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A.

Circuit RC série
A.1.1. (0,75 pt) L'armature A étant reliée à la borne + du générateur, on a : qA > 0 , et donc qB < 0 ; et la charge du condensateur
s'écrit: q = qA = -qB (autre réponse: q = lqAl = lqBl).
Charge globale du condensateur: qtot = qA + qB = 0, donc l'affirmation est toujours vraie.
A.1.1. (0,75 pt) Q1 = C·U1 = 0,5 µF × 4 V = 2 µC = 2 × 10-6 C

A.2.1. (1 pt) Représentation de la flèche intensité, et des 3 flèches tension: uG , uR , uC .


A.2.2. (0,5 pt) à tout instant: uG = uR + uC (ou uG(t) = uR(t) + uC(t) )
A.2.3. (0.5 pt) à tout instant: uR = R · i (ou uR(t) = R·i(t) )
A.2.4. (1 pt) Intensité: i(t) = dq(t) / dt ; or q = C·uC ; d'où: i(t) = C·duC(t) / dt

A.3.1. (0,75 pt) C'est la décharge du condensateur, puisque uC(t) décroît jusqu'à prendre une valeur nulle.
(remarque: cette décharge est précédée et suivie d'une charge, non étudiée ici).
A.3.2. (0,75 pt) uc(t) = U1·e-t/τ
1° méthode, plus rapide, mais moins précise: par construction graphique, à l'aide de la tangente à l'origine
On obtient à peu près : τ = ˆ 1,4 carreau , d'où, grâce à la base de temps: τ = 1,4×0,2 ms = 0,28 ms ≈ 0,3 ms
2° méthode, plus précise, mais plus longue: lecture graphique des cordonnées d'un point particulier,
soit les valeurs uC(t=0,4 ms) = 1 V ; soit les valeurs uC(t=0,2 ms) = 2 V;
pour cela, il faut calculer: uc(t) = U1·e-t/τ ⇒ e-t/τ = uC(t) / U1 ⇒ ln (e-t/τ ) = ln (uC(t) / U1) ⇒ -t / τ = ln (uC(t) / U1)
d'où, pour le 1° point: τ = -t / ln[uC(t)/U1] = -0,4×10-3 s / ln (1/4) = 2,9×10-4 s = 0,29 ms
ou pour le 2° point: τ = -t / ln[uC(t)/U1] = -0,2×10-3 s / ln (1/2) = 2,9×10-4 s = 0,29 ms
A.3.3. (1,25 pt) ) τ est la constante de temps, avec τ = R·C .
D'où R = τ / C = 0,29×10-3 s / 0,5×10-6 F = 580 Ω = 0,58×103 Ω
A.3.4. (0,75 pt) umax = U1 ⇒ énergie: E = (1/2)·C·U1² = 4×10-6 J = 4 µJ ; dissipation sous forme thermique par effet Joule

A.4.1. (0,5 pt) uR = uG - uC ; or uG = 0 lors de la décharge ; donc uR(t) = -uC(t) , à représenter


(les explications sont indispensables)
A.4.2. (0,5 pt) i(t) = uR(t) / R , donc i(t) a la même allure que uR(t), au facteur multiplicatif R (positif) près.
A.4.3. (1 pt) i(t) = C·(duC(t)/dt) ; or uC(t) = U1·e-t/τ , d'où i(t) = (-C·U1/τ)·e-t/τ a bien l'allure indiquée

B – Transmutation nucléaire
m (totale) 18,9
1.1. (1pt) nombre d' atomes : N = m (1 atome ) = = 1,15 × 10 26 atomes
98,91× 1,660 × 10 − 27
(on peut aussi faire l’étape : m (1 atome) = 98,91× 1,660 × 10 -27 = 1,64 × 10 −25 kg )
1.2. (1,5 pt) L’activité en fonction du nombre de particules s’exprime par : A0 = λ×N0
ln 2 ln 2
or la constante radioactive vaut : λ = = 5
= 1,04.10 −13 s −1
t 1/ 2 2,11× 10 × 365 × 24 × 3600
d’où l’activité : A0=λ·N0=1,04×10-13×1,15×1026 = 1,20×1013 Bq
1.3. (1,5 pt) Loi de décroissance radioactive : A ( t ) = A 0 × e − λ⋅t
1  A( t )  −1  2,50 × 10 5 
d’où la durée : t = − ⋅ ln   = −13
× ln   14 6
 1,20 × 1013  = 1,70 × 10 s = 5,38 × 10 ans
λ A
 0  1, 04 × 10  

2.1. (0,75 pt) Le noyau à déterminer AZ X est 100


43Tc , car il y a conservation du nombre total de nucléons et de la charge totale
2.2. (1,25 pt) ∆ m = m ( 100
43Tc ) −m( 99
43Tc ) −m n = −7,26 × 10 −3 u = −1,20 × 10 −29 kg
6
2.3. (1,5pt) Q = − ∆m ⋅ c 2 = 1,08 × 10 −12 J : l’énergie est libérée ; Q = 6,76 × 10 eV = 6,76 MeV

Tc →
100 0
3.1. (0,5pt) 100
43 44 Ru + −1e

3.2. (1,5pt) λ ' =


ln 2
t 1' / 2
=
ln 2
15,8
= 4,38 × 10 − 2 s −1 et ( )
A ' = A ' 0 ⋅ e − λ '⋅t = 1013 × exp − 4,39 × 10 −2 × 7 × 60 = 10 5 Bq
3.3. (0,5pt) Sans transmutation, il faudrait attendre 5,4 millions d’années pour que l’échantillon de 18,9 kg de déchets aient une
activité comparable à l’activité d’un kg de roche granitique ; alors qu’avec l’échantillon « transmuté », on obtient
sensiblement cette même activité au bout de 7 minutes !
C. Equilibre d’oxydoréduction
eau eau
C.1. (1,5 point) . (non noté: dissolution de chaque soluté: KI  → K+aq + I-aq et FeCl3  → Fe3+aq + 3 Cl-aq )
Quantités de matière des ions présents dans le mélange, déterminées par n = c·V :
n(I-) = 2×10-5 mol = 20 µmol; n(K+) = 2×10-5 mol = 20 µmol; n(Fe3+) = 3×10-5 mol = 30 µmol; n(Cl-) = 3·n(Fe3+) = 90 µmol

C.2.1. (1 point) (non noté: demi-équations: I2 + 2 e- = 2 I- et Fe3+ + e- = Fe2+ ), d'où la réaction: 2 I- + 2 Fe3+ = I2 + 2 Fe2+
C.2.2. (1 point) Les valeurs des quantités de matière sont exprimées en µmol
2 I- + 2 Fe3+ = I2 + 2 Fe2+
état initial 20 30 0 0
état final 20 - 2 xf 30 - 2 xf xf 2 xf

[I 2 ] ⋅ [Fe 2+ ] 2 [I 2 ] i ⋅ [Fe 2+ ] i2
C.3. (1 point) Qr= , ⇒ Qri = = 0 (car [I2]i = 0 et [Fe2+]i = 0)
[I − ] 2 ⋅ [Fe 3 + ] 2 [I − ] i2 ⋅ [Fe 3+ ] i2

C.4. (1 point) Avancement maximum (xmax): 20 - 2 x s'annule avant 30 - 2 x ,


donc xmax = 10 µmol = 10-5 mol

C.5. (1 point) τ = xf / xmax ⇒ xf = τ · xmax = 0,88×10-5 mol

[I2 ] f ⋅ [Fe 2+ ] 2f n(I2 ) f ⋅ n(Fe 2+ ) 2f ⋅ V


C.6. (2 points) K = = = 1,1 × 105 (car [X] = n(X) / Vtot )
[I − ] 2f ⋅ [Fe 3+ ] 2f n(I − ) 2f ⋅ n(Fe 3+ ) 2f

C.7. (1,5 point) Pour que le mélange soit à l'équilibre, il faut et il suffit que Qr soit égal à K . Or:
[I 2 ] ⋅ [Fe 2+ ] 2
Qr = − 2 3+ 2
≈ 8 × 104 ≠ K , donc l'équilibre n'est pas réalisé.
[I ] ⋅ [Fe ]
D. Dosage de l’acide salicylique
D.1.1. (0,5 pt) C7H6O3(aq) + HO-(aq) = C7H5O3-(aq) +H2O
D.1.2. (0,5 pt) A l’équivalence, les réactifs sont introduits dans les proportions stœchiométriques :nA = nB  cA×VA = cB×VBE
D.1.3. (0,5 pt) Par la méthode des tangentes ou la méthode des extremums on trouve : VBE = 28,0 mL
D.1.4. (0,5 pt) cA = (cB×VBE) / VA = 10-2×28 / 20 = 1,40×10-2 mol·L-1 ; cM = M×cA = 138×1,4×10-2 = 1,93 g·L-1

D.2.1. (0,5 pt) C7H6O3(aq) + H2O = C7H5O3-(aq) +H3O+

D.2.2. (1 pt) C7H6O3(aq) + H2O = C7H5O3-(aq) + H3O+


x=0 nA = cA·VA 0 0
solvant
x = xmax cAVA - xmax xmax xmax

D.2.3. (0,5 pt) Si la réaction est totale, l’acide salicylique (en défaut) a totalement disparu donc : cAVA - xmax =0
c’est à dire xmax = 1,4 × 10-2 × 10-3 = 2,80×10-4 mol
D.2.4. (1 pt) D’après le tableau d’avancement nmax(H3O+) = xmax = 2,80×10-4 mol [remarque: pHmax = -log (nmax(H3O+)/V) = 1,85]
D’après la mesure du pH, n(H3O+) = 10-pH × VA = 10-2,83 × 0,02 = 6,6 × 10-5 mol < xmax donc la réaction n'est pas totale.
D.2.5. (1 pt) n(H3O+)= xf = 6,6×10-5 mol et le tableau se complète comme ci-dessous: [remarque: en plus, il y a un peu de HO-]
x = xf 2,14×10-4 6,6×10-5 6,6×10-5
D.2.6. (0,5 pt) τ = xf / xmax = 6,6×10 / 2,8×10 = 0,23 soit 23%.
-5 -4

D.3.1. (0,5 pt) La courbe 3 correspond à l’évolution de la concentration de l’acide car au cours du dosage, avant l’équivalence, il
disparaît donc sa concentration diminue ; après l’équivalence il a totalement disparu donc [AH]=0.
D.3.2. (0,5 pt) Avant l’équivalence, la concentration des ions A- augmente car il y a formation de cette espèce chimique ; après
l’équivalence la concentration diminue par effet de dilution.
D.3.3. (1 pt) [AH] = 7,3×10-3 mol·L-1 et [A-] = 2,7×10-3 mol·L-1 (attention: axe des ordonnées à droite pour les concentrations)
[remarque: bien entendu, [AH]+[A-]=cA=10-2 mol·L-1 à tout instant]
P = [A-] / cA = 2,7×10-3 / 10-2 = 0,27 = 27%
D.3.4.1. (0,5 pt) KA=[A-]f ·[H3O+]f /[AH]f
D.3.4.2. (0,5 pt) d'où pKA = pH - log ([A-]/[AH]) ; et lorsque pH = pKA , alors [AH]f = [A-]f
D.3.4.3. (0,5 pt) D’après les courbes, on trouve pKA = 3

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