Sie sind auf Seite 1von 1

Monsieur VERDI Patrice

A
Monsieur le Président
Mesdames et Messieurs les Conseillers
Composant la 7éme Chambre
Du Tribunal Administratif de Nice

Instance : n°0700930-7 MEMOIRE

POUR

Monsieur VERDI Patrice


Chez Mr Marcel VERDI
34 rue René Dunan
06150 CANNES LA BOCCA

CONTRE

La ville de CANNES, représentée par son Député-Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, agissant en vertu de la
délibération du Conseil Municipal du 5 avril 2001, modifiée par celle du 10 Janvier 2002, prise dans le cadre de
l’article L.2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales.
Le mémoire de la ville de CANNES en date du 31/10/08 précise page 1 que ma radiation des cadres date du 23 Mai
2006, ce qui est entièrement faux.
J’ai été radié des effectifs officiellement le 26/05/06 mais officieusement depuis 2001 car je n’ai plus jamais
travaillé tout en recevant des bulletins de paie totalement fictifs, ce qui représente un délit grave couvert par des
réseaux d’influences qui ont admis cet état de fait alors que l’ensemble de la chaîne judiciaire et administrative a été
prévenue par des dizaines de lettres et de courriels adressées aux ministères concernés et qui sont restées lettres
mortes par une sorte d’affiliation politique partisane sans fondement judiciaire ou législatif quelconque pouvant
étayé ce type de comportement antisocial et anachronique qui renie la loi et les institutions de la République.
La ville de CANNES a donc continué volontairement à me verser mon salaire après le 26/05/06 pendant plusieurs
mois sans me prévenir de mes droits au chômage afin de me les réclamer ultérieurement par ce titre exécutoire qui
me place dans une position sociale encore plus précaire par le fait de la perception de 700 euros environ
d’indemnités maladie pour dépression reçues mensuellement depuis des mois et calculées à partir de salaires de base
faussés par une activité imaginaire qui aurait du m’assurer logiquement un minimum indemnitaire doublé ou triplé
si Monsieur BROCHAND avait accepté légalement et logiquement de me rétablir au sein de la collectivité dans un
service en raison de la présomption d’innocence prononcée par votre juridiction le 15 Mai 2002.
Monsieur MORIN, adjoint au personnel aurait du me faire parvenir le 26/05/06 l’attestation requise par les assedic
afin qu’ils me notifient ma dépendance au régime des fonctionnaires pour le paiement de mes indemnités de
chômage par le receveur percepteur municipal à compter de cette date mais ce document a été signé seulement le
07/11/06, me privant de fait de six mois d’indemnités d’une façon scandaleuse et totalement dédaigneuse sans
aucune lettre d’information ou d’explication sur l’arrêt de mon traitement alors que je ne percevais aucune autre
source de revenus pour ma famille et mes deux enfants en bas âge.
Les paiements concernant mon emploi fictif ainsi que mes indemnités de chômage ont été versés par le Percepteur
Receveur Municipal pendant des années avec des retards systématiques d’une dizaine de jours sans aucun respect
des dates de versement mentionnées sur mes fiches de paie ; ce qui a entraîné des problèmes bancaires permanents
et le fichage au FICP; j’ai donc déposé une plainte à Monsieur le Procureur du TGI de GRASSE pour retard de
paiement réitéré en vertu de l’article 1147 du code civil contre Monsieur le Percepteur Receveur Municipal mais
aussi pour discriminations sociales en vertu de l’article 432-7 du code pénal.
La ville de CANNES précise dans son mémoire en défense que ma requête en annulation ne comporte aucun moyen
de droit, ni aucune conclusion, cependant en l’absence de jurisprudence du Conseil d’Etat en la matière, il convient
de se reporter aux commentaires de la doctrine qui considère ainsi que le juge administratif pourra prendre toutes les
mesures «ayant pour objet de prévenir l’aggravation d’une situation dommageable, la prolongation d’une situation
illicite, ou d’assurer la protection des droits et intérêts d’une partie, ou de sauvegarder l’intérêt général », il y a
donc lieu d’apprécier la causalité, l’auteur mais aussi les conséquences sociales logiques souhaitées par l’émission
de ce titre exécutoire en raison de ma situation professionnelle particulière et sociale inimaginable qui est le reflet
d’un harcèlement moral et financier permanent orchestré par la ville de CANNES depuis 2001 en toute impunité.
PAR CES MOTIFS
Et tous autres à produire, déduire ou suppléer, au besoin même d’office, l’exposant conclut à la justification de la
requête en annulation de Monsieur VERDI Patrice afin de ne pas pérenniser une injustice flagrante et sauvegarder la
probité pour qu’elle ne puisse pas disparaître sous l’emprise progressive et sournoise du politique qui fusionne
habilement le pouvoir exécutif au judiciaire en l’instrumentalisant comme le précise avec courage notre ancien
premier ministre et avocat Monsieur Dominique de Villepin dont les connaissances juridiques et les valeurs morales
sont à mon sens indubitablement avérées et ont été nécessaires au bon fonctionnement de nos institutions.
Fait à CANNES le 12/11/08 VERDI P

Das könnte Ihnen auch gefallen