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Sommaire

À propos de l’auteur

1 Choisir son statut


juridique

2 Passer du statut
d’auto-entrepreneur à un
exercice d’EURL ou de
SASU

3 Comment réaliser un
business-plan ?

4 Réussir son pitch


A propos de l’auteur

Mathieu Benayoun
Fondateur et président de MB&Scott
MB&Scott est le cabinet leader dans la gestion de la
comptabilité des start-up.
Quotidiennement, Mathieu est en contact avec des
créateurs de start-up, qu’il accompagne dans leur
croissance, leurs levées de fonds ou la rédaction d’un
business-plan.
Ce book est le fruit de son expérience concrète à leur côté.
En parallèle , Mathieu BENAYOUN intervient en tant que
small buisness specialist, comme expert en gestion et en
création d’entreprise.
CHAPITRE 1

Choisir son statut


juridique
01 84 17 84 76
20 min de conseil offertes

Chapitre 1
Choisir son statut juridique

Principes

Pour exercer une activité commerciale, vous devez préalablement vous immatriculer
au registre du commerce et des sociétés soit en tant qu'entreprise individuelle
(également appelée entreprise en nom propre), soit en tant qu'auto­entrepreneur,
soit sous forme de société commerciale.

Le choix du statut juridique va dépendre de nombreux critères parmi lesquels :

● La nature de l'activité exercée (commerciale, artisanale, libérale) ;

● La volonté d'entreprendre seul ou à plusieurs ;

● L'existence d'un patrimoine privé à protéger ou à transmettre ;

● Le statut social applicable à son entreprise et les incidences sur sa situation


personnelle ;

● Le régime d'imposition des bénéfices et des revenus provenant de son activité.


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Chapitre 1
Choisir son statut juridique

1. L'associé unique d'une entreprise à


responsabilité limitée

L'entrepreneur individuel à responsabilité limitée (EIRL). L'EIRL permet à


l'entrepreneur de protéger ses biens personnels, en créant un patrimoine affecté à
son activité professionnelle distinct de son patrimoine privé et sans création
de société.
Juridiquement, il s'agit d'une entreprise individuelle mais au fonctionnement
proche de celui d'une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée avec
notamment l'ouverture d'un compte bancaire professionnel, le dépôt des comptes
annuels, etc.

L'entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL). L'EURL est une SARL


ne comportant qu'un seul associé. Elle permet au créateur de bénéficier, en principe,
du régime de la responsabilité limitée tout en conservant l'entière maîtrise de ses
affaires.
La création d'une EURL nécessite cependant la constitution d'un capital social
dont le montant est librement déterminé par l'associé unique dans les statuts.
Le capital, qui doit être intégralement souscrit dès la création, peut être libéré
dans les mêmes conditions que celui d'une SARL. La société génère davantage
d'obligations juridiques et comptables que l'entreprise individuelle.
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Chapitre 1
Choisir son statut juridique

La Fiscalité
L’associé unique est imposé sur ses bénéfices au titre de l'impôt sur le revenu.

Les bénéfices de l'associé peuvent cependant être imposés à l'IS si :

● il opte volontairement pour l'imposition à l'IS ;


● cet associé est une société elle-même imposable à IS.

Comment consacrer le moins de temps possible aux tâches


quotidiennes chronophages
MB&Scott met à votre disposition toute une gamme d’outils de
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activité.

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Chapitre 1
Choisir son statut juridique

2. L'exercice en société

La société à responsabilité limitée (SARL)

La SARL est constituée au minimum par deux associés et au maximum cent. Elle
suppose, en outre, l'existence d'un capital social dont le montant est fixé par
les associés dans les statuts.

En cas d'apport en numéraire, il est possible de libérer seulement le cinquième du


capital à la constitution et le solde dans les cinq ans à compter de l'immatriculation
de la société.
Cette forme de société, dès sa création, permet aux associés de limiter leurs
responsabilités au montant de leurs apports respectifs.
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Chapitre 1
Choisir son statut juridique

Le taux d'imposition est fonction du montant du


chiffre d'affaire

­Chiffre d'affaire annuel hors taxes supérieur ou égal à 7 630 000 € : 33,1/3 % du
bénéfice net.

Chiffre d'affaire annuel hors taxes inférieur à 7 630 000 €

● Le capital de votre société a été entièrement versé par les associés et est détenu
pour 75% au moins par des personnes physiques (ou par une autre société
répondant aux mêmes conditions) : 15 % de plein droit sur une fraction du
bénéfice imposable limitée à 38 120 euros, pour les PME sur ses 38 120 premiers
euros de bénéfices puis 33,1/3 % pour le reste de ses bénéfices.

● Le capital de votre société n'a pas entièrement été versé par les associés ou est
détenu pour moins de 75% par des personnes physiques : 33,1/3 % pour l'ensemble
de ses bénéfices.
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Chapitre 1
Choisir son statut juridique

● Sous certaines conditions, une SARL peut opter pour le régime fiscal applicable
aux sociétés de personnes, et être imposée au titre de l’impôt sur le revenu. Ce
régime est applicable aux sociétés :

- dont les titres ne sont pas admis aux négociations sur un marché
d'instruments financiers, dont le capital et les droits de vote sont détenus à
hauteur de 50 % au moins par une ou des personnes physiques et à hauteur
de 34 % au moins par une ou plusieurs personnes ayant, au sein de la société
la qualité de gérant exerçant une activité commerciale, industrielle,
artisanale, agricole ou libérale, à l’exclusion de la gestion de son propre
patrimoine mobilier ou immobilier employant moins de 50 salariés, et
réalisant un chiffre d’affaire ou un total de bilan inférieur à 10 000 000 €
existant depuis moins de 5 ans.

● Le choix pour le régime de l’IR doit être notifiée aux services des
impôts dans les trois premiers mois de l’exercice concerné. Dès que l’une des
trois conditions mentionnées plus haut n’est plus respectée, le régime de l’IS
s’applique de plein droit.

ATTENTION ! De la forme juridique de votre entreprise vont dépendre votre


régime fiscal et votre protection sociale.
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Chapitre 1
Choisir son statut juridique

1. SASU, SA, SAS ou SNC ?

Pour exercer une activité commerciale, vous devez préalablement vous


immatriculer au registre du commerce et des sociétés soit en tant
qu'entreprise individuelle (également appelée entreprise en nom propre), soit en
tant qu'auto­entrepreneur, soit sous forme de société commerciale.

Le choix du statut juridique va dépendre de nombreux critères parmi lesquels :

● La nature de l'activité exercée (commerciale, artisanale, libérale) ;


● La volonté d'entreprendre seul ou à plusieurs ;
● L'existence d'un patrimoine privé à protéger ou à transmettre ;
● Le statut social applicable à son entreprise et les incidences sur sa situation
personnelle ;
● Le régime d'imposition des bénéfices et des revenus provenant de son activité.
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Chapitre 1
Choisir son statut juridique

2. La Société par actions simplifiées unipersonnelle


(SASU)
La SASU peut être constituée par une seule personne physique ou morale dont la
responsabilité est limitée à son apport. Depuis le 1er janvier 2009, il
appartient à l'associé unique de déterminer le montant du capital social
dans les statuts.

Le capital social est composé d'apport en numéraire et d'apport en nature. En


cas d'apport en numéraire, la loi autorise l'associé à ne libérer que la moitié de la
somme à la constitution et de ne verser le solde à la société que dans un délai de
cinq ans à compter de l'immatriculation au RCS.

Remarque : depuis le 1er janvier 2009, les apports en industrie jusque­-là interdits
dans ce type de société sont admis sous réserve d'une évaluation périodique par un
commissaire aux apports.

3. La société anonyme (SA)


La SA est constituée avec un capital minimum de 37 000 euros entièrement
souscrit à la création et qui peut être libéré de la moitié seulement si les actions
correspondent à des apports en numéraire (la libération du surplus devant
intervenir dans un délai de cinq ans). Elle nécessite la réunion de sept actionnaires
au moins, dont la responsabilité est limitée au montant de leur apport.
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Chapitre 1
Choisir son statut juridique

4. La société par actions simplifiée (SAS)


La SAS est constituée avec un capital social librement déterminé par les associés
dans les statuts. Intégralement souscrit à la création, il peut être libéré de la
moitié seulement si les actions correspondent à des apports en numéraire (la
libération du surplus devant intervenir dans un délai de cinq ans). Cette forme
sociale particulièrement souple laisse aux associés le soin d'organiser
précisément, dans les statuts, le fonctionnement de la société. Les fondateurs
doivent être particulièrement vigilants lors de la rédaction des statuts afin d'éviter
toute difficulté ultérieure.

5. La société en nom collectif (SNC)


La SNC est une société dans laquelle les associés ont tous la qualité de
commerçant. Elle doit posséder un capital, mais aucun minimum n'est exigé par la
loi. En revanche, tous les associés sont indéfiniment et solidairement responsables
de la totalité des dettes de la société.

ATTENTION ! De la forme juridique de votre entreprise vont dépendre votre


régime fiscal et votre protection sociale.
CHAPITRE 2

Passer du statut
d’auto-entrepreneur à
un exercice d’EURL ou
de SASU
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Chapitre 2
Passer du statut d’auto­entrepreneur à un
exercice d’EURL ou de SASU

1. Principes

Le statut d’auto­entrepreneur permet de démarrer rapidement et facilement


une activité, dans une structure adaptée et sans la lourdeur administrative
relative d’une société. Cependant, si vous développez votre activité et dépassez
les seuils de chiffre d’affaires de l’auto­entreprise, il est parfois préférable de
transformer votre statut auto­entrepreneur en société.

Comment choisir sa nouvelle structure juridique ?

Pour mieux choisir la structure juridique de votre société, il faut prendre en compte
plusieurs critères :
● Fiscalité : certaines formes juridiques permettent de rester imposé à l’IR (impôt
sur le revenu), sur son revenu professionnel (EIRL, EURL, SARL) tandis que d’autres
impliquent l’IS (impôt sur les sociétés) sur les bénéfices de la société (SASU, SAS, SA)
● Couverture sociale : selon les formes juridiques, vous pouvez opter pour le
régime social des indépendants (EIRL, EURL, SARL) ou le régime social de salarié
(SASU, SAS, SA)
● Responsabilité juridique et financière de la société : la plupart des formes
juridiques sont à responsabilité limitée (EIRL, EURL, SARL, SASU, SAS, SA), ce qui
n’est pas le cas de l’entreprise individuelle (EI) où le gérant est indéfiniment
responsable des dettes éventuelles de sa société sur son patrimoine personnel.
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Chapitre 2
Passer du statut d’auto­entrepreneur à un
exercice d’EURL ou de SASU

2. Comment procéder lors de la cessation de


l’activité d’ auto­entrepreneur ?

Le statut d’ auto­entrepreneur s’exerce sous la forme juridique de l’entreprise


individuelle. Lors du passage au statut de société, il vous faudra faire une
demande de cessation d’activité pour l’entreprise individuelle auprès de votre CFE
(Centre de Formalités des Entreprises).

Remarque : Le fait de passer du statut d’auto­entrepreneur à une forme juridique


de société ne vous fait pas perdre le bénéfice de l’ACCRE.

3. Comment immatriculer sa nouvelle société ?


En ligne sur Guichet­Entreprise ou CFENet ou directement au RCS (Registre du
Commerce et des Sociétés) pour une activité commerciale, ou au RM (Répertoire
des Métiers) pour une activité artisanale, ou à l’URSSAF pour une activité libérale.
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Chapitre 2
Passer du statut d’auto­entrepreneur à un
exercice d’EURL ou de SASU

4. L’assujettissement à la TVA

Vous devenez assujetti à la TVA. ll existe trois régimes d'imposition à la TVA :

● ­la franchise en base ;


● le réel simplifié ;
● le réel normal.

Vous collecterez pour le compte du Trésor public cet impôt auprès de vos clients. En
contrepartie, l'entreprise a le droit de récupérer la TVA appliquée à ses achats
par ses fournisseurs.

Ce reversement et cette déduction de la TVA se font au moyen d'un imprimé


déclaratif spécialement prévu à cet effet : l'imprimé CA 3.

Ainsi, l'entreprise reverse au Trésor public une TVA nette correspondant à une
taxe frappant la valeur ajoutée réellement produite par l'entreprise sur la
période. La TVA est donc un impôt neutre pour l'entreprise.
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Chapitre 2
Passer du statut d’auto­entrepreneur à un
exercice d’EURL ou de SASU

5. Est-­il nécessaire d’être accompagné dans ces


démarches ?

La complexité du juridique et de la fiscalité lors d’une création d’entreprise


entraîne souvent une confusion pour l’entrepreneur, lui faisant perdre un temps
précieux pour se former et l’empêchant de se consacrer sur sa vraie mission
qui consiste à créer une activité solide et pérenne. D’où la nécessité de
recevoir des conseils juridiques de la part d’un professionnel.

Cet accompagnement nous semble indispensable pour prendre les meilleures


décisions dans la création de votre société. Nous vous aidons dans la gestion et la
prise en charge de ces tâches chronophages, pour vous permettre de vous consacrer
utilement à vos clients et à votre entreprise.

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CHAPITRE 3

Comment réaliser un
business-plan ?
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Chapitre 3
Comment réaliser un business-plan ?

Qu'est-ce qu'un business plan (BP) ?

Le business plan (ou plan d'affaires) est votre premier outil de vente. Il s'agit d'un
dossier qui démontre la solidité de votre projet en exposant ses points clés de
manière claire et synthétique.

Le document explique ce que vous souhaitez réaliser, comment, à quelle échéance,


avec qui et et pour quels résultats.

Le business plan deviendra également pour vous un document de référence


dans les premiers mois d'activité.

"Le business plan répond à beaucoup de questions pour le créateur ou le repreneur


d'entreprise, explique Isaure Nivard-Pierson, gérante de Capfi associés, société de
conseils dans la création et le développement d'entreprises. C'est une
concrétisation importante et valorisante de tout le travail qui a été fait".

Comme une feuille de route, il vous permettra de vérifier si vous êtes en phase avec
les prévisions définies (plan d'actions à mettre en oeuvre, budgets à respecter...).
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Chapitre 3
Comment réaliser un business-plan ?

1. Quelle est la bonne structure ?


"Pour réaliser un bon BP, il faut traiter tous les aspects du projet (stratégie,
communication, juridique, RH, technique, financière…)", selon Matthieu Douchy,
consultant, formateur, fondateur et gérant de Créactifs, société dédiée au conseil
dans la création, la reprise et le développement d'entreprise.

Il existe des constantes dans sa structure :

- la présentation de l'entrepreneur ou de l'équipe (nom de la société, statut,


logo, slogan...) ;
- la présentation du projet et de votre offre (services et/ou des produits
proposés par l'entreprise) ;
- la stratégie de l'entreprise pour atteindre ses objectifs (production, distribution,
promotion, calendrier de mise en place…) ;
- l'analyse du marché cible (étude de l'offre et de la demande) et de la
concurrence (tendances et perspectives) ;
- le budget et les prévisions financières (chiffre d'affaire (CA), recettes prévues,
budget et bilan prévisionnel de trésorerie...) ;
- les investissements et capitaux nécessaires pour mener à bien le projet (tableau
des investissements, calcul des besoins, calcul du seuil de rentabilité...).
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Chapitre 3
Comment réaliser un business-plan ?

2. Rédaction d'un business plan : quelle forme ?

Privilégiez la qualité à la quantité. Un business plan doit comprendre 20 à 30


pages maximum + une partie chiffrée et des annexes, si nécessaire. Il ne doit pas
être détaillé au point que les interlocuteurs n'arrivent pas au bout de leur lecture.

La forme doit mettre en avant le sérieux de l'entrepreneur et son souci de


communiquer efficacement. Faites des petits paragraphes de 5 à 6 lignes maximum
et soyez sobre.

Le business plan est un document standardisé : vos interlocuteurs (partenaires,


investisseurs) attendent un document assez formaté.
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Chapitre 3
Comment réaliser un business-plan ?

3. Soignez la relecture

Lors de la rédaction du business plan, utilisez un correcteur d'orthographe. Faites


ensuite relire votre document par plusieurs personnes. Cela vous permettra
d’enlever les éventuelles fautes et coquilles.

Une autre relecture de personnes qui ne connaissent pas le projet est également
utile.

Demandez-leur de vous expliquer ce qu'elles ont compris après une lecture


rapide.

Vous saurez très vite si votre document est présentable.


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Chapitre 3
Comment réaliser un business-plan ?

4. Personnalisez votre business plan


Vous ne pouvez pas adresser le même business plan à une grosse société
d'investissement, à une jeune entreprise et à une banque. Faites plusieurs versions
de votre dossier selon les destinataires.

Vous devez connaître un minimum vos interlocuteurs, vous projeter à leur


place et répondre aux interrogations qu’ils se posent : quel est potentiel de
votre projet ? Quelle est la rentabilité de votre projet ? Comment pensez-vous
utiliser un éventuel financement ? Quels sont les risques encourus?...

"Chaque interlocuteur s’attache à des aspects différents d’un projet, explique


Matthieu Douchy. Ainsi un banquier attachera une importance particulière aux
chiffres, par exemple.”

Toutefois, évitez de maquiller les chiffres de la partie financière selon les


interlocuteurs.

"Certaines personnes ne voudront pas montrer sur leur business plan qu'elles sont
déficitaires la première année à des investisseurs ou à la banque, commente Isaure
Nivard-Pierson. Il vaut mieux pourtant être réaliste et voir avec le banquier
comment il est possible de changer ça".
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Chapitre 3
Comment réaliser un business-plan ?

5. Préparez un résumé
Après avoir rédigé votre business plan, préparez un résumé qui le synthétise (ou
executive summary) en 2 ou 3 pages.

Vous présenterez d'abord ce document aux investisseurs pour leur donner envie de
lire l'intégralité du business plan. Cette introduction doit mettre en évidence les
points clés de votre initiative de manière concise.

À noter que, souvent, ce document seul suffit à obtenir un rendez-vous avec un


investisseur.

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Réussir son pitch


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Chapitre 4
Réussir son pitch

Convaincre un décideur de la viabilité et de l’efficacité de votre projet ne doit


pas dépasser aujourd’hui le temps d’une conversation dans un ascenseur.
Entre images fortes et concision, comment préparer un argumentaire percutant
sans dénaturer la teneur de votre discours ?

Tout comme la bande-annonce d’un film, vous devez donner envie aux décideurs
de voir votre projet se réaliser, résume ainsi Zaïn Chaigneau, Sales Executive chez
THG Sports.

1. Maîtriser le sujet et le temps


Sans maîtrise, pas de pitch ! La disponibilité d’un décideur est son bien le plus
précieux, vous devez donc vous rendre crédible. Pour cela, une bonne préparation
doit répondre à quelques exigences :

Un découpage en deux ou trois thèmes principaux maximum. « L’identité de


votre produit, de votre cible, et vos atouts concurrentiels doivent donc transparaître
clairement, en soignant vos transitions.»

L’Identification de mots-clés percutants : « Vous devez jouer sur l’imaginaire de


votre interlocuteur, c’est une arme redoutable. En cas de présentation graphique,
votre discours doit être incisif et posséder une valeur ajoutée. »

Une conclusion brève : « Etre capable de reformuler votre argumentaire


démontrera un esprit de synthèse aiguisé, très appréciable pour un décideur.

Les pièges à éviter : Une généralisation trop poussée.


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Chapitre 4
Réussir son pitch

2. Maîtrisez votre image et votre espace


Une image soignée : « Vous devez dégager de la crédibilité. Et votre sourire
démontre une empathie envers votre interlocuteur. »

S’adapter au lieu : « Il est important de prendre ses repères spatiaux, afin de ne


jamais tourner le dos à son auditoire. Votre regard direct doit interpeller chaque
personne qui se trouve en face de vous.»

Interpellez si nécessaire : « En cas de question ou d’objection, gardez toujours


votre ligne directrice, en prenant en considération les remarques de vos
interlocuteurs, pour y revenir par la suite.»

Les pièges à éviter : La forme de votre discours ne doit pas se résumer à un


étalage d’artifices. La gestuelle doit accompagner votre discours, et non l’éclipser.

Astuce : L’entraînement avec une allumette vous enseignera la gestion de temps et


de la pression inhérente à un argumentaire public. Attention à vos doigts !

Comme vous pouvez le constater, cette procédure comporte de


nombreuses démarches, et entraîne une certaine mise de fonds.

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conseil des meilleurs experts de son réseau.

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