défaut a lieu en aval du sectionneur, le réenclencheur en amont 
du sectionneur ouvre. Si le défaut est d'une nature permanente, l'auto­sectionneur compte le nombre de 
manœuvre du réenclencheur et après un nombre prédéterminé l'autosectionneur ouvre (déclenche) ses 
lames. Il est mis en blocage. En général, le nombre prédéterminé de l'ouverture du réenclencheur qui 
l'auto­sectionneur compte et après il ouvre ses contacts mobiles égale le nombre total pré­réglé de 
l'ouverture/fermeture du réenclencheur moins 1. Après l'ouverture de l'auto­sectionneur, le ré­
enclencheur ferme pour la dernière fois, si le défaut est en amont du sectionneur, le ré­enclencheur 
demeure dans la position fermée (l'auto­sectionneur isole le défaut et l'alimentation continue pour 
toutes les charges en aval du sectionneur). Si le defaut est en aval du sectionneur, le réenclencheur va 
ouvrir pour la dernière fois et va demeurer ouvert (verrouillé) jusque l'intervention d'un 
opérateur/opératrice. Il existe autres dispositions de la combinaison réenclencheur/autosectionneur. 
Dans son fonctionnement, elle dépendent de la présence de tension à un point spécifique sur le réseau 
ou la coordination du temps (de fonctionnement) de ces dispositifs qui sont en série. Les nombres de 
réenclenchement d'un réenclencheur est réglable (en général, entre 1 et 4). Il réenclenche après une 
période prédéterminé. Après la dernière operation de réenclenchement/déclenchement, le dispositif est 
bloqué (empêché de réenclencher de nouveau). On doit rappeler (rajuster) le réenclencheur a l'aide d'un 
operateur afin d'avoir la possibilité de le fermer (réenclencher). Le fusible interrompe un défaut 
permanent à la même manière que le défaut temporaire. Les réenclencheurs donnent la chance aux 
défauts temporaires pour dégager ou être dégagé par les fusible et sectionneurs en aval des 
réenclencheurs. La commande des réenclencheurs est fournie avec un système hydraulique ou 
électronique. On peut régler le réenclencheur afin de le faire fonctionner selon une séquence spécifique. 
Exemple de ces sequence sont: 
­ 2 manœuvres (déclenchement et réenclenchement) instantanés suivi par 2 manœuvres temporisé. 
­ 1 manœuvre instantané suivi par 3 manœuvres temporisé. 
­ 4 manœuvres temporisé ou 4 manœuvres instantanés. 
Pour les réenclencheurs du courant assigné entre 5 et 1120 amp., la bobine de commande 
(déclenchement) est en série avec les contacts principaux du réenclencheur. Pour les réeclencheurs du 
courant assigné entre 100 et 2240 amp., la bobine de commande est alimentée des transformateurs de 
courant (capteurs). En général, on régle la valeur d'agir du réenclencheur a 2 fois le courant assigné du 
réenclencheur (pour le déclenchement instantané). Les lieux (points) où on installe les réenclencheurs 
sur la ligne de distribution aérienne dépend des facteurs suivants: l'expérience d'exploitation du réseau, 
le degré d'importance d'éviter le déclenchement de disjoncteur (d'artère) qui est situé dans le poste de 
transformation et finalement le degre de l'exposition de la ligne aux tonnerre, foudre, animaux, arbres, 
vent, poussière et pollution. Le réenclencheur est equivalent à un relai de surcharge (ou surintensité), un 
disjoncteur et un relai a réenclenchement. Les principales pièces d'un réenclencheur sont: la chambre de 
coupure, les principaux contacts, le mécanisme de commande, le mécanisme de verrouillage, les 
couvercles, clôtures et capots de sécurité. On trouve des réenclencheurs monophasés er triphasés. Pour 
définir un réenclencheur, on doit savoir (comme minimum) les données suivantes: la tension nominale 
et maximale, le courant assigné, le pouvoir de coupure, la séquence de manœuvre, la tension d'essai de 
choc et la tension de tenue. 

Les caractéristiques électriques et mécaniques des isolateurs: La principale raison d'un isolateur est de 
fournir la séparation (l'écart) nécessaire entre le conducteur et son poteau ou pylône. L'isolateur fournit 
l'écart nécessaire selon la tension de la ligne, les écartements nécessaire pour les ouvriers quand il 
travaillent sur la ligne et les conditions environ mentales. Les isolateurs sont fabriqués de porcelaine, de 
fibre de verre, de silicone ou de polymère. On peut classifier les isolateurs en: isolateur rigide (à tige), 
isolateur à capot et tige, isolateur à fût massif, isolateur à long fût, isolateur d'alignement (chaîne de 
suspension), isolateur d'ancrage et chaîne d'isolateurs. Les principales composantes d'un isolateur rigide 
à tige sont: les gorges, la tige, l'embase, les cloches, les scellements et la vis de fixation de l'isolateur. 
Les principales pièces d'un isolateur à capot et tige sont: la jupe, le capot, la tige à rotule et les 
scellements. On peut classifier les isolateurs de type chaîne de suspension en: chaîne simple, chaîne 
double, chaîne en A et celle en V. Il existe 2 méthodes pour attacher un conducteur à son isolateur, la 
méthode du tirant et celle du crampon. On peut diviser les propriétés des isolateurs en 4 groupes, ils 
sont le groupe mécanique, électrique, environnemental et d'entretien. Les caractéristiques mécaniques 
d'un isolateur sont: les charges normales (de toujours), les charges exceptionnelles (de temps en temps), 
les charges de la conception, la charge de séquences, la charge statique, la charge de torsion, le facteur 
de sécurité, la résistance de long terme et un ou plusieurs chaîne d'isolateurs (si applicable). Les 
propriétés électriques sont: la distance d'isolement, la tension de tenue au choc, la tension de tenue et de 
tenue sous pluie, la tension (à la fréquence industrielle) de claquage, la tension se claquage à front 
rapide, la ligne de fuite, l'arc de puissance et le comportement d'isolateur sous la pollution. Les 
caractéristiques environnementaux sont: la vieillissement sous la radiation UV, le type de polluer, le 
jaillissement sec d'étincelles, la décharge partielle (couronne électrique), les perturbations radio­
électriques, la nettoyage des isolateurs, la corrosion des pièces d'extrémité (l'armature) et la gamme de 
la température de fonctionnement. Quand on compare entre les isolateurs selon leur caractéristique 
d'entretien, il y a 2 points qu'on doit analyser. Le premier est la manutention des isolateurs, est­ce­que il 
est facile ou difficile quand on doit les envoyer ou les mettre en dépôt. Le deuxième est quand on doit 
installer les isolateur sur le poteau et rapporter les conducteurs aux ses isolateurs, est­ce­que on a 
besoin des outils spéciaux pour les monter ou on doit prendre des précautions extraordinaires quand on 
installe ou démonte ou quand on fait d'entretien sur la ligne. Il existe 3 lignes de défense pour un 
isolateur qui sont l'hydrophobicité, l'auto­nettoyage et la résistance à la dispersion et l'incendie. 
Les isolateurs en porcelaine: ils sont fabriqués d'argile. On choisit des types spéciaux d'argile, on la 
mélange jusque la production d'un composé (mélange) semblable le plastique. Le mélange (d'argile) est 
placé dans les moules afin de produire les isolateurs. On mit les moules dans le four afin de sécher 
l'argile. Quand l'isolateur est sec, il est plongé dans une solution glacée et il est fait sécher dans un 
séchoir. La surface brillante formée à cause de cette processus fait l'isolateur de type d'auto­nettoyage. 
On peut obtenir des isolateurs des formes variées comme même des gros isolateurs lorsqu'on ciment 
ensemble plusieurs pièces (en porcelaine) des formes différentes. Le phénomène de la croissance du 
ciment qui est produit à cause des réactions chimiques entre le ciment et le pièces de métal peut 
produire de la contrainte mécanique. Ces contraintes causent des fissures dans les isolateurs. 
Les isolateurs en verre: Les principales matières premières mises en ouvre pour la fusion sont les 
matières vitrifiantes (par exemple sable siliceux, calcins), les éléments intermédiaires/modificateurs 
(par exemple soude du commerce, calcaire, feldspath) et les agents colorants/décolorant (par exemple 
oxyde de fer, chromate). Ces matières sont mélangées et fondues dans un four. Le mélange est 
maintenant comme une pièce de plastique. Ensuite, on mit ce mélange dans les moules et on laisse 
refroidir. Après, on mit l'isolateur en verre (moule) dans le four afin de le recuire. 
Les isolateurs en fibre de verre: Dans ces isolateurs, en général, la tige est en fibre de verre et les jupes 
sont flexible. L'isolateur est fabriqué de fibre de verre traitée avec de résine de polyester ou d'époxy. On 
applique des composés d'élastomère (ou de polymère) aux tiges par injection afin de produire les 
isolateurs rigides, d'alignement ou de fin de course. Les composés peut être EPDM polymère ou 
silicone élastomère. L'EPDM et le silicone sont disponible dans plusieurs formulation. Le silicone est 
basé est basé sur la résine siloxane (polydimethylsiloxane). La molécule de base du silicone est formée 
d'une chaîne oxygène et de silice atomes en alternance avec des groupes de méthyle organique attaches 
aux atomes de silice. On peut modifier le silicone de base afin d'améliorer certaines propriétés 
mécaniques et électriques. Pour obtenir ces types de silicone qui ont des meilleures caractéristiques, on 
peut faire: 
­ changer la molécule de silicone par exemple on change les groupes organiques sur les branches 
latérales de la molécule. 
­ changer le genre et la concentration des additifs et les matière de remplissage dans le mélange de 
silicone. 
Les propriétés de silicone des isolateurs qu'on utilise dans les systèmes de distribution électrique sont: 
haute résistance à l'usure/l'usage/la détérioration, haute résistance à la dispersion et l'érosion, haute 
hydrophobicité, haute résistance contre la vieillissement à cause de L'UV. L'effluve (courrons 
électrique), la proximité de l'isolateur (en silicone) à la grande quantité de vapeur, la vaporisation de 
l'isolateur avec une solution d'eau et sel vont affecter négativement le comportement et la performance 
de l'isolateur. Le degré de la perte permanente de l'hydrophobicité de l'isolateur est unique pour chaque 
des conditions mentionnées ci­dessus. On doit faire des épreuves sur les matières de tiges pour vérifier 
son comportement pendant sa longue vie, les essais sont: 
­ L'essai de la surface: on évalue la dispersion et la résistance au jaillissement d'étincelles (formant d'un 
arc). Les principales raisons d'érosion de la surface sont la radiation UV et l'effluve. L'érosion de la 
surface augmente avec l'humidité et le sel. Donc, c'est essentiel de faire ces essais pour les isolateurs 
qu'on va monter à l'extérieur. On distingue 2 types d'érosion l'érosion de la surface et celle de la cavité 
(l'érosion est concentrée ou limitée dans une petite superficie mais avec un grand profondeur). 
­ L'essai de la dispersion (la roue de la dispersion): ce sont les épreuves qui mesurent la résistance 
contre la feu et la dispersion de charbon pour la matière de l'isolateur. La modalité de cet essai varie 
pour les raisons suivantes: les ingrédients de la solution vaporisée, le volume de la solution vaporisée, 
la tension de l'essai, la vitesse de rotation de la roue, le courant admissible (limité par le fusible ou le 
disjoncteur d'alimentation de la station d'essai), les caractéristiques du spécimen (l'échantillon) d'essai 
et l'orientation du spécimen. L'essai de la contamination (sel et brouillard): on fait cet essai directement 
sur les isolateurs complets. Le facteurs importants de cet épreuve que vont affecter le résultat sont: la 
concentration du sel, la tension d'essai, la forme de l'isolateur et la ligne de fuite de lui­même. 
On peut examiner les points suivants pour les matières en gros de l'isolateur: l'endurance thermique, la 
dilatation mécanique, la décharge partielle, la tension de claquage (longue terme), l'épreuve de rayon­X 
afin de vérifier la présence des grandes cavités et vacuoles. 
Le ciment de polymère et le polymère rigide sont des corps homogènes qui fournissent les propriétés 
mécaniques et électriques nécessaires pour leur application dans les isolateurs. Les pièces rapportées 
(garnitures)sont placées dans la matière polymèrique pendant la période de réticulation. On peut 
fabriquer (formuler) l'époxy afin d'avoir les propriétés convenables pour l'application dans la domaine 
de distribution électrique. Ces propriétés sont: haute résistance contre la dispersion et l'incendie, la plus 
haute résistance a la traction quand on compare aux autres matières polymèriques (polyesters, 
acryliques et autre résines d'époxydes). La formulation est de haut teneur de silicium avec des structures 
linéaires ou circuler d'époxy. Pour définir un isolateur on doit avoir, comme minimum, les données 
suivantes: la charge de rupture mécanique, le diamètre, le pas, la ligne de fuite, la tenue de à fréquence 
industrielle à sec, la tenue à fréquence industrielle sous pluie, la tenue choc de foudre à sec ­ positive, la 
tenue choc de foudre sous pluie ­ negative, la perforation en huile, le poids et le dispositif de 
verrouillage. 

Les fusibles dans les systèmes de distribution aérienne: le coupe­circuit utilisé pour débrancher un 
circuit (installé sur un poteau) est developpé afin de protéger le transformateur de système de 
distribution aérienne. Ce branchement peut alimenter une petite usine, un bâtiment commercial ou un 
quartier résidentiel. Quand on installe au certains points dans le réseau électrique des condensateurs (de 
correction de facteur de puissance ou de régulation de la tension), on protège, aussi, ces dispositifs avec 
ce type de coupe­circuit. Ce type de coupe­circuit (fusible) a un porte fusible et un support spécial 
(isolateur). Le porte fusible rupteur (pour la sectionnement du circuit) a ses contacts attachés à 
l'isolateur. Ils font contact avec le fusible, ce fusible a l'élément de remplacement (vitesse de fusion K ­ 
vite ou T ­ lentement selon la norme d'ANSI numéro 37.100). Les deux courbes qui définissent 
l'opération des fusibles sont la première est la courbe de temps de fondre et l'autre est la courbe du 
temps total de dégagement. Quand on compare les fusibles de puissance aux fusibles rupteurs (coupe 
circuits de type sectionneur), on trouve les caractéristiques distinctes des fusibles de puissance 
suivantes: 
­ on peut installer dans des systèmes avec plus haute tension (que le coupe circuit rupteur). 
­ on porte des courants que sont plus haut le coupe circuit rupteur (leur courant admissible, maximal, 
est plus haut que l'autre type). 
­ leur pouvoir de coupure sont plus haut que pour le porte fusible rupteur. 
­ on peut les installer à l'intérieur comme même à l'extérieur. 
Le fusible de puissance interrompe l'arc dans la même manière de fusible rupteur. Il existe un troisième 
type de fusible, c'est le fusible limiteur de courant. Le procédé de l'interruption de l'arc dans un fusible 
limiteur de courant est: 
­ l'élément commence à fondre dans le fusible (le tube). 
­ l'arc est formé dans le tube. 
­ l'arc est subi à la restriction mécanique et l'action de refroidissement de la matière de remplissage dans 
le tube et autour de l'élément fusible (l'arc). 
­ l'arc est interrompu et le surintensité est coupé. 
Il y a 3 particularités du fusible moyenne tension de type limiteur de courant qui sont: 
­ l'interruption de surintensité est réalisée très vite sans l'expulsion des produits de l'arc ou du gaz. La 
matière de remplissage (par exemple le sable) absorbe l'énergie produite par l'arc et par conséquent est 
dégagée comme chaleur. 
­ si le surintensité excède le courant assigné du circuit électrique d'une valeur importante, la limitation 
du courant de défaut est très élevée (cette action de limitation de courant a lieu dans le tube de fusible). 
­ à cause de l'action de limitation de courant, le fusible peut interrompre des courants de très haute 
valeur (les fusible vont avoir une valeur de pouvoir de coupure très élevée). Le fusible limiteur de 
courant réduit les forces mécaniques dues à la crête de courant de défaut. Les composantes du circuit 
entre la source de l'énergie et le point de défaut sont soumises à ces forces jusqu'au temps de la relève 
de défaut. Il peut aussi réduit la surcharge thermique due à l'intégration de courant de défaut pendant la 
période d'existence du défaut. Ce type de fusible peut imposer de la surtension sur le circuit et les 
éléments branchés à ce circuit quand le fusible fond. Le fusible (étouffe) force le courant à zero avant le 
zéro naturel de l'onde sinusoïdale (coupe le courant). L'énergie inductive (surintensité) est convertie 
(transférée) en énergie capacitive (surtension). Le cartouche de replacement (du coupe­circuit rupteur) 
a les composantes suivantes: le pont de transfert du courant (il relie l'extrémité inférieure du fusible au 
virole ou à la bague), l'élément fusible (en cas d'un défaut) qui coupe le courant et isolé le circuit en 
aval (assigné pour être fondre selon la courbe de temps de fondre, temps vs. courant), la tige (contact) 
auxiliaire de l'arc, l'alésage (creux) auxiliaire (où, pour bas courant, l'arc commence et termine où il est 
interrompu), la tige (le contact principal) principale de l'arc, le creux principal (où, pour moyen et haut 
courant de défaut ­ plus que 100 amp., l'arc commence et termine), matière solide qui aide dans 
l'extinction de l'arc (par exemple l'acide de borique), le tube externe (en époxy), le bouchon du tube de 
fusible et la prise supérieure. Les principales composantes d'un porte fusible qui reçoit un fusible 
cartouche de remplacement sont: l'anneau d'arrachement, les viroles supérieurs et inférieurs, le tube (en 
époxy) de fusible, l'indicateur du fusible fondu (sauté), un petite fenêtre d'inspection (vérification) et 
l'amortisseur de bruit. Les pièces principales d'un élément de remplacement (d'un fusible de puissance) 
sont: le virole (la bague) d'expulsion, le pont de transfert du courant, l'élément fusible, le contact (la 
tige) d'arc (de coupure), le creux (l'alésage) avec la matière solide de l'extinction d'arc, le ressort de 
commande, le tube en époxy, le contact supérieur, le joint étanche supérieur et le détenteur de la tige 
d'arc. Le pièces typiques d'un porte fusible d'un fusible de puissance sont: la plaque de fixation en acier, 
les contacts supérieurs et inférieurs, les isolateurs montés sur la plaque de fixation, les plages de 
raccordement supérieures et inférieures (du côté ligne et celles du côté charge), les pièces de guidage et 
le verrou de maintien (ils fournissent au fusible l'action d'auto­guidage pendant l'ouverture et la 
fermeture de l'unité, comme même ils assurent l'engagement propre du fusible). les fusibles peuvent 
avoir les accessoires suivants (afin d'aider l'installation et la manœuvre du fusible): les pièces détachées 
supérieures (l'anneau d'arrachement), le voyant (l'indicateur) du fusible fondu (sauté) et le filtre 
(amortisseur de bruit). Les caractéristiques assignées des fusibles/porte fusibles sont: la tension 
nominale, la tension maximale, le courant nominal, le pouvoir de coupure, la vitesse d'opération (les 
deux courbes: de fondre et celle de dégagement) et la tension de tenue d'essai de choc. 

Les transformateurs aériens (pour montage aux poteaux): On installe ces transformateurs sur les 
poteaux de la ligne de distribution aérienne. On peut les accrocher au bras (traverse) d'un poteau, les 
fixer directement au poteau, monter sur un support et fixer le support au poteau ou les monter sur un 
bâti et l'attache au poteau. La puissance apparente nominale en KVA de ces transformateurs 
monophasés est entre 167 et 250. On peut installer les transformateurs monophasés en grappe de 3, 
attaches au un support. Les 3 transformateurs raccordés en étoile ou en delta forment un transformateur 
triphasé. Le support de la grappe (de transformateurs) est attaché au poteau. La traversée haute tension 
avec ses pièces de jonction (taquets de serrage) sont raccordées au circuit primaire i.e. le 
câble/conducteur de moyenne tension (la ligne). Le câble basse tension qui alimente les charges 
diverses (d'un bâtiment, quelques maison, une usine) est relie au plage de raccordement de la bobine 
(l'enroulement) secondaire du transformateur. Dans ces transformateurs, on utilise l'huile comme 
isolant électrique. On les installe dans plusieurs dispositions. En général, ces transformateurs sont 
branchés à la ligne de distribution aérienne a travers un fusible limiteur de courant en série avec un 
porte fusible rupteur. Dans ces installation, on peut, aussi, trouver un parafoudre relié entre le primaire 
du transformateur et la terre. Ce parafoudre protège le transformateur contre la surtension. On trouve 
dans les systèmes de distribution une autre conception des transformateurs aériens, c'est le CPS. Le 
CPS (le transformateur auto­protégé total) a le fusible primaire et le parafoudre installés dans la cuve du 
transformateur. Il nous reste seulement à installer au dehors de la cuve du transformateur le fusible 
limiteur de courant.   

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