Infrastructure :

"Route": toute voie ou chemin avec toutes ses dépendances, ouvert à la circulation
publique.
"Chaussée" : la partie de la route normalement utilisée pour la circulation des véhicules.
Une route peut comporter plusieurs chaussées nettement séparées l'une de l'autre notamment
par un terre-plein central ou par une différence de niveau.
"Voie" : chacune des bandes longitudinales de la chaussée, matérialisée ou non par une
signalisation routière et ayant une largeur suffisante permettant la circulation d'une file de
véhicules. Une chaussée comporte une ou plusieurs voies.
"Terre-plein" : la partie de la route non réservée à la circulation et qui délimite la zone
destinée à la circulation dans un sens déterminé.
"Passage pour piétons" : la partie de la chaussée équipée d'une signalisation spéciale et
destinée à la traversée des piétons.
"Accotement" : la partie de la route située de part et d'autre de la chaussée et normalement
utilisée pour la circulation des piétons et des véhicules à traction animale et le cas échéant,
des véhicules roulant à vitesse réduite.
"Trottoir" : la partie de la route en saillie située de part et d'autre de la chaussée destinée à
la circulation des piétons.
"Refuge" : un terre-plein en saillie de la route destiné aux piétons qui traversent la route ou
destiné à faciliter la montée et la descente des passagers des véhicules de transport public
collectif ou des véhicules de métro.
"Autoroute" : la route réservée à la circulation des véhicules qui :
1- ne dessert pas les propriétés riveraines de façon directe ;
2- comporte, pour les deux sens de la circulation, deux chaussées distinctes séparées l'une
de l'autre par un terre-plein sauf en des points particuliers, ou à titre temporaire ;
3- ne croise à niveau ni une autre route, ni une voie de chemin de fer, ni un passage pour
piétons ;
4- n'est reliée aux autres routes que par des bretelles ;
5- est annoncée par une signalisation comme étant une autoroute.
"Bretelle autoroutière" : la route reliant l'autoroute au reste du réseau routier. Les bretelles
autoroutières sont réparties en bretelles d’entrée et en bretelles de sortie.
"Bande d’arrêt d'urgence" : sur une autoroute ; la partie de l’accotement aménagée
spécialement pour permettre aux véhicules, en cas de nécessité absolue, de s'arrêter. Elle
n'est pas utilisée pour la circulation.
"Virage" : désigne toute partie non rectiligne de la route à visibilité limitée.
Article 2
Les véhicules
"Véhicule" : tout moyen de transport équipé d'un moteur ou se déplaçant par traction ou par
propulsion.
"Véhicule à moteur" : tout véhicule équipé d'un moteur de propulsion et circulant sur la
route par ses propres moyens.
"Automobile" : tout véhicule à moteur destiné au transport sur route de personnes ou de
choses ou à la traction des véhicules ou des engins. Cette définition ne s'applique pas aux
motocycles.
"Voiture particulière" : toute automobile destinée au transport de personnes, dont le
nombre de sièges ne dépasse pas neuf y compris celui du conducteur et dont le poids total
autorisé en charge n'excède pas 3500 kg.
"Véhicule utilitaire" : tout véhicule destiné au transport de choses et dont la charge utile est
supérieure à 500 kg.
"Camionnette" : toute automobile destinée au transport de choses dont le poids total
autorisé en charge n'excède pas 3500 kg.
"Voiture mixte" : tout véhicule à moteur destiné au transport de personnes et de choses,
dont le poids total autorisé en charge n'excède pas 3500 kg et dont le nombre de sièges est
entre quatre et neuf, y compris celui du conducteur.
"Camion" : tout véhicule à moteur destiné au transport de choses et dont le poids total
autorisé en charge excède 3500 kg.
"Tracteur routier" : tout véhicule à moteur destiné à être accouplé à une semi-remorque de
telle manière qu'il supporte une partie de son poids total.
"Remorque" : tout véhicule conçu ou aménagé pour être remorqué.
"Semi-remorque" : toute remorque destinée à être accouplée à un véhicule à moteur ou à
un avant-train, de telle manière qu’elle repose sur le véhicule ou sur l’avant-train et qu'une
partie de son poids total, soit supportée par ce véhicule ou par l'avant-train.
"Cycle" : tout véhicule qui a deux roues au moins, qui est propulsé par l’énergie musculaire
des personnes se trouvant sur ce véhicule et non équipé d'un moteur.
"Motocycle" : tout cycle équipé d’un moteur.
"Conducteur" : toute personne conduisant un véhicule sur la route.
Est assimilée à un conducteur, toute personne conduisant sur la route des animaux isolés ou
en troupeau ou des animaux de trait, de charge ou de selle.
 Présentation de la matière
La sécurité routière est l’ensemble des règles et de sécurité qui assure la sécurité des usagers
de la route.
D’habitude elle est formée de combinaison de 3 facteurs : Véhicule, conducteur et
infrastructure.
Comment favoriser la mobilité routière et accroitre la sécurité ?
Les principaux causes et risques d’accidents
Généralement les causes des accidents de la route sont :
 Une conduite sous l’emprise de l’alcool
 Un excès de vitesse
 L’usage de téléphone au volant
 Les obstacles fixes
 La fatigue et la somnolence
 La conduite sous l’influence des stupéfiants
 La conduite sans permis
 Le non-respect de la distance de sécurité
On peut modifier le comportement de l’usager de diverses manières, Il y-a des actions à
court termes et d’autres à long terme. Mais de toutes les façons les effets mettront sans doute
du temps à se faire sentir.
Un constat général : généralement les risques liés à l’infrastructure ceux liés à l’usager et à
son véhicule n’est pas autonomes des autres groupe de risque. Ils s’établissent à un niveau
qui dépond non seulement des caractéristiques phtisiques de la voie mais aussi de catégories
de véhicule, de la densité de la circulation et des conditions dans laquelle les usagers les
utilisent :
- L’apprentissage
- Information
- Respect des règles
- Effectué du système respectif
Le conducteur source d’insécurité
Le champ d’action des pouvoir publics concerne l’ensemble des usagers de la route
(automobiliste deux roues, piétons) dans une grandes variété d’environnement (urbains
interurbains) et les conditions de visibilité et d’échange d’information et éclairage (pluie
chaussée couvert ou tunnel).
La perception de l’environnement routier par les usagers conditionne fortement la sécurité ou
l’insécurité de déplacement déplace la prise de décision et les actions qui se déroulent sont
basés sur la prise d’information visuelle et sur son traitement.

La sécurité et l’insécurité
dépend de cette décision.

Plusieurs données et Traitement des

Conducteur information visualisé Décision
données
Une mauvaise perception de la situation à laquelle le conducteur est affronté rend sa tâche
assez compliqué qui accroit le risque d’incident et d’accident impliquant un coût humain et
économique.
Certains comportements défaillants
La conduite en état d’ivresse
Le fait comportemental augmente le risque d’accident le risque de décès ou des blessures
graves
Le risque d’être impliquer dans un accident augmente quand l’alcoolémique est > 0.04g.
 Les lois qui interdissent la conduite à partir d’un taux d’alcoolémie de 0.05g permettent de
faire baisser le nombre d’accident.
 Le contrôle aléatoire d’alcoolémique sur la route peut faire baisser 20% d’accident liés à
l’alcool.
 Par rapport au conducteur les plus âgés et expérimenté, les conducteurs jeunes ou novice
ont un risque accrue d’êtres impliquer dans un accident de la route surtout s’il conduise
sous l’influence de l’alcool.
 Le casque pour le motocycle s’il est porté correctement peut réduire de près de 40% le
risque de décès et de 70% le risque de traumatisme graves. Pour réduire effectivement la
gravité de traumatisme crânien en cas de choc le casque doit être conforme à une loi de
sécurité routière.
Est-c-que le respect de la loi favorise la sécurité de la routé ?
Remarque les usagers de la route sont classés en deux grandes catégories.
- Les simples utilisateurs
- Les professionnels de la route sont les personnes qui utilisent la route pour leur travail
(les transporteurs les livreurs de pizza…)
La vitesse+ virage au point noire donne automatiquement des accidents mortels
spectaculaires.
Le cout économique et financier d’accident routier ?
La vitesse : Il a été établi qu’il existe un lien direct entre l’augmentation de la vitesse
moyenne et la probabilité de gravité de l’accident.
 Un piéton adulte a un risque de mourir < à20% s’il est heurté par un voiture a 50 km/h,
A 80km/h le risque atteint près de 60%.
 L’aménagement des zones où la limitation de vitesse est de 30 km/h réduit le risque
des accidents, c’est le cas des zones résidentielles.
 La baisse de la vitesse moyenne diminue non seulement les nombres des accidents
mais aussi les effets sur la santé.
Le variable le plus important est la vitesse: ce qui n’est guère surprenant puisque toutes les
blessures sont liées aux forces produisent par la variation de vitesse subite par le corps
humain.
La distraction au volant
Des nombreuses distractions peuvent altérer la conduite, mais le spectre récent de
‘utilisation du téléphone au volant pose de plus en plus un problème de sécurité. Le
téléphone portable dérange le bon conduit, il allonge le temps de réaction pour le freinage
mais aussi pour la lecture des signalisations routières et amène le conducteur à ne pas rester
dans sa voie de circulation ou à ne pas respecter la distance de sécurité : l’envoi des SMS
c’est les jeunes qui sont les plus exposé à ce genre des risques).L’équipement libre n’offre
pas plus de sécurité le HD(n’assure pas)
Le téléphone peut être source d’information lié à la route mais il reste un moyen dangereux,
le mieux s’il arrive à transférer les données sur un écran embarqué.
La porte de ceinture de sécurité
Elle réduit le risque de décès en cas d’accident pour les usagers assis en avant de 25% et de
75% pour l’usager assis à l’arrière. Le fait de rendre obligatoire le porte de la ceinture
conduire sensiblement à augmenter la sécurité même le siège de bébé permet aussi d’assurer
la sécurité des enfants dans la route.
Conducteur
L’infrastructure source d’insécurité
La réflexion de notre société sur l’insécurité routière se focalise sur l’automobiliste et le
véhicule. L’état des infrastructures routières constituent un facteur aggravant de mortalité dû
à la détérioration des chassées et l’usure de revêtement de la chassée qui diminue l’adhérence
des véhicules et la distance de freinage.
Remarque : l’état de chaussée annule donc les progrès fait par les constructeurs
automobiles
Le manque d’information ou de signalisation, le manque d’entretien de la chassée qui peut
être aggravé par la manque des moyen ou de fond allouer à cette objectif.
Manque d’entretien des équipements de la route, tel que les marquages et les panneaux de
signalisation ce qui rend la tâche du conducteur difficile puisqu’il mettra assez du temps pour
traiter les informations et prendre la décision par la suite.
L’environnement routier : Les obstacles fixes ou mobiles peuvent aggraver la situation de la
chaussée tell que les arbres les poteaux les faussés…etc. La limitation de vitesse ne doit pas
être identique et doit varier d’une route à une autre et doit rependre à l’état de la chaussée et
des obstacles et donc la vitesse devront être fixé en fonction de la typologie de la route basée
sur 4 critères :
- L’adhérence
- L’équipement
- La géométrie
- le trafic
Le taux de mortalité est initialement lié aux lieux où l’accident a eu lieu (ex : une route qui
traverse le foret plus d’obstacles, route urbaine route abandonnée) dans ces 3 cas la
circonstance ne sont les mêmes donc le dégât aussi).
Faciliter les secours en cas d’accidents nécessite la création des « couloirs des secours »
destiné aux véhicules d’interventions. « Densité des trafic »
Les risque d’accident et de mortalité sur une route normale est > à celle survenue sur une
autoroute par les cause suivantes :
- La densité de trafic
- Le sens de circulation (double sens)
- L’état de la chassée
Puisque l’infrastructure a des caractères fixes la sécurité routière dépondra forcement
d’autres facteurs tels que :
- La vitesse minimale autorisée
- Le comportement du conducteur
L’action des véhicules
Il y a beaucoup des véhicules qui circulent ce qui entraine des accidents
Les unes voiture les équipements oblige le conducteur de prendre tel décision ce qui va
limiter son champ d’action
Le manque d’entretien de la voiture
La pluralité des outils, équipement peut à la fois aider mais aussi perturber « les équipement
téléphonique » l’attention du conducteur.
La durée de vie de la voiture doit être respectée, autrement une défaillance peut arriver même
quand on circule.
Les voitures autonomes est dépassé les défaillances humaine tel que :
- La fatigue
- La conduite en état d’ivresse
- La conduite en utilisant le téléphone
C’est pour cette raison la conduite automatique semble être une solution.
L’intelligence artificielle peut traiter les informations arrive telle prendre la bonne décision
au bon moment. La réaction d’une voiture automatique reste la même devant tous les
obstacles
L’action sur l’infrastructure routière
L’infrastructure routière ne doit pas être considérer comme une route sur laquelle un voiture
doit rouler. Elle doit être prise au sens large qui intègre non seulement la chassée mais aussi
tous qui peut être perçut par le conducteur ente autres les accotements, les aménagements la
signalisation les panneaux. Étant donné qu’un accident résulte forcement d’un
disfonctionnement du système conducteur-engins-infrastructure. L’action d’amélioration de
la sécurité soit d’agir sur les infrastructures existante à travers les entretiens soit le début des
infrastructures qui est au mesure de minimiser le disfonctionnement constaté.
Les intervenants :
Les intervenants peuvent êtres classifiés selon la phase :
 La phase de construction :
* Les routes normales sont construit pas la société privés mais qui peuvent êtres
exploiter et financier par l’Etat.
* Les autoroutes construit par les sociétés privés et mais c’est elles qui financié leur
investissement (péage autoroute)
 La phase de maintenance et d’entretient
Pour une route normale ce le ministère de l’équipement qui est chargé de la maintenance et
l’entretien le gestionnaire du réseau routier est chargé de la maintenance pour la survie de
l’infrastructure et pour une meilleure sécurité routière.
* L’Etat doit pouvoir imposer les règles applicables pour assurer une bonne circulation
mais aussi doit faire respecter ses mêmes règles
Le secours SAMU témoin c’est à la charge de l’Etat gendarme police
Véhicules source d’insécurité :
Il y a beaucoup d’accidents à cause de l’utilisation énorme des voitures particulières « VP »
 Dans certain voitures les équipements obligent le conducteur de prendre tel décision
ce qui va limiter son champ de d’action et de réaction.
 Manque d’entretien de voiture
 Diversité des outils et des équipements(les équipements téléphonique) peut à la fois
aider mais aussi perturber l’attention du conducteur ex : haut-parleur.
 L’âge de la voiture doit être respecté autrement une défaillance peut arriver à tout
moment même en circulant.
Vidéo conduite automatique
L’ambition est de dépasser les défaillances humaine tel que la fatigue l’usage de téléphone
somnolence c’est pour cette raison que la conduite automatique semble être solution.
 L’intelligence artificielle en traitant l’information et en constatant ……. Arrive-t-elle à
prendre la bonne décision au bon moment
La réaction de la voiture reste la même pendent toute type d’obstacles
Les objectifs de la politique de la société routière
* Fond de prévention des accidents de la circulation
* Fond de garantie victimes des accidents de la circulation
* Fond de la protection civil et de la protection routière
Fond de prévention des accidents de la circulation
C’est un fond qui est financé par les compagnes de sensibilisation et de formation. Il permet
l’acquisition et l’installation des équipements pour renforcer la circulation routière. Et les
fiancés aussi les sociétés d’assurance de 0.4 de prime de cotisation.
Fond de garantie des victimes des accidents de la circulation
C’est un fond chargé de payer les indemnités dues aux victimes des accidents causant des
préjudices résultant des attîntes aux personnes ou même le décès.
Lorsque ces accidents est survenues sur le sol tunisien causé par les voitures circulants sur
les voies ferrées au cas où l’auteur de l’accident demeure inconnue en cas de non assurance.
Les victimes sont financées par les assurances à hauteur de 10%
Fond de la protection civil et de la protection routière
Le but c’est le financement de toute l’action ayant pour but de renforcer la prévention dans le
domaine de la protection civil et la sécurité routière.
Quelle est le principe les avantages et les inconvénients de la conduite automatique ?
 Avantage de la conduite automatique :
 sa permet une plus grande sécurité pour les usagers de la route et sa permet
d’économiser le carburant
 Sa permet un apprentissage de la conduite de l’engin dans le cas extrêmes tel que
fatigue la somnolence cette technique permet de rester autonome.
 Sa permet d’éviter les embouteillages dans le cas où le conducteur est novices
 Sa permet d’éviter les bruits l’usage abusif et excessif des équipements de la voiture
 Inconvénient de la conduite automatique
 En cas de panne d’internet l’information penne a arrivé donc manque d’optimisation
de l’engin
 Il est beaucoup plus complexe de réparer une voiture automatique
 Le passage difficile de la vitesse manuel.
 La voiture ne réagisse pas aux facteurs humains
 Le prix très élevé
 La responsabilité est contentieuse de la sécurité routière
Responsabilité civil résultant des accidents de la circulation
Le commettant garantit les dommages causés par son préposé pendant l'accomplissement de
son travail. (Préposé : personne chargé d’une fonction qui accompli une action pour un
commettant)
En cas de constitution de partie civile, l'assureur et, le cas échéant, le Fonds de Garantie au
profit des victimes des accidents d'automobiles, sont mis en cause. La juridiction saisie est
compétente pour statuer sur toutes demandes à caractère civil et notamment, celles relatives
au contrat d'assurance.
Partie civile : celle qui agit en sonne contre l’auteur d’une infraction et cause pour demander
la réparation
(Intérêt civile : la responsabilité civile signifie que vous devez indemniser les personnes
auquel vous causez un dommage.)
La responsabilité de l’accidentalité routière est essentiellement attribué au conducteur ce qui
a donné lieux a un système répressif assez complexe et diverses politique pénal pour traiter
ces cas.
Généralement en cas d’accident routier deux responsables sont engagés à savoir
responsabilité civile et pénale.
Responsabilité civile : le fait réparé à la victime
Il concerne les tiers c.-à-d. les victimes de l’accident dont vous êtes responsable. Le
conducteur doit obligatoirement être assuré à titre de la responsabilité civile. On dit la
responsabilité civile du conducteur est engagé (en cas d’accident). De manière générale le
RC signifie que celui qui a commis un dommage doit indemniser ses victimes.
Rq : en France tous les conducteurs des véhicules doivent passer un contrat d’assurance avec
l’assureur de leur choix et donc quel que soit le format du contrat la garantie RC est présente.
Rq : ce genre de garanties est la seule garanties qui soit obligatoire cette garantie permet de
couvrir les dommages causé par «vous » le conducteur que ce soit passager, piéton a autres
conducteur.
Dommage peut être matériel ou corporel
Remarque : la garantie responsabilité civil doit exister dans tous types de contrat d’assurance
Le but étant d’assurer les tiers (passager piéton autre conducteur)
En contractant avec votre assurance un contrat de responsabilité civile, l’assureur s’engage à
endosser à votre place votre responsabilité civile est donc à prendre en charge
l’indemnisation des tiers. Le minimum de tout contrat d’assurance c’est la garantie
responsabilité civil.
La prise en charge par votre assureur de l’indemnisation de tiers ne s’applique pas si le
conducteur a commis volontairement l’accident ou si vous étiez monté très imprudent
Ex : si le conducteur est sous l’effet apparent de l’alcool l’assurance ne prendra pas en
charge l’indemnisation des victimes
Dans ce cas le conducteur paye ces victimes
Est-ce que l’assureur est toujours responsable d’indemniser les victimes ?
En droit tunisien un arrêté de ministre de finance du 02/01/93 fixant la liste des catégories
d’assurance, les opérations d’assurances est classé en catégorie :
Assurance automobile
1. Assurance de responsabilité civile : C’et toutes responsabilité civil résultant de
l’emploie de véhicule terrestre à moteur.
2. Assurance de dommages subit par des véhicules à moteur terrestre (victime)
Responsabilité pénal : Elle peut engager à partir du moment où il commet une infraction.
La responsabilité civile à l’égard des autres
La responsabilité pénale à l’égard des lois
Contrairement à la responsabilité civile qui est normalement transféré à votre assurance la
responsabilité pénale ne l’est pas : Le conducteur responsable d’une infraction c’est aussi le
conducteur qui doit payer.
A chaque fois pour parler de responsabilité pénale on parle forcement de sanction : La
sanction dépond du degré de la gravité de l’infraction.
Sanction principale
 Légère infraction : amende
 Infraction grave : peine d’emprisonnement
Sanction complémentaire :
 Confiscation de véhicule
 Suspension de permis de conduire
 Interdiction de conduire certains véhicules
NB :
Le RP : le conducteur est engagé lorsqu'il commet une infraction il désobéit a la loi les
sanctions sont amende prison.
Le RC : le conducteur commet un dommage a autrui la sanction prend de se cas la forme
d’une indemnisation à la victime
Est-ce que pour Mr X les deux responsabilités peuvent être engagées ?
Exemple : un conducteur en état d’ivresse et il commet un accident on est devant un
conducteur qui suite à sa situation lors la loi il commet des dommages à l’autrui dans ce cas
les deux types de responsabilité sont engagés, une pénale suite à son état physique,
psychique ou mentale (il ne maitrise plus sa réaction) et une responsabilité civile puisqu’elle
a causé des dommages à l’autrui :
L’assurance de la responsabilité civile du fait que l’usager de véhicule terrestre à
moteur et l’origine d’indemnisation des préjudices résultants attente à la personne
dans l’accident de circulation

Selon l’article 110

Toute personne physique ou toute personne morale, dont la responsabilité civile peut
être engagée à l’occasion de la circulation d'un véhicule terrestre à moteur et ses
remorques, doit conclure un contrat d'assurance garantissant la responsabilité qu’elle
peut encourir en raison des dommages résultant des atteintes aux personnes et aux biens
causés par le véhicule.
Toute remorque doit être assurée séparément qu'elle soit attelée ou non au véhicule
remorqueur. La remorque prend le sens d'un véhicule dans le présent titre.
Le contrat d'assurance couvre la responsabilité civile du contractant, du propriétaire du
véhicule et de toute personne ayant la garde ou la conduite du véhicule.
Est-ce qu’il peut y avoir d’exception à ce principe ?
À l'exception des personnes exerçant le métier de réparation, d'entretien ou du
commerce des véhicules ne bénéficie pas d’un contrat d’assurance.
Les personnes exerçant les métiers mentionnés à l’alinéa précédent du présent article
sont tenues de s'assurer pour leur responsabilité civile, celle des personnes travaillant dans
leur exploitation et celle de toute personne ayant la garde ou la conduite des véhicules
dans le cadre de leurs activités.
Article 111
Quels sont les véhicules qui ne répondent pas aux exigences de l’article 110 ?
L'obligation d'assurance prévue à l'article 110 du présent code s'applique à tout
véhicule terrestre à moteur ainsi qu'à ses remorques à l'exception des véhicules
appartenant à l'État et des véhicules circulant sur les voies ferrées.
Article 117
Question : le contrat d’assurance qu’est-ce qu’il doit couvrir ?
Le contrat d'assurance doit couvrir l’indemnisation des dommages résultant des
atteintes aux personnes et aux biens causés à l'occasion de la circulation des véhicules et
 résultant :
a- des accidents, incendies ou explosions causés par le véhicule terrestre à moteur, ses
remorques, ses accessoires, les équipements servant à son utilisation, les objets ou les
substances qu'il transporte.
b- de la chute des accessoires, équipements, objets ou substances visés à l’alinéa
précédent du présent article.

L'assurance obligatoire ne couvre pas l’indemnisation des dommages suivants :

a- Les dommages subis par le conducteur du véhicule.
b- Les dommages subis par l’auteur du vol du véhicule et ses complices.
c- Les dommages subis, pendant leur service, par les salariés et les préposés de l'assuré
lorsque sa responsabilité est prouvée.
d- Les dommages subis par les associés de l'assuré lorsqu'ils sont transportés dans le
véhicule dans le cadre de leur activité commune.
e- Les dommages résultant des opérations de chargement ou de déchargement du
véhicule.
f- Les dommages résultant des effets directs ou indirects d'explosion, de dégagement de
chaleur, d'irradiation provenant de la transmutation de noyaux d'atomes ou de la
radioactivité ainsi que les effets de radiation provoqués par l'accélération artificielle de
particules.
g- Les dommages causés aux marchandises et objets transportés par un véhicule
terrestre à moteur sauf en ce qui concerne la détérioration des vêtements des personnes
transportées lorsque celle-ci résulte d'un accident de la circulation ayant causé des
préjudices corporels.
Article 118
Quelle sont les garanties qui peuvent être exclu d’un contrat d’assurance ?
Le contrat d'assurances peut prévoir des exclusions de garantie dans les cas suivants :
a. Lorsque, au moment du sinistre, le conducteur n’a pas l'âge requis pour la conduite
du véhicule assuré.
b. Lorsque, au moment du sinistre, le conducteur ne possède pas de certificats, en état
de validité, exigés par la réglementation en vigueur pour la conduite dudit véhicule.
Cette condition ne s'applique pas au conducteur qui conduit un véhicule terrestre à
moteur, aménagé pour l’apprentissage, pendant une séance supervisée par une personne
possédant les certificats exigés par la réglementation en vigueur.
c. En ce qui concerne les dommages subis par les personnes transportées par un
véhicule terrestre à moteur, lorsque le transport n'est pas effectué dans les conditions de
sécurité exigées par la réglementation en vigueur.
Le régime juridique de l’indemnisation
Question/cas :
1 Les trajets effectué à titre privé et ceux effectué à titre professionnel présentent des
différences au niveau des risque encourues.
  La responsabilité pour le trajet privé est assurée en totalité par le conducteur.
 Le trajet professionnel présent de l’élément des risques qui ne dépend pas de la
nature des trajets au conducteur mais aussi de l’employeur il peut être bien des
clients qui vont recevoir la marchandise qui peuvent influencer le déroulement de
l’opération de livraison de la marchandise.
En tant qu’employé le conducteur suit en réglé général la instruction données par son
employeur sauf que dans des cas les instructions données au conducteur ne correspond pas
toujours à la norme de la sécurité routière. Surcharge et non-respect de la code de la route
constitue les cas d’infraction la plus fréquente conducteur doit signaler ce problème a son
employeur et dans ce cas et indépendamment des conséquences sur son contrat du travail le
conducteur doit refuser le mondât
2 La responsabilité de conducteur en cas de dommage
Dommage de véhicule, qui est tenue de réparer ?
Du fait même de travailler (par la nature de travail) plusieurs types des dégâts peuvent se
produise qui sont principalement supporté par l’employeur. Or si cas même dégâts se
produit en raison d’une imprudence le conducteur peut être amené à supporter un part de la
responsabilité financier
Pour calculer le taux de participation ou dommage il faut prendre en compte le niveau de
compétence du conducteur ceci réduit sa participation au dommage. Plus le risque (nature
de marchandise, de trajet) est élevé moins il y a de responsabilité.
Le principe c’est que les assurances qui prennent en charge le cout résultant du dommage
alors dans ce cas l’employeur doit justifier la situation il peut être amené à participer au
dommage causé.
En droit tunisien l’indemnisation des préjudices résultant des accidents de la circulation au
profit de victime est effectué suite à une transaction aimable les barèmes sont les mêmes et
dans tous les tribunaux sauf que le juge peut augmenter ou réduire le montant de
l’indemnisation (15%) pour les accidents des circulation ayant un caractère d’accidents du
travail le victime ne peut recevoir que la différence entre l’indemnité calculé sur base de la
loi et celle prévue pour l’indemnisation des préjudices causé par les accident ayant le
caractère d’accident de travail
Les victimes des accidents de la circulation sont indemnisées des préjudices qui résultent
des atteintes aux personnes sans que puissent leur être opposé leur propre faute à
l’exception du cas où elles sont volontairement recherché les préjudices qu’elles sont subit
ou du cas d’une faute justifiable.
3 personnes peuvent bénéficier de l’indemnisation en cas de préjudice : les ayants droit
Quand est-il de l’indemnisation ?
Le conducteur et son ayant droit en cas de décès bénéficié des indemnisations
Le taux de participation du conducteur de la réalisation du risque de l’accident conditionne
le taux d’indemnisation c.-à-d. proportionnellement a sa part de de responsabilité de
l’accident selon le critère prévue au barème de responsabilité en annexe du code des
accidents
Lorsque les circonstances d’une collision entre deux ou plus de véhicules ne permettent pas
d’établir la responsabilité chacun des conducteur ayant droit ne reçoivent que la moitié de
l’indemnité due.
Coût financier et économique de la sécurité routière :
A chaque accident on ne compte pas uniquement le cout matériels mais aussi les vies des
êtres humain emporté par faute d’imprudence de conducteur et de la qualité de la chassée
A quoi sert l’argent collecté des procès-verbaux ?
En France le cout de la sécurité routière est 40 milliard d’euro et recette des amendes est 1.6
milliard d’euro
 Les accidents de la route coute bien plus cher que les produit des amendes, donc si la
totalité de procès-verbal ne suffit pas pour rendre la route plus sur la sécurité routière sera
financée par d’autres fond ce qui rend le cout financier et économique assez important.
 Le déploiement d’agent public gendarme et policier pour le contrôle des équipements
matériels et véhicules pour assurer une bonne sécurité routière nécessite des fonds énormes
qui dépassent forcement les recettes provenant des procès-verbaux des contraventions.
Les amendes c’est ne sont pas des impôts et donc est-ce qu’elles doivent êtres affecter
pour la sécurité routière ?
Comme le budget de l’Etat est un tout il est donc interdit d’affecter des recettes pour des
dépenses particulières pour assurer une bonne sécurité routière. C’est au pouvoir politique
d’engager le fond nécessaire pour ce fond
Ex : les recettes des radars devrais être réaffecté à l’action concernant principalement
exemple s’équiper des radars embarqués. Les recettes de procès-verbaux peuvent être aussi
engagées à financer la formation pour les familles le plus modeste pour éviter qu’à cause des
prix élevé de la formation ne passe aucun à conduire sans permis.
Le cout économique et sanitaire de la sécurité routière
Il s’agit de l’impact sur l’économie de la santé
* L’augmentation de cout de la vie humaine pour la société et l’amélioration des
aptitudes diminue le nombre des accidents.
* En accidentologie il y a deux approches, une micro c’est-à-dire le fait d’étudier le
mécanisme d’accident individuel une deuxième approche macro, le fait d’étudier l’ensemble
des accidents.
L’aspect sanitaire de la sécurité routière
Quels sont les modèles d’évaluation du cout de la vie humaine ?
1. Méthode de cout de capital humain : c’est ce que coute à la société la perte de la vie
d’une personne, on parle de cout de marchand « matériel perte de production » ou bien cout
non marchand « pretium doloris ».
2. Méthode de cout d’évaluation d’indemnisation c’est l'argent payer par.
3. La méthode de préférence individuelle : c’est-ce que l’individu prêt à payer en
moyenne pour améliorer la société