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Introduction
Vieille de plusieurs millénaires, la médecine traditionnelle chinoise utilise différentes branches
thérapeutiques : les interventions externes (acupuncture, massage,...) les interventions internes
(pharmacopée chinoise), la psychothérapie traditionnelle chinoise, les exercices (Qi Gong, Tai Ji
Quan) et la prévention-préservation de la vie (YANG SHEN, littéralement « nourrir la vie »,
ensemble de conseils de santé, de règles d’hygiène de vie). C’est logiquement dans cette dernière
que l’on retrouve la diététique chinoise.
La diététique occidentale décrit les aliments selon une approche quantitative ou analytique : calorie,
protides, lipides, vitamines, minéraux...
Alors que la diététique chinoise utilise d’autres critères et s’intéresse à l’effet des aliments sur
l’organisme. On distingue alors : nature, saveur, tropisme d’un aliment.
La nature (chaude, froide, tiède, fraîche et neutre) représente l’effet thermique généré par l’aliment,
indépendamment de la température à laquelle il est consommé (un piment même froid va
provoquer de la chaleur dans le corps, ou verre alcool avec des glaçons ou the a la menthe bu
chaud.....)
Saveurs de l’aliment
Les cinq principales saveurs sont l’acide, l’amer, le doux, le piquant et le salé. Chacune des ces
saveurs possède un impact particulier dans l’organisme, au même titre que la nature des aliments.
De plus, selon la théorie des cinq mouvements, éléments, chaque saveur correspond à un organe
dans lequel elle agit plus spécifiquement. Ainsi l’acide est associé au foie, l’amer est associé au
cœur, le doux est associé à la rate, le piquant est associé au poumon et le salé est associé aux reins.
Il faut savoir qu’une saveur, en quantité modérée, nourrit l’organe qui lui est associé. Manquer
d’une saveur induit donc une malnutrition de l’organe correspondant et des tissus corporels qui
lui sont associés (voir le tableau des correspondances au-dessus). Mais un excès de cette même
saveur lèse cet organe, entravant son bon fonctionnement, et provoquant des troubles dans
l’organisme. L’harmonie des saveurs est donc fondamentale à notre équilibre. Mais ce n’est pas
tout. Chaque saveur possède une action spécifique dans l’organisme et engendre des effets
métaboliques précis. Bien qu’ils ne soient pas pris en compte par notre science moderne, ces effets
sont bien réels et permettent d’expliquer les propriétés médicinales de la plupart des aliments.
Consommer des aliments de saveur amère favorise les fonctions du cœur (et de l’intestin grêle),
stimule également les fonctions de l’estomac (propriétés apéritives). Par contre, consommer trop
ou trop peu de cette saveur peut perturber le fonctionnement de ces organes.
Exemples d’aliments amers : poivron, endive, asperge, céleri, chicorée, laitue, scarole, foie d’agneau, foie
de mouton, foie de porc, foie de poulet, etc.
La saveur douce étant associée au couple rate/estomac, la consommation d’une quantité modérée
d’aliments de saveur douce tonifie et harmonise les fonctions digestives, et nourrit les chairs. Si
l’on mange trop peu de cette saveur, les chairs sont mal nourries et il y a amaigrissement. Par
contre, si l’on consomme trop d’aliments de saveur douce ; les fonctions digestives sont débordées,
les chairs trop nourries prennent du volume. C’est ce phénomène que l’on observe en particulier
dans le problème de plus en plus courant du surpoids et de l’obésité. Mais l’excès de sucré peut
être également à l’origine de troubles tels que troubles du transit, troubles ORL type rhinites,
sinusites, ou digestifs (hypoglycémie, hypercholestérolémie, etc.)
Exemples d’aliments doux : carotte, champignon de Paris, fenouil, patate douce, pomme de terre, pleurote,
potiron, tomate, pois cassé, petit pois, blé, maïs, millet, riz, agneau, bœuf, caille, canard, porc, poulet, œuf,
lait de vache, etc.
En petite quantité, cette saveur tonifie le poumon (et le gros intestin), mais en excès elle disperse et
affaiblit leur énergie. Or, selon la médecine chinoise, c’est le poumon qui gouverne l’énergie de
l’ensemble de l’organisme. En excès, cette saveur est à éviter pour une personne faible, fatiguée,
car elle risque de disperser son énergie déjà insuffisante.
Exemples d’aliments piquants : ail, chou rave, céleri, ciboule, fenouil, oignon, radis cru, aneth, badiane,
coriandre, gingembre, menthe, muscade, origan, piment de Cayenne, poivre noir, etc.
Exemples d’aliments salés : algues, avoine, orge, crabe, crevette, huître, moule, poulpe, viande de canard,
de pigeon et de porc, sauce de soja, sel de cuisine, etc.
PRESENTATION
" Les règles de la sagesse prescrivent de se conformer aux saisons de l'année, d'offrir aux repas des
produits du pays où l'on est, de s'accommoder aux désirs de l'esprit, aux inclinations de l'homme,
à la nature des choses.
Ainsi chaque saison aura ses productions particulières, chaque terrain ses plantes favorites,
chaque homme ses mets qui lui conviennent. Ce que la saison n'a pas produit, ce que le sol n'a pas
nourri, un homme ne l'offre pas. Si les habitants d'une montagne aride offraient du poisson, si les
habitants du bord d'un lac offraient des sangliers, un sage dirait qu'ils ne connaissent pas les
règles de santé.
Pour ce qui concerne ces règles, il faut considérer en premier le temps, en second lieu l'ordre établi
par la nature, en troisième lieu la qualité, en quatrième lieu ce qui convient à la condition des
personnes et les circonstances, en cinquième lieu la proportion. »
Ce texte, issu de l'un des cinq grands Ouvrages Classiques de la Chine antique, résume l’essentiel
des règles fondamentales de la diététique traditionnelle chinoise : des règles à la fois simples et de
portée universelle. Des règles que nous avons oubliées, dans une société qui dispose en abondance
de tous les aliments à toutes les saisons, à une époque où l’alimentation n’est plus vécue comme
une nécessité, et suit les phénomènes de la mode et de la technologie.
Il est préférable d’utiliser des produits locaux plutôt que ceux importés de l’autre bout du monde.
On trouve en France, soja, choux chinois, champignons Shiitake, etc.…La consommation excessive
de riz blanc ou de thé peut provoquer des désordres physiologiques pour les occidentaux, plutôt
habitués au blé, d’où l’importance de consommer du pain complet, à condition qu’il soit
confectionné avec de la farine bio et du levain naturel (exclure toute levure qui le dénature).
Avec l’apparition des nouvelles machines à pain, il est possible de le faire soi-même, ce qui est peu
coûteux et excellent, comme base de notre nourriture.
De même, un aliment passé au four micro-ondes subit une forme de désorganisation qui le
dévitalise, Le trempage court dans l'eau peut redonner un peu de vie à un aliment qui se fane ou
se dessèche. Un trempage long provoque une perte du Jing qui dénature l'aliment.
Un légume spécifique de la saison dans laquelle nous vivons localement, est porteur de plus de
Jing utile pour l'organisme qu'un légume ayant voyagé, même dans un temps court, et provenant
d'une autre zone climatique. Un végétal ayant poussé dans la nature a plus de Jing qu'un légume
ayant poussé dans un jardin. Et celui-ci en a plus qu'un végétal qui s'est développé sous serre. Un
aliment poussé hors-sol n'a que très peu de Jing. Il a seulement reçu ce qui lui garantit une bonne
apparence. Il n'a pas pu prélever dans le sol les nutriments et l'Energie subtile dont il a besoin.
Tout aliment devrait être cueilli au moment de sa consommation. Cela signifie qu'il doit y avoir un
court laps de temps séparant la récolte, la cueillette, l'abattage de la consommation. La
conservation au froid, à l'abri de l'air, peut permettre d'allonger légèrement la période optimale.
La congélation et la surgélation font perdre toute qualité de fraîcheur et ne présentent aucun
intérêt.
Il existe des moyens naturels de conservation : salage, séchage, lactofermentation, conservation
dans l’huile, les épices, le vinaigre, etc.…Les procédés artificiels inhibent l’énergie de l’aliment, le
tuent ; cela est vrai pour le lait cru, qui industrialisé en UHT, se conserve, mais ne permet pas
d’enrayer le développement de la listériose…
Certaines personnes ont des aversions pour certains aliments, ne les digèrent pas, il faut respecter
les désirs de chacun à condition que ce ne soit pas un caprice comme pour certains enfants. Pour
les personnes âgées, il faut que les aliments soit légers et fortifiants. Les travailleurs de force ou les
sportifs n’ont pas les mêmes besoins ; cependant le travail intellectuel nécessite une alimentation
conséquente, à condition de pratiquer la marche ou un sport pour éviter les stagnations de sang.
D’autre part si la lumière artificielle n’est pas compensée par la lumière solaire, va provoquer un
épuisement du JING, le principe essentiel d’énergie vitale. Il est donc nécessaire de le compenser
par des aliments vivants, fruits légumes, céréales, préalablement exposés au soleil.
Il en va du choix des aliments comme de leur quantité : on peut changer ses habitudes
alimentaires, mais cela doit se faire petit à petit, lentement. Ainsi, une bonne habitude peut-elle
progressivement en remplacer une mauvaise.
2- L'EXCES DE CHAUD
Le tabac est piquant tiède et toxique, Il est contre-indiqué chez les femmes enceintes.
Comme les condiments, les épices, l’alcool, les viandes de bœuf ou de mouton surtout si en plus
elles sont cuites directement au contact d’une flamme (barbecue), elles provoquent de la chaleur
dans l’Estomac et le Foie.
ATTENTION : Le calcium ne se trouve pas exclusivement dans les produits laitiers, on le trouve
en quantité importante dans les végétaux, base de l’alimentation des bovins : pissenlit, persil,
épinards, cresson, fenouil, brocoli.
Un régime végétarien est fortement conseillé à la ménopause pour éviter l’ostéoporose et les prises
de poids, il sera plus efficace que les traitements hormonaux de plus en plus contestés…
MICRO-ONDES
Mis au point suite au développement des techniques radars d'après guerre, il est inquiétant non
seulement à cause de son rayonnement et fuites radioactifs, mais surtout à cause de son système
de cuisson de l'intérieur ver l'extérieur. Il détruit les vitamines te oligo-éléments, mais conserve les
bactéries, pesticides et autres .Son danger vient principalement de la production de radicaux libres
oxydants, au niveau des cellules. L'ingestion d'aliment chauffés ou cuits au MICRO-ONDE
entraîne instantanément une ATTAQUE de la RATE énergétique facilement observable par l'étude
clinique. On constate en effet :
- des ballonnements et flatulences nauséabondes immédiates,
- une digestion longue et laborieuse avec somnolence,
- une fragilisation importante des vaisseaux sanguins veineux et capillaires avec risque
hémorragique,
- Une prise de poids sur le siège ou l'abdomen,
- Cela ouvre la porte à la genèse des cancers et autres leucémies...
COCOTTE MINUTE
De part sa vapeur surpuissante elle détruit totalement les vitamines et minéraux, et donc le JING
des aliments.
LA BONNE CUISSON : LA CUISINE A LA VAPEUR
LE VITALISEUR MARION.
La base de la cuisine douce est la cuisson à la vapeur douce, c'est-à-dire ne dépassant pas 95°.
Cette cuisson permet :
- de réaliser une cuisson rapide, à la température la plus basse possible,
- une attaque douce des aliments, sans odeurs de cuisine,
- un respect du goût, de la couleur, de la fermeté, propres à chaque aliment,
- une épuration des aliments, avec soustraction remarquable au niveau des graisses dans les
viandes,
- à l’échelle microscopique, un respect moléculaire et cellulaire qui contribue à la qualité du gout.
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Cette méthode favorise la digestion: en effet, les aliments sont débarrassés d'une grande partie de 11
leur graisse et autres produits toxiques (cholestérol, toxines, etc.) et le travail du foie et du
pancréas s'en trouve d'autant soulagé.
On a pu vérifier sur un grand nombre de personnes que des plats réputés lourds à digérer, tels
que potées, abats, etc., préparés à la vapeur douce pouvaient être rendus parfaitement digestes,
même pour des sujets habituellement incapables de les tolérer.
Les constatations cliniques nous ont tellement surpris que nous avons voulu aller plus loin sur le
plan scientifique. Nous avons fait pratiquer sur un échantillonnage varié d'aliments des analyses à
l'échelle cellulaire: on a remarqué que la structure des tissus est bien mieux respectée que dans les
viandes grillées ou cuites par les procédés ordinaires (barbecue, gril et marmites pressurisées).
Les résultats les plus spectaculaires concernent les cellules graisseuses, ou adipocytes : on note une
diminution notable de leur taille liée à une dépression lipidique très importante.
On comprendra aisément que l’élimination pure et simple des graisses de surcharge animales par
cette méthode de cuisson évite du même coup le déclenchement des problèmes cardio-vasculaires
dont on sait qu'elles sont le premier responsable.
Concentration sur le repas (c’est à dire pas de lecture, TV...) ; régularité dans les horaires(le corps
est alors rythmé et prêt à fonctionner) ; déroulement (état humeur, rapidité, avoir faim ....)
Et marcher 100 pas après le repas, pour devenir centenaire d’après un vieux proverbe chinois