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2-synthèse et perspectives :

Les recherches élaborées concernant les deux approches de contingence, relèvent l’existence d’une
forte corrélation entre les deux facteurs ; taille et le cycle de vie. Cela s’explique essentiellement par
les deux populations sur lesquelles l’étude a été porté qui sont très proches et liées l’une à l’autre.
Pourtant des questions se posent à ce sujet :

Y aurait-il une approche plus efficace que l’autre ? Est-il possible d’introduire de nouveaux sujets ?
Nous répondrons à ces questions dans les paragraphes qui suivent.

2.1- Deux divisions différente qui se complètent :

À ce sujet le professeur L. Greiner nous montre que dans sa phase de naissance l’entreprise est de
petite taille, elle grandit au fur et à mesure de sa croissance. Ces deus facteurs ont donc liés et
dépendant l’un de l’autre. Cependant il existe une différence en termes d’objectifs :

 La taille : amène à comparer les grandes entreprises avec les PME ou les PME entre elles ;
 Cycle de vie : faire une comparaison entre les jeunes et les matures entreprises.

De ce fait, le modèle à retenir n’est pas l’entreprise qui réussit à atteindre la plus grande taille, mais
celle qui parvient à traverser le stade de croissance et rester en vie.

En fait, des méthodes de contrôle de gestion comme les budgets, l’analyse des écarts, les tableaux de
bords ainsi que d’autres intéressent les deux courants de pensée. Néanmoins, celui du cycle de vie
étant ce champ à d’autres éléments comme les ressources humaines, le marketing, la gestion de
production… toutefois ce choix reste culturel mais quand-même certains chercheurs privilégient cet
élargissement.

En effet, la taille se développe progressivement avec la croissance des entreprises. Mais cette
croissance se diffère d’un secteur à un autre, c’est-à-dire que sous le contexte des firmes en
démarrage ou en croissance on doit distinguer celles qui ont une croissance exponentielle de celles
qui ne l’ont pas. Le secteur high-tech, un exemple concret dont la plupart des firmes sont des start-
ups ou des gazelles. Le rythme de croissance est donc un facteur de contingence très important dans
ces études.

D’autre part une différence autre que la population étudiée se présente, c’est la problématique. Du
point de vue de l’approche cyclique, en se trouvent face à des questionnements relatifs au temps
nécessaire à l’adaptation des nouvelles méthodes de contrôle de gestion. De l’autre côté, l’approche
par la taille s’intéresse à un autre facteur, c’est la présence des investisseurs.

On y ajoute l’exemple des PME manufacturières dans les pratiques de contrôle de gestion sont moins
attachées à la présence des porteurs de fonds mais à la structure familiale de l’entreprise.

Ceci nous amène à penser que les études portés à ce sujet ont de belles perspectives de recherches.

2.2- De nouveaux sujets à explorer :

Les recherches propres à l’approche par la taille restent insuffisamment exploitées, à l’exemple des
TPE. Selon certains chercheurs ceci s’explique par le fait que le contrôle de gestion est informel dans
ces formes d’entreprises contrairement à d’autres chercheurs qui appellent au dépassement de
l’aspect formel afin de se concentrer sur d’autre aspects tel que : la sociologie, la psychologie et
l’organisation où selon Bernard (2010) le contrôle de gestion est fortement dépendant du
comportement du dirigeant par exemple.
Les PME familiales font partie des sujets non exploités dans les recherches sur les pratiques du
contrôle de gestion qui revoie à l’étude d’un autre facteur reconnue depuis des années comme
essentiel pour l’analyse de ces PME familiales, c’est la structure de propriété. Les chercheurs ont
ainsi essayé de savoir si des outils comme le budget (Germain) ou le pilotage stratégique
(speckbacher et wentges) étaient appliques.

En outre, les recherches à ce sujet sont vastes et qui reste peu exploitées que se soit dans l’aspect de
la taille ou de cycle de vie. C’est par exemple le cas de l’approche par le processus, les facteurs de
succès et d’échec des nouveaux systèmes de contrôle de gestion (Granlund et Taipaleenmäki ainsi
que Sandelin).

En réalité, les chercheurs francophones ont tous intérêt à développer de plus des recherches sur
l’approche cyclique car le terrain est vierge. Tandis que les start-ups ou les gazelles, les recherches
peuvent s’intéressées plus à des secteurs qui sont soumis moins aux aléas comme dans le cas des
secteurs de services.

Déjà réalisées, les études sur le cycle de vie mettent clairement l’accent sur le phase de
démarrage/croissance attirant ainsi un grand nombre de question tel que : Pourrait-on dire que
l’ensemble des phases sont importantes ? Y a-t-il un intérêt, par exemple, à étudier les pratiques du
contrôle de gestion dans les entreprises déclinantes.

D’après Lester et Parnell (2008), c’est le déclin qui s’avère plus intéressant à analyser. Certes ce
propos semble logique puisque les entreprises déclinantes ont une taille comparable à celle de
petites entreprises, mais avec une faible créativité et des systèmes d’information lourds, peu efficace
et peu efficient. Ce qui les obligent à trouver de nouvelles méthodes de gestion des coûts.

Toutefois, pour prendre cette phase au sérieux il faut travailler sur des entreprises en début de déclin
et qui possèdent un potentiel de faire un comeback.

Pour d’autres comme Quin et Cameron, les recherches doivent s’intéresser plus sur les firmes
entrepreneuriales. De plus, il signale que la majorité des entreprises de moins d’un an se révèlent
défaillantes et cela s’explique par l’absence de contrôle de gestion dans ces boîtes (McMahon et
Holmes1991).

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