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Une grève revendicative inachevée laisse des séquelles

Par : Houmani Mohamed (Universitaire)

Maintenant que les établissements ont retrouvé leur calme habituel, peut-on parler tranquillement et
s'écouter mutuellement ?

J'ai été blasé par autant de blablas et de pirouettes (commissions, dialogues, appels, menaces de
licenciement et de remplacements, diffusions médiatique et publique de fiches de paie). Que signifie
toute cette agitation ? On a cherché à humilier des enseignants et à monter la société contre eux.
Que de dommages ! Cela signifie également que l'autorité chargée du secteur de l'éducation ne
s'intéresse guère aux conditions de vie et de travail des enseignants, encore moins à la qualité de
l'enseignement prodigué aux élèves.

La tutelle, dans un semblant de panique sans précédent, est subitement devenue une machine en
marche décidée à écraser des enseignants, paisibles citoyens cherchant, dans ce qui reste de leur
dignité en lambeaux, d'échapper au rouleau compresseur de la mort dans la misère ou de la cherté
insupportable de la vie. L'après d'une grève partiellement satisfaite est toujours une période difficile.
Elle est vécue différemment par les enseignants, les élèves et les responsables d'établissements.
Les enseignants, obligés par une décision de justice de reprendre leurs activités, la vivent comme
une autre injustice. Les élèves après des vacances forcées, la vivent comme une bonne mais
embarrassante reprise des classes.

Les chefs d'établissements la vivent sous pression car ils sont tenus de rattraper le temps
consommé par la grève. Cependant, l'animateur fondamental dans cette reprise des classes est bien
sûr l'enseignant. Il est le plus pénalisé. Non seulement, il doit consommer, à contrecœur, la décision
de l'autorité judiciaire mais aussi, il est soumis à un emploi du temps intense. Il doit trouver les voies
et les moyens, en sa qualité de pédagogue, de dispenser ses cours sans heurter les capacités
d'assimilation des élèves. Il est ainsi coincé entre des droits légitimes partiellement satisfaits, voire
non reconnus pour certains comme la médecine du travail, et l'obligation d'accomplir son devoir
d'éducateur. Dans cet état contradictoire, le moral et le physique de l'enseignant sont mis à rude
épreuve. Lui réclamer de faire preuve de pragmatisme ou de sagesse est à la limite de l'absurdité.
Les revendications des enseignants (salaire, retraite et médecine du travail) tiennent leur légitimité
des textes de lois de l'Algérie. A titre d'exemple, en voici quelques extraits :

- Tous les citoyens ont droit à la protection de leur santé (Art. 54- Constitution de l'Algérie)

- Tous les citoyens ont droit au travail. Le droit à la protection, à la sécurité et à l'hygiène dans le
travail, est garanti par la loi (Art. 55- Constitution de l'Algérie)

- Le droit syndical est reconnu à tous les citoyens (Art. 56- Constitution de l'Algérie).

- Le droit de grève est reconnu (Art. 57- Constitution de l'Algérie)

- Les travailleurs jouissent des droits fondamentaux suivants (Art. 5 du Chapitre I: Droits des
travailleurs – Titre II : Droits et obligations des travailleurs)

- Exercice du droit syndical

- Négociation collective

- Participation de l'organisme employeur

- Sécurité sociale et retraite

- Hygiène, sécurité et médecine du travail


- Repos

- Participation à la prévention et au règlement des conflits de travail

- Recours à la grève

- La convention collective est un accord écrit sur l'ensemble des conditions d'emploi et de travail pour
une ou plusieurs catégories professionnelles (Art 114 Chapitre I: Disposition générales, Titre VI:
Négociations collectives)

- La convention et l'accord collectif déterminent leur champ d'application professionnel et territorial.


Ils peuvent concerner une ou plusieurs catégories socioprofessionnelles, un ou plusieurs organismes
employeurs et revêtir un caractère local, régional ou national (Art 115. Chapitre I : Disposition
générales, Titre VI : Négociations collectives).

- L'employeur est tenu de verser régulièrement à chaque travailleur et à terme échu, la rémunération
qui lui est due (Art 88- Chapitre III : Privilèges et garanties, Titre IV: Rémunération du travail)

L'application de ces textes pouvait éviter ce désordre public vécu durant des semaines et tranquilliser
les parents d'élèves, qui sont eux-mêmes des travailleurs et des enseignants. C'est le rôle du
gouvernement et de la tutelle qui y siège. Un gouvernement représente toutes les franges de la
société sans discrimination. Il y a du mépris dans le cas des enseignants. Souvent, des commis de
l'État ou des «commis d'État» opposent magistralement droit de grève des enseignants et droit à
l'enseignement des citoyens. Par souci de transparence et la logique poussée à bout, ces commis
d'État se devaient également d'opposer publiquement leurs droits bonifiés à leurs devoirs minorés !

Le pouvoir autoritaire de la tutelle et l'appel automatique au pouvoir judiciaire

Dans la fonction publique, l'appel au pouvoir judiciaire pour déclarer les grèves illégales s'automatise
de plus en plus, «se réflexe» de plus en plus. On procède par étape. La première étape est une
irrecevabilité des revendications et du syndicat. La deuxième étape est l'acceptation des
revendications mais pas du syndicat. On fait appel à un autre syndicat ou à un groupe de travailleurs
sans socle syndical qui se charge de remettre les revendications, dites doléances dans le jargon de
l'administration. Suit alors le montage d'une commission pour étudier les « doléances». Les résultats
de la commission tardent à venir puis s'éternisent à venir et enfin ne viennent jamais.

La troisième étape est un débrayage auquel la tutelle oppose une sourde oreille cherchant le
pourrissement de la situation, le plus souvent déjà putréfiée. La quatrième étape est sérieuse. Elle
annonce la grève qui menace le secteur. La guerre des pourcentages de grévistes commence
(moins de 10% pour la tutelle, plus de 70% pour le syndicat).

La grève s'installe dans la durée et la participation à la grève prend de l'ampleur. On ne parle plus de
pourcentages de participation. Les bénéficiaires des services du secteur s'inquiètent. La tutelle réagit
dans la panique.

Elle ruse, tergiverse, cherche des appuis sociaux, s'abrite derrière des institutions, rejette la balle à
la fonction publique. La médiatisation est à son comble. Et lorsque ça ne marche pas, elle fait dans le
pouvoir judiciaire. La grève est déclarée illégale.

Les textes portant relations de travail sont tirés des tiroirs et brandis contre les grévistes. Des notes
d'application sont envoyées à la base pour être exécutées. Ça marche ! La grève est achevée. Elle
est finie. Que de sueurs coulées ! Que de papier gaspillé ! Que de temps perdu. Que des pertes !

Une satisfaction, les syndicats ont gagné en expériences. La démocratie naissante a aussi besoin
de syndicats d'expérience. Dans sa sérénité temporaire retrouvée, la tutelle minimise les dégâts et
les calfeutre. Si les manifestations reprennent, la méthode des étapes est reprise. Jusqu'à quand des
commis de l'État sensés le servir, assouviront leur soif de pouvoir, causant des dégâts irréparables
sur le développement du pays et sur celui des citoyens ? Il n'y a pas de répondants valides pour
répondre. « Liman tak'ra zabourak ya Daoud » ? (A qui lis-tu ta doctrine, Daoud ?)

La décision de justice ne se juge pas, elle-même est un jugement rendu

Ce n'est donc qu'un questionnement de ma part. Le pouvoir judiciaire tient, bien sûr, compte des
textes de lois de l'Algérie pour rendre justice. La grève est déclarée illégale même après que les
enseignants aient épuisé les étapes légales précédant le recours à la grève. La justice traite un
conflit opposant deux parties. Après avoir entendu les deux parties, elle décide pour l'une et pour
l'autre partie. Pour les enseignants dont les revendications sont légitimes, on connaît la sentence.
Grève illégale. Reprise immédiate du travail.

La tutelle s'en sort indemne malgré le retard dans le versement des indemnités et l'absence de
médecine du travail dans son secteur. Pour le moment, vaut mieux oublier le fameux slogan «un
esprit sain dans un corps sain». Les maladies professionnelles sont nombreuses et coûteuses. La
caisse de sécurité sociale en souffrirait. La médecine du travail permet pourtant de les éviter. Elle est
un véritable moyen de lutte contre les prédispositions à la démence. Qu'ils deviennent tous fous,
semble dire ironiquement cette non reconnaissance de la médecine du travail. Le législateur algérien
a fourni les textes permettant de régler les conflits socioprofessionnels par la négociation. Certains
textes peuvent donner lieu à des lectures diverses car ils comportent encore l'empreinte du syndicat
unique. Avant l'avènement du pluralisme, les conflits se réglaient par la ruse ou par le pouvoir du
plus puissant, celui-ci administrant la pilule nationaliste pour la partie récalcitrante à tort ou à raison.

Aujourd'hui la ruse étant devenue commune à toutes les parties et le nationalisme régressant, les
conflits se règlent par la violence. La violence est souvent accrue par l'abus de pouvoir de la tutelle.
Pour négocier, il faut être au moins deux. Les syndicats autonomes, une partie dans le conflit, ne
sont toujours pas reconnus par les pouvoirs publics. Les textes et l'absence de confiance obligent les
deux parties à établir, par écrit, les conclusions de leurs négociations. Permettre à un syndicat de
signer au même titre que l'administration de la tutelle signifie la reconnaissance de celui-ci par
l'administration. La participation des syndicats autonomes aux négociations n'était donc qu'un mirage
ou qu'un leurre de plus. Le syndicat dit «historique», même s'il est aux abois, veille encore au grain. Il
est encore le syndicat d'État. Seul syndicat à siéger dans la tripartite, il fait partie de l'alliance au
pouvoir.

Le recours à la grève est toléré tant que celle-ci ne déborde pas dans la rue et n'entraîne pas de
conséquences vitales pour le pouvoir en place. Le spectre d'une année scolaire nationale blanche a
des conséquences vitales. Les parents d'élèves et les élèves peuvent faire entendre leurs voies dans
la rue. C'est intolérable pour les pouvoirs publics. C'est la fin de la grève tolérée. Ouvrons et fermons
une parenthèse (les ouvriers mécaniciens de Rouiba n'ont pas été inquiétés tant que leur
mouvement se déroulait entre les murs de l'usine. Mais lorsqu'ils sont sortis dans la rue, ils se sont
sortis de la légalité. La rue est apparemment réservée aux dociles, aux calmes ou à des
manifestations d'appui au système en place). A ce niveau, tous les moyens deviennent légaux pour
que la grève devienne illégale. L'enseignant appauvri, menacé, mais toujours respectueux des
institutions de l'État, la mort dans l'âme, rejoint ses classes. Il ne se sent pas vaincu. Ce n'est qu'une
partie remise comme c'est d'ailleurs le cas des ouvriers mécaniciens de Rouiba.

Les parents entre grève et réussite de leur progéniture

Les parents d'élèves se sont réfugiés dans un silence radio. Les rares prises de position se sont
élevées contre la grève des enseignants. Cherchant leurs intérêts (garde des enfants oblige), il leur
importe peu ou très peu que les enseignants soient exploités dans leur salaire, dans leur droit à la
médecine du travail et dans leur droit à la retraite. Ils souffrent eux-mêmes, du moins pour la majorité
d'entre eux, des mêmes conditions socioprofessionnelles. Certains parents, profitant des possibilités
qu'offre l'Internet, portent des critiques sévères à l'égard des enseignants sans distinction.
Comment peuvent-ils confier l'éducation de leurs enfants à des personnes qui, semble-t-il et selon
leurs écrits, ne méritent pas d'être enseignants. Apparemment, la peur que leurs enfants soient
pénalisés, les abstient de soutenir ou de dénoncer ouvertement les revendications des enseignants.
Le droit à l'enseignement est garanti (Art. 53- Constitution de l'Algérie). Il est même obligatoire.
L'évidence aurait voulu qu'ils se tiennent naturellement aux côtés des enseignants et de l'école pour
assurer à leurs enfants un enseignement de qualité. C'est un gage de réussite et de solidarité dans
la société civile. La réussite de leurs enfants au brevet d'enseignement général ou au baccalauréat
est fêtée par toute la famille.

Elle leur procure une joie immense et les propulse au rang de parents soucieux de l'avenir de leurs
enfants, n'épargnant aucun effort pour leur bonne éducation. L'enseignant qu'ils dénigrent ou
critiquent maladroitement, contribue à toutes ces réussites.

L'enseignant partage la joie à chacune des réussites présentes et futures de ses élèves. Il partage
aussi l'échec. Les parents ont donc le devoir de soutenir tous ceux qui contribuent effectivement à
l'éducation et à l'instruction de leurs enfants. Les vociférations de certains parents d'élèves à l'égard
des enseignants pèseront lourd dans la qualité de l'enseignement à la reprise des classes. J'ose
espérer le contraire.

Il va falloir trouver du temps pour terminer le programme surtout pour les classes d'examens ou de
fin de palier. L'importante quantité de savoir scientifique à faire assimiler par les élèves en un temps
si court est anti-pédagogique. L'élève et l'enseignant, unis dans la réussite comme dans l'échec, ne
doivent en aucun cas se sentir la cause de cette déconfiture pédagogique.

Ils en sont tous deux des victimes. Mais qui est l'auteur présumé de cette situation qui se renouvelle
chaque année ? Passons, évitons la polémique. C'est un sujet encore tabou en Algérie. Le poète a
dit « la raison du plus fort est toujours la meilleure». Les parents d'élèves sont déjà invités à des
séances de sensibilisation organisées par la tutelle. Elle leur prodiguera des tranquillisants. Ils
prendront une position favorable à leurs enfants, bien entendu. Pas de panique, leur dira la tutelle.
Les épreuves d'examen du BEG et du Bac porteront sur les seules parties du programme
dispensées aux élèves. Des commissions installées à cet effet veilleront au grain.

Seulement, un diplôme ne vaut que par la somme de connaissances acquises par son détenteur. La
somme des connaissances est contenue dans les programmes officiels. Au lycée pour le collégien et
à l'université pour le bachelier, d'autres enseignants s'attèleront à colmater les malfaçons, les
lacunes. Depuis déjà quelques années, l'université est devenue un atelier de rattrapage de lacunes
opérées dans les cycles d'enseignement précédents.

C'est ce qui fait vociférer les enseignants du supérieur car ils vivent un dilemme : l'obligation de
terminer le programme officiel et s'attarder sur les lacunes pour permettre son assimilation par
l'étudiant. Mais cela se fait le plus souvent aux dépens du programme créant ainsi de nouvelles
lacunes. Ainsi, les lacunes d'ordre scientifique accompagneront les élèves durant longtemps, pour
toujours pour certains. Elles sont l'une des causes fondamentales de l'échec à l'université.
L'université est un univers où se forment les bâtisseurs de l'intelligence de demain. L'effort personnel
est synonyme de réussite mais les bagages scientifiques de base sont nécessaires et
indispensables. Dans le cas contraire, l'université formera les destructeurs de la société d'aujourd'hui
sans possibilités d'en construire une autre. Certains collègues universitaires s'arrachent les cheveux.
D'autres n'ont plus aucun cheveu à arracher. Leur tête dégarnie ressemble à un bonbon à sucer. Ce
sont des catastrophes nationales. Je ne les envie pas, je suis moi-même une catastrophe.

Tout travail mérite salaire et tout salaire exige travail

Le salaire est encore un sujet tabou. Les députés l'ont quelque peu outrepassé. Ils ont exigé un
salaire valorisant leur statut. Bon ou mauvais, ils ont donné l'exemple. Ils ne sont pas les seuls.
Beaucoup de corps constitués ont fait de même. Il y a en effet des activités où il est difficile de
quantifier l'effort fourni. Une activité cérébrale ou une dynamique intellectuelle n'est mesurée que par
un statut. Il faut donc un salaire à la hauteur du statut. Comment quantifier le métier d'enseignant ?
Par le nombre d'heures hebdomadaires passées avec les élèves en classe ? C'est sous-estimer les
préparations des leçons et la correction des copies d'examens et celles des devoirs qui se font à
domicile.

Le nombre de leçons à préparer, le nombre de copies d'examens et le nombre de devoirs à corriger


est innombrable. Ce sont des charges pédagogiques quotidiennes. Les méthodes pédagogiques
évoluent chaque jour. La science connaît un développement vertigineux. Il est un devoir pour
l'enseignant de s'accommoder. Il reste un étudiant ou encore un chercheur d'innovations
pédagogiques, scientifiques et techniques tout le temps qu'il exerce le métier d'enseignant. Le métier
d'enseigner englobe l'éducation et l'instruction. C'est grâce à l'enseignant que l'élève apprend la
morale, la lecture, l'écriture, la grammaire, l'orthographe, le calcul, le raisonnement, la philosophie, le
projet, l'histoire, la géographie, l'informatique, le dessin artistique, les leçons de choses et tant de
choses encore toutes utiles pour lui et pour la société. La société lui a-t-elle donné les moyens
d'exercer son métier dans ces conditions de dynamisme permanent ? Répondre par oui, c'est
forcément mentir. L'enseignant est malmené au même titre que l'élève, par les changements répétés
des programmes à tous les niveaux et dans toutes les disciplines. Et pourtant, il ne rechigne pas, il
résiste grâce à sa patience et en s'instruisant en permanence, cherchant l'information utile à droite
comme à gauche. Mais combien d'enseignants ont la capacité intellectuelle et les moyens matériels
de suivre correctement les nombreux bouleversements étourdissants qu'a connus l'école
algérienne ? Il n'y a pas de statistiques. Quel est le niveau moyen des enseignants du primaire ? Du
moyen ? Du secondaire ? Combien sont-ils ceux sortis des écoles normales ou des instituts
spécialisés ? Quel est l'état actuel sur les plans pédagogique et scientifique des enseignants ? Tout
parent d'élève ne disposant pas de réponses même partielles doit s'inquiéter.

Dans l'enseignement, le salaire ne peut être calculé sur le temps passé en classe devant les élèves.
Le salaire de l'enseignant doit refléter le statut qui doit être le sien. Partant de là, le statut de
l'enseignant doit être à la hauteur de la mission ou des missions à accomplir par celui-ci au profit de
la société. Des mécanismes dynamiques de contrôle de la formation doivent être installés pour éviter
les déviations douloureuses. Des déviations douloureuses, la société en a connues et les a payées
au prix fort ! Il faut privilégier le dialogue. Il faut communiquer et encore communiquer. Des espaces
et des moyens sont nécessaires pour ce faire. Cela est difficile lorsqu'on sait que des écoles ne
disposent pas de salle pour les enseignants. Souvent, les discussions se déroulent dans les cafés
maures. Certains collègues ont parlé de consanguinité. Elle est dangereuse. Tourner en rond en
vase clos sans ouverture sur l'extérieur est extrêmement dangereux. Il faut des échanges
d'informations et d'expériences entre les écoles algériennes d'un côté et entre les écoles algériennes
et les écoles maghrébines ou méditerranéennes de l'autre côté. Cela permettra de situer le niveau
pédagogique ou scientifique et d'évaluer la pertinence des programmes et des méthodes
d'enseignement dans les diverses régions de ce vaste pays qu'est l'Algérie.

Source : Le Quotidien d’Oran, édition du 01/04/2010

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