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Matériaux et hypothèses de calcul

Introduction :
Le béton est un mélange dans des proportions préétablies de liant (ciment) avec des granulats
(sable, gravier) et de l’eau.

Le béton armé peut être défini comme l’enrobage par du béton d’aciers disposés judicieusement.
Ces aciers sont appelés armatures. On distingue les armatures longitudinales disposés suivant l’axe
longitudinales de la pièce, des armatures transversales disposées dans les plans perpendiculaires à
l’axe de la pièce.

Tableau 1. Avantages et inconvenants du béton armé.

Avantages et inconvénients

Avantages Inconvénients

Le poids élevé en comparaison au béton


Résistance à la compression et à la
ordinaire
traction
La préparation du coffrage et de
Facile à manipuler et à mettre en place
l’armature est chronophage
Résistance au feu
La modification de l’ouvrage une fois
Solidité et durabilité
terminé est compliquée

I. Hypothèses de calcul :

I.1. Etats limites :

Un état limite est un état qui satisfait strictement ces conditions sous l’effet des charges appliquées
sur une construction ou un de ces éléments. L’article A.1.2 du CBA93 précise :

« Un état limite est celui qui satisfait pour lequel une condition requise d’une construction (ou d’un
de ces éléments) est strictement satisfaite et cesserait de l’être en cas de modifications défavorable
d’une action. »

Nous distinguons (02) état limites :

 Les états limites ultimes (ELU) :

Il s’agit de l’état pour lequel la valeur maximale de la capacité portante est atteinte, et son
dépassement entrainerait la ruine de l’ouvrage.

Il correspond à la limite :

- De l’équilibre statique : non renversement de la construction.

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Exemple : Vérification de la stabilité d’un mur.

- De résistance pour les matériaux constitutifs.


- De stabilité de forme : Instabilité élastique due au flambement les pièces élancées.

 Les états limites de service (ELS) :

Ils correspondent à des conditions normales d’exploitation et de durabilité. Il n’est pas suffisant
qu’une construction soit stable et résiste, il est aussi nécessaire qu’elle ne présente pas une fissuration
ou des déformations excessives. Cela pourrait entrainer des désordres dans les revêtements ou
cloisons et donc une gêne sérieuse a l’exploitation.

Il est donc nécessaire d’effectuer des vérifications portant sur :

- La limite d’ouverture des fissures : cela évite la corrosion rapide des aciers et donc augmente
la durabilité et la sécurité des ouvrages.
- La limitation de la compression du béton.
- La limite de déformation : Les déformations (flèches par exemple) doivent rester dans les
limites admissibles c'est-à-dire compatibles avec l’utilisation de l’élément.

I.1.1. État- limite ultime de résistance :


Les calculs sont conduits à partir des hypothèses suivantes, les sollicitations étant obtenues à l’aide
de la combinaison d’action correspondant à l’état-limite ultime :
Hyp 1 : Hypothèse de Navier : Les sections droites restent planes après déformation ;
Hyp 2 : il n’y a pas de glissement relatif entre les armatures d’acier et le béton ;

Hyp 3 : l’acier et le béton sont considérés comme des matériaux élastiques linéaires et il est fait
abstraction du retrait et du fluage du béton ;
Hyp 4 : La résistance à la traction du béton est négligée à cause de la fissuration ;

Hyp 5 : par convention, le rapport entre les coefficients d’élasticité longitudinale de l’acier et du
béton, ou coefficient d’équivalence, est pris égal à n = Es/Eb = 15.

Hyp 6 : on ne déduit pas les aires d’acier de l’aire du béton comprimé ; on suppose en outre que la
section d’acier est concentrée en son centre de gravité, pourvu que l’erreur ainsi commise sur les
déformations unitaires ne dépassent pas 15 % ;

I.1.2. État- limite de service vis-à-vis de la durabilité de la structure :


Les calculs sont conduits à partir des hypothèses suivantes, les sollicitations étant obtenues à l’aide
de la combinaison d’action correspondant à l’état-limite de service :
Hyp 1 : Hypothèse de Navier : Les sections droites restent planes après déformation ;

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Hyp 2 : il n’y a pas de glissement relatif entre les armatures d’acier et le béton ;

Hyp 3 : l’acier et le béton sont considérés comme des matériaux élastiques linéaires et il est fait
abstraction du retrait et du fluage du béton ;
Hyp 4 : La résistance à la traction du béton est négligée à cause de la fissuration ;

Hyp 5 : par convention, le rapport entre les coefficients d’élasticité longitudinale de l’acier et du
béton, ou coefficient d’équivalence, est pris égal à n = Es/Eb = 15.

Hyp 6 : on ne déduit pas les aires d’acier de l’aire du béton comprimé ; on suppose en outre que la
section d’acier est concentrée en son centre de gravité, pourvu que l’erreur ainsi commise sur les
déformations unitaires ne dépassent pas 15 % ;

I.1.3. Hypothèse supplémentaires pour les E.L.U :

o Le raccourcissement relatif du béton est limité à :


ε bc  3,5 ‰ en flexion simple et ε bc  2 ‰ en compression simple.

o L’allongement maximal des aciers est conventionnellement limité à ε s  10 ‰.


o Le diagramme de déformation de la section doit obligatoirement passer par l’un des trois
pivots « A, B, ou C »

B(εbc=3.5‰)
YAB

h d C(εbc=2‰)

As
A(εs=10‰)

Figure 1 Règle de trois pivots

-pivot A : Déformation des armatures tendues égal à 10‰ : la section est soumise à la traction
simple ou à la flexion simple ou composée.

-pivot B : Déformation des fibres de béton les plus comprimées à 3.5‰ : la section est soumise à
la flexion simple ou composée.
-pivot C : Déformation des fibres de béton comprimées à 2‰ la section est soumise à la flexion
composée ou à la compression simple.

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I.1.4. Diagramme contrainte-déformation : (Article A.4.3.4 du CBA 93) :

 Aux états limites ultimes :


Le diagramme contraintes (𝜎𝑏𝑐 ) déformation (𝜀𝑏𝑐 ) du béton aux ELU réglementaires est le
diagramme de calcul simplifié dit « PARABOLE-RECTANGLE » le diagramme ci-dessous
schématise ces dispositions :

Figure 2 Diagramme contrainte-déformation du béton a l’ELU.

 𝜎𝑏𝑐 ∶Contrainte de compression dans le béton.


 𝜀𝑏𝑐 ∶ Déformation du béton
 𝑓𝒄𝒋 : Contrainte caractéristique de compression à « j » jours.
 fbu : Résistance conventionnelle ultime à la compression donnée par :
0.85 𝑓𝑐28
𝑓𝑏𝑢 = 𝛾𝑏 .𝜃

𝛾𝑏 = 1.5 𝑆𝑖𝑡𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢𝑟𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑒𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑠𝑖𝑡𝑜𝑖𝑟𝑒 "𝑆𝐷𝑇"


 {
𝛾𝑏 = 1.15 𝑆𝑖𝑡𝑢𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑎𝑐𝑐𝑖𝑑𝑒𝑛𝑡𝑒𝑙𝑙𝑒 "SA"
 𝜃 dépend de la durée d′ applicationdes combinaisons d′action

𝜃=1 𝑑𝑢𝑟é𝑒 > 24ℎ


{𝜃 = 0.9 1ℎ < 𝑑𝑢𝑟é𝑒 < 24ℎ
𝜃 = 0.85 𝑑𝑢𝑟é𝑒 < 1ℎ
Toutes les charges sont appliquées après 24h d’où 𝜃 = 1
𝑓𝑏𝑢 = 14.17 𝑀𝑃𝑎 𝑒𝑛 𝑆𝐷𝑇
{
𝑓𝑏𝑢 = 18.48 𝑀𝑃𝑎 𝑒𝑛 𝑆𝐴

 Aux états limites de service :

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La contrainte de compression du béton sera limitée dans les calculs a 0.6fcj. Jusqu’à cette valeur, le
diagramme des contraintes peut être assimilé à une droite.

Figure 3. Diagramme contrainte-déformation du béton a l’ELS.

II. Matériaux :
II.1. Caractéristiques des matériaux constituant le B.A :
II.1.1. Le béton :
II.1.1.1. Présentation du matériau :
Le béton est un mélange optimal de liants (ciment artificiel), de granulats naturels ou artificiels
(sable, gravillons, gravier…) d’eau et éventuellement d’adjuvants (entraineur d’air, plastifiant,
hydrofuges…).
Ses principales caractéristiques sont :

- Une bonne résistance en compression.


- Une mauvaise résistance en traction.
- Un poids volumique compris entre 22 et 24 KN/m3 environ pour le béton, et 25KN/m3 pour le
béton armé.
- Un coefficient de dilatation thermique identique à celui de l’acier de 10-5/°C.

II.1.1.2. Résistance du béton :


Pour l’établissement des projets et dans les cas courants, un béton est défini par la valeur de sa
résistance à la compression a 28 jours, dite valeur caractéristique requise. Elle est notée fc28 et choisie
en fonction des conditions de fabrication du béton, de la classe du ciment utilisé et de son dosage en
m3.

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Lorsque l’Age du béton est inférieur à 28 jours on prend en compte pour les calculs de résistance f cj,
valeur caractéristique a j jour, obtenue suivant les cas par les formules suivantes :

 Pour des résistances fc28 ≤ 40MPa :

𝑗
𝑓𝑐𝑗 = 4.76+0.83𝑗 . 𝑓𝑐28 𝑠𝑖 𝑗 ≤ 28 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠
{
𝑓𝑐𝑗 = 1.1𝑓𝑐28 𝑠𝑖 𝑗 > 60 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠

 Pour des résistances fc28 > 40 MPa :

𝑗
𝑓𝑐𝑗 = 1.4+0.95𝑗 . 𝑓𝑐28 𝑠𝑖 𝑗 ≤ 28 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠
{
𝑓𝑐𝑗 = 𝑓𝑐28 𝑠𝑖 𝑗 = 28 𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠

La résistance du béton est également définie par la résistance caractéristique a la traction ftj a j jour
qui est conventionnellement introduite par la relation :

𝑓𝑡𝑗 = 0.6 + 0.06𝑓𝑐𝑗 𝑠𝑖 𝑓𝑐28 ≤ 60 𝑀𝑃𝑎


{ 2
𝑓𝑡𝑗 = 0.275 × (𝑓𝑐𝑗 )3 𝑠𝑖 𝑓𝑐28 > 60 𝑀𝑃𝑎

II.1.1.3. Déformation du béton :


- Déformation longitudinale

Sous des contraintes normales d’une durée d’application inférieure à 24 heures, on définit un
module de déformation longitudinale Eij égal au coefficient directeur de la droite passant par
l’origine du diagramme contrainte-déformation a l’ELS.
L’article A.2.1.2.1 du CBA93 donne la valeur de EIJ à l’âge de j jour :
EIJ=11000 fcj1/3(MPa)

Sous des contraintes de longue durée d’application, les effets du fluage du béton nous rajoutent une
déformation complémentaire du double de la déformation instantanée, soit en définitive une
déformation totale triple.
L’article A.2.1.2.1 du CBA93 donne la valeur de Evj à l’âge de j jour :
EvJ =3700 fcj1/3(MPa)

- Déformation transversale : coefficient de poison (Article A.2.1.3 du CBA93) :

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II.1.2. L’acier :
II.1.2.1. Présentation du matériau :
Le matériau acier est un alliage fer et carbone en faible pourcentage. Les aciers utilisés en BA sont
les aciers de nuance douce (0.15 à 0.25% de carbone) et les aciers de nuance mi-dure et dure (0.25%
à 0.4% de carbone).

II.1.2.2. Caractères mécaniques :


Le caractère mécanique servant de base aux justifications est la limite d’élasticité garantie, désignée
par fe (article A2.2.1 du CBA93). Cette valeur varie en fonction du type d’acier.

Le module d’élasticité longitudinale Es est pratiquement constant quel que soit l’acier utilisé et est
pris égal à : Es=200 000MPa.

Figure 4. Diagramme contrainte déformation.

II.1.2.3. Classification des aciers en béton armée :


On utilise pour le béton armée les ronds lisses, les armatures à haute adhérence et les treillis soudés.
On considérera pour l’acier un poids volumique de 78.5KN/m3.

Ils sont définis par leur diamètre nominal qui est le diamètre d’un cylindre de révolution ayant
même masse que la barre par mètre linéaire. Sa section nominale est l’aire du cercle de diamètre le
diamètre nominal. On remarquera que, si pour les ronds lisse, le diamètre nominal et le diamètre réel
sont égaux, il n’en est pas de même pour les armatures à haute adhérence.

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Les diamètres nominaux sont des diamètres normalisés :

 Les armatures à hautes adhérence : Symbole HA.


Ces armatures ont leur surface marquée par des crénelures de formes diverses suivant les marques
commerciales, de façon à assurer une meilleure adhérence avec le béton. Ces aciers existent dans les
nuances Fe E 400 et Fe E 500.

 Les treillis soudés : Symbole TS.


Si les autres types d’acier se présentent en barres, ces derniers sont soit en rouleaux, soit en panneaux
de dimensions et de dimensions normalisées.
Les treillis soudés sont constitués par des fils se croisant perpendiculairement et soudés.

II.1.2.4. Diagramme contrainte-déformation a l’ELU :


Le diagramme contrainte déformation à considérer en application de l’article A.2.2.2 du CBA93 est
défini ci-dessous :

Figure5. Diagramme contrainte-déformation a l’ELU.

𝛾𝑠 =1.15 ou 1 pour les combinaisons accidentelles (article A.4.3.2 du CBA93).


𝑓𝑒 500
𝜀𝑒 =𝛾 Soit pour un Fe E500, 𝜀𝑒 = 1.15.200000=2.17.10-3
𝑠 .𝐸𝑠

II.1.2.5. Contraintes admissible à l’ELS :


En état limite de service, les vérifications à effectuer pour les aciers portent sur l’était limite
d’ouverture des fissures (article A.4.5.3 du CBA93). L’appréciation du degré de nocivité de
l’ouverture des fissures déprend de l’environnement (agressif ou non), de la nature de la structure, de
l’utilisation de l’ouvrage, de la limite élastique des aciers utilisés et de l’expérience sur des ouvrages
analogues.il appartient au maitre d’œuvre de juger de ce degré de nocivité.

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 Cas ou la fissuration est considéré comme peu préjudiciable :

C’est le cas d’ouvrage situés en milieu peu agressif. Le CBA93 précise qu’il s’agit d’éléments situés
dans des locaux clos et couvert, non soumise à des condensations.
 Cas ou la fissuration est considérée comme préjudiciable :

La fissuration est considérée comme préjudiciable lorsque les éléments en cause sont exposés aux
intempéries, a des condensations, ou peuvent être alternativement noyés ou immergés en eau douce.
 Cas ou la fissuration est considérée comme très préjudiciable :

La fissuration est considérée comme très préjudiciable lorsque les éléments mis en œuvre sont
exposés à un milieu agressif (eau de mer, atmosphère marine telle que les embruns et brouillards
salins, eau très pure, gaz ou sol particulièrement corrosifs) ou bien doivent assurer une étanchéité.

II.1.2.6. Dispositions constructives :

Nous considérerons que фl est le diamètre des armatures longitudinales et фt le diamètre des
armatures transversales.
Pour assurer une bonne protection des armatures contre la corrosion nous suivrons les prescriptions
énoncées dans l’article A.6.3 du CBA93 qui exige que l’enrobage « c » soit au minimum de :

 5cm : pour les ouvrages à la mer ou exposés aux embruns, aux brouillards salins, ainsi qu’à
des atmosphères très agressives = cas des fissurations très préjudiciable.
Cet enrobage peut être ramené à 3cm si les armatures ou le béton sont protégés.

 3cm : pour les parois coffrées ou non qui sont soumises (ou susceptibles de l'être) à des
actions agressives, ou à des intempéries, à des condensations, ou encore, eu égard à la
destination des ouvrages, au contact d'un liquide = cas des fissurations préjudiciable.
Cette valeur peut être ramenée à 2cm si fc28 > 40 MPa.

 1cm : pour des parois qui seraient situées dans des locaux couverts et clos et non exposées
aux condensations = cas des fissurations peu
préjudiciable.

La figure ci-dessous issue du CBA 93 résume les


principales dispositions concernant l’enrobage et les
distances entre armatures voisines dans le cas le plus
général :

C  a.
eh  max(a,1,5Cg ).
ev  max(a, Cg ).
Figure5. Dispositions
constructive des armatures.

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Cg = dimension du plus gros granulat utilisé (en général Cg = 25mm).

 Diamètre maximum

Pour les plaques, les dalles, les coques et les hourdis, les mailles ne doivent pas être trop grandes
(vérification du béton au poinçonnement) et le diamètre maxi des armatures doit vérifier :
𝑒
(Article A.7.2,1 du BAEL91) : фmax = 10 avec : e = épaisseur de l'élément.

Pour les poutres, les armatures transversales фt doivent vérifier (Article A.7.2,2 du BAEL91) :
фl = diamètre des armatures longitudinales.
h = hauteur de la poutre.
b0 = largeur de la poutre.

Il faut aussi s'assurer, lorsque le béton doit être vibré avec un pervibrateur que l'écartement entre les
armatures permet le passage de l'aiguille (Article A.7.2,8 du BAEL91).
 Poussée au vide (article A.7.4 du BAEL91) :
Si la poussée est orientée vers une face externe, il y a risque d'éclatement du parement. Il faut donc,
pour éviter les poussées au vide, choisir un tracé judicieux des armatures. Par exemple, les poussées
doivent être orientées vers la masse du béton.

Conclusion
Béton :

La résistance du béton a la compression fc28 25MPa

La résistance du béton a la traction ft28 2,1MPa

Le module d'élasticité différé Evj 10818,866MPa

Le module d'élasticité instantané Ei 32164,195MPa

Acier :

Limite élastique de l'acier fe 500MPa

Module de Young 210000MPa

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