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com ‫ﻣﻧﺗدﯾﺎت‬

UNIVERSITE SAAD DAHLEB DE BLIDA


FACULTE DES SCIENCES DE L’INGENIEUR
DEPARTEMENT D’AERONAUTIQUE
QUATRIEMME ANNEE PRPULSION

om
.c
dz
ro
Ae

Encadré par : Mr. RENAN


Réalisé par : NEMDIL NOUREDINE / DELANDA NASSIM

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Introduction : La surface neutre prend une forme dite ligne élastique de la


poutre.
Le flambage est la putréfaction latéral d’une barre soumise La déflexion de la poutre est exprimée par le déplacement (y)
à des charges suivant son axe longitudinal. La résultante de ces il est habituellement capital de calculer la déflexion y pour
forces ne promeneur pas par le centre de gravité des un chaque valeur de x le long de la poutre. Cette corrélation peut

om
déplacement sections transversales, l’effort normal est Aakey, s’écrire sous la forme d’une équation constamment baptisée
pour chacune d’elle, d’un couple qui contour fléchissant équation de la courbe de déflexion (ou ligne élastique) de la
raidissant à faire tourner le tronçon auquel il est assidu. La poutre.
barre empoigne alors la forme d’une clarté ondulée, d’où le nom Le terme flambement est synonyme de flambage

.c
flambage. Prenez par exemple une règle de plastique flexible. Si vous tenez
Ce phénomène a été étudié par EULER, RANKINE, cette règle par les extrémités et tirez, la force que vous entraînez

dz
RESAL…etc. qui achevèrent à de nombreuses formules toutes devra engendrer dans la règle des contraintes égales à la
aussi complexe et peut pratique. En pratique on persuade les résistance mécanique à la traction du plastique qui la compose
sections à l’aide d’abaques qui accordent pour chaque matière la avant qu'elle ne se rompe, ce qui ne risque pas d'arriver.
ro
section en fonction de la charge appliquée et de la longueur.
La sorte la plus commode d’exprimer la putréfaction d’une
Par contre, si vous tenez cette règle entre les paumes de vos
mains et poussez, celle-ci, au lieu de prendre la sollicitation
Ae
poutre est d’évaluer sa déflexion à partir de sa position non gentiment de disposition longitudinale, finira par plier et se
chargée. brisera facilement (si tel est réellement votre objectif). C'est ce
La déflexion est modérée par la déformation de la surface phénomène que l'on nomme le flambage.
neutre de la poutre depuis sa position initiale jusqu’à sa position De façon générale, la sélection d'un élément structural est
finale. basé sur trois critères : un critère de résistance, un critère de
rigidité ainsi qu'un critère de stabilité.

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C'est ainsi qu'on penche une pièce afin quelle puisse résister
les sollicitations actuelles et probables qui lui seront imposées
tout en se déformant dans des limites acceptables pour
l'utilisateur.

ÉTUDE THEORIQUE :

om
Selon les libellés, nous avons la formule d’EULER qui nous
permet de déterminer la force critique, elle est donnée comme
suite : • Formule d’EULEUR :
π EI

.c
2
Pcr = Soit une barre de section constante S, rectangulaire par
2
L
exemple, articulée à ces deux extrémités A et B, comme exhiber
Avec :

dz
sur la figure ci-dessous, l’une des articulations B est fixe, l’autre
 E : le module d’élasticité longitudinal
A est avisée parallèlement à l’axe Ax sans frottement
 I : le moment d’inertie minimum de l’aire de la section
appréciable.


droite de la barre ro
L = l.µ : la longueur libre de voilement (c’et la longueur
d’une barre, articulée à ses extrémités, et qui est
Si l’on applique, suivant l’axe longitudinal une charge F
d’intensité grandissante, il arrive un moment ou la pièce
commence à fléchir pour une certaine valeur de F de la charge ;
Ae
équivalente au point de vue stabilité à une barre de
puis la flexion s’accentue et finalement la rupture se produit
liaison donnée)
lorsque la charge atteint la valeur F.
 l : la longueur vrais de la barre.
 µ : est un coefficient numérique, dépendant des
conditions aux limites et des modes de chargement de la barre.

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P
α= -θ
Pcr - p
L’évolution de la flèche F en fonction de la charge P
s’effectue suivant la courbe suivante :
x

om
f

.c
p
1/ Cas d’une poutre parfaitement droite : y pcr
Dans ce cas l’épiphénomène est brutal, la flèche d’abord

dz
On remarque donc que réciproquement au cas de la poutre
nulle s’accroît brusquement lorsque la charge P atteint une
droite la flèche ne se produit pas d’une manière brutale.
valeur critique Pct appelée charge critique d’Euler.
L’évolution de la flèche F en fonction de la charge P
3/ Charges critiques d’Euler pour différents cas de
s’effectue suivant la courbe ci-dessous
2/ Conditions réelles :
ro fixations :
EIx Y" = M(x), E : module dégorge
Ae
Les points réels ne sont pas parfaitement droits, ils exposent Ix : moment d’inertie de la section de la barre.

en général une flèche initiale. M(x) = -Py ⇒ EIxY" = - Py ⇒EIxY" + Py = 0

Dans ce cas, on peut montrer que la flèche au milieu de la P


λ²= ⇒ Y" + λ² Y = 0 la solution de cette équation
pointe s’écrit sous la forme : EI
différentielle homogènes sera y = A sin λy + B cas λy.

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A et B seront déterminer en fonction des conditions aux L = 750 mm


λ ² EIx
limites et la formule finale est : Pcr = m et m : dépend b = 19,05 mm
L² Ixh==171,21 mm4 Iy = 2742,27 mm4
du mode de fixation (voir tableau). 4,76 mm
On prend Ix parce que c’est le minimum
Mode de fixation M

om
Articulée – Articulée 1 On utilisant la méthode de singularité :
Encastrée – Encastrée 4
Encastrée - Articulée 2,04 Q(x) = Ra (x - 0)-1 – P(% - l/i)-1 + R B . (x - l)-1
d4
T= = Ra (x)° - P(x – l/i)° + R B (x - l)°

.c
dT
X M= = Ra (x)1 – P(x – l/i)1 + R B (2 – 0)1

-P 1

dz
h h
EiY″ = - M - (x) + P(x - l/2)1 – P/2 (x - 1)1
Ix 2
b -P P P
b Eiy’ = x² + (x - l/2)² - (x - l)² + C 1
L ro 2 2 4
-P P -P
Eiy = x3 + (x - l/2)3 - (x - l)3 + C 1 x + C 2
bh3 b3h 12 6 12
Ix = Iy =
Ae
12 12 De ces calcules aux limites pour déterminer C 1 et C 2
 bh3 hb3  x = 0 ⇒ y – 0 ⇒ C 2 = 0.
avec I = I min  , 
 12 12  X=l⇒y=0
(19,05) x (4,76)3 (19,05)3 x (4,76)
Ix = Iy = -P P L3
12 12 0= l3 + . 0 + C1 . L = 0
12 6 2

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Pl3 Pl3 1 1 Pl² Pcr


Ql= - ⇒ C1 = PL² - . C1 = ∇cr = ≤ ∇p (A : section)
12 48 12 48 16 A
L I
λ= (l' élancement) λb = : rayondegiration
On remplace dans l’équation : 3Lp A

-P 3 P P PL²
Eiy = x + (x – l/2)3 - (x – l)3 + .x λ²E

om
12 6 12 16 ∇c = la contrainte critique est la fonction
λ²
- P L3 PL² L hyperbolique en λ que cesse d’être valable quand ∇c abouti a la
De flèche x = 2/2 ⇒ Eiy = . + .
12 α 16 α limite de proportionnalité ∇p du matériaux l’égalité ∇p et ∇c
Pl3 Pl3

.c
EIy = + correspond à la valeur limite de l’élancement qui est la borne de
96 32
la validité de la formule d’euler.

dz
⇒Y=
Pl3 P 48EI
catg. α = = η ²E η ²B
∇c = ∇p = ou ∇p λ ² = η ²E ⇒ λlimite = 0 est la
48EI 8 20 λ² ∇p
Le phénomène d’instabilité élastique concorde à la rupture flexibilité limite au dessous de la quelle la formule d’euler n’est
ro
d’équilibre d’un système il ne convient que du module
d’élasticité du matériaux de dimensions géométrique, alors que
pas approuvable.

• Flambement élastique - petites déformations :


Ae
la valeur due à la contrainte ne joue aucun rôle, si n’est vrai
quand dessous de la limite de proportionnalité or il peut arriver Le flambement élastique est envisagé dans cette section tout en
que les contraintes de compressions déjà dépasser cette limite au admettant l'hypothèse des petits déplacements. Ainsi aux
circonstance d’instabilité dans ce cas la charge critique ne peut hypothèses exhalées à la section 1, s'ajoutent les suivantes :
être plus être calculer par la formule d’euler on formule dérivée
valable seulement pour un matériaux suivant le loi de HOOK.

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les déplacements transversaux sont considérés petits (ce qui


revient à négliger les effets de l'effort tranchant)
La solution de cette équation différentielle homogène, qui
le raccourcissement de la barre est négligé.
représente la flèche le long de la barre (0 < x < L), est de la
En examinant de nouveau la figure 1 et en faisant l'équilibre de forme

om
la section droite, on retrouve la relation
………………..(4)
où A et B sont des constantes d'intégration.
En posant l'hypothèse des petits déplacements, la courbure de la
Les conditions aux limites nous consentent de trouver les

.c
valeurs de ces constantes.
barre est égale à et ainsi
Ainsi, on sait que la flèche doit être nulle (y = 0) aux

dz
extrémités de la barre (x = 0, L). En usant ces conditions, on
……………..(1) obtient un système de deux équations, ce qui permet de trouver
En enchâssant cette équation dans la précédente, on retrouve ………………(5)
une équation différentielle du second ordre
ou encore
ro ……….(6)
En examinant la relation (6), la solution triviale est
Ae
………………(2) A=0…………………(7)
ou encor
Toutefois dans ce cas, la flèche est nulle (y = 0, éq. 9) tout au
ou …………………(3) long de l'axe de la barre, peu importe la valeur de P puisque
A = B = 0.
Cette solution ne représente donc pas une possibilité réaliste.

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Une autre possibilité est de considérer que sin (uL) est égal à
zéro, peu importe la valeur de A. Ceci survient pour

ou i = 1, 2, 3, etc…………….(8)

om
Dans ce cas l'équation (4) devient où

encore, ……………(9)
La déformée de la barre se illustre donc par un sinus de

.c
demie longueur d'onde L/i et d'amplitude A. Cette déformée
représente le mode de flambement de la barre. On doit noter
La déformée due au flambement tel que défini par l'équation (9),

dz
cependant, qu'il est impossible de quantifier la valeur de la
ne peut survenir que pour certaines valeurs particulières de P.
déformée de la barre puisque la valeur de A demeure inconnue.
L'équation (9) nous indique seulement la forme (également Sachant que P = u2EI et que, uL = i , alors
ro
appelée forme propre) que prend la déformée de la barre.
La figure 4 présente les deux premiers modes de flambement
…………………….(10)
Ae
d'une barre bi-articulée (i = 1, 2).
Ainsi, selon la relation précédente, le flambement de la barre ne
peut apparaître que pour les valeurs de P suivantes

…………………(11)

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D'un point de vue pratique, seule la plus petite valeur de P En conclusion, on définit le chargement critique élastique
(i=1) est d'intérêt pratique et se nomme, tel que vu d'Euler comme le chargement correspondant au point de
précédemment, chargement critique (élastique) d'Euler (Pe). On bifurcation de la courbe de comportement (point A aux figures 2
peut porter en graphique les solutions de l'équation différentielle ou 4) d'une pièce bi-articulée, ou encore, lorsque l'hypothèse des
(7), solutions qui sont basées sur l'hypothèse des petits petits déplacements est admise, comme le plus petit chargement

om
déplacements. Ceci est fait à la figure 5. favorisant le flambement d'une pièce bi-articulée.

• Poutres soumises a des conditions aux


limites diverses:

.c
 Poutre encastrée aux deux extrimites :

dz
1) structure contemplée
 G 0 G 1 : poutre encastrée à ces deus extrémités sur des
appareils d’appui assujettis à se déplacer suivant l’axe G 0 X.
ro
Le tronçon OB représente la solution triviale correspondant
à l'équation (7). Les divers segments horizontaux représentent


I : inertie constante de la section droite.
F : forces axiales de compression opposées appliquées aux
deux extrémités de la poutre.
Ae
les diverses possibilités liées aux chargements critiques (éq. (11)).
 Y(X) : déplacement de la section d’abscisse X par rapport
Sur cette figure, seule la courbe définie par les tronçons OAC est
a la ligne d’action de F ,
d'intérêt pratique. On remarque alors que, lorsque le
 M 0 = M 1 : moment d’encadrement sur appuis .
chargement critique d'Euler est atteint, la déformée de la barre
devient subitement très importante sans toutefois être définie.

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2) Equation différentielle de la ligne moyenne déformée :  Y(X) : déplacement de la section d’abscisse X par rapport
2 a la ligne d’action de F.
dY 2 2M
+ν Y =ν 0  M 0 : moment d’encastrement en G 0 .
2 F
dX  H 0 : réaction d’appui horizontale en G 0.

2 2) Equation différentielle de la ligne moyenne déformée :


F

om
ν = 2
EI dY 2
0 1− X 
2M 
+ν Y =ν  
3) Equation de la ligne moyenne déformée 2 F  l 
dX
M   X 
Y= 0 1 − Cos 2nΠ l 

.c
2 F
F    ν =
la force critique de flambement : obtenue
EI

dz
pour n=1 est la suivante
2 EI
Fc = 4Π 3) Equation de la ligne moyenne déformée :
2
l M0  X
ro Y = A sin νX + BCosνX + 1 − 
F  l 
 Poutre encastrée à une extrémité et On peut définir A et B avec des conditions initiales
articulée a l’autre extrémité :
Ae
La force critique de flambement
1) structure considérée 2 EI
Fc = 2Π
 G 0 G 1 : Poutre encastrée en G 0 et articulée en . 2
L
 I : inertie constante de la section droite .
 F : forces axiales de compression opposées appliquées aux
deux extrémités de la poutre.

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 Poutre encastrée à une extrémité et libre PARTIE PRATIQUE :


a l’autre extrémité ou console : • Fin de la Manipulation :
Le but de cette experience et d’étudier le flambement des
1) structure considérée
distincts poutres de longueur différentes, de différents matières
 G 0 G 1 : poutre encastrée en G 0 et libre en G 1 .

om
et dans des différentes position (mode de fixation) soit :
 I : inertie constante de la section droite.
 F : force axiale de compression appliquée en G 1. • Articulé – Articulé.
 Y(X) : déplacement de la section d’abscisse X par rapport • Articulé – Encastré.
a la ligne d’action de F. • Encastré – Encastré.

.c
 M 0 : moment d’encastrement en G 0 . • Influence du mode de fixation :
2) force critique de flambement 1) Aluminium :

dz
2
la poutre d’aluminium utilisée a pour longueur L= 750 mm .
Π EI
Fc = •
4 2 • Articulée-Articulée
l ro Charge
55 90 110 130 145 175
Ae
W(N)
Flèche
1.15 1.8 4.25 4.6 11 11.2
y(mm)

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Pc = m π²Eiz/L² (dans ce cas m=1)


y = f(w)

12
Pcr = 62.35 N
10
• Encastrée – Articulée
y (mm)

8
6
4

om
2 Charge W(N) 100 150 200 250 300 350
0
0 50 100 150 200
W (N) Flèche y(mm) 0.35 0.8 1.7 3.7 8.8 14.3

.c
Calcule de la charge d’ Euler :

dz
Calcule de la charge d’ Euler : Pratiquement :
Pratiquement : Dans ce cas et d’après la manipulation Pcr pratique :
Dans ce cas et d’après la manipulation Pcr pratique :
ro Pcr = 100N
Pcr = 55 N
Tgα = 0.81
tgα= F/P = 145-130/11-4.6= 2.34 E= 241126.54N/mm²
Ae
L = 750 mm.
Théoriquement :
I = bh3/12 = 45 mm4
Pcr = Pc = m π²EIz/L² (dans ce cas m= 2.04)
E = L3/48.I. tgα = 83466.88N /mm
Pcr = 131.42N
Théoriquement :
Pour calculer le Pcr théorique on applique la loi suivante

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y = f (w) y = f(w)

20 15

y (mm)
15 10
Y (mm)

10 5

om
0
5
100 200 300 400 500 600
0
W (N)
100 150 200 250 300 350
W (N)

.c
Calcule de la charge d’ Euler :
• Encastrée – Encastrée :

dz
Pratiquement :
Dans ce cas et d’après la manipulation Pcr pratique :
Charge W(N) 100 200 300 400 500 600 600

Flèche y(mm) 0.3 0.95 1.8


ro
2.3 4.08 13.5
Pcr = 100N
Iz = 45 mm4
0.85
L = 750 mm
Ae
Théoriquement :
Pcr = Pc = m π²EIz/L² (dans ce cas m= 4 )

Pcr =118.32 N

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b) Acier 1 :

la poutre d’acier 1 utilisée a pour longueur L= 750 mm ,


largeur de 20 mm Calcule de la charge d’ Euler :
et un épaisseur de 3 mm :
Pratiquement :
Dans ce cas et d’après la manipulation Pcr pratique :

om
• Articulée– Articulée : Pcr = 110 N

Charge Tgα=0.48
110 113 150 180 200
W(N)

.c
L=750mm
Flèche
0.3 0.39 0.51 0.9 1.6 E=75813.68N/mm
y(mm)

dz
Théoriquement :
Pcr = Pc = m π²EIz/L²

2
y = f (w) ro Pcr = 134.37 N

• Encastrée – Articulée :
Ae
1,5
y (mm)

1 Série1 Charge
75 100 120 150 200 250
0,5 W(N)
0
110 113 150 180 200
Flèche
0.39 0.5 0.6 0.75 1.2 1.8
W (N)
y(mm)

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• Encastrée – Encastrée :
y = f (W)

2
1,5
y (mm)

Charge
1 100 200 285 250 275 300

om
0,5 W(N)
0
75 100 120 150 200 250
Flèche
0.12 0.5 8 15.2 15.4 15.6
W (N)
y(mm)

y = f(W)

.c
Calcule de la charge d’ Euler : 20

y = (mm)
15
Pratiquement : 10

dz
5
Dans ce cas et d’après la manipulation Pcr pratique : 0
100 200 250 275 285 300
Pcr = 75 N
W (N)
L= 750mm ro
Iz=45mm4
Calcule de la charge d’ Euler :
Tgα=0.27
Ae
E=547854.27N/mm² Pratiquement :
Dans ce cas et d’après la manipulation Pcr pratique :
Théoriquement :
Pcr = 100 N
Pcr = Pc = m π²EIz/L²
L = 750 mm
Pcr = 94.71N

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20 . (3)3
Ix = = 45 mm4 y = f(W)
12
0,8
tgα = 0.2 0,6

y (mm)
0,4
E= 574923.49/mm²
0,2
Théoriquement : 0

om
200 300 400 500 600 700
Pcr = Pc = m π²EIz/L² W (N)

Pcr = 132.4 N
Calcule de la charge d’ Euler :
c) Acier 2 : Pratiquement :

.c
la poutre d’acier 2 utilisée a pour longueur L= 650 mm . Dans ce cas et d’après la manipulation Pcr pratique :
Pcr = 200 N

dz
• Encastrée – Encastrée :
tgα=0.034
L = 650mm
Charge 200 300 400 500 600 700
ro E=147500.10² N/mm
W(N)
Théoriquement :
Flèche 0.2 0.3 0.4 0.5 0.6 0.7 Pcr = Pc = m π²EIz/L²
Y(mm)
Ae
Pcr = 245.37N

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• Articulée-Articulée
Théoriquement :
Pcr = Pc = m π²EIz/L²

Charge 150 250 350 480 550 650


Pcr = 178.75N
W(N)

om
0.38 Conclusion générale:
Flèche 0.3 0.4 0.59 0.8 1.3
Y(mm) On constate que la charge critique d'Euler troc
corrélativement avec le coefficient du mode de fixation (µ), et le
y = f (W) module de rigidité(E I), et varie inversement avec la longueur L.

.c
1,5 Si le solide est compétent d’une élasticité linéaire, c’est le
y (mm)

1 problème d’Euler ; les déformations deviennent cruellement très

dz
0,5
grandes à partir d’une certaine charge.
0
150 250 350 480 550 650
Mais ceci n’est envisageable que si la déformée initiale
W (N)
ro (forme de a fibre neutre) ne s’écarte que très peu de la droite. Si
elle s’en écarte d’une façon notable, les grandes déformations
Calcule de la charge d’ Euler :
apparaissent plus tôt ; mais la portance ( charge maximale que
Pratiquement :
Ae
peut supporter de droite) tend asymptotiquement vers la charge
Dans ce cas et d’après la manipulation Pcr pratique :
définie par la formule d’Euler. Ceci est vrai tant que le solide a
Pcr = 150 N
conservé sa propriété d’élasticité linéaire.
L = 650mm
tgα =0.12 ,
E = 471396.658 N/mm²

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