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COUVERTURE EN ARDOISES ______________________________________________________________________________________________________________
1. Généralités
(0)
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_____________________________________________________________________________________________________________ COUVERTURE EN ARDOISES
Les hautes résistances de l’ardoise à l’écrasement (98,5 MPa per- Longs grains Chef de côté
pendiculairement au plan de fissilité) et à la rupture, ainsi que son
coefficient d’élasticité élevé (E ≈ 12 × 104 MPa), lui confèrent une Écornement
grande résistance mécanique pour une faible épaisseur.
Cet avantage permet de réaliser des couvertures légères, dont la Chef de base
ou culé
masse, au mètre carré, varie de 10 kg/m2 à 30 kg/m2 suivant les
modèles employés et le système de pose, la masse volumique de Endroit
l’ardoise étant de 2,87 kg/dm3.
Envers
1.2 Qualités exigées d’une bonne ardoise
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C’est sur l’envers que l’on taille une ardoise, ce qui permet de
retrouver le biseau sur l’endroit.
Différents termes peuvent être donnés à une ardoise : 62
59
— si elle est légèrement convexe elle sera appelée coffine ; 80
— si elle est légèrement concave elle sera appelée gambardière. 76 02 08
60
Les ardoises doivent être (quand la forme du comble le permet) : 50 14 55 57
27 51
78 67
— épaulées en tête pour permettre l’évacuation des poussières 61 77 54
22 28 91
29 10
qui peuvent s’amonceler au chef de tête ; 35 53 88
56 72 52 68
— épaulées en tête et écornées à la base sur une rive saillante, 45 89
41 70 90
pour permettre le renvoi de l’eau affluant sur la rive, vers la couver- 44 49 21
37 25
ture. 18 58
85 36 39
86 71
79 03
23 01 74
3. Choix du modèle d’ardoise Zone 1 17
16
87
63 42
69
73
Zone 2 19 38
24 15 43
Zone 3 33 07 05
Pour déterminer le modèle d’ardoise, il faut tout d’abord connaî- 46 48 26
tre son recouvrement minimal (figure 4), afin de calculer le modèle 47 12
82 84 04
théorique de l’ardoise, puis de choisir le modèle commercial à 40 30 06
32 81
poser. 31 34 13 83
64
11
65 09
66
3.1 Recouvrement
Figure 5 – Carte de France des vents (spécifique à la couverture
en ardoise)
Le recouvrement (R ) (figure 4) est la distance entre le chef de
base de l’ardoise de la rangée supérieure et le chef de tête de
l’ardoise de la rangée inférieure, limites de la zone qui ne reçoit
jamais d’eau (étant protégée par deux épaisseurs d’ardoise). l’ardoise et que l’eau n’atteigne pas le support en bois de la couver-
ture (cf. figure 12)
La valeur du recouvrement peut être déterminée par trois métho-
des distinctes. Exemple : une entreprise décide de réaliser une couverture aux
clous sur un comble se situant à Brest (zone 3), ayant une pente de 60˚
■ Méthode algébrique et une projection horizontale de 4,50 m.
Le recouvrement dépend de la pente de la couverture ainsi que de Pour déterminer son recouvrement, il suffit de poser le calcul
la valeur de la remontée de l’eau et peut être calculé grâce à la for- suivant :
mule suivante : 35
R 1 = --------------------- = 40 ,41 mm
V sin 60
R = ------------------
sin α et de rajouter la sécurité R2 de 30 mm pour le clouage, soit :
avec V valeur de la remontée de l’eau (par capilarité) sur R = R1 + R2 = 40,41 + 30 = 70,41 mm.
l’ardoise suivant la région et le mode de fixation
(tableau 4), ■ Méthode graphique : tracé sur le chevron (figure 6)
α pente de la couverture. Exemple : prenons le même cas que précédemment :
(0) — tracer un trait de niveau sur le flan du chevron ;
— reporter la valeur V perpendiculairement au trait de niveau ;
— tracer de nouveau un trait parallèle au premier ;
Tableau 4 – Valeur de la remontée de l’eau V — prendre la côte p et ajouter la sécurité R2 de 30 mm pour obtenir
suivant la région et le mode de fixation (en mm) le recouvrement :
R = p + R2 = 40 + 30 = 70 mm
Zones (1) Fixation par crochets Fixation par clous
1 50 25
2 57,5 30
3 65 35 Chevron
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3.3 Modèle commercial (modèle posé) Cela entraîne un double choix : le format est déterminé par le
recouvrement et, l’épaisseur est imposée par le climat ou l’aspect
esthétique recherché. La nature du bâtiment à couvrir peut éga-
lement influencer le choix du modèle.
Le tableau 6 montre que les modèles d’ardoises se distinguent :
— par le format (longueur et largeur) ; ■ Choix des différents modèles
— par l’épaisseur. ● Sous un climat maritime, où les vents sont violents et les pluies
(0)
abondantes, sur un toit à forte pente, on utilise les petits modèles
dont la longueur maximale est de 270 mm.
Tableau 6 – Modèles commerciaux d’ardoises
● En montagne, pour éviter l’accumulation de la neige sur les
Masse toits, ceux-ci sont prévus avec une forte pente : les ardoises sont de
Épaisseur moyenne petit modèle (355 mm de longueur maximale) et ont une épaisseur
Format H × L de 3 à 4 mm.
Dénomination nominale des 1 000
(mm)
(mm) ardoises ● En plaine, la pente peut être relativement faible et l’épaisseur
(kg) varie de part et d’autre d’une ligne allant de Bayonne à Sedan. Au
nord de cette ligne, où tous les modèles sont admis, les ardoises
355 × 250 2,8 690 sont généralement choisies avec une épaisseur moyenne de 3 mm ;
325 × 220 2,7 540 au sud, où la grêle est parfois intense et risquerait de briser les
ardoises, il est d’usage de prendre des modèles plus épais (4 mm
300 × 220 2,6 450 environ).
300 × 220 2,9 540 Ces règles ne sont pas absolues. Des considérations économi-
300 × 200 2,7 440 ques ou esthétiques interviennent : choix du métal dont sont faits
les crochets (acier, cuivre, zinc, inox, etc.), comparaison entre les
300 × 180 2,7 380 dépenses de pose par clous ou par crochets, etc.
300 × 160 2,7 340 Exemple : usages de différents modèles d’ardoises :
Modèles traditionnels
270 × 180 2,7 350 — modèles traditionnels : usage courants ;
— modèles extra-forts : destinés aux couvertures devant supporter
270 × 160 2,7 310 des charges (neige, risque de grêle) ;
270 × 150 2,7 290 — modèles carrés : entretien, réparation des couvertures
existantes ;
250 × 180 2,7 320 — modèles historiques : destinés aux monuments classés ;
— modèles Galloise : modèles permettant d’obtenir un fort effet de
250 × 150 2,7 260
relief.
220 × 160 2,7 250
■ Format du modèle commercial
220 × 120 2,7 190
Pour choisir le modèle commercial à poser, il faut se reporter au
460 × 300 3,8 1 500 tableau des modèles commerciaux (tableau 6) et prendre celui dont
460 × 250 3,8 1 270 les dimensions se rapprochent le plus de celles du modèle théori-
que.
405 × 250 3,8 1 100
Exemple : le modèle commercial correspondant à l’exemple de
Modèles extra-forts 405 × 200 3,8 870 modèle théorique déterminé au paragraphe 3.2 (Hmin = 210 mm,
355 × 250 3,8 950 Lmin = 140 mm) est donc : H × L = 220 × 160 mm pour un modèle
traditionnel (moins onéreux).
355 × 200 3,8 720
300 × 200 3,8 610
355 × 355 3,8 1 280
4. Principes d’étanchéité
Modèles carrés 325 × 325 3,8 1 050
300 × 300 3,8 890
300 × 200 4,5 760 Pour qu’une couverture en ardoise soit étanche, il faut qu’en
chaque point de la couverture, trois ardoises soient superpo-
300 × 180 4,5 670 sées.
270 × 180 4,5 600
Modèles historiques
300 × 200 6,7 1 000
300 × 180 6,7 900 4.1 Étanchéité verticale
270 × 180 6,7 820
325 × 220 4,5 890 Au long d’une liaison (figure 7), les biseaux des chefs de côtés
forment un canal dans lequel l’eau, sous l’action du vent et de la
300 × 200 4,5 740 capillarité, a tendance à remonter sur l’ardoise.
Modèles Galloise
270 × 280 4,5 580 Pour éviter que l’eau remonte ainsi jusqu’aux clous de tête et
270 × 160 4,5 500 donc sur le boisage, il faut assurer aux rangs d’ardoises un recou-
vrement (R ) suffisant. Une troisième ardoise viendra protéger le
La cellule bleue correspond à l’exemple traité § 3.1, § 3.2 et § 3.3 recouvrement de la pénétration de l’eau.
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Canal
Partie mouillée
< 400 mm
Figure 7 – Étanchéité verticale
Figure 10 – Lattis
5. Supports de pose
Les ardoises se posent sur lattis (figure 10) ou sur voligeage
(figure 11) en bois, le plus souvent en sapin mais aussi parfois en
châtaigner (l’essence de ce bois a la faculté de repousser les arai-
gnées), en chêne (trop coûteux) ou en peuplier (bois qui vieillit plus
rapidement que le sapin, mais qui offre plus de flexibilité pour l’exé-
cution des tourelles (figure 30)).
5.1 Lattis
Zone mouillée
Les différentes sections de bois servant à l’exécution des lattis
a remontée de l’eau au clou b remontée de l’eau au crochet (figure 10) sont :
— la demi-frise (62 × 25 mm) pour les couvertures demandant
Figure 9 – Zone mouillée d’une ardoise selon le mode de fixation une grande rigidité ;
— la demi-latte (30 × 12 mm) s’emploie intercalée entre les
liteaux pour soutenir le chef de tête ;
4.2 Étanchéité latérale — le liteau, pour couvertures au crochet (mesure 40 × 14 mm ou
50 × 15 mm) ;
Du fait des légères aspérités que présentent les faces des ardoi- — les chanlattes (C), dont les dimensions sont fonction de
ses, il subsiste toujours un vide entre deux rangs superposés aux l’usage auquel elles sont destinées (généralement 50 × 20 × 10 mm),
joints alternés, par conséquent, l’eau poussée par le vent s’étend sont des bois dont la section est un triangle ou un trapèze.
des deux côtés de chaque interstice. On appelle ce phénomène la On les emploie au faîtage, et à l’égout pour donner aux premier et
pénétration latérale (figure 8). dernier rangs d’ardoises la même pente que celle des rangs cou-
Pour éviter tout risque d’oxydation des clous et des crochets, il rants de la couverture et parfois comme support en remplacement
faut les disposer hors d’atteinte de la zone mouillée (figure 9). des liteaux pour la couverture au crochet.
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Chevron Volige
< 400 mm
Figure 11 – Voligeage
30 mm
Clou
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R 3 à 12 mm
Solin en zinc
Bande de plomb
Chevron
Volige
Solin au mortier
Chevron
Doublis Solin en zinc
Chevron Noquets
Doublis
Sous-doublis
Chanlatte
Chanlatte
Chevron
a à deux pièces b à trois pièces
Volige
Figure 16 – Égouts
b non déversée
La longueur des crochets existant dans le commerce varie de
70 mm à 160 mm. Ils peuvent être en inox, en cuivre ou en acier gal- Figure 17 – Rive droite
vanisé.
Voliges Mur
jointives
7. Différents ouvrages
Ruellée
7.1 Ouvrages traditionnels
Chanlatte
7.1.1 Égouts
Voligeage
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Lignolet (débordant de
quelques centimètres)
Chanlatte
Couvre-joint
en zinc
Tasseau évidé
Bandes de filet es
ois
en plomb rd
(clouée en tête) A
a en lignolet
Agrafe
Tuile de faîtage
Garnissage ou embarrure
Ardoises
Figure 20 – Faîtage métallique
b à rangs de rencontre
Deuxième
approche
Couvre-joint Demi-approche Première
Première approche
approche
Arêtière Contre-approche
Bande de filet en plomb
Voliges doublées a arêtier en demi biaise b arêtier à 4 ardoises biaises
Ardoises
Bardelis
c arêtier en bardelis
c à couvre-joint
Figure 21 – Arêtiers en ardoises
Figure 19 – Faîtages
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Noquets
7.3 Noues
Plus connu sous le nom de noue fermée à noquets, ce type 8. Raccords divers
d’étanchéité permet de recouvrir totalement les parties métalliques
améliorant ainsi l’esthétique du raccordement (figure 24).
Les noquets sont de dimensions différentes selon que la pente de
la noue est supérieure ou inférieure à 65˚. 8.1 Rive de tête
7.3.3 Noues en ardoises Les rives de tête peuvent être réalisées en ardoises (figure 26 a)
ou bien avec du métal (zinc et plomb) (figure 26 b).
Ces types de noues sont le plus souvent réalisés sur monuments
historiques : ces noues sont plus esthétiques que les noues métal-
liques ou semi-métalliques (figures 23 et 24), mais elles sont aussi 8.2 Raccord autour des souches
plus onéreuses car le temps de pose s’en trouve multiplié.
et châssis
Il existe trois types de noues en ardoise, selon que la différence de
pente entre les deux versants est supérieure ou inférieure à 15˚ et,
selon que la pente des versants est supérieure ou inférieure à 60˚. Le raccordement dur des souches et châssis est réalisé à l’aide de
Elles peuvent êtres composées de requêtes et d’approches. Ce sont bandes de zinc. Les raccords sont relevés en besace à l’arrière des
les noues : ouvrages afin rejeter les eaux de part et d’autre de l’obstacle
— à un tranchis (figure 25 a) ; (figure 27).
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Solin en zinc
Solin au mortier
Bande en plomb
Ardoise Ardoise
a b
a noue à un tranchis
Fer de lance
Ardoises Solin en zinc
Fourrure
Besace
Chevron
Volige Fourrure Garnissage au
Petite Grande plâtre (isolé)
requête requête
Fendis
Souche
8.3 Renvers
b noue à deux tranchis Le renvers est le raccord d’une paroi verticale couverte en ardoises
avec la paroi du comble. Le renvers rond (figure 28 a) s’exécute à la
manière d’une noue ronde, et le renvers à un tranchis (figure 28 b)
à la manière d’une noue à un tranchis lorsque la pente du comble
est inférieure à 60˚.
8.4 Déversée
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Axe du
Figure 28 – Renvers [1] comble
Dessautage
Sommet
Base Échantillonnage
et sphériques
9.1.1 Couverture à la suite
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Déchange
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4
4
3 3
3
1 2 1 2 1 2 1
2 1
Crochet Lattis en métal
Crochet
Figure 36 – Couverture à pureau développé
a ordinaire
Crochet
10.2 Couvertures pour monuments Elle est constituée d’ardoises posées normalement, mais dont la
partie visible est taillée soit en écaille, soit en losange, soit en ogive
historiques et du type rustique échancrée, ou en une autre forme. La pose se fait par rangs alternés
à un clou et à deux clous, sur lattis constitué de lattes et de demi-lat-
Pour les monuments historiques, on utilise des ardoises épaisses tes. La répartition en est plus facile, en raison de l’alternance des
de 4 mm à 6 mm, dont la hauteur varie de 270 mm à 304 mm et la rangs à un clou et à deux clous, et du découpage du pureau.
Références bibliographiques
[1] Compagnons du devoir – Encyclopédie des [2] Caractéristiques générales des ardoises – [3] DTU 40.11 – Travaux de bâtiment – Couver-
métiers, Vol. 4 – L’Art du couvreur – Encyclo- norme AFNOR NF P 32-301 (indice de classe- ture en ardoises – Partie 1 : Cahier des char-
pédie des métiers (1982). ment P 32-301) (août 1958). ges – Norme AFNOR NF P 32-201-1 (indice
de classement P 32-201-1) (mai 1993).
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