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Gymnase de Morges 2009-2010

Aude Tarridec 2CSP4

Test final en traitement de texte


Sommaire

DEVELOPPEMENT DURABLE.3
Le développement durable, c’est quoi ?
Développement durable

Le développement durable, c’est quoi?


Le développement durable a été popularisé, en 1987, par le rapport de la Commission
mondiale sur l’environnement et le développement, dit rapport Brundtland (ancienne première
ministre norvégienne).

Trois exigences :
1. la viabilité environnementale, c’est-à-dire la protection des écosystèmes et des équilibres
dont dépend le maintien de la biosphère, l’entretien des écosystèmes productifs de
ressources pour les activités humaines, et l’établissement d’un environnement sain pour
les habitants

2. la viabilité économique, visant une croissance économique soutenue et durable

3. l’équité sociale, qui inclut la reconnaissance de droits d’accès aux ressources et aux
services pour les plus démunis, ainsi que des droits à l’information et à la participation à la
vie publique.

La dégradation de l’environnement et ses conséquences


Principalement, les maux qui guettent notre environnement recoupent les
domaines suivants: la pollution, le changement climatique, l’urbanisation,
la désertification, la pénurie en eau et en ressources énergétiques, les
déficits sanitaires.

Ces maux qui visent l’état physique de notre environnement ont bien
entendu des conséquences sur les aspects économiques et sociaux de
notre environnement. Ces différents aspects sont indissociables. Avec le
concept de développement durable est né le concept de «stakeholder»,
traduit en français par l’expression «partie prenante». Tous les acteurs
jouant un rôle proche ou lointain dans les domaines économiques, environnementaux ou
sociaux, et bien évidemment politiques sont des parties prenantes interdépendantes. Le
concept de développement durable impose donc désormais de comprendre le monde comme
un tout, comme une chaîne d’éléments interdépendants (paradigme de la complexité d’Edgar
Morin). A l’heure de la globalisation, il n’y a plus d’acteur isolé vivant en autarcie sur des
terres inexplorées, il n’existe que des parties prenantes.

Les énergies : comment préparer l’après-pétrole ?


La demande mondiale d’énergie augmente à un rythme de près de 2 % en moyenne par an
depuis le début de l’ère industrielle. Mais ce rythme peu descendre jusqu’à 1 % ou approcher
5 % selon les années.

Production énergétique suisse :


60 % de notre électricié est fournie parl’hydraulique
40 % par les 5 centrales nucléaires
Énergies renouvelables
Solaire thermique, photovoltaïque, éolien, géothermie, biogaz…, toutes les filières des
énergies renouvelables sont mises à contribution. Ainsi, selon l'Agence Internationale de
l'Energie:
• 80 % à partir de combustibles fossiles, pétrole, charbon ou gaz,
• 14 % de l'énergie consommée dans le monde serait produite à partir d'énergies
renouvelables,
• 6 % proviendraient du nucléaire. Beaucoup d'efforts sont donc encore à fournir.
Au niveau européen les objectifs depuis 2001 sont les mêmes. La part minimale de
consommation en provenance des énergies renouvelables pour 2010 devra atteindre :

21,00 % pour l'électricité


12,00 % pour la consommation énergétique primaire
5,75 % pour les biocarburants

Pourtant, aujourd’hui ces chiffres sont encore loin d’être une réalité. La part des
énergies renouvelables pour l’électricité était estimée à 14,2 % à fin 2004 et à 5.61
% pour la consommation d’énergie primaire. Quant aux biocarburants, s’ils sont
difficilement quantifiables, ils restent marginaux.

Source : Martin, C. (2004). “Développement durable”, www.jeco.ch, juin 2004, p. 2-3.

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