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Association pour une Taxation des Transactions financières et pour l’Action Citoyenne
Maison des associations - 28 rue Gambon - 18000 Bourges
Mai-juin 2010
Contacts : Eve-Marie Maniez : 02 48 24 48 96 / emmaniez@wanadoo.fr
André Oliva : 02 48 20 14 63
Email : attac18@attac.org Site internet : http://www.local.attac.org/18/
Ecoutez notre émission tous les 4e vendredi du mois à 18h10 (rediffusion le samedi à 15h00)
Agenda mai-juin 2010
AGENDA Attac18
● Vendredi 28 mai à 18h10 sur Radio Résonance (96.9) : émission de Attac18 (rediffusée le
lendemain samedi à 15h00). L'invité sera un syndicaliste de Sud-Rail.
● Jeudi 20 mai à 19h00 : Café Repaire berrichon au bistrot le Guet-apens de Pigny (10 km au Nord
de Bourges direction Henrichemont). Théme : les Apéros géants.
● Jeudi 27 mai : journée nationale d'action avec grèves et manifestations, face à la situation
économique et sociale et face aux choix gouvernements en matière d'emploi, salaires et retraites. A
l'appel des organisations interprofessionnelles : CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSAA
● Samedi 29 mai à 11h00, Place de l'Europe à Bourges (en face de la MCB) : rassemblement pour
commémorer la victoire du Non au traité constitutionnel européen, à l'intiative de l'association
pour une Constituante.
● Samedi 5 juin à 10h00 à Ivoy le pré (sous le préau de l'école), le collectif de lutte contre
l'épandage des boues d'Achères : actualités du combat et projection du film « Tabou(e) »
● Samedi 5 juin à 17h00 à Epineuil le Fleuriel : « Education et formation de l'attention : que faire
de nos écrans ? « . Conférence-débat avec le philosophe Bernard Stiegler, à l'initiative de l'association
des parents d'élèves de l'école d'Epineuil.
● Mercredi 9 juin de 17h30 à 18h30 : Cercle du silence à l'iniative de RESF 18 (Réseau Education
sans frontières)
● Du 10 au 15 juin : « Solutions locales pour un désordre global », un film de Coline Serreau à voir
à la MCB de Bourges ; le film donne la voix à des paysans dans le monde, à des philosophes et des
économistes, qui, tout en expliquant pourquoi notre monde s'est embourbé dans la crise écologique,
financière et politique, inventent et expérimentent des alternatives.
● Samedi 12 juin : marche des femmes à Paris : un covoiturage sera organisé à partir de
Bourges. Contacter Annie Frison : 02 48 20 30 15 ou 06 75 22 44 31
●
AGENDA INTERNATIONAL
30 mai au 8 juin à Bonn : réunion intermédiaire de la CPO16 (Conférence sur le climat qui fait suite
à la COP 15 qui s'est tenue à Copenhague)
Les gouvernements se retrouveront avant la COP 16 qui se tiendra au Mexique à Cancun fin novembre.
Attac Allemagne et d'autres organisations appellent à des débats alternatifs et à une manifestation
internationale le samedi 5 juin
30 juin au 4 juillet à Istanbul : Forum social européen. Pour des hébergements s'adresser à Attac
France.
DEFENDONS LES RETRAITES
Le gouvernement français s’apprête à engager une nouvelle réforme qui risque de porter un coup fatal au
système de retraite par répartition en jurant une fois de plus que c’est pour le sauver. Le bilan des réformes
menées depuis 1993 est déjà catastrophique car toutes les dispositions prises (calcul sur les 25 meilleures
années, indexation sur les prix et non plus sur les salaires des actifs, allongement de la durée de cotisation sous
peine de décote...) ont déjà fait baisser le niveau des pensions d’environ 20 %. Elles ont aggravé les inégalités
déjà fortes entre les pensions des hommes et des femmes. Le Conseil d’orientation des retraites (COR) prévoit
que le taux de remplacement moyen - niveau de la retraite par rapport au salaire, passerait de 72 % en 2007 à 59
% en 2050. Cette dégradation continuera donc de frapper les actuels retraités et touchera également les
générations suivantes.
Malgré ce bilan désastreux, le gouvernement veut aller encore plus loin en supprimant l’âge légal de départ à la
retraite à 60 ans en le portant à 62, voire 65 ou 67 ans, comme le demande le Medef, et en remettant en cause le
calcul sur les six derniers mois d’activité des retraites du secteur public. Jumelées avec un nouvel allongement
de la durée de cotisation pour obtenir une retraite à taux plein, ces mesures condamneraient à la pauvreté la
plupart des futurs retraités, surtout les femmes et tous ceux et celles qui ont connu et connaîtront des périodes
de chômage et de précarité importantes. Ce sont les salarié-es les plus jeunes qui subiraient les effets cumulés
de ces orientations au moment de partir à la retraite.
Le gouvernement et le patronat persistent à vouloir durcir les conditions de départ en retraite alors même que les
entreprises continuent de se débarrasser des salariés âgés avant qu’ils aient acquis la totalité de leurs droits.
Exiger que les salariés travaillent et cotisent plus longtemps, alors que l’âge moyen de cessation d’activité est de
59 ans, ne vise qu’à baisser le niveau des pensions. De plus, cette logique remet en cause la solidarité
intergénérationnelle. Il n’y a aucun sens à augmenter l’âge de la retraite alors que le chômage de masse sévit
pour les jeunes. Au lieu de voir dans la retraite par répartition une transmission perpétuelle et solidaire de la
prise en charge d’une génération par la suivante, le gouvernement et le patronat, afin d’attiser la division, la
stigmatisent comme un fardeau pour la seule génération à venir.
Le danger ne s’arrête pas là. Le COR dessine les contours d’une réforme pour remplacer notre système par un
autre « par points » ou « par comptes notionnels ». Dans les deux cas, il s’agirait de ne plus avoir à assurer un
taux de remplacement du salaire défini à l’avance et de faire de la variation du niveau des pensions le moyen
d’équilibre financier des régimes. Cela aggraverait encore la baisse du niveau des pensions et contraindrait les
salariés, particulièrement les salarié-es pauvres et effectuant les travaux pénibles, à travailler toujours plus
longtemps.
La vraie raison des mesures qui s’annoncent n’est pas liée à la démographie. La crise financière a provoqué une
récession et donc une flambée des déficits publics. Les États continuent benoîtement à financer leurs déficits en
empruntant sur ces mêmes marchés financiers qui ont provoqué la crise. Réduire ces déficits pourrait se faire
par une taxation du capital. Mais les spéculateurs refusent évidemment cette solution, demandent que les États
donnent des gages et exigent une réduction des dépenses publiques.
Une alternative à cette régression sociale existe pourtant. A moins de décréter la paupérisation des retraité-es, il
est normal de couvrir les besoins sociaux liés à l’augmentation de leur part dans la population par un
accroissement des prélèvements sur la richesse produite. Les déficits des caisses de retraite sont essentiellement
dus au refus obstiné de le faire. Pourtant, le besoin supplémentaire de financement nécessaire aux retraites est
réalisable puisqu’il a été chiffré en 2007 par le COR entre 1 et 2 points de PIB jusqu’en 2050, à comparer avec
la chute de la part de la masse salariale de 8 points au cours des dernières décennies et avec l’explosion
correspondante des dividendes, qui sont passés de 3,2 % du PIB en 1982 à 8,5 % en 2007. Il est donc juste
d’augmenter la part des salaires et des pensions dans la richesse produite en s’attaquant aux profits. Le
financement des retraites est possible à condition d’en finir avec l’actuel partage éhonté de la richesse au
bénéfice des revenus financiers. C’est ce partage qui constitue le tabou à faire sauter, et non l’âge de départ. Il
s’agit là d’un choix politique de justice et de solidarité.
La question des retraites pose celle de la société dans laquelle nous voulons vivre. Nous ne pouvons accepter la
paupérisation programmée des futurs retraité-es, l’idéologie absurde du « travailler toujours plus » et la
destruction des solidarités sociales. Nous souhaitons contribuer à une vaste mobilisation citoyenne (réunions
publiques, appels locaux…) pour stopper cet engrenage.
Continuant d'obéir au Medef, Monsieur SARKOZY et sa bande veulent détruire les retraites, en prétendant les
sauver. Les cotisations retraite représentent une masse énorme d’argent, qui grâce au système par répartition,
échappe aux marchés financiers auxquels le Medef veut la donner et, avec la plupart des grands médias, on
nous abreuve de mensonges. Les voici :
- La durée de la vie a beaucoup augmenté ; il faut donc travailler plus longtemps. L'Histoire montre le
contraire ! En un siècle l'espérance de vie a doublé, et le temps annuel de travail a été divisé par deux. Il est
donc possible de vivre de plus en plus vieux en travaillant de moins en moins, grâce à l'augmentation continue
de la productivité du travail et aux luttes sociales.
- Il faut allonger la durée du travail et la durée de cotisation, car il y a de moins en moins d'actifs
cotisants pour un retraité. Or, les gains de productivité permettent à un actif de produire suffisamment de
richesses pour faire vivre un nombre croissant d'inactifs. Au rythme actuel de ces gains, un actif produira 2 à 2,2
fois plus de richesses en 2050 qu'en 2010 !
- Il faut allonger la durée du travail et la durée des cotisations, car la caisse vieillesse est en déficit et
sera en faillite en 2013. Cette situation n'est pas due à une insuffisance de richesses produites, mais à leur
répartition de plus en plus injuste au profit du capital. La richesse est produite par le travail (valeur ajoutée) ; en
1980, 74% de cette richesse revenaient aux salariés (salaires et prestations sociales, dont les retraites) ; le reste
rémunérait le capital. En 2008, seulement 65% de la richesse produite sont revenus aux salariés ! Plus de 100
milliards d'euros qui auraient dû revenir aux salariés, ont ainsi été détournés vers les entreprises et les plus hauts
revenus, par des exonérations diverses, dont le bouclier fiscal.
- Une dose de retraite par capitalisation est nécessaire pour sauver la retraite par répartition. Dans la
retraite par capitalisation chacun cotise pour soi et se constitue un capital personnel versé à une caisse de droit
privé qui place, sur les marchés financiers spéculatifs, l'ensemble des cotisations. La crise financière a montré
ses effets sur ce type de retraites : les pensions des retraités et futurs retraités se sont effondrées ou ont disparu.
Le régime français repose sur la répartition : chacun cotise pour les autres, retraités et futurs retraités.
L'ensemble des cotisations est co-géré par un organisme de droit public soumis à des règles de droit public qui
appliquent la solidarité. C'est le fondement de la Sécurité sociale.
Le Medef et Sarkozy sachant l'attachement des français à la Sécurité sociale qui gère le régime général des
retraites, ne proposent qu' une dose de capitalisation (« comptes individuels à points » ou « indexation partielle
sur l'économie»). C'est une ruse grossière !
Comme toujours Monsieur Sarkozy, vous essayez de nous tromper et de nous culpabiliser, tout en
nous faisant la leçon. Vous affirmez que nous ne travaillons pas assez longtemps mais, par les lois que vous
faites voter, vous organisez le chômage des jeunes ou leur précarité et vous laissez les entreprises licencier les
salariés de plus de cinquante ans, sous prétexte qu'ils coutent trop cher ! Vous pleurnichez sur les
délocalisations, mais vous ne faites rien pour les empêcher. Vous faites appel à la solidarité des salariés, mais
vous leur proposez un système qui la détruit. Vous voulez éviter la faillite aux caisses de vieillesse, mais si elles
sont en déficit, c'est à cause du chômage, des injustices fiscales et des bas salaires que vos lois organisent.
Pourquoi ne parlez vous jamais, ni des gains de productivité qui créent toujours plus de richesses, ni de l'injuste
répartition de ces richesses qui assèche la Sécurité sociale ?
La société capitaliste que vous nous imposez, est celle de la privatisation de toutes les richesses, de la
concurrence, du marché libre, des actionnaires et du chacun pour soi. Les salariés n'en veulent pas. En luttant
contre le chômage et pour la justice fiscale, tout en maintenant la productivité, les salariés savent qu'il y a
déjà assez de richesses pour augmenter les pensions, avancer l'âge de la retraite et aligner le régime
général sur celui des fonctionnaires : il s'agit d'un choix de société.
Nous ne nous laisserons pas berner par vos mensonges.
Le 20 avril 2010. René ROBERT, juriste, membre d'Attac 18
● en 1982, salariés et chômeurs représentent 84% de la population active et se partagent 66,5% des
richesses
en 2010,.......................................................92%...............................................................57% ..........
● par rapport à 1982, la part perdue par le travail représente entre 80 et 170 milliards d'euros par an
● Entre 1990 et 2007, la part captée par les actionnaires est passée de 22% à 36%
(chiffres cités par Jean-Luc Mélanchon dans une tribune parue dans « Le Monde » du 12 mai 2010 )
« Il serait temps que les caves se rebiffent »
La crise grecque et ses possibles suites espagnoles et portugaises, les interrogations sur la survie de l'euro puis
le plan d'austérité concocté par le FMI de Dominique Strauss-Kahn et celui de François Fillon et Nicolas
Sarkozy pour la France...on se demande si tout le monde n'a pas décidé de donner raison à Naomi Klein qui,
dans son dernier best-seller (La Stratégie du choc), explique que le néolibéralisme progresse par chocs
violents : on impose des réformes structurelles néolibérales brutalement, immédiatement après une crise,
à une population sous le choc et incapable de se ressaisir .../...
Revenons sur ce problème de dette publique. Comme l'a très bien expliqué Marc Flandreau sur son excellent
blog (1), on peut distinguer plusieurs types de dettes publiques ; disons, pour simplifier qu'il y a la dette
sociale (ce que l'Etat doit à ses citoyens : traitement des fonctionnaires, retraites, protection sociale, etc...)
et la dette financière, celle qui prend la forme de titres émis par l'Etat et qui se retrouve sur les
« marchés » comme on dit. Il semblerait bien, et c'est un choix politique, que ces deux types de dette ne
bénéficient pas du même traitement. La dette financière semble être une dette « senior » et la dette sociale une
dette « junior » : la première serait remboursée en priorité, la deuxième passera après et sera honorée s'il reste de
quoi.
Justement, il ne resterait plus de quoi et donc il faudrait se serrer la ceinture : enfin c'est ce que nous répètent,
avec la propension naturelle au radotage qui les caractérise, les plus grassements payés de nos éditocrates.
On peut donc anticiper la poursuite de la préparation d'artillerie médiatique, déjà commencée avec la question
de l'allongement de l'âge de la retraite, avant l'offensive politique. La prochaine étape devrait être celle de
l'assurance-maladie.../...
Le système financier était au bord du gouffre il y a deux ans et aujourd'hui ce sont les « marchés » qui font la
leçon aux Etats ; il y a tout de même de quoi être épaté. Finalement les marchés financiers sont peut-être bien ce
qu'ils sont supposés être, de fantastiques machines à diversifier les risques : risque zéro pour les banquiers,
risque maximal pour les fonctionnaires, les retraités, les malades, les chômeurs... Et dire qu'il n'y a pas deux ans
on nous assurait que « le marché tout puissant qui a toujours raison, c'est fini » (2). Excusez-moi si je
m'exprime trivialement, mais on ne nous prendrait pas pour des « caves », par hasard ?
Extraits de l'article de Bruno Amable, professeur de sciences économiquers à Paris I-Panthéon-Sorbonne, paru
dans Libération, le 11 mai 2010
(1) http://alternatives-economiques.fr/blogs/flandreau
(2) Nicolas Sarkozy, Toulon, 25 septembre 2008
La pétition lancée par L'Ecologiste et l'association OGM Dangers a déjà recueilli 77 000 signatures pour
l'interdiction des OGM. N'hésitez pas à la signer et à la faire signer, afin de montrer aux parlementaires le fort
soutien de la population à cette mesure.
L'excellente émission « Terre à terre » du 8 mai 2010 consacrée aux OGM (« OGM, le feuilleton
continue ») est à écouter sur le site de France Culture
Dans la grande tradition des séries interminables où les adversaires s'affrontent sans qu'on ne voie jamais
d'issue au combat (faute de débat sérieux), l'offensive est ces temps-ci du côté des tenants de ces
technologies. Autorisation d'une pomme de terre transgénique en Europe, avancées discrètes du côté de la
mutagenèse, et grande campagne de discréditation de Gilles-Eric Séralini, scientifique reconnu, qui a mené
des expérimentations remettant en cause les conclusions de Monsanto sur l'impact des OGM sur la santé.
Avec : Gilles-Eric Séralini, Christian Vélot , Hervé Le Meur (scientifiques) et Eric Meunier (Inf'OGM)
Depuis le non-accord de Copenhague, les négociations internationales sur le climat s’embourbent (voir ici) et les
dirigeants repoussent encore et toujours le moment de prendre des décisions à hauteur des enjeux. En Bolivie à
Cochabamba, les mouvements pour la justice climatique, les peuples du Sud et du Nord se retrouvent pour sauver les
équilibres climatiques et pour inventer un autre monde, débarrassé de l’injustice écologique. Là-bas et ici, les luttes se
mènent, du global au local.
Retour sur Cochabamba : ð La déclaration finale est accessible ici en français, ici en espagnol, ici
en anglais ;ð Cochabamba : quand la voix des peuples se fait entendre, par Juliette Renaud, membre
du REDAJ (Réseau d’assistance juridique contre les méga-activités minières).ð En Bolivie, appel
“populaire” à un tribunal du climat, Article d’Hervé Kempf pour Le Monde.ð Sommet de Cochabamba :
un premier bilan, dépêche de Clara Delpas pour Novethic.ð Cochabamba : rien à signaler, vraiment ?,
par un blogger francophone présent à cochabamba
Autres infos :
Deux articles d’actualité publiés par le site Bastamag.net :ð Loi « Grenelle 2 » : ciao l’éolien, vive le
nucléaire ! ð Plateformes pétrolières : d’autres marées noires en perspective ?
Tous ces articles sont sur le site de l' UCJS : http://climatjustice.org/
Le texte complet du Conseil national de la Résistance et l'appel lancé par des résistants en 2004 (pour
le 40e anniversaire du programme du CNR) sur le site : http://www.conseilnationaldelaresistance.fr/
Le montant en fonction du revenu n'est mis qu'à titre indicatif et il va de soi que vous pouvez choisir la tranche qui vous paraît abordable.
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Adressez c Homme c Femme Année de naissance de 0 à 450 € (tranches de revenu mensuel) 13 €
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de 2300 à 3000 € 84 €
global à de 3000 à 4000 € 120 €
Attac18, Code postal Ville au delà de 4000 € 160 €
Maison des Téléphone Télécopie c Associations et syndicats locaux 55 €
Adresse électronique c Collectivités locales (contacter ATTAC 18)