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Première partie

1) Dans le cadre de la transparence des contenus, plusieurs lois et règlements encadrent


Internet. En ce sens, si tout le monde peut créer un site web, la légalité de ce dernier doit tenir
en compte certaines modalités. Cependant, Monsieur Lebrun doit considérer les points
suivants :
 Les « mentions légales » autrement dit, la totalité des informations importantes sur le
propriétaire du site web. Cette section comprend donc : l’identité du responsable
(renseigner s’il s’agit d’une personne physique ou morale), la visée du site web
(commercial, forum d’échange, etc.), ainsi que toutes les informations importantes
pouvant rassurer le visiteur
 Les conditions générales d’utilisations : elles permettent de circonscrire les règles
propres à l’usage du site, et ainsi protéger les contenus du site

2) Puisque la liberté d’expression est prônée sur Internet, le responsable du site est en
mesure de publier ce qu’il veut. Certes les contenus que Monsieur Lebrun veut diffuser est en
lien avec la visée du site mais ces derniers pourront choquer certains utilisateurs. De ce fait, il
est préférable d’aviser les visiteurs par un « pop-up » avant d’afficher certaines vidéos ou
images choquantes. Ainsi les visiteurs décident eux-mêmes s’ils veulent ou non regarder

3) Pour respecter la vie personnelle des utilisateurs d’Internet, des règlementations ont
été mis en place. De ce fait, divulguer des conversations secrètes sans l’accord des deux
personnes dialoguant viole le principe du droit de secret des personnes. Or les atteintes à la
vie privée d’une personne sans son accord est sanctionné par la loi. Même si ici la
conversation concerne des personnes issues d’autre territoire, et qu’ainsi les lois ne sont pas
les mêmes qu’en France, dans la plupart des pays, la violation de la confidentialité des
personnes est passible d’une sanction. IL est donc préférable de s’abstenir.

4) Pour éviter toutes formes d’illégalité, Monsieur Lebrun doit se conformer aux points
suivants :
 Déclarer le site au CNIL
 Respecter les lois qui régissent Internet
 Si certaines publicités sont visibles sur le site, elles doivent être appropriées. De ce
fait, si le responsable gagne en contrepartie des publicités un revenu, il est impératif
de faire une déclaration fiscale
 S’il reprend des expressions, phrases voire contenues de certains site web, il devra
préciser la source de manière très claire et complète afin d’éviter le plagiat
 Il doit également tenir en compte des droits d’auteurs s’il illustre son site avec des
photos qui ne sont pas propre à lui

Seconde partie

1) L’usurpation du travail des autres de façon partielle ou intégrale est sanctionnée par
les lois sur le plagiat. Dans le cas de Monsieur Lebrun, on peut bien parler de plagiat car le
copieur reprend ses idées en arrangeant la mise en forme, autrement dit il a fait preuve de
paraphrase c’est-à-dire il reprend de façon partiel les idées véhiculées par Monsieur Lebrun.
Il peut donc faire appel à la justice en soutenant le droit de la propriété intellectuelle.


 
2) Le principe de propriété intellectuelle protège les œuvres des auteurs. De ce fait,
Monsieur Lebrun doit impérativement respecter les droits suivants :
 Les droits moraux : il permet de « reconnaître la paternité de l’auteur et protège
l’intégrité de l’œuvre. Ce droit est perpétuel » (L111-1 du Code de la Propriété
Intellectuelle)
 Les droits patrimoniaux : qui va faire valoir « la rémunération à l’auteur ou ses héritiers
pour chaque utilisation de ses œuvres »

3) Des liens pour des sites de téléchargement en pair-à-pair de l’émission que diffuse
RTS sont illégaux car conformément à la loi HADOPI qui stipule que tous les contenus
téléchargés illégalement sont considérés comme une contrefaçon.
Des citations et des extraits d’articles, en général très courts, pour illustrer le site
peuvent être légaux si les sources ont été précisé et que ces contenus apparaissent sur le site
de manière visible comme des propos qui n’appartiennent pas à Monsieur Lebrun. Dans le
cas contraire, les sanctions sur la propriété intellectuelle est applicable.
Des conversations enregistrées sur dictaphone entre les volontaires d’IFAW. Ces
derniers ne semblent d’ailleurs pas vraiment au courant de la présence du dictaphone vu la
teneur de leurs propos. Dans ce cas, vu l’article L32-3 du Code des postes et des
communications qui stipule, le fait « commis de mauvaise foi, d’intercepter, de détourner,
d’utiliser ou de divulguer des correspondances émises, transmises ou reçues par la voie des
télécommunications ou de procéder à l’installation d’appareils conçus pour réaliser de telles
interceptions » est puni d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. »
Par ailleurs, Le téléchargement gratuit d’un récit dont Monsieur Lebrun est l’auteur à
propos de son expédition en Tanzanie peut être considérer comme légal car le contenu est
propre à Monsieur Lebrun. Il peut donc faire ce qu’il veut mais il sera le seul responsable si
d’autres personnes utilisent ses propos sans son accord ailleurs. Afin de le protéger lui-même
contre les plagiats, il vaudrait mieux placer des droits d’auteurs.


 

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