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Français LEA
Méthodologie du rapport

Le cours magistral de ce 2dn semestre est constitué d’une étude ordonnée et comparative des
deux textes au programme, dans l’optique du thème de l’année. Cela consiste à analyser des
fragments narratifs pris dans les deux textes et à montrer en quoi ils peuvent être rapprochés, en
particulier dans la perspective du thème. De telles analyses peuvent être envisagées à partir de
textes littéraires dont on considère essentiellement la richesse historique, sociologique et
politique. Les étudiants ont donc un donné, qui peut être complété par un travail personnel –
toujours bienvenu – sur les textes et, en TD, par des compléments de cours ou des exposés : ce
donné est considéré comme acquis au moment de l’écriture du « rapport » qui est demandé au
partiel de Juin.
Les étudiants sont parfaitement libres d’acquérir une culture littéraire par la fréquentation des
textes au programme, des cours et des professeurs, de même qu’ils peuvent faire fructifier celle
qu’ils ont éventuellement : tout effort de ce genre est naturellement bienvenu et toujours très
utile. Mais l’apport du cours et des TD, strictement appris et compris, suffit à donner la
possibilité de faire le devoir : aucune compétence littéraire n’est a priori demandée.
En revanche, l’effort porte sur l’argumentation qui sera systématiquement travaillée en TD. Le
devoir demande des compétences argumentatives :
- déductives : qui permettent de comprendre le parti pris d’une assertion, d’apprendre à le
soutenir puis à le réfuter et – éventuellement - à trouver un compromis.
- inductives : qui conduisent à utiliser tel ou tel exemple pour montrer tel ou tel point d’un
argumentaire.
On peut considérer que le devoir demandé est une dissertation dont la « matière » serait donnée
par avance : la note sera mise en fonction des connaissances retenues au cours de l’année, bien
sûr : il faut lire les livres et les relire, retenir le cours et tout ce qui a pu être dit ou écrit en TD.
La note dépend aussi et de façon non négligeable des capacités d’écriture et de présentation.
Mais la note, en 3e année de licence, est surtout fonction de la capacité argumentative : un devoir
très bien écrit, très bien informé du point de vue littéraire, mais qui resterait uniquement
descriptif sans jamais introduire de réfutation, par exemple, ne pourrait prétendre à une très
bonne note.
Etant donné les contraintes drastiques des durées d’examen, il sera demandé un plan détaillé,
dont l’introduction et la conclusion seules doivent être rédigées.

INTRODUCTION
L’introduction du devoir correspond à toute introduction d’un texte écrit ou d’un discours quel
qu’il soit : il faut gentiment amener le lecteur à comprendre votre sujet (ce dont vous allez
parler) et votre plan (la façon dont vous avez choisi d’en parler). Cela suppose de prendre le
lecteur là où il est, avec toutes ses préoccupations du moment, alors qu’il n’est pas prêt du tout à
vous entendre ou à vous lire, et à le forcer à avoir envie de vous lire. C’est pour cela qu’une
introduction commence d’ordinaire par ce qu’on appelle une « accroche » qui est une phrase
générale susceptible d’attirer (ou d’ « accrocher ») l’œil et l’attention. Mais cette phrase
d’accroche nécessite des connaissances littéraires qu’on ne vous demande pas et ainsi
l’introduction consiste à :
- exposer le sujet : dire qui en est l’auteur, à quelle époque, éventuellement, la citation a
été formulée ou écrite (si on vous donne ce renseignement) ; la citer soit in extenso si elle
est courte, soit par morceaux si elle est trop longue ;
- analyser le sujet : il faut dire ce que le sujet signifie, dans son acception la plus directe.
Vous devez analyser le sens des mots, mais de façon choisie. Il ne faut pas donner
l’impression que vous faites gratuitement (par devoir, parce qu’on vous l’a demandé) une
sorte d’explication de texte de la citation. Il faut que cette analyse serve à préciser le sens
du sujet ; la compréhension du sujet est pour beaucoup due à la connaissance des œuvres
et des problématiques liées au thème de l’année : il faut simplement être attentif aux
termes de la citation, éviter de vous fourvoyer ailleurs et particulièrement dans les
corrigés des devoirs précédents ;
- problématiser le sujet : là commence le travail argumentatif. Il faut que vous considériez
le sujet non comme une vérité, mais comme une assertion. Celui qui a parlé ou écrit
n’a pas nécessairement raison : il se borne à dire cela, à prétendre cela. Or cette
assertion se situe nécessairement dans un débat : on peut tenter de lui répondre, soulever
des questions à son sujet, se débattre conre elle, ne pas se laisser convaincre par elle sans
effort. Ce travail consiste à problématiser. Il faut traiter la citation comme si elle venait
d’être formulée brillamment par votre pire ennemi devant qqun dont vous seriez
amoureux et aux yeux duquel vous voudriez briller. Vous n’auriez de cesse de la remettre
en question, de la présenter en un mot comme qqchose qui n’est pas certain, qui pose
un problème et non plus comme une sentence à laquelle on ne peut rien reprocher ni
répondre ;
- annoncer le plan : le plan doit découler de la problématique. On commence par prouver
ce que le sujet prétend, comme pour mieux comprendre comment le réfuter. Une
troisième partie propose alors de relire la citation en tentant de tenir compte de la
réfutation possible.
En guise de captatio, pour remplacer celle que peut constituer l’accroche, l’introduction doit
comporter, avant au après l’annonce du plan, une phrase qui introduit les œuvres au programme,
du type : « Nous envisagerons ces différents aspects du problème à la lumière de La Splendeur du
Portugal de Lobo Antunes et des Paravents de Genet. »

PLAN
C’est au moment de faire le plan que vous faites un travail de logique. Il s’agit de trouver un
moyen de confirmer et un moyen de réfuter l’assertion proposée. La confirmation et la
réfutation sont les deux premières parties de votre devoir ; elles sont également les deux parties
principales d’un discours argumenté et elles correspondent aux deux « parties » prenantes dans
une négociation. Ici, on ne négocie ni une marchandise, ni un contrat, mais une idée : cela
revient au même. La citation n’est jamais ni « vraie », ni « fausse » ; à travers le devoir, elle
devient plus ou moins vraisemblable.

Articulation des parties

1°De la première à la deuxième partie


La première difficulté que vous rencontrez réside dans l’articulation de la première et de la
seconde partie, entre confirmation et réfutation. Réfuter de façon logique n’est pas facile, car
il ne s’agit pas de « dire le contraire », mais bien de négocier, de nuancer, de montrer les
insuffisances. Le sujet reste au centre de l’affaire : il n’est pas remplacé en deuxième partie
par un autre sujet qui serait son inverse. Cette articulation est donc très importante et difficile.
Il existe plusieurs mécanismes de réfutations possibles. On peut en citer trois particulièrement
importants :
Celle qui consiste à refuser la dimension universelle de l’assertion. Le sujet prétend être une
« règle » à laquelle on pourrait pourtant trouver des exceptions ; cette réfutation est très efficace
en temps normal, beaucoup moins dans une dissertation où elle donne lieu à une remise en
question très pauvre, mais dans certains cas, elle peut être utilisée.
Par exemple pour le sujet : « Parmi tous les facteurs sous-jacents à l’affrontement installés-
marginaux, c’est le désir d’assouvir sa faim, de satisfaire ses besoins animaux ou matériels les plus
élémentaires, mais aussi de ne pas se laisser annihiler par ses ennemis humains, bref de survivre, qui
prime sur tous les autres dès lors que la satisfaction est incertaine. », on peut simplement dire que les
besoins psychiques ne doivent pas pour autant être négligés. Cela donne deux parties du type : « Tout
en reconnaissant l’existence d’autres désirs possibles à l’origine de cette lutte, il en affirme la
dimension essentiellement pragmatique (I). Faut-il pour autant sous-estimer les revendications
psychiques des uns et des autres (II) ? »
Celle qui montre qu’on a indûment considéré comme une notion simple ce qui peut en réalité
être dissocié ; on joue alors sur un mot de la citation.
Par exemple, dans le sujet « Une politique mondiale est à la nation ce que la mégalomanie est à
l’individu », on peut faire jouer le mot « mondiale ». En contexte, il signifie « impérialiste » ; le
passage de la première à la seconde partie consiste alors à dire que « mondiale » peut aussi bien
évoquer de simples relations internationales, nécessaires à toute nation. Cela donne ces deux parties :
1° La mégalomanie de la nation ; 2° Nécessité de relations commerciales et diplomatiques.
Autre exemple, dans le sujet : « La pensée est le grand ennemi de la perfection. L'habitude de
réfléchir profondément est, je dois le dire, la plus pernicieuse de toutes les habitudes prises par
l'homme civilisé », on peut jouer sur le mot « pensée ». En contexte, il signifie le « doute » qui freine
l’action ; le passage de la première à la seconde partie consiste alors à dire que « pensée » peut aussi
bien se rapporter aux calculs et à la stratégie qui au contraire favorise l’action. Cela donne ces deux
parties : 1° La pensée comme fait néfaste de civilisation, 2° Une action purement instinctive ?
Vous noterez que les deux exemples concernent des citations paradoxales qui se prêtent
particulièrement bien à ce type de traitement : en effet, le paradoxe, voyant, conduit à remettre
immédiatement la notion en contexte. La deuxième partie consiste à le décontextualiser et à lui
rendre son sens « normal ».
La réfutation qu’on pourrait dire « par l’absurde », qui consiste à montrer que l’assertion du sujet
se contredit ou, de façon plus nuancée, conduit à une aporie (quand deux assertions
contradictoires coexistent). Un bon moyen de parvenir à une aporie est d’opposer la citation
d’une part et les implications implicites d’un de ses termes d’autre part.
Reprenons l’exemple « Parmi tous les facteurs sous-jacents à l’affrontement installés-marginaux,
c’est le désir d’assouvir sa faim, de satisfaire ses besoins animaux ou matériels les plus élémentaires,
mais aussi de ne pas se laisser annihiler par ses ennemis humains, bref de survivre, qui prime sur
tous les autres dès lors que la satisfaction est incertaine. » : on peut dire que l’affrontement en lui-
même suppose la reconnaissance mutuelle d’ « ennemis humains » a priori uniquement fondée sur
des critères normatifs. La crise qui amplifie la violence est alors mise sur le compte des « autres » à
qui on impute les difficultés présentes. Or la notion de faute induite d’un tel conflit dépasse
nécessairement la référence aux besoins les plus élémentaires. Cela donne deux parties du type : 1°
Les revendications élémentaires ; 2° Du désir primaire à la constitution de soi.

2° De la deuxième à la troisième partie


Le passage de la deuxième à la troisième partie suppose de rechercher un compromis entre la
confirmation et la réfutation. On reprend la citation, mais en lui infligeant quelques
modifications, eu égard à l’analyse qu’on vient de faire. Cette modification peut, là encore, être
de tout ordre et on peut simplement citer quelques méthodes :
Redéfinir une notion (par dissociation de notion) : par exemple, reprenons le sujet : « Une
politique mondiale est à la nation ce que la mégalomanie est à l’individu ». On a montré en I les ravages
d’une politique d’expansion coloniale, puis en II, la nécessité, pourtant, d’une politique d’ouverture sur le
monde. En III, on montrera alors que la « mégalomanie » désigne certes l’orgueil expansionniste, comme
le montrait initialement la citation mais aussi le racisme et l’impression de supériorité : étant donné les
insuffisances liées au sens en contexte, la troisième partie peut envisager la citation avec ce sens
différent : le mot « mégalomanie » a alors été redéfini. Voici maintenant l’annonce de plan complète :
« C’est donc bien à la folie des grandeurs que Richter s’oppose : celle qui prétend assurer le prestige
d’une nation dans le monde entier. C’est une politique dangereuse qui suppose d’assurer ses possessions
de façon permanente. (I) Mais une politique « mondiale », susceptible de provoquer des relations avec le
reste du monde, n’est-elle pas nécessaire pour assurer la position d’une nation et sa sécurité ? (II) Et la
« mégalomanie » ne doit-elle pas alors être redéfinie comme excès non de confiance en soi, mais de
sentiment de supériorité ? (III)» En réalité, le plan est entièrement fait par dissociations successives :
dissociation de « mondiale » entre expansion et échanges d’une part, dissociation de « mégalomanie »
entre orgueil - analogue à l’expansion - et sentiment de supériorité porteur de racisme.
C’est cette sorte de compromis qui donne lieu à ces troisièmes parties « ésotériques » bien connues du
faiseur de dissertations : il suffit de dissocier une notion entre son sens matériel et son sens « spirituel ».
Ainsi le truisme du « chemin » qui de « route parcourue » en première partie devient « cheminement dans
le labyrinthe de la conscience » en troisième partie. Cf aussi le voyage/voyage initiatique ;
apprentissage/éducation ; connaissance/connaissance de soi etc…

Modifier une notion : cela revient au même, mais le compromis est plus intéressant parce que
plus visible. A partir des éléments apportés par la 2e partie, on est conduit à modifier légèrement
la pensée initiale. Ainsi dans le sujet : « Parmi tous les facteurs sous-jacents à l’affrontement
installés-marginaux, c’est le désir d’assouvir sa faim, de satisfaire ses besoins animaux ou matériels les
plus élémentaires, mais aussi de ne pas se laisser annihiler par ses ennemis humains, bref de survivre,
qui prime sur tous les autres dès lors que la satisfaction est incertaine. », on peut dire que l’affrontement
en lui-même suppose la reconnaissance mutuelle d’ « ennemis humains » a priori uniquement fondée sur
des critères normatifs. (etc…) », la nécessité, établie en 2nde partie, d’une constitution de soi tend à
transformer la relation installés-marginaux. Elle n’est plus tant ou plus seulement une « affrontement »
uniquement brutal ; elle devient une « controverse » qui suppose un échange. Voici l’annonce de plan
complète : « Si l’affrontement paraît réduit à l’expression d’un désir immédiat (I), l’accusation implicite
qui le faire naître suppose des revendications morales (II) qui peuvent dès lors donner lieu à des débats
plus théoriques (III). »

Dans une partie


Chaque partie doit débuter par un titre de partie, puis par quelques phrases destinées à
introduire le thème de la partie d’une part et les sous-parties successives d’autre part. Les sous-
parties suivent, qui comportent à leur tour un titre de sous-partie. Suivent les exemples, qui
doivent être ordonnés suivant les œuvres dont ils sont tirés (c’est la solution la plus simple), ou
suivant un ordre choisi qui suppose alors des titres de sous-sous parties…
Règle absolue : les deux œuvres doivent figurer dans chacune des sous-parties.
On obtient quelque chose comme ça :

1° L’action « derrière les murs »

Le père Lampros, qui peut servir d’exemple ici, mène une véritable guerre contre le Grand Forestier même s’il vit reclus et même s’il refuse de
combattre. Un système de renseignement lui apprend sans cesse l’évolution de la situation et lui permet de donner des ordres précis aux habitants
de l’ermitage. Sa situation retirée lui confère au contraire une possibilité de recul et de réflexion assimilable à celle d’un guetteur.

1) Les renseignements
a) Un balcon en forêt
La radio, la lecture des journaux, les prescriptions, les rumeurs de Moriarmé ; le réseau d’information subtil du télégraphe arabe ; le « vent
d’ailleurs » apporté par les cavaliers, qui donnent des nouvelles de l’arrière, le « tuyau » du lieutenant de cavalerie ; les casemates de la ligne
Siegfried ; les chars allemands ; les renseignements que peuvent avoir les contrebandiers , les rumeurs sur la politique anglaise.

b) Sur les falaises de marbre


Les bruits courent à propos d’émeutes dans la Campagna ; les récits à propos des Vers de Feu ; ce qu’on peut voir dans la Marina : les avocats
véreux, les membres des ligues, et bientôt, avec eux les jeunes gens et les intellectuels ; ils apprennent l’adoration des faux Dieux et le désordre
dans les honneurs rendus aux morts. Les habitants de l’ermitage voient passer les « chasseurs » de Biedenhorn. Les habitants de la Marina
bénéficient enfin de renseignements donnés par Fortunio, à propos de la propriété du Grand Forestier et de la forêt en général. Belovar leur
apprend les faits et gestes de Braquemart et du prince
Le père Lampros connaît tous les événements qui se déroulent dans la Marina ; il est immédiatement au courant de la visite de Braquemart et du
prince . Il est également au courant de la faible fiabilité de Lampusa : ce qui est vérifié lorsqu’elle tarde à leur donner son message.
Etc…
Les exemples donnés constituent la seconde façon d’argumenter du devoir. Ces exemples n’ont
pas valeur d’illustration mais de démonstration. Par exemple, dans la sous-partie ci-dessus, les
exemples donnés n’illustrent pas un propos du type « des renseignements permettent au père
Lampros d’agir en restant cloîtré » ; c’est l’inverse : les exemples donnés montrent l’existence de
tels renseignements. C’est pourquoi leur choix est très important. C’est aussi pourquoi il faut
qu’ils aient une certaine valeur, soit par leur quantité (c’est le cas ci-dessus) soit par la
relative ampleur de l’analyse résumée qui en est faite comme dans la sous-partie ci-dessous :
3) Les ruses
Victoire : L’action finale de Wang, qui est présentée comme la seule action réaliste suppose, de ce fait, une étude de la réalité, des dangers qui se
présentent et de ce qu’il faut faire pour s’en garder. La prise du pistolet, l’organisation de défense des alfuros correspondent à des stratégies
mûrement réfléchies. Wang, de ce fait, est haussé au niveau… d’un occidental dans il emploie les méthodes brutales.
Une histoire birmane : Les actions d’UPK portent et pourtant elles sont le résultat d’une stratégie préalable mûrement réfléchie : témoins les
conversations avec sa femme ou avec son second. De la même façon que Wang, il rejoint là les occidentaux qu’il a décidé initialement d’imiter
pour mieux les battre. Les lettres, les rumeurs, les révoltes qu’il fomente supposent de grandes réflexions.
Enfin, comme dans ce dernier cas, les exemples – s’ils sont nécessairement proches puisqu’ils
participent du même thème – gagnent à être comparés, soit dans le but de les rapprocher, soit (ce
qui est plus riche) pour les distinguer.
La première et la deuxième partie doivent être conclues par une transition qui résume les acquis
de la partie et annonce la suivante en rappelant l’articulation argumentative correspondante.

CONCLUSION
La conclusion opère le mouvement inverse de l’introduction : elle a pour fin de reconduire le
lecteur dans son espace habituel et pour ce faire, elle contient habituellement une récapitulation
du raisonnement tenu dans le cours du devoir puis un élargissement à des thèmes connexes. Pour
la même raison que pour l’accroche, nous ferons l’économie de cet élargissement.

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