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Le DOS

Le DOS

Une version du DOS est disponible dans le CDROM d’installation de WINDOWS 98

Avec WINDOWS 98, la version du DOS s’appèle [WINDOWS 98], et certaines commandes du DOS ne fonctionne
pas (comme undelete…). Le CDROM d’installation de WINDOWS 98 contient quelques-uns uns des programmes
du DOS dans le répertoire suivant :

C:\CDWIN98\TOOLS\OLDMSDOS

Le DOS est un système d’exploitation

Le DOS (Disk Operating System) permet de gérer les fichiers enregistrés sur le disque dur, comme son nom le
suggère, mais aussi, comme tout système d’exploitation, il permet de gérer les composants matériels internes et
externes d’un ordinateur. L’utilisateur communique avec sa machine par l’intermédiaire du DOS. Le DOS interprète
les commandes saisies par l’utilisateur.

Le DOS a été développé par la société IBM (International Business Machine). Le DOS est l’antique système
d’exploitation des premiers PC (Personnel Computer pour désigner les micro-ordinateurs commercialisés par IBM).
Le système d’exploitation DOS de la société IBM s’est dénommé PC-DOS avec les ordinateurs PC, puis il s’est
appelé PS-DOS avec la nouvelle gamme d’ordinateurs PS (Personnel System). Le DOS a été récupéré par la
société MICROSOFT (Contraction de Micro et de Software). Les versions du DOS qui ont développé par la société
MICROSOFT se dénomment MS-DOS.

Le DOS est un système d’exploitation mono tâche

Le DOS est un système d’exploitation mono tâche, c’est à dire qu’il ne peut exécuter qu’un seul programme en
même temps. La plus part des versions du DOS sont limitées à un adressage mémoire de 640 Ko (640 Ko de
mémoire conventionnelle).

Les différentes versions du DOS…

Le DOS a évolué avec le temps, et il se présente sous différentes versions :

• La version DOS 1.0 acceptait des disques de 320 Ko.


• La version DOS 2.0 introduit les disques de 360 Ko.
• La version DOS 3.0 innove avec les disques de haute capacité de 5 ¼ pouces de diamètres.
• La version DOS 5.0 proposent une amélioration de l’interface avec le SHELL.
• La version DOS 6.2x est la dernière mouture du DOS parce que désormais plus personne ne veut avoir à
faire à un écran noir, ni à des lignes de commande absconses. WINDOWS 98 SE (Second Edition) est la
dernière version du système d’exploitation de MICROSOFT à s’appuyée sur le DOS. La nouvelle version,
WINDOWS ME (Millenium), s’est complètement débarrassée du DOS…

Le DOS est constitué de trois fichiers principaux (IO.SYS, MSDOS.SYS et COMMAND.COM)

Le système d’exploitation DOS est constitué de trois fichiers :

• IO.SYS
• MSDOS.SYS
• COMMAND.COM

Les fichiers IO.SYS et MSDOS.SYS sont enregistrés sur la première piste de la disquette de BOOT, ce sont des
fichiers cachés qui une fois chargés en mémoire vive permettent de charger le fichier COMMAND.COM. Ensuite,
sont exécutés les fichiers CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT qui permettent de configurer le système.

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Les fichiers IO.SYS et MSDOS.SYS gèrent le dialogue entre les matériels (Hardware) et les logiciels (Software),
tandis que le fichier COMMAND.COM est le programme qui interprète les commandes saisies par l’utilisateur, c’est
« l’interpréteur de commandes ».

Certains fabricants fournissent avec leur matériel le système d’exploitation DOS, et certains programmes
supplémentaires qui sont en relation spécifiques avec leur matériel.

L’interpréteur de commande

Le programme COMMAND.COM est « l’interpréteur de commande » du DOS. COMMAND.COM renferme des


routines qui permettent d’effectuer des opérations simples et courantes sur les fichiers, comme copier (COPY),
effacer (DEL), renommer (REN), afficher (DIR), etc.…

Ces commandes courantes sont appelées des « commandes internes » parce qu’elles font parties de
COMMAND.COM, lequel reste chargé en mémoire vive.

Les autres commande du DOS, comme FORMAT.COM ou DISKCOPY.COM, sont dites « commandes
externes » car il faut les charger en mémoire vive. Les commandes externes sont des programmes qui sont
fournis avec le système d’exploitation DOS et qui effectuent des opérations complexes et plus rares que les
commandes internes. Pour exécuter une commande externe, il faut se situer dans le répertoire où se trouve le
programme, ou dans un des répertoires qui est spécifié par la commande PATH du fichier système
AUTOEXEC.BAT.

Quand une commande est saisie à partir du prompt, l’interpréteur de commande vérifie la bonne syntaxe de la
commande, et si c’est une commande interne, il l’exécute, si c’est une commande externe, l’interpréteur de
commande recherche un fichier exécutable (.EXE, .COM, .BAT) qui porte le même nom que la commande saisie,
et s’il le trouve l’exécute.

Le tableau des commandes internes et externes

Les commandes « internes » de COMMAND.COM

BREAK CD ou CHCP CLS COPY CTTY


CHDIR

DATE DEL DIR ERASE MD ou PATH


MKDIR

REN RM ou SET TIME TYPE VER


RMDIR

VERIFY VOL

Les commandes « externes » à COMMAND.COM

BACKUP CHKDSK COMP DISKCOMP DISKCOPY FDISK

FIND FORMAT GRAPHICS mode PRINT RECOVER

RESTORE SORT SYS TREE XCOPY PARK

Les fichiers qui portent l’extension .EXE, .COM et .BAT sont directement exécutableset n’ont pas besoin d’être
suivis de leur extension pour être lancés. L’utilisateur saisie la commande à partir du prompt et valide sa saisie en
appuyant sur la touche ENTREE. Si le répertoire actif, n'est pas celui qui contient la commande, alors, soit
l’utilisateur change de répertoire actif, soit il saisie le chemin complet de la commande.

Quand la syntaxe de la commande n’est pas bonne ou quand l’interprétateur de commande n’a pu trouver la
commande externe ou le fichier batch, alors il affiche à l’écran un message d’erreur puis le de nouveau le prompt :

« Nom de commande ou de fichier incorrect »


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L’invite de commande du DOS

Une fois démarré, le système d’exploitation attend l’intervention de l’utilisateur et présente l’invite de commande
(leprompt) à partir de laquelle l’utilisateur va pouvoir saisir des lignes de commandes…

Le DOS ne fait pas la différence entre les lettres majuscules et les lettres minuscules pour identifier un lecteur,
ou une commande...

L’invite de commande présente l’unité de disque active (autrement dit unité de disque par défaut) :

Pour le premier lecteur de disquette :

A:>
A:\>

Pour la racine du premier lecteur de disque dur :

C:>
C:\>

Les lecteurs de disquette sont identifiés par les deux premières lettres de l’alphabet qui leurs sont réservées (A:) et
(B:), tandis que les lettres suivantes (C :), (D :) identifient les lecteurs de disque qui sont présents (par exemple un
disque dur formaté en deux partitions, ou deux disques durs), le lecteur de CDROM utilise la lettre suivante (F :).

Une unité de disque ou autrement dit un lecteur est identifié par une lettre de l’alphabet (de A à Z, soit 26
possibilités…), et pour différencier le lecteur de la lettre proprement dite, un caractère de ponctuation (celui des
deux points (:)) a été choisi pour les distinguer. Les deux points sont placés juste après la lettre et surtout sans
espace…

Le caractère « Anti-Slash » (\) indique le niveau hiérarchique du lecteur (la racine ou un des répertoires du lecteur
actif), et le caractère « supérieur » (>) montre qu’il s’agit de l’invite de commande.

Pour changer le lecteur actif, il suffit de saisir, à la suite de l’invite de commande, la lettre du lecteur souhaité avec
ses deux points et de valider la commande en appuyant sur la touche ENTREE :

A:\>C:
C:\>A :
A:\>

L’apparence de l’invite de commande peut être changé avec la commande PROMPT.

La règle des 8.3 pour nommer les fichiers et les répertoires

La règle des 8.3 est une règle de nomage qui spécifie que les noms de fichiers et les noms des répertoires sous
DOS ne doivent pas excéder huit caractères alphanumériques, et qu’ils portent une extension facultative de trois
caractères au maximum:

ABCDEFGH.XYZ

Comme le DOS est un produit de la culture anglo-saxonne, les caractères accentués sont rigoureusement
interdits pour nommer un fichier.

Les noms que se réserve le DOS pour identifier les périphériques (LTP1, LTP2, LTP3, PRN, AUX, COM1,
COM2, CLOCK$, CON, NUL, etc.…), commeles noms des commandes du DOS ne peuvent être choisis comme
nom de fichier sans occasionner de confusion, ils sont donc également prohibés.

Enfin le caractère vide le labarre d’espace ne peut être employé pour nommer un fichier parce que c’est le
caractère de séparation.

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Les jokers sont des caractères génériques (« ? » et « * »)

Les jokers sont des caractères génériques utilisés pour remplacer certaines lettres d’un nom de fichier, pour par
exemple effectuer une recherche large :

• Le point d’interrogation (?) remplace un caractère quelconque.


• L’Astérix (*) remplace une « chaîne de caractère » ou autrement dit un ou plusieurs caractères
quelconques qui se suivent.

Les jokers sont des caractères qui ne peuvent pas être utilisés pour nommer un fichier. Par contre, les jokers
peuvent être utilisés dans le nom d’un fichier quand celui-ci fait partie d’une ligne de commande DOS.

Par exemple, l’expression« *.* » correspond à tous les fichiers quels que soient leur nom ou leur extension…

Par exemple, l’expression « DURAN ? » correspond aussi bien au nom de « DURANT » que celui de
« DURANT », ou même « DURANx »…

Le chemin d’accès au fichier

Le chemin d’accès au fichier (PATH en anglais) est l’adresse absolue d’un fichier.
Le chemin d’accès au fichier commence part la lettre du lecteur (le répertoire racine (ROOT en anglais) ou le
répertoire principal), puis par les noms de répertoires, et enfin le nom du fichier :

LECTEUR + REPERTOIRES + FICHIER

c:\dossier1\dossier2\fichier.ext

L’adresse relative d’un fichier dépend du niveau du répertoire actif de l’invite de commande. Il n’est pas nécessaire
d’indiquer l’adresse absolue quand celle-ci est contenue à l’intérieur du répertoire actif de l’invite de commande. Le
caractère de la barre oblique inversée (\) employé au début d’un chemin d’accès correspond à la racine du lecteur.
Il est souvent utilisé pour éviter d’écrire le nom complet (C:\) ou (D:\).

Le chemin d’accès d’un fichier peut contenir jusqu’à 66 caractères.

La structure d’un lecteur s’appèle une arborescence, et représente la succession et l’imbrication des différents
répertoires qui y sont contenus. La commande TREE.COM permet d’afficher l’arborescence d’un lecteur.

Un répertoire contient toujours au moins deux autres répertoires qui sont créés en même temps:

• Le répertoire désigné par un seul point (.) et qui représente le répertoire lui-même.
• Le répertoire désigné par deux points en ligne (..) et qui représente le répertoire parent.

Le DOS version 6 dispose de plus d’une centaine de commandes. Toutes les commandes du DOS sont expliquées
et commentées dans le programme d’aideHELP.COM.

Certaines commandes peuvent être utilisées à la fois à partir de l’invite de commande (le prompt), et comme
instructions de configuration dans le fichier CONFIG.SYS ou dans des fichiers « BATCH ».

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Fichiers

Le fichier constitue l’unité de base de stockage de votre ordinateur. Il permet à MS-Dos de distinguer différents
groupes de données. Par exemple, si vous écrivez une lettre en utilisant un programme de traitement de texte, elle
sera stockée dans un fichier qui lui est propre. Tout fichier porte un nom qui indique le type de données qu’il
contient.

Tous les fichiers stockés dans votre ordinateur n’ont pas été créés par vous. Certains sont des fichiers MS-Dos,
tandis que d’autres proviennent d’applications, telles que votre programme de traitement de texte. Ces derniers
contiennent des codes et autres informations nécessaires au fonctionnement de votre ordinateur et de vos
applications.

Votre ordinateur va rapidement contenir des centaines de fichiers. Vous risquez donc d’avoir des difficultés pour
retrouver un fichier (exactement comme si vous rangiez tous vos dossiers pêle-mêle dans une armoire, sans les
classer par thème ou par ordre alphabétique).

Répertoires

Pour faciliter la recherche de fichiers, stockez-les dans des répertoires distincts. Par exemple, tous les fichiers MS-
Dos sont stockés dans un seul répertoire généralement appelé DOS. Tout comme les fichiers, les répertoires
peuvent être créés par vos soins ou par une application.

Répertoire en cours

Les répertoires seraient difficiles à manipuler s’il vous était impossible de savoir dans lequel vous vous trouvez.
Que signifie se trouver dans un répertoire ? Imaginez que votre ordinateur est un magasin. Quand votre ordinateur
est sous tension, vous êtes dans le magasin et vous pouvez entrer dans un répertoire pour trouver plus facilement
un fichier donné, exactement comme si vous vous dirigiez vers un rayon du magasin pour y trouver un produit. Le
nom du répertoire dans lequel vous êtes est indiqué dans l’invite MS-Dos.

Par exemple, l’invite suivante indique que vous vous trouvez dans le répertoire DOS :

C:\DOS>

L’invite suivante indique que FICHIERS est le répertoire en cours :

C:\FICHIERS>

Le répertoire en cours est celui dans lequel vous êtes. Lorsque vous savez dans quel répertoire vous êtes, vous
pouvez non seulement retrouver plus facilement vos fichiers, mais également spécifier votre positions et passer
aisément d’un répertoire à l’autre.

Sous-répertoires

Les répertoires peuvent contenir d’autres répertoires, appelés sous-répertoires. La création de sous-répertoires
vous permet de mieux classer vos fichiers.

Répertoire racine

En fait, tous les répertoires sont des sous-répertoires ; à l’exception du répertoire racine. Le répertoire racine est le
point de départ d’où se créent tous les autres répertoires. Il ne porte pas de nom et il est représenté par une barre
oblique inverse (\).
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Lorsque le répertoire en cours est le répertoire racine, l’invite MS-Dos est semblable à la suivante :

C:\>

Comme le répertoire racine est la base de tous les autres répertoires, vous ne pouvez pas le supprimer. Il est
conseillé d’y stocker le moins de fichiers possible.

Lecteurs

De la même façon qu’un répertoire regroupe des fichiers, un lecteur regroupe des répertoires. Les lecteurs sont
généralement associés à des supports physiques (disques, disquettes, CD-Rom).

Le plus souvent, un lecteur regroupe tous les répertoires d’un disque, et il est identifié par une seule lettre. Si vous
disposez de deux lecteurs de disquettes, le lecteur A est le premier lecteur et le lecteur B, le second. Le lecteur C
correspond à tout ou partie de votre disque dur, ce qui explique pourquoi l’invite MS-Dos est toujours la suivante au
démarrage de l’ordinateur :

C:\>

Cette invite indique que C est le lecteur en cours et que le répertoire racine, identifié par la barre oblique inverse (\)
est le répertoire en cours.

Si A est le lecteur en cours et EXEMPLES le répertoire courant, l’invite est la suivante :

A:\EXEMPLES>

Si vous disposez de plusieurs disques durs, d’un lecteur de disque compact (CD-Rom) ou d’un réseau, vous
pouvez utiliser d’autres lettres de lecteur (D, E, etc..). Tous les lecteurs ont un répertoire racine, quel que soit leur
type.

Utilisation de chemins pour spécifier l’emplacement de fichiers :

Un chemin part du répertoire racine d’un lecteur pour remonter jusqu’au fichier que vous voulez utiliser.

Par exemple, supposons que la structure des répertoires de votre lecteur C est la suivante :

Pour accéder au fichier COMPTA95.TXT du répertoire COMPTA, MS-Dos doit partir du répertoire racine (\), passer
par le répertoire FICHIERS et aller dans le répertoire COMPTA.

Lorsque vous tapez une commande, spécifiez le chemin de la façon suivante :

C:\FICHIERS\COMPTA\COMPTA95.TXT

Si vous voulez supprimer le fichier COMPTA95.TXT, vous devez taper la commande comme ci-dessous :

del c:\fichiers\compta\compta95.txt

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Utilisation des extensions

La plupart des noms de fichiers comportent deux parties séparées par un point :

• le nom lui-même, avant le point, de huit caractères maximum


• l’extension, de trois caractères maximum, qui indique le type de fichier.

Vous pouvez aussi ajouter une extension aux noms de répertoire mais cette pratique est plus rarement utilisée.

Les exemples suivants indiquent les extensions les plus utilisées avec les noms de fichiers : .EXE, .COM ou .BAT.

Extensions des fichiers programmes. Lorsque vous tapez le nom de l’un de ces fichiers à la suite de l’invite MS-
Dos, son programme est exécuté

.TXT Extension généralement utilisée pour les fichiers texte non mis en forme

.DRV Extension généralement utilisée pour les gestionnaires de périphériques qui contiennent les données
nécessaires au fonctionnement des périphériques.

De nombreuses applications attribuent automatiquement aux fichiers que vous créez une extension propre à
chacune d’elles. Il est conseillé de conserver cette extension car elle leur permet d’identifier le fichier créé.

Exemples d’extensions utilisées par les logiciels les plus courants :

.DOC, .DOT Extension des documents et des modèles créés avec WORD6

.XLS, .XLT Extension des Classeurs et des modèles Microsoft Excel version 5.0

.XLW Extension des Classeurs Microsoft Excel version 4.0

.WK3, Extension des feuilles de calcul Lotus 1-2-3

Utilisation de caractères génériques.

Si vous voulez appliquer la même commande à plusieurs fichiers dont les noms comportent des caractères
communs, il est inutile de répéter la commande pour chacun d’eux. Utilisez les caractères génériques pour
spécifier un groupe de fichiers. En effet, un caractère générique permet de remplacer un ou plusieurs caractères
dans un nom de fichier.

MS-Dos reconnaît deux caractères génériques :

L’astérisque (*), qui représente un mot entier ou un groupe de caractères.

Le point d’interrogation (?), qui représente un seul caractère.

Le caractère générique peut remplacer tout ou partie d’un nom de fichier ou son extension. Les exemples suivants
montrent comment vous pouvez utiliser les caractères génériques :

Caractère
Signification Exemple
générique
*.TXT Tous les fichiers ayant l’extension TXT JUIL93.TXT RECETTES.TXT
Tous les fichiers nommés RAPPORT, quelle que soit RAPPORT.TXT, RAPPORT.WIR,
RAPPORT.*
leur extension RAPPORT.DOC
Tous les fichiers commençant par M, quelle que soit
M*.* MEMO.TXT, MARS.XLS
leur extension
???.* Tous les fichiers dont le nom comporte 3 lettres, avec SOL.BMP, WIN.INI, AOUT
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ou sans extension

ATTENTION : Les lettres qui suivent un astérisque dans un nom de fichier ou son extension sont ignorées. Par
exemple, si vous tapez *M.EXE, vous obtiendrez le même résultat qu’en tapant *.EXE. Si vous utilisez l’astérisque
dans l’extension, MS-Dos ignore les caractères suivant l’astérisque. Par exemple, si vous tapez annie.*xe, vous
obtiendrez le même résultat qu’en tapant annie.*.

CD ou ChDir :

Changer, ou afficher, le répertoire courant ( Voir aussi MD et RD )

Syntaxe:
CD {Dossier}
Dossier : Indique le nouveau dossier par défaut.

Notes:
La commande CD vous permet de changer le dossier par défaut, ou plus précisément, de passer du dossier
courant au dossier spécifié.
Pour cela, vous devez indiquer au système d'exploitation la position exacte du dossier de destination dans la
hiérarchie en spécifiant son chemin d'accès.
Le chemin d'accès utilise une syntaxe spécifique. Les différents dossiers sont séparés par une barre oblique
inversée ( backslash ).

Exemples:
CD TEXTE\PRIVE
vous fait passer dans le dossier PRIVE, un sous-dossier de TEXTE, qui se trouve dans le dossier courant.
Si le chemin d'accès commence par une barre oblique inversée, cela signifie que l'itinéraire est défini à partir du
dossier principal.
CD \WINDOWS
vous fait accéder dans le dossier WINDOWS, qui se trouve dans le dossier principal.
En l'absence d'une barre oblique inversée au début du chemin d'accès, le système part du dossier courant.
CD.. : Accède au dossier immédiatement supérieur.
CD\ : Accède au dossier principal.
CD : Affiche le dossier courant.

Cls :

Effacer l'écran.

Notes:
La commande CLS efface l'écran et place le curseur dans le coin gauche supérieur.
Cette commande est le plus souvent utilisée dans un fichier de commandes, soit au début, soit pour mettre en
valeur un message important.

Copy :

Copier des fichiers Voir aussi XCOPY

Syntaxe:
COPY [SOURCE] {DESTINATION} {/A} {/B} {/V}
COPY [SOURCE1 ]+[ SOURCE2 ]+...+{ SOURCEn} {DESTINATION}
Source : Indique le ou les fichiers à copier. Les caractères de remplacement sont autorisés. Si vous omettez le
chemin d'accès, le système examine le répertoire courant. Vous pouvez également spécifier un nom de
périphérique connu de DOS (CON par exemple).
Destination : Indique la destination des fichiers copiés. Si les noms des fichiers figurent déjà dans le répertoire de
destination, vous avez la possibilité de renommer les copies. Sans aucune indication de votre part, les fichiers
seront copiés sous le même nom.
Vous pouvez spécifier également le nom d'un périphérique de DOS, PRN par exemple. Si vous n'indiquez aucune
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destination, les fichiers seront copiés dans le répertoire courant.
De même, Si vous spécifiez une série de fichiers que vous souhaitez copier dans le même ordre sans indiquer la
destination, ils seront copiés dans le même répertoire, à la suite du premier fichier spécifié.
/A : Indique que le fichier source est en format ASCII (fichier de texte). La copie s'effectue uniquement jusqu'à la
marque de fin de fichier (+).
C'est la définition par défaut pour la seconde variante de COPY puisque l'ordre des éléments n'a d'importance que
dans le format ASCII. L'option /A porte sur le fichier qui la précède.
/B : Le fichier source est un programme et peut contenir le code + à différents endroits. Le fichier est copié
intégralement. C'est la définition par défaut pour la première variante. Cette option s'applique toujours au fichier qui
la précède.
/V : Synonyme de la commande VERIFY, cette option vérifie Si la copie s'est déroulée sans incident. Ne l'utilisez
qu'en cas de besoin puisqu'elle ralentit l'opération sans apporter un bénéfice réel.

Notes:
La commande COPY génère des copies conformes (1:1) d'un ou plusieurs fichiers sur le système. Si vous
souhaitez reproduire toute la hiérarchie des répertoires, utilisez de préférence la commande XCOPY. De même, Si
vous souhaitez effectuer un remplacement sélectif, faites plutôt appel à la commande REPLACE.
Mais, si vous voulez une commande plus puissante et plus flexible, appelez XCOPY.

Exemples:
La commande : COPY C: \WORD\TEXT\DOCUMENT.TXT A:\
reproduit le fichier DOCUMENT.TXT situé dans le répertoire \WORD\TEXTE du lecteur C: dans le répertoire
principal du lecteur A:. La copie reçoit le même nom et affiche les mêmes informations dans le catalogue.
Une éventuelle protection en écriture n'est pas reportée sur la copie. Si vous omettez la destination, ou Si vous
indiquez le même répertoire, vous recevrez le message suivant :
Le fichier ne peut pas être copié sur lui-même.
Si vous souhaitez donner un autre nom à la copie, formulez la commande COPY de la façon suivante:
COPY A:\FICHIER1 C:\FICHIER2
Cette commande génère une copie du FICHIER1 sous le nom FICHIER2 dans le répertoire principal du disque C:.
Comme précédemment, la date et l'heure de création ne changent pas. La protection en écriture n'est pas reportée
sur la copie.
Si vous n'indiquez aucune destination, le système prendra le chemin actif, ce qui raccourcit considérablement la
commande. Par exemple, COPY B:\*.*
reproduit tous les fichiers du répertoire principal de B: dans le répertoire courant. Par exemple, pour le répertoire
\TEXTE de C: , vous auriez dû entrer la commande suivante:
COPY B:\*.* C:\TEXTE Comme le montre cet exemple, Si vous ne spécifiez pas la destination, les fichiers sont
copiés dans le répertoire courant.
Vous pouvez indiquer des périphériques DOS aussi bien pour l'origine que pour la destination des fichiers. Cela
vous permet quelques petites astuces. Ainsi, la commande :
COPY DOCUMENT.TXT PRN reproduit le fichier DOCUMENT.TXT sur l'imprimante connectée à l'interface
parallèle. Le fichier est donc imprimé.
Mais attention! Si vous employez cette astuce, veillez à bien définir l'option /B, car Si le texte contient des codes de
gestion, ceux-ci seraient également envoyés à l'imprimante et le résultat risquent fort de vous surprendre.
Pour créer un fichier de texte au moyen de la commande COPY, spécifiez le périphérique CON, c'est-à-dire le
clavier, en guise de source et le nom du fichier pour la destination:
COPY CON Fichier Le curseur se place sur la première ligne et vous pouvez taper votre texte sans attendre. La
touche vous permet comme d'habitude d'aller à la ligne suivante, mais vous ne pouvez pas revenir sur la ligne
précédente.
Pour enregistrer votre texte, tapez le code de fin de fichier + et appuyez sur . Pour obtenir le symbole de fin de
fichier, AZ , vous pouvez également appuyer sur .
La seconde variante vous permet de copier plusieurs fichiers en un seul. Par exemple, la commande :
COPY LETTRE1 .TXT+LETTRE2.TXT LETTRE3.TXT
reproduit les deux fichiers spécifiés dans le même ordre en un seul fichier intitulé : LETTRE3.TXT
Si vous ne spécifiez pas la destination pour la seconde variante, tous les fichiers seront ajoutés au premier.
Songez seulement aux dégâts provoqués par ce type d'erreurs.
Vous ne pouvez pas spécifier un fichier source en guise de destination. Les copies récurrentes ne sont pas
autorisées.
Si vous souhaitez substituer la date et l'heure de création d'un fichier à la date du système, ajoutez un élément
"nul" représenté par deux virgules :
COPY /B SOURCE+,,
Une petite manipulation de COPY peut effacer définitivement un fichier sans qu'il ne soit récupérable par
UNDELETE. La commande :
COPY NUL NomFichier
copie le périphérique NUL sur le fichier et l'efface. La récupération par UNDELETE n'est réalisable qu'avec le suivi
de suppression et non avec la procédure de suppression ou la récupération depuis le répertoire.
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Le DOS
Date :

Saisie et affichage de la date.

Syntaxe:
DATE date
DATE

Notes:
DATE permet d'appeler et de modifier la date courante du système, qui est sauvegardée avec les fichiers lors de
leur création ou à chaque modification.
Ceci permet de savoir quels sont les fichiers les plus récents dans le catalogue d'un répertoire. Veillez à ce que la
date du système soit toujours correcte.
La commande sans indication de date fait afficher la date courante que vous pouvez modifier si besoin est.
Tapez pour accepter la date proposée. Le format utilisé est commandé par le paramétrage de COUNTRY.SYS.

Del (Erase) :

Supprimer des fichiers sur un support de stockage. Voir aussi UNDELETE.

Syntaxe:
DEL [Fichier] {/P}
Fichier : Indique le nom du ou des fichiers à supprimer. Les caractères de remplacement sont autorisés. Le
système ne vous demande confirmation que si vous indiquez tous les fichiers du répertoire avec *.* .
/P : Cette option vous demande confirmation pour chaque fichier à supprimer.

Notes:
Les commandes DEL et ERASE exécutent la même fonction et adoptent la même syntaxe.
La commande DEL élimine un fichier de son répertoire. Une fois supprimé, le fichier n'est plus accessible . Dans le
catalogue, il est marqué comme supprimé donc invisible, tandis que dans la table d'allocation de fichiers (FAT), les
secteurs qu'il occupait auparavant sont à nouveaux libérés. Contrairement aux idées reçues, la commande DEL ne
supprime pas les fichiers physiquement.
Le fichier ne disparaît pas entièrement et nous pouvons en principe le récupérer avec les moyens adéquats. Pour
cela, MS-DOS met à votre disposition la commande UNDELETE.
Bien qu'il soit théoriquement possible de récupérer un fichier supprimé avec UNDELETE, le résultat n'est jamais
garanti à 100%, surtout si les secteurs libérés dans la mémoire ont été occupés entre-temps. Faites donc bien
attention lorsque vous supprimez un fichier.
Pour accroître l'efficacité de la commande UNDELETE, consignez toutes les suppressions effectuées dans un
fichier de suivi. Pour créer ce fichier, exécutez la commande MIRROR avec l'option /T.

Exemples:
DEL DOCUMENT.TXT
supprime le fichier DOCUMENT.TXT et l'élimine également du catalogue.
DEL C:\TEXTE\*.TXT
supprime tous les fichiers avec l'extension ".TXT" dans le répertoire \TEXTE du lecteur C:.
DEL *.* /P
supprime tous les fichiers dans le répertoire courant. Avec l'option/P, le système vous demande confirmation pour
chaque fichier. Vous pouvez alors confirmer ou annuler la suppression en appuyant sur les touches
correspondantes.
Si vous souhaitez supprimer tout le contenu d'un répertoire en une seule opération, tapez :
DEL \TRAVAUX
sans spécifier les fichiers comme dans :
DEL \TRAVAUX\*.*
Pour supprimer tous les fichiers du répertoire courant, tapez :
DEL .
au lieu de *.* Le point symbolise tous les fichiers du répertoire courant.
Si vous avez détruit un ou plusieurs fichiers par mégarde, vous pouvez les ramener à la vie avec la commande
UNDELETE, intégrée sous MS-DOS.
Cependant, pour éviter que les secteurs libérés ne soient recouverts entre-temps, n'effectuez aucune opération
d'écriture sur le support après cet incident (COPY OU XCOPY).
Celle-ci risque, en effet, de réécrire les secteurs, comme dans le cas d'une suppression physique. En cas de
suppression accidentelle, exécutez la commande UNDELETE sans attendre.

Deltree :
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Le DOS
Efface des dossiers y compris les fichiers. Voir aussi RD

Syntaxe:
DELTREE {Lecteur} [Chemin] {/Y}
Lecteur : Nom du lecteur contenant le chemin à effacer.
/Y : Interdit la demande de confirmation concernant vos choix.

Notes:
RD efface uniquement un dossier vide qui ne contient ni fichiers ni dossiers. La conséquence est que la
modification d'une arborescence peut générer un lourd travail surtout si vous n'êtes pas un utilisateur Windows.
Sous Windows, l'Explorateur aide confortablement à renommer et même à déplacer des dossiers.
DELTREE allège efficacement cette tâche en effaçant le répertoire ainsi que les fichiers et dossiers qu'il contient.
N'oubliez jamais que cette commande est une gigantesque arme de destruction.

Exemple:
Vous voulez effacer le répertoire \WORD\TEXTES sur le lecteur en cours :
DELTREE \WORD\TEXTES
En l'absence de l'option /Y, vous devez reconfirmer cette action. Les dossiers et les fichiers intégrés au chemin
sont détruits après une brève activité du disque dur.

Dir :

Afficher le contenu d'un répertoire. Voir aussi TREE.

Syntaxe:
DIR (Chemin) {/A{{:}{-}Attr}} (/B) (/L) {/O{{:}{-}Tri}} {/P} (/S) (/W)
Chemin : Indique le chemin d'accès aux fichiers. Si vous omettez le lecteur ou le répertoire, la commande DIR
portera sur le lecteur ou le répertoire courant. Si vous ne donnez aucune indication permettant de limiter l'affichage
(les caractères de remplacement sont autorisés), vous recevrez la liste intégrale de fichiers (*.*) Si vous indiquez
uniquement le lecteur sans préciser le répertoire, la commande portera sur le répertoire que vous avez "visité" en
dernier.
/P : Affiche le sommaire d'un répertoire page par page.
/w : Variante abrégée sur quatre colonnes, sans aucune indication supplémentaire.
/A {:} : Affiche le contenu d'un répertoire selon les attributs spécifiés. Les double-points ne sont pas obligatoires.
Vous pouvez définir les attributs suivants :
aucun Liste intégrale, y compris les fichiers système et les fichiers cachés.
D Les répertoires uniquement.
A Les fichiers dont l'attribut A est activé (fichiers archive).
H Les fichiers dont l'attribut H est activé (fichiers cachés).
R Les fichiers dont l'attribut R est activé (fichiers protégés en écriture).
S Les fichiers dont l'attribut S est activé (fichiers système).
Pour inverser les attributs, placez un tiret devant la lettre correspondante. Par exemple, -S dresse la liste des
fichiers dont l'attribut S est inactivé.
/0 {:} : Affiche le contenu d'un répertoire sous une forme triée. Le tri s'effectue selon les critères suivants:
aucun Tri par nom de fichier, définition par défaut.
D Tri selon la date et l'heure, par ordre chronologique.
E Tri alphabétique par extension.
G Affiche les répertoires au début.
N Tri par nom de fichiers.
S Par taille, du plus petit au plus grand.
Un tiret placé devant la lettre correspondante inverse l'ordre de tri. Par exemple, -D effectue un tri chronologique
du plus récent au plus ancien.
/B : Affiche uniquement les noms des fichiers sur une seule colonne.
/L : Affiche le contenu du répertoire en minuscules.
/S : Dresse la liste intégrale des fichiers présents sur le lecteur à partir du répertoire spécifié ou du répertoire
courant.

Notes:
La commande DIR affiche le contenu d'un support de stockage intégralement ou partiellement.
La liste comprend les noms des fichiers avec leurs extensions, la taille en octets, ainsi que la date et l'heure de
création ou de mise à jour.
La commande DIR affiche en outre la désignation du lecteur et du répertoire courant, ainsi que le numéro de série
du support de données. MS-DOS attribue un numéro de série à chaque disque au cours de son initialisation.
Ce numéro est défini de façon aléatoire à partir de la date et de l'heure. Avec des critères aussi changeants, il est
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Le DOS
peu probable que les numéros de série existent en double.
Les options disponibles vous permettent de trier les fichiers selon les critères de votre choix ou de sélectionner les
fichiers selon leurs affributs.
Lorsque vous sélectionnez un ou plusieurs fichiers, la commande DIR calcule l'espace total qu'ils occupent en
octets.
Les tris concernent essentiellement l'affichage et n'ont aucune incidence sur les fichiers eux-mêmes.
Si vous spécifiez plusieurs attributs, la commande DIR présente uniquement les fichiers qui réunissent tous les
attributs indiqués, comme dans le cas d'une association avec l'opérateur ET.
En revanche, Si vous spécifiez plusieurs critères de tri, la commande DIR prend tout d'abord le premier critère,
puis le second, et ainsi de suite...
La date et l'heure s'affichent dans le format défini sous COUNTRY. Sans aucune indication de votre part, le
système adopte le format américain.
Pour visualiser la structure des répertoires, servez-vous de la commande TREE.

Exemples:
Pour visualiser tous les fichiers du répertoire C:\WORD\TEXTE\TRAVAUX, formulez la commande DIR de la façon
suivante:
DIR C:\WORD\TEXTE\TRAVAUX
Si vous ne spécifiez aucun fichier, le système utilise la valeur par défaut, à savoir *.*
Vous voulez voir les fichiers du répertoire C:\WORD\TEXTE qui n'ont pas encore été sauvegardés. Pour cela,
tapez:
DIR C:\WORD\TEXTE /A: -A
En inversant l'attribut à l'aide du signe moins, vous allez obtenir uniquement les fichiers qui ne comportent pas
l'attribut d'archivage, ou plus précisément, ceux qui n'ont pas encore été sauvegardés.
Vous voulez visualiser tous les fichiers avec l'extension ".TXT" présents sur le lecteur, trier la liste selon le nom des
fichiers et la présenter page par page. Pour cela, formulez la commande DIR de la façon suivante:
DIR C:\*.TXT /O:N /S /P
En définissant la variable DIRCMD dans la mémoire de l'environnement, vous pouvez associer des paramètres par
défaut à la commande DIR.
Par exemple, avec l'instruction
SET DIRCMD = /O:E /A: -H -S /P
la commande DIR affiche le contenu du répertoire trié par extension, en excluant tous les fichiers cachés et
système. Ces paramètres seront pris par défaut avec la commande DIR.
Pour annuler provisoirement les paramètres par défaut, faites-les précéder du signe moins.
La commande DIR peut être dirigée sur un périphérique différent. Par exemple,
DIR > PRN transmet le contenu du répertoire sur l'imprimante PRN.
En revanche, la commande
DIR > DIR.DAT écrit le catalogue dans le fichier DIR.DAT.
Cette procédure peut être automatisée de la façon suivante:

@ECHO OFF
DEL \DIR.DAT
ECHO Attention Copier les répertoires
SET PROOF=%1 ; %2 ; %3
FOR %%A IN (%PROOF%) DO DIR > \ DIR.DAT
ECHO Fin
SET PROOF

La variable d'environnement PROOF contient une série de répertoires dont vous souhaitez enregistrer le contenu
dans un fichier, afin de détecter une éventuelle infection ou tout simplement pour votre documentation.
En établissant une boucle, vous pouvez générer le sommaire de ces répertoires et diriger les sorties dans un
fichier intitulé \ DIR.DAT. Cette méthode vous permet de transmettre les répertoires au fichier de commandes en
guise de paramètres et ainsi automatiser vos opérations courantes.

Diskcopy :

Copier des disquettes. Voir aussi COPY

Syntaxe:
DISKCOPY (Source:) (Destination:) (/1) (/V)
Source : Indique le nom du lecteur qui contient la disquette à copier.
Destination : Indique le nom du lecteur qui recevra la copie.
/1 : Copie uniquement la première face de la disquette. Cette option n'est utile que sur les anciennes versions de
MS-DOS.
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Le DOS
/V : Cette option vérifie si la copie s'est déroulée normalement, à l'instar de la commande VERIFY, et prend plus de
temps.

Notes:
La commande DISKCOPY effectue une copie conforme (1:1) de la disquette source sur la disquette de destination.
Si vous n'avez pas initialisé la seconde disquette, DISKCOPY reproduit également le format.
MS-DOS utilise le disque dur comme tampon pour vous éviter les multiples changements de disquettes quand
vous appelez la commande DISKCOPY.

Exemples:
DISKCOPY A: B:
reproduit le contenu de la disquette dans A: sur la disquette placée dans le lecteur B:.
DISKCOPY A: A:
génère une copie sur le même lecteur en vous invitant à introduire les disquettes source et cible. Si vous souhaitez
faire des copies sur le lecteur courant, il n'est pas nécessaire de le spécifier dans la commande.
La commande DISKCOPY renvoie un code d'erreur que vous pouvez intégrer dans un fichier de commandes avec
l'instruction
IF ERRORLEVEL
DISKCOPY renvoie les codes suivants:

0 La copie s'est déroulée sans erreurs.


1 Il s'est produit une erreur de lecture/écriture légère.
2 La copie a été interrompue par l'utilisateur avec la combinaison <CTRL>+<C>
3 Il s'est produit une erreur grave (matériel).
4 Il s'st produit une erreur au cours de l'intialisation.

La disquette de destination est effacée physiquement et ne peut plus être récupérée.


Les disquettes doivent avoir le même format et, bien sûr, la même capacité. La disquette de destination est
initialisée au format maximum. Introduisez une disquette adéquate.
Si vous avez dévié l'un des lecteurs impliqués avec la commande SUBST, annulez toutes les associations avant
de procéder à la copie.
Pour éviter toute erreur et toute perte de données en changeant de disquette, il est préférable de protéger la
disquette source en écriture.

Doskey :

Editeur de commandes, interpréteur de macros et rappel des commandes.

Syntaxe:
DOSKEY {/REINSTALL} {/B{UFSIZE}=nnn} {/INSERT I /OVERSTRIKE} {/H{ISTORY}} {/M{ACROS}}
{nom_macro={commande}}
/REINSTALL : Installe une nouvelle copie de DOSKEY et efface toutes les commandes et macros enregistrées
jusqu'alors.
/BUFSIZE=nnn : Définit la taille de la mémoire disponible pour DOSKEY. La valeur est donnée en octets. Sans
aucune indication de votre part, le système réserve 1024 octets (1 Ko). Vous pouvez également spécifier cette
option sous forme abrégée /B=nnn.
/INSERT : Active le mode insertion pour la saisie des commandes. Bien évidemment, cette option est incompatible
avec /OVERSTRIKE.
/OVERSTRIKE : Active le mode recouvrement pour la saisie des commandes. Cette option exclut tout
naturellement le mode /INSERT.
/MACROS : Dresse la liste des macros enregistrées. Vous pouvez également utiliser la forme abrégée /M. Cette
option vous permet par ailleurs de diriger les macros dans un fichier de commandes, avec > , pour pouvoir les
lancer à tout moment.
/HISTORY : Dresse la liste intégrale des commandes enregistrées. Vous pouvez l'abréger en /H. Comme
précédemment, les sorties peuvent être dirigées dans un fichier de commandes.
nom_macro= : Associe la commande spécifiée à la macro. Si vous ne formulez aucune commande, cette option
efface purement et simplement la macro.
DOSKEY est un programme résident en mémoire qui enregistre les commandes exécutées au cours d'une session
de travailfois.. Cela vous permet de rappeler vos commandes à l'écran au lieu de les retaper à chaque fois.
DOSKEY enregistre les commandes dans la limite de l'espace disponible. Lorsqu'il n'y a plus de place, les
commandes sont effacées dans l'ordre de leur enregistrement.
DOSKEY vous offre également la possibilité de créer des macros. Comme chacun sait, les macros contiennent
une commande ou une suite de commandes que vous pouvez lancer avec une touche ou une combinaison de
touches.
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Le DOS

Edition de commandes:
<á â> : Fait défiler la liste des commandes vers le haut ou vers le bas. Les commandes s'inscrivent l'une après
l'autre après le prompt. Servez-vous des flèches latérales pour vous déplacer sur la ligne de commande et vous
positionner à l'endroit où vous souhaitez apporter des modifications.
La touche <Inser> vous permet de passer du mode insertion au mode suppression et vice-versa. Avec les
options /INSERT et /OVERSTRIKE vous pouvez définir le mode de saisie au lancement de DOSKEY.
<Home> : Place le curseur au début de la ligne de commande.
<Fin> : Place le curseur à la fin de la ligne de commande.
<Inser> : Passe du mode insertion en mode suppression et vice-versa.
<Echap> : Efface la ligne de commande. Si vous souhaitez entrer une commande manuellement, après avoir
parcouru la liste, effacez la ligne avec la touche <Echap> et tapez la commande de votre choix.
<CTRL>+<ß> : Place le curseur au début du mot précédent.
<CTRL>+<à> : Place le curseur au début du mot suivant.
<CTRL>+<Fin> : Efface les caractères de la position du curseur jusqu'à la fin de la ligne.
<Ctrl>+<ã> : Efface les caractères du début de la ligne jusqu'à la position courante du curseur.
Les touches de fonction ont la même fonction que sous DOS :
<F1> Rappelle un seul caractère de la mémoire du clavier.
<F2> n Rappelle tous les caractères jusqu'à la première occurrence de n sur la ligne de commandes.
<F3> Rappelle tous les caractères à partir du curseur.
<F4> n Rappelle tous les caractères à partir de la première occurrence de n.
<F5> Enregistre la ligne de commandes dans la mémoire du clavier.
<F7> Affiche toutes les commandes enregistrées dans une liste numérotée. La dernière commande rappelée
avec les touches de direction vers le haut et vers le bas ou avec F8 est indiquée par le signe.
<Alt>+<F7> Efface toutes les commandes enregistrées sans toucher aux macros. Pour effacer les commandes et
les macros à la fois, spécifiez l'option /REINSTALL. Sinon, vous pouvez éliminer vos macros à un moment ultérieur
avec la combinaison de touches <Alt>+<Fl0>.
<F8> Fait défiler la liste des commandes comportant les mêmes caractères jusqu'à la position du curseur.
<F9> Permet de sélectionner une commande dans la liste en spécifiant le numéro de la ligne.

Création et utilisation de macros


L'option Nom_Macro=Commandes vous permet d'associer une ou plusieurs commandes à une chaîne de
caractères quelconque. Dès lors, vous pouvez exécuter la ou les commandes spécifiées en tapant la chaîne de
caractères définie. La combinaison de touches <Alt>+<F10> efface toutes les macrocommandes sans vous
demander confirmation.
En plus des commandes ci-dessus, vous pouvez utiliser les codes et les paramètres suivants:
$G Dévie la sortie standard lors de l'exécution d'une macro et correspond au code ">" sous DOS.
$B Correspond à la barre verticale permettant d'enchaîner plusieurs commandes.
$T Sépare les commandes exécutées les unes après les autres.
$1 à $9 Variables de substitution dans une macro. Ces variables vous permettent de spécifier des paramètres
lors de l'appel d'une macro comme, par exemple, un nom de fichier, le chemin d'accès ou des options
supplémentaires.
$* Remplace toutes les indications qui suivent le nom de la macro sur la ligne de commande.

Exemples:
Vous voulez exécuter la commande :
DIR *.TXT /P
en appuyant simplement sur la touche <D>.
DOSKEY D=DIR *.TXT /P
associe la commande " DIR *.TXT /P " à la touche <D>. Pour l'exécuter, il vous suffira désormais de taper un D
suivi de la touche <Entrée>.
Si vous utilisez le signe dollar à l'intérieur de la macro, vous devez le taper deux fois.

Edit :

Editeur pleine page.

Syntaxe:
EDIT {Fichier} {/B} {/G} {/H} {/NOHI}
Fichier : Indique le nom du fichier à éditer. Si le fichier spécifié existe déjà, il est aussitôt chargé dans l'éditeur. En
revanche, s'il n'existe pas, l'éditeur crée un nouveau fichier et l'enregistre sous le nom indiqué.
Quoi qu'il en soit, vous devez indiquer le chemin d'accès, sauf si le fichier se trouve dans le répertoire courant.
/B : Valide l'affichage monochrome, même si vous utilisez un moniteur couleur.
/G : Inactive l'optimiseur d'affichage sur une carte CGA et permet ainsi d'accélérer le traitement. Si vous utilisez
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Le DOS
une carte CGA, testez vous-mêmes les différentes possibilités.
/H : Lance l'éditeur avec une meilleure résolution que celle de votre matériel.
/NOHI : Affiche uniquement huit couleurs parmi les seize possibles. Cette option est particulièrement utile lorsque
le moniteur ne peut pas représenter des caractères en gras. Ces couleurs seront utilisées pour représenter les
raccourcis pour les commandes d'un menu.

Notes:
La commande EDIT lance l'éditeur intégré sous MS-DOS. Cet éditeur vous permet d'écrire des petits messages et
s'avère particulièrement utile pour les fichiers de configuration AUTOEXEC.BAT et CONFIG.SYS.
Avec une bonne résolution, vous allez certes améliorer la netteté de l'image, mais cela augmente également le
nombre de lignes. Par exemple, Si vous travaillez avec une carte VGA, vous pouvez afficher 43 voire même 60
lignes, ce qui diminue bien évidemment la lisibilité.
EDIT fait partie de l'environnement de programmation intégré, QBasic. Par conséquent, si vous supprimez
QBASIC.EXE pour gagner de la place, vous ne pourrez plus utiliser EDIT.

Exit :

Quitter un interpréteur de commandes. Retourner dans Windows. Voir aussi COMMAND.

Syntaxe:
EXIT

Notes:
Lorsque vous chargez une copie du processeur de commandes avec COMMAND, vous créez un nouvel
environnement pour votre processeur.
Les variables d'environnement, telles que le prompt et le chemin de recherche, peuvent prendre des valeurs tout à
fait différentes de celles que vous utilisiez jusqu'alors.
La commande EXIT vous fait quitter la copie active du processeur et revenir à l'environnement précédent avec ses
valeurs spécifiques.
La commande EXIT n'a aucun effet sur le premier processeur chargé au démarrage. C'est d'ailleurs le seul
processeur que vous ne pouvez pas quitter.
Lorsque vous quittez un processeur de commandes avec EXIT, l'environnement du premier processeur est
automatiquement rétabli.
Lorsque vous travaillez dans une fenêtre DOS ou utilisez ce que l'on appelle une "sortie DOS", vous chargez en
réalité une nouvelle copie du processeur de commandes.

Fdisk :

Configurer / partitionner un disque dur.

Syntaxe:
FDISK {/Etat}
/Etat : Sélectionnez cette option pour avoir un seul rapport d'état.

Notes:
FDISK est un utilitaire chargé de configurer un disque dur avant de l'initialiser sous MS-DOS avec FORMAT.
La commande FDISK vous permet de diviser un disque physique en plusieurs unités logiques et d'utiliser plusieurs
systèmes d'exploitation en parallèle.
L'utilitaire FDISK vous propose les fonctions suivantes:
* Créer une partition primaire pour le système d'exploitation MS-DOS.
* Créer une partition MS-DOS étendue et définir des lecteurs logiques.
* Activer une partition de manière à changer de système d'exploitation dès le prochain démarrage.
* Supprimer une partition.
* Consulter la partition active.
* Partitionner un autre disque dur.
La commande FDISK est pilotée par menus. Il vous suffira donc de répondre aux questions posées par le système
dans les boîtes de dialogue au lieu d'entrer les paramètres vous-même.
Pour valider la réponse prédéfinie, appuyez sur <Entrée>. La touche <Echap> vous ramène à la page précédente.
Lorsque vous supprimez une partition ou modifiez ses paramètres (sa capacité, par exemple), toutes les données
enregistrées sur le disque dur sont irréversiblement détruites.
FDISK est inutilisable sur un lecteur du réseau ou un lecteur série relié par INTERLNK.
Sous Windows95 Sr1, la taille maximum d'une partition est de 2 Go (=2048 Mo).
FDISK ne peut pas traiter des lecteurs compactés.
Une fonction non documentée de FDISK se présente comme suit:
15 / 25
Le DOS
FDISK /MBR
Cette commande redéfinit le Master Boot Record et élimine ainsi des virus qui ont pu éventuellement s'y introduire.

Find :

Rechercher une chaîne de caractères dans un fichier.

Syntaxe:
FIND {/V} {/C} {/N} {/l} ["Chaîne"] {Fichier} ... {Fichier}
/C : Indique le nombre d'occurrences. Cette option ne peut pas être utilisée conjointement avec /N.
/N : Indique le numéro de la ligne pour chaque occurrence du terme recherché.
/V : Indique les lignes qui ne contiennent pas la chaîne de caractères recherchée.
/I : Cette option ignore les majuscules et les minuscules.
Chaîne : Spécifiez une chaîne de caractères à rechercher entre guillemets. Si le terme recherché est lui-même
placé entre guillemets, vous devez les doubler.
Fichier : Indique le fichier à examiner. Les caractères de remplacement ne sont pas autorisés. Si vous souhaitez
rechercher la chaîne dans plusieurs fichiers, indiquez les fichiers voulus à la fin de la commande, séparés par des
espaces.

Notes:
En l'absence de l'option /I, la commande FIND ne considère pas les chaînes de caractères AAAAA et aaaaa
comme étant identiques.

Exemples:
Vous voulez extraire la ligne contenant la chaîne de caractères "17, chemin du Puits" des fichiers spécifiés. Entrez
la commande suivante:
FIND "17, chemin du Puits" OFFRE.DOC RELANCE.DOC COURRIER.DOC
Pour savoir quels fichiers ne contiennent pas le nom DUROC, tapez:
FIND /V "DUROC" MONFICHIER.DOC TONFICHIER.DOC NOTREFICH.DOC VOTREFICH. DOC

Format :

Initialiser un support de stockage sous MS-DOS.

Syntaxe:
FORMAT [ Lecteur: ] {/1} {/4} {/8} {/B} {/F:} {/N:x} {/O} {/Q} {/S} {/T:x} {/U} {/V}
Lecteur : Le nom du lecteur contenant la disquette à initialiser.
/1 : La disquette est formatée en simple face. C'est le format des premières versions de MS-DOS.
/4 : Initialiser une disquette haute densité de 5,25' en format 360 Ko dans un lecteur 1,2 Mo.
/8 : L'initialisation génère seulement 8 secteurs par piste.
/B : Réserve la place nécessaire pour copier le système d'exploitation par la suite, avec la commande SYS. Cette
option est maintenue aujourd'hui pour assurer la compatibilité avec les versions précédentes.
/F:n : Permet de spécifier pour "n" le format en octets, kilo-octets ou méga-octets.Cette option vous propose les
formats suivants: 160,180, 320, 360, 720,1.2,1.44, et 2.88.
/N:n : Cette option indique le nombre n de secteurs à formater. Doit être associée à 'T: et ne peut pas être utilisée
avec /F.
/O : Initialise la disquette dans un format compatible avec les versions 1 .x de MS-DOS.
/Q : Initialisation rapide consistant à supprimer la table d'allocation de fichiers, sans rechercher les secteurs
défectueux.
/S : Installe le système d'exploitation après le formatage et crée des disques de démarrage.
/T:n : Cette option définit le nombre n de pistes et ne peut s'utiliser qu'avec l'option /N:.
/U : Initialise la disquette de façon définitive. Le format qui en résulte ne peut plus être annulé avec la commande
UNFORMAT. Cette option est recommandée lorsque le système vous signale des erreurs en lecture ou en écriture
au cours du formatage.
/V{:}Nom : Cette option vous permet de donner un nom à votre disquette une fois l'initialisation terminée et ne
s'utilise pas avec l'option /8. Pour connaître le nom d'un support de stockage, servez-vous des commandes DIR et
VOL.
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Le DOS

Notes:
Le processus d'intialisation consiste à préparer un support de stockage pour l'enregistrement d'informations sous
MS-DOS. Cette opération efface toutes les données stockées sur le disque et se déroule de la façon suivante:
1...Le support de données est divisé en plusieurs zones concentriques, que l'on appelle des pistes. Les pistes sont
à leur tour divisées en plusieurs secteurs adressables sur les deux faces du disque. Les données enregistrées sur
le disque sont conservées dans ces secteurs.
La répartition des pistes et des blocs n'a lieu que sur les disquettes. Sur un disque dur, cette opération est réalisée
au cours de la phase préparative, avant l'initialisation proprement dite.
2...Création d'un catalogue "vide", ainsi que d'une liste avec l'emplacement de tous les éléments et de la table
d'allocation de fichiers (FAT).
3...Copie des fichiers du système d'exploitation, en cas de besoin.
4...Le support reçoit un numéro de série distribué de façon aléatoire à partir de la date et de l'heure en cours. Les
commandes FORMAT et DISKCOPY vous permettent de renouveler ces numéros, tandis que CHKDSK, DIR,
LABEL, TREE et VOL les affichent à l'écran.
5...Une fois le formatage terminé, vous pouvez donner à votre support un nom de 11 caractères maximum, qui
sera ensuite affiché avec le sommaire ou avec la commande VOL.
Si vous formatez une disquette sans aucune option, les données ne sont pas effacées. Cette opération se contente
de renouveler la table d'allocation de fichiers (FAT) et le répertoire principal et de rechercher d'éventuelles erreurs
dans les différents secteurs. Cette technique vous permet de rétablir votre support à son état précédent avec la
commande UNFORMAT en cas d'incident.
En revanche, Si vous spécifiez l'option /U ou toute autre option qui intervient dans le format du support, il ne vous
sera plus possible de récupérer les données qu'il contient.
Cette protection contre une initialisation accidentelle ne s'applique qu'aux disques durs. Ainsi, lorsque vous
initialisez le disque dur, vous recevrez un message d'alerte vous demandant de confirmer ou d'infirmer votre choix:
Attention Cette opération efface toutes les données sur le disque X:.
Voulez-vous continuer ? (O/N)
Après l'initialisation, vous recevez un message qui vous indique la capacité totale du support et, le cas échéant, les
secteurs inutilisables. Pour une disquette, le système vous demande si vous souhaitez poursuivre l'opération.
L'opération est renouvelée à votre demande.

Exemple:
Supposons que vous vouliez formater une disquette haute densité 5,25 ', pour une capacité de 360 Ko dans le
lecteur B:. Entrez la commande suivante:
FORMAT B: /4
ou alors
FORMAT B: /F:360
Supposons maintenant que vous vouliez formater votre disque dur comme disque de démarrage et l'appeler
LECTEUR_C.
Pour réaliser cette opération, vous devez tout d'abord introduire une disquette de démarrage ( contenant les
fichiers système MS-DOS.SYS, IO.SYS, DBLSPACE.BIN et COMMAND.COM) dans le lecteur. Après
l'initialisation, le système vous demandera de réintroduire cette même disquette dans le lecteur.
Si vous n'en avez pas, c'est le moment d'en créer une. Il vous suffit pour cela de copier les fichiers systèmes avec
la commande SYS.
Utilisez l'option /B lors du formatage d'une disquette si vous souhaitez gêner la copie d'une disquette pour quelque
raison que ce soit : de la place reste disponible pour le système d'exploitation, la disquette n'est plus compatible
avec les autres formats habituels!
Pour accélérer la réinitialisation d'une disquette déjà utilisée, associez les options lu et /Q à la commande
FORMAT. Ce "formatage express" ne mémorise pas les informations nécessaires pour rétablir les données et il ne
vous sera plus possible de revenir en arrière.
Lorsque vous formatez une disquette pour la première fois, spécifiez uniquement l'option /U, afin d'accélérer le
processus.
N'associez en aucun cas la commande SUBST à FORMAT.
Le formatage en réseaux n'est pas autorisé.
La commande FORMAT renvoie un code d'erreur que vous pouvez intégrer dans un fichier de commandes avec:
IF ERRORLEVEL
0 L'initialisation s'est déroulée sans erreur.
3 L'initialisation a été interrompue par l'utilisateur avec la combinaison <Ctrl>+<C>.
4 Erreurs système diverses (sauf 3 et 5).
5 Le message d'erreur : "Voulez-vous formatez une autre disquette?" a reçu une réponse négative lors de
l'inilisation du disque dur.

Formats de lecteurs et de disquettes

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Le DOS
Type Densité Faces Capacité Pistes Secteurs TPI DOS
5,25 DD 1 160 Ko 40 8 48 1.0
5,25 DD 1 180 Ko 40 9 48 2.0
5,25 DD 2 360 Ko 40 9 48 2.0
5,25 HD 2 1.200 Ko 80 15 96 3.0
3,5 DD 2 720 Ko 80 9 135 3.2
3,5 HD 2 1.440 Ko 80 18 135 3.3
3,5 HD 2 2.880 Ko 80 36 135 5.0

Keyb :

Charger un pilote de clavier.

Syntaxe:
KEYB {Code}{,Page}{,Fichier} {/ID:nnn} {/E}
Code : Code de deux lettres symbolisant la configuration du clavier. Sans ce paramètre, la commande KEYB
indique la configuration active.
Page : Indique la page de codes à utiliser.
Fichier : Indique le nom et le chemin d'accès du fichier de configuration KEYBOARD.SYS, qui contient toutes les
informations relatives au clavier sélectionné. Si ce fichier ne se trouve pas dans le répertoire principal, vous devez
indiquer le chemin d'accès complet.
ID:nnn : Le numéro d'identification du clavier n'est utile que si l'on utilise plusieurs configurations pour le même
pays comme en France et en Italie. Vous trouverez la liste des codes disponibles plus loin.
/E : Cette option indique la présence du clavier étendu.

Notes:
KEYB.COM est un programme résident qui se charge de définir la disposition des touches du clavier, qui varie d'un
pays à l'autre, selon les spécificités de chaque langue. Songez seulement aux caractères spéciaux de l'espagnol et
au clavier américain.

Exemples:
La commande ci-dessous définit le clavier français au moyen du fichier AUTOEXEC.BAT.
C:\Windows\Command\KEYB FR, ,C:\Windows\Command\KEYBOARD.SYS
Si le fichier KEYB.COM ne se trouve pas dans le répertoire principal, indiquez le chemin d'accès complet,
\Windows\Command par exemple. Si vous optez pour le jeu de caractères standard, 437, il n'est pas nécessaire de
le préciser dans la commande. L'espace libre entre les deux virgules symbolise la valeur par défaut.
Vous pouvez également charger le pilote du clavier dans fichier CONFIG.SYS sous la commande INSTALL ou le
déposer dans la mémoire supérieure (UMB) avec la commande LOADHIGH, à condition toutefois d'avoir configuré
cette zone de mémoire.
Pour charger KEYB.COM dans la mémoire supérieure (UMB), entrez la commande suivante:
LOADHIGH C:\Windows\Command\KEYB FR,437,C:\Windows\Command\KEYBOARD.SYS
Vous pouvez donc définir les jeux de caractères suivants:
437 Etats-Unis (+ jeu standard)
850 Multilingue (Latin 1)
852 Slave (à partir de la version 5)
860 Portugal
863 France et Québec
865 Norvège
Pour activer un jeu de caractères, 850 par exemple, vous devez tout d'abord l'installer et le préparer avec MODE et
NLSFUNC.
Pour passer du clavier américain au clavier français et vice-versa, entrez les combinaisons de touches suivantes:
<CTRL>+<Alt>+<F1> Active le clavier américain.
<CTRL>+<Alt>+<F2> Active le clavier français.
Une fois exécuté, KEYB.COM restitue un code d'erreur, que vous pouvez associer à une condition dans un fichier
de commandes avec l'instruction IF ERRORLEVEL

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Le DOS

MD / MkDir :

Créer un répertoire ( Dossier ). Voir aussi CD et RD.

Syntaxe:
MD [path] [Répertoire]

Notes:
La commande MD vous permet de créer un répertoire à n'importe quel niveau de la hiérarchie. Vous pouvez tout
aussi bien le subordonner au répertoire courant ou le placer à l'autre bout de la hiérarchie. L'emplacement du
nouveau répertoire est indiqué par le chemin d'accès.
Les répertoires présents sur le chemin d'accès doivent être séparés par des barres obliques inversées ( back-slash
). Ainsi, la commande
MD TEXTE\PRIVE
génère un répertoire intitulé PRIVE subordonné à TEXTE.
Si vous souhaitez définir un itinéraire à partir du répertoire principal, commencez par une barre oblique inversée
(backslash). Par exemple, la commande :
MD \MonMien
génère un répertoire intitulé MonMien dans le répertoire principal.
Si le chemin d'accès ne commence pas par une barre oblique inversée, l'emplacement du nouveau répertoire est
déterminé à partir du répertoire courant. Ainsi, la commande :
MD PRIVE
crée un répertoire intitulé PRIVE dans le répertoire courant.
Tout comme les fichiers, les noms des répertoires peuvent prendre une extension, bien que cela soit très peu
courant. Par exemple, vous pouvez intituler un répertoire :
Chantez.lui
Si vous avez dévié un lecteur avec la commande JOIN, SUBST ou ASSIGN, n'exécutez surtout pas la commande
MD.
Un répertoire ne peut être renommé qu'avec la commande MOVE.

More :

Commande de filtre. Suspend le défilement de l'écran après chaque page.

Syntaxe:
MORE fichier
MORE < fichier
commande | MORE [path][fichier]
commande : Une commande que l'on souhaite afficher le résultat.
fichier : fichier(s) à afficher un écran à la fois.

Notes:
La commande MORE figure parmi les filtres proposés par le système d'exploitation, et à ce titre, elle est toujours
associée à une autre commande. La commande MORE intercepte les sorties sur le périphérique standard et les
affiche page par page, au lieu de les laisser défiler en continu.
MORE s'associe à toutes les commandes qui génèrent des informations à l'écran comme, par exemple, la
commande TYPE.
MORE est séparée de la commande qu'elle accompagne par une barre verticale, que l'on obtient avec le code
ASCII 124 ou par la combinaison de touches <Alt Gr>+<6>. Si cela ne fonctionne pas, entrez le code ASCII sur le
clavier numérique en maintenant la touche <Alt> enfoncée. La barre verticale s'inscrit sur votre écran dès que vous
relâchez ensuite la touche <Alt>.

Exemples:
Vous voulez consulter la mémoire avec la commande MEM. Les informations affichées défilent de façon continue
si bien que vous ne pouvez plus voir le début. Pour résoudre ce problème, entrez la commande :
MEM | MORE
Les informations s'affichent jusqu'au bas de l'écran. Pour passer à la page suivante, appuyez sur une touche
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Le DOS
quelconque. Procédez ainsi jusqu'à la la fin.
La commande MORE génère un fichier temporaire. Si vous l'utilisez sur une disquette, assurez-vous que la
disquette n'est pas protégée en écriture et qu'il reste suffisamment de place.
Vous pouvez également diriger les sorties dans un fichier et lui associer la commande MORE. Cette opération peut
être réalisée de deux façons différentes:
TYPE MONFICHIER.TXT | MORE
ou
MORE <MONFICHIER.TXT

RD / RmDir :

Supprimer un répertoire. Voir aussi CD et MD.

Syntaxe:
RD [Chemin]
Chemin : Indique le chemin d'accès au répertoire à supprimer.

Notes:
La commande RD supprime un répertoire sur un support de stockage. Une fois supprimé, le répertoire n'apparaît
plus dans le sommaire. Lorsque vous supprimez un répertoire, vous devez observer un certain nombre de règles:
* Le répertoire doit être vide. Vous devez donc supprimer ou déplacer tous les fichiers qu'il contient au préalable.
* De même, vous devez supprimer tous les sous-répertoires avec la commande RD.
* Vous ne pouvez pas supprimer le répertoire courant.
* Vous ne pouvez pas supprimer le répertoire principal.
Pour supprimer un répertoire, vous devez indiquer le chemin d'accès avec la plus grande précision.
Les répertoires qui composent le chemin d'accès doivent être séparés par des barres obliques inversées (\ ou
backslash). Par exemple, la commande:
RD WORD\TEXTE
supprime le répertoire TEXTE, qui est un sous-répertoire de WORD.
Si le chemin d'accès commence par une barre oblique inversée, l'itinéraire est établi à partir du répertoire principal.
Par exemple:
RD \TEMP
supprime le répertoire TEMP situé dans le répertoire principal.
Si le chemin d'accès ne commence pas par une barre oblique inversée, il prendra comme point de départ le
répertoire courant.
N'exécutez pas la commande RD sur un répertoire dévié avec SUBST.
Après avoir supprimé un répertoire, vous ne pouvez plus récupérer ses fichiers avec UNDELETE.

Ren / Rename :

Renommer un fichier. Voir aussi MOVE.

Syntaxe:
REN{AME} [Ancien nom] [Nouveau fichier]
Ancien nom : Indiquez le nom de fichier que vous souhaitez renommer. Vous pouvez éventuellement utiliser des
caractères de remplacement et spécifier le chemin d'accès complet.
Nouveau nom : Indiquez le nom que vous souhaitez attribuer à votre fichier, sans présiser le chemin d'accès, car
il ne s'agit pas de déplacer le fichier renommé. Toutefois, le nouveau nom doit être unique.

Notes:
Les commandes REN ou RENAME sont identiques. La première variante n'est en réalité qu'une abréviation.
La commande REN(AME) vous permet de modifier le nom d'un fichier. Une fois renommé, le fichier est conservé
dans le même répertoire et sur le même lecteur. Ce n'est que son nom et/ou son extension qui changent. De
même, toutes les informations figurant dans le sommaire, telles que la date et l'heure de création, ainsi que les
attributs des fichiers, demeurent identiques.

Exemples:

Exemple 1:
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Le DOS
Vous voulez renommer le fichier TOTO.DOC situé dans le répertoire \TEXTE en TATA.DOC. Pour cela, entrez la
commande suivante:
REN \TEXTE\TOTO.DOC TATA.DOC

Exemple 2:
La commande ci-dessous modifie le nom de tous les fichiers qui commencent par B en remplaçant l'initiale par un
C.
REN B*.* C*.*
Si la modification concerne uniquement l'extension, il n'est pas nécessaire de taper le nom du fichier deux fois. Par
exemple, la commande:
REN MONPROG.TXT *.DOC
change le nom MONPROG.TXT en MONPROG.DOC.
Si vous souhaitez copier un fichier sous un nom différent, utilisez de préférence la commande COPY.

Sort :

Trier des données

Syntaxe:
SORT {/R} {+nn}
/R : Tri descendant. Sans indication de votre part, la commande SORT effectue un tri ascendant.
/+nn : Indique le numéro de la colonne qui servira de critère de tri.

Notes:
La commande SORT a pour fonction de trier les sorties de la commande qu'elle accompagne. Le tri s'effectue ligne
par ligne dans la limite de 64Ko.
Le tri de données est soumis aux règles ASCII, ce qui signifie que les chiffres ont la priorité sur les lettres de
l'alphabet.
SORT est une commande de filtrage, et à ce titre, elle s'associe à d'autres commandes au moyen d'une barre
verticale, qui correspond au code ASCII 124. Pour générer une barre verticale à l'écran, entrez la combinaison de
touches <Alt Gr>+<6>. Si cela ne fonctionne pas, spécifiez le code ASCII. Pour ce faire, tapez 124 sur le clavier
numérique en maintenant la touche <Alt> enfoncée.
Si vous souhaitez utiliser la commande SORT toute seule, spécifiez les données à trier et appuyez successivement
sur <F6> et sur <Entrée>.

Exemples:

Exemple 1:
Vous voulez afficher la liste CLIENTS.DAT sous une forme triée. Pour ce faire, entrez la commande suivante:
TYPE CLIENTS.DAT | SORT
Si vous souhaitez visualiser la liste page par page, ajoutez la commande MORE de la façon suivante:
TYPE CLIENTS.DAT | SORT | MORE

Exemple 2:
Vous voulez trier la liste CLIENTS.DAT, puis l'intégrer dans un fichier. Pour cela, formulez la commande SORT de
la façon suivante:
SORT <CLIENTS.DAT >CLIENTS_ .DAT

Time :

Régler et afficher l'heure du système.

Syntaxe:
TIME {Heure}
Heure : L'heure que vous souhaitez afficher avec la commande TIME.

Notes:
Le PC comprend une horloge interne, alimentée par des piles lorsque l'ordinateur est éteint. Cette horloge fournit
l'heure du système demandée par certaines commandes.
Vous avez également la possibilité de spécifier l'heure du système manuellement:
TIME 12:24
L'heure du système adopte le format HH:MM:SS:CC, qui utilise deux chiffres pour chaque indication : l'heure, les
minutes, les secondes et les centièmes de secondes. Si vous omettez l'une de ces composantes, le système
affiche deux zéros (00). Par exemple, pour indiquer midi pile, vous devez entrer:
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Le DOS
TIME 12
Si vous ne spécifiez aucun paramètre, la commande TIME affiche l'heure courante. Vous pouvez ensuite la
modifier directement à l'écran, ou la laisser telle quelle avec une simple pression sur la touche <Entrée>.
L'heure courante est : 22:04:11,33
Entrez la nouvelle heure _
* Si vous n'avez pas défini vos paramètres nationaux avec la commande COUNTRY dans le fichier
CONFIG.SYS, l'heure du système utilisera le format américain, avec les indications am et pm pour le matin et
l'après-midi, par exemple, 10:23a.
* Les années bisextiles n'exigent pas une définition particulière puisque le calendrier est programmé jusqu'en
2099 et prévoit déjà les années bisextiles et même les jours de la semaine.
* Vous avez la possibilité de modifier l'heure du système inscrite dans les circuits électroniques de votre
ordinateur au moyen de la commande TIME. Sur les versions précédentes, il fallait faire appel au programme
d'installation SETUP pour passer à l'heure d'hiver ou à l'heure d'été.

Tree :

Afficher l'arborescence du support. Voir aussi DIR.

Syntaxe:
TREE {Chemin} /F /A
Chemin : Indiquez le lecteur et / ou le répertoire dont vous souhaitez visualiser la structure. Par défaut, la
commande TREE utilise le chemin courant.
/F : Affiche également les fichiers contenus dans les différents répertoires.
/A : Cette option utilise les caractères ASCII à la place du jeu étendu. Autrement dit, les caractères graphiques
sont remplacés par des lettres.

Notes:
Si vous souhaitez diriger la sortie sur une imprimante qui ne gère pas le jeu de caractères étendu, activez le jeu de
caractères ASCII avec l'option /A.
Par exemple, la commande:
TREE D:\ /F >TREE.DAT
dirige la hiérarchie de fichiers du lecteur D: dans le fichier TREE.DAT.

Type :

Lister un fichier.

Syntaxe:
TYPE [Fichier]
Fichier : Indiquez le fichier que vous souhaitez visualiser en précisant éventuellement le chemin d'accès. Les
caractères de remplacement ne sont pas autorisés.

Notes:
La commande TYPE vous permet de visualiser un fichier (de texte) à l'écran, y compris les codes de gestion.

Exemples:

Exemple 1:
Supposons que vous vouliez consulter le fichier AUTOEXEC.BAT. Pour ce faire, tapez la commande:
TYPE C:\AUTOEXEC.BAT

Exemple 2:
Si le fichier est relativement long, ajoutez la commande MORE vous pouvez arrêter le défilement à chaque page:
TYPE LONG.TXT | MORE

Exemple 3:
Malheureusement, la commande TYPE n'accepte pas les caractères de remplacement, mais vous pouvez utiliser
une petite astuce avec la commande :
COPY *.* CON | MORE
qui vous permet de "copier" les fichiers voulus l'un après l'autre à l'écran.
La commande TYPE vous offre un aperçu très rapide du fichier. Si vous souhaitez l'éditer ou vous déplacer d'un
endroit à l'autre, utilisez de préférence la commande EDIT.

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Le DOS
Undelete :

Récupérer un fichier supprimé. Voir aussi UNFORMAT.

Syntaxe:
UNDELETE {(Chemin) {/LIST I /ALL I PURGE{Lect} I /LQAD I /U{NLOAD} I /STATUS I /S{Lect} I /T{Lect}{-
Entrées}} {/DT I /DS I /DOS)
Chemin : Fichiers à récupérer. Le chemin peut être précisé, sinon la commande s'applique au répertoire actuel.
/LIST : Présente la liste des fichiers supprimés à l'écran. Les fichiers irrécupérables sont indiqués par deux
astérisques (**). Les options /LIST et /ALL ne peuvent pas être utilisées conjointement.
/ALL : Rétablit tous les fichiers sans demander confirmation. Les options /ALL et /LIST s'excluent mutuellement.
/ALL rétablit les fichiers en remplaçant le premier caractère par un dièse. Si le nom qui en résulte est ambigü, elle
utilisera d'autres caractères dans l'ordre de priorité suivant:
# % & - 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 A ...Z
/PURGE : Efface le contenu du répertoire de suppression. Un lecteur peut être spécifié (sans double-point). Sans
indication de votre part, la commande s'applique au lecteur actuel.
/LOAD : Charge le suivi de suppression. Utilise le fichier UNDELETE.INI pour les réglages. S'il fait défaut, ce sont
les réglages par défaut qui sont utilisés.
/UNLOAD : Retire de la mémoire la partie résidente de UNDELETE et termine le suivi de suppression.
/STATUS : Pour chaque lecteur montre le niveau de protection actif.
/S : Active la méthode Sentinelle pour le lecteur spécifié. Ici aussi, pas de double-point.
/T{-Entrées} : Active la méthode Traqueur, un niveau de sécurité inférieur. Le nombre d'entrées facultatif
détermine le nombre d'entrées acceptées par le fichier PCTRACKR.DEL. Les valeurs par défaut sont prises en
compte sans indication complémentaire.
/DT : UNDELETE utilise la méthode Traqueur pour récupérer les fichiers. Les options /DT et /DOS sont
incompatibles.
/DS : Seuls les fichiers sauvés par la méthode Sentinelle (répertoire SENTRY) sont récupérés.
/DOS : Limite l'action de la commande UNDELETE à la méthode DOS Standard, même lorsqu'il existe un fichier
de suivi. Les options /DOS et /DT s'excluent mutuellement.

Notes:
Lorsque vous supprimez un fichier, celui-ci ne disparaît pas physiquement. La suppression consiste à éliminer un
fichier de la table d'allocation du disque et à libérer l'espace occupé sur le disque. Le premier caractère du nom du
fichier est effacé.
Le contenu d'un fichier supprimé est conservé sur le système et vous pouvez le récupérer à partir des informations
contenues dans la table d'allocation des fichiers, si celles-ci n'ont pas été effacées entre-temps bien sûr.
Les données supprimées peuvent être rétablies aussi longtemps qu'elles n'ont pas été recouvertes par d'autres
données sur le disque. Autrement dit, la commande UNDELETE ne fonctionne que si vous n'avez exécuté aucune
opération d'écriture sur le disque entre temps.
UNDELETE opère à trois niveaux:
Méthode Sentinelle Les fichiers effacés sont certes éliminés de la FAT mais ils sont conservés pendant un
nombre de jours déterminé dans un répertoire caché \SENTRY. C'est la méthode la plus sûre.
Méthode Traqueur Les fichiers sont effacés et l'opération est enregistrée dans un fichier spécial pour retrouver la
position exacte du fichier sur le support lors d'une éventuelle récupération.
Méthode Standard La méthode la moins sûre consiste à restaurer la FAT, méthode qui ne fonctionne pas
lorsque les fichiers sont fragmentés et trop gros.
Déterminez la méthode nécessaire lors de l'appel en fonction de vos besoins.
* UNDELETE ne peut restaurer des répertoires effacés via RD ou DELTREE ( et effacés de la corbeille ). Cela
concerne également les fichiers contenus dans ce répertoire perdu. Dans de tels cas, le suivi de suppression
garantit le meilleur résultat.
* Si vous n'utilisez ni la méthode Sentinelle ni la méthode Traqueur, prenez l'habitude de faire afficher la liste des
fichiers récupérables. Si le fichier perdu n'y figure pas, renoncez à la récupération car cela risque de provoquer des
dommages. Essayez de récupérer le fichier d'une autre manière (par une copie de secours par exemple).
* De même, l'option /ALL doit être manipulée avec une extrême prudence. Il arrive souvent qu'un secteur soit
affecté à plusieurs fichiers et que ceux-ci ne puissent pas être rétablis séparément. Dans un tel cas, il faut savoir
lequel des deux fichiers a été enregistré en premier. Si vous n'y prenez pas garde, vous pourriez récupérer un
fichier peu important en détruisant à jamais un fichier vital.
* Après avoir récupéré un fichier, exécutez la commande SCANDISK pour vérifier les liens logiques entre les
fichiers et éliminer d'éventuels amalgames engendrés au cours du rétablissement.
* Ne lancez pas la commande UNDELETE à partir de Windows.
* UNDELETE ne s'applique pas aux lecteurs détournés avec SUBST. Annulez toutes les associations avant de
lancer UNDELETE.

UnFormat :
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Le DOS
Annuler un formatage. Voir aussi UNDELETE.

Syntaxe:
UNFORMAT [Lecteur:] {/L} {/P} {/TEST}
Lecteur : Indiquez le lecteur dont vous souhaitez rétablir la structure de fichiers.
/L : Dresse la liste des fichiers récupérables.
/TEST : Simule la récupération des fichiers sans apporter la moindre modification sur le support de stockage. Cette
option exécute une sorte de répétition générale, qui est tout particulièrement recommandée avant de procéder à
une opération de grande envergure.
/P : Dirige les messages générés au cours du traitement à l'imprimante connectée sur LPT1. Les options /P et /L
sont incompatibles.

Notes:
Notez que UNFORMAT ne fonctionne que sur des disques durs de 512, 1024 et 2048 octets par secteur.
Si vous avez formaté un disque par mégarde, la commande UNFORMAT est votre dernière chance. En effet, cette
commande rétablit la table d'allocation de fichiers en annulant toutes les suppressions effectuées.
UNFORMAT adresse les données inscrites sur le support via la table d'allocation de fichiers lors de son formatage.

* Si vous avez supprimé un grand nombre de fichiers par mégarde et qu'il existe un fichier image, exécutez la
commande UNFORMAT au lieu de UNDELETE, mais auparavant, demandez la liste des fichiers récupérables
avec l'option /LIST associée à la commande UNDELETE.
* Si vous avez initialisé votre disque dur avec l'option /U, il n'y a en règle générale plus rien à espérer.
* La commande UNFORMAT ne s'applique pas aux lecteurs détournés avec SUBST. Vous devez donc annuler
l'association avant de lancer la commande UNFORMAT.

Exemple:
Vous voulez rétablir le disque dur C: à la suite d'un incident qui a détruit toutes les données:
UNFORMAT C:
Dans la mesure où la commande externe UNFORMAT doit se trouver sur une disquette pour corriger une
mauvaise manipulation de ce genre, il est évident qu'elle ne figure pas sur le disque dur.

Ver :

Afficher la version MS-DOS en cours.

Syntaxe:
VER {R}
/R : Cette option vous donne des indications supplémentaires sur la position du système d'exploitation.

Notes:
Lorsque vous travaillez sur un PC qui ne vous appartient pas, vous devez connaître la version utilisée.
La commande VER affiche le message suivant:
c:\man@ni\index\DOS>ver
Windows 95. [Version 4.00.950]
selon la version utilisée.
L'option /R vous donne quelques informations supplémentaires:
c:\man@ni\index\DOS>ver /r

Windows 95. [Version 4.00.950]


Révision A
DOS est en HMA

Vol :

Afficher le nom d'un support de stockage. Voir aussi DIR et TREE.

Syntaxe:
VOL {Lecteur:}
Lecteur : Indiquez le disque dont vous souhaitez connaître le nom.

Notes:
Les commandes FORMAT et LABEL vous permettent d'attribuer à chaque support un nom de 11 caractères
maximum, que vous pouvez visualiser à tout moment avec la commande VOL.

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Le DOS
Exemple:
Pour connaître le nom du disque C:, tapez:
VOL C:

XCopy :

Copier des fichiers et / ou des répertoires. Voir aussi COPY et REPLACE.

Syntaxe:
XCOPY [Source] [Destination] {/A} {/D} {/E} {/S} {/M} {/P} {/V} {/W}
Source : Indiquez 1. le ou les fichiers à copier en utilisant éventuellement des caractères de remplacement, ou 2.
le répertoire où devra commencer la copie.
Destination : Indiquez 1. la destination des fichiers copiés, ou 2. la destination des répertoires copiés.
/A : Copie uniquement les fichiers créés ou modifiés depuis la dernière opération XCOPY ou BACKUP. L'attribut
d'archivage reste inchangé.
/M : Copie uniquement les fichiers créés ou modifiés depuis la dernière opération XCOPY ou BACKUP et annule
l'attribut d'archivage.
/D:date : Copie uniquement les fichiers créés ou modifiés depuis la date spécifiée.
/E : Reproduit également les répertoires vides. Cette option n'agit qu'en association avec /S.
/S : Reproduit également la hiérarchie des sous-répertoires.
/P : Cette option vous permet de sélectionner les fichiers à copier en répondant par Oui ou par Non.
/V : Vérifie la copie selon le même principe que VERIFY ON.
/W : Cette option vous permet d'introduire la disquette source avant la copie.

Notes:
XCOPY est la seule commande de copie capable de reproduire des répertoires entiers avec leur hiérarchie en
tenant compte de l'attribut d'archivage. La commande BACKUP influe elle aussi sur l'attribut d'archivage, mais pour
utiliser les copies, il faut tout d'abord les rappeler avec la commande RESTORE.

Exemples:
Vous voulez copier tous les fichiers créés ou modifiés dans C: \TEXTE depuis la dernière sauvegarde avec
BACKUP sur une disquette placée dans B: en annulant l'attribut d'archivage. Pour ce faire, entrez la commande
suivante:
XCOPY C:\TEXTE\*.* B:\ /M
Vous voulez copier tous les fichiers créés ou mis à jour depuis le 30/03/99. Pour cela, formulez la commande
XCOPY de la façon suivante:
XCOPY C:\Windows\*.* A:\ /D:30.3.99
Si les fichiers à copier dépassent la taille de la disquette de destination, ajoutez l'option /M. Lorsqu'il n'y a plus de
place sur la disquette, relancez XCOPY avec l'option /M. Cette opération ne prend que les fichiers restants,
puisque l'option /M a déjà annulé les attributs d'archivage des fichiers copiés.
* XCOPY ne s'applique pas aux fichiers système ni aux fichiers cachés. Pour reproduire ce type de fichiers, vous
devez tout d'abord annuler l'attribut Système avec la commande ATTRIB.
* N'exécutez jamais la commande XCOPY sur un lecteur dévié avec SUBST.
* Si le répertoire de destination n'existe pas, il est automatiquement généré au cours de la copie. Il vous suffit de
préciser s'il s'agit d'un fichier ou d'un répertoire.
* La commande XCOPY ne vous permet pas de dévier la destination dans un fichier ou sur un périphérique avec
> ou <.
La commande XCOPY renvoie une série de codes d'erreur, que vous pouvez intégrer dans un fichier de
commandes:

0 L'opération s'est déroulée sans erreur.


1 Fichier introuvable.
2 L'opération a été interrompue avec <Ctrl>+<C>.
4 Mémoire insuffisante ou commande erronnée.
5 Erreur d'écriture.

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