Retour sur votre expérience "e-day - journées de lancement PCE2017"

I) Points forts retenus

1) L’expérience PCE m’a permis de mettre des mots et des images sur l’idée que
je me faisais de l’entrepreneuriat. Concrètement, le fait de voir des entreprises
raconter leur histoire et présenter leurs projets / produits m’a aidé à m’orienter :
désormais, je comprends ce qu’est l’entrepreneuriat et vers quoi on peut aller.
J’étais à l’origine tenté par la création de nouvelles applications pour
smartphones : la présentation de dealabs.com est révélatrice à cet égard. On
pourrait penser que le marché des applications est inondé et que plus rien ne peut
être inventé ; malgré cela, il est encore possible de lancer son projet, qu’il soit
nouveau ou non, et espérer obtenir des financements et des chances de s’élever
– voire de fusionner avec une plus grosse boîte.

2) De même, le fait de s’être rendu sur place (dans un espace de Co-Workings pour
ma part) permet non seulement de se familiariser concrètement avec
l’entrepreneuriat, mais également de se projeter physiquement en tant que start-
up montante. En effet, j’ai appris que c’est dans ce type d’espace que les start-
up (débutantes ou pas) peuvent profiter d’une aide et d’un cadre de travail
agréable pour planifier des projets et se fixer des objectifs. Un espace où chacun
peut venir et travailler. Cela facilite les échanges, les brainstorming et donc la
création et l’innovation. Le digital a donc une place importante dans ce
processus, mais la dimension humaine demeure et permet de faciliter les rapports
entre cerveaux afin de créer mieux. Le lieu est aussi un atout : même la machine
à café peut être un lieu de création d’idées !

3) Enfin, la confrontation des différentes vidéos réalisées par les étudiants permet
vraiment de se faire une idée générale et précise de chaque domaine
 entrepreneurial, offrant ainsi un éventail de choix et une large idée d’objectifs à
se fixer pour réussir. C’est pourquoi il me semble que cette expérience est
primordiale car c’est par la mise en pratique et le pragmatisme qu’on peut se
fixer des objectifs réalistes et se soumettre à des exigences utiles. Cela permet
de motiver nos décisions et d’avoir des idées plus claires sur les différentes
façons d’entreprendre aujourd’hui, mais aussi d’adopter divers rapports aux
autres, c’est-à-dire confronter les avis (par exemple les différentes définitions du
Co-workings), les idées, les lieux, afin de se faire soi-même sa propre idée et
d’en extraire ce qu’on pense être le meilleur pour se lancer. De même, la
présentation des anciens projets PCE nous a montré combien de projets étaient
possibles et comment chacun pouvait trouver son expression à travers
l’entrepreneuriat.

II) Les éléments à amplifier

Peut-être que la présentation d’autres membres de l’entreprise à chaque passage aurait

été intéressante pour avoir plus de points de vue. Je pense par exemple à Merial, où
l’on aurait pu avoir un point de vue des ressources humaines, des finances ou du droit
de l’entreprise. Ce n’est pas directement lié à l’idée d’entreprendre, mais cela en
découle, puisque finalement ce sont des éléments auxquels on doit penser lorsqu’on est
entrepreneur. En outre, l’amplification des explications peut être souhaitable puisque
parfois toutes les informations ne sont pas claires (en dépit des diaporamas sur le site
ensuite). De même, peut-être que des plus petits effectifs seraient plus efficaces car
l’amphithéâtre est un peu grand pour des conférences d’envergures qui demandent
beaucoup d’attention.

III) Les éléments / interventions à réduire voire éliminer

Comme les présentations se limitaient strictement au cadre entrepreneurial, certaines

ont semblé un peu longues. On a eu l’impression qu’il fallait caser le maximum
d’informations en le moins de temps possible, ce qui donne parfois un résultat un peu
trop condensé voire indigeste. L’exemple de Merial donne à voir que la longueur de
temps abîme l’attention de la salle.

IV) Aucune remarque