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ENSAM CASABLANCA 13/02/2017

Chapitre-2: Cycle de puissance à vapeur

 Le fluide moteur passe par une série d’évolution et retourne finalement à son état initial.

 Généralement, une centrale thermique à vapeur fonctionne suivant un cycle fermé.

Types de machines utilisées


 Les turbomachines: Machine à vapeur, pompe.

 Chaudières, condenseurs, réchauffeurs, surchauffeurs, … 1

Machine pas thermique: Turbomachines Machine thermique:


Machine hydraulique combustion interne et
externe
•Turbines et pompes hydrauliques
(eau liquide) •Turbines à vapeur
(vapeur d’eau)

•Turbines à gaz
(gaz de combustion)

Echange
d’énergie

Rotor tournant Fluide en écoulement


autour d’un axe à permanant:
vitesse constante gaz ou liquide ou diphasique
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Machines hydrauliques
 Les pompes hydrauliques
• Volumétriques
• Centrifuges
Objectifs :
• Mettre un fluide dense (liquide ou slurry) en mouvement (énergie
nécessaire pour vaincre la dissipation d’énergie par frottement
visqueux) en utilisant une certaine quantité d’énergie fournie par un
moteur.

• Eventuellement, augmenter sa pression (énergie nécessaire pour


rapprocher les molécules entre elles malgré les forces de répulsion).
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Exemples de pompes volumétriques

Caractéristiques
 Domaine d'application de pressions jusqu'à 10 000 bar et des débits de 0.1 à 10 m3/h.
 Elles peuvent s'appliquer aux liquides et aux gaz ( compresseurs ou suppresseurs).
 Elles peuvent générer de grandes pressions.

Fonctionnement

Une pompe volumétrique se compose d'un corps de pompe parfaitement clos à l'intérieur
duquel se déplace un élément mobile rigoureusement ajusté. Leur fonctionnement repose sur
le principe suivant:
• exécution d'un mouvement cyclique
• pendant un cycle, un volume déterminé de liquide pénètre dans un compartiment
avant d'être refoulé à la fin.
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Elles peuvent être rotatives ou alternatives:

Rotative à lobes: Alternative à membranes:


Rotative à Vice:

Rotatives à engrenage:
Rotative à Palettes:
Alternative à piston:

Caractéristiques
Exemples de pompes centrifuges
Ils ont un domaine d'application de pressions de 0.6 à 20 bar et des débits jusqu'à 50 000 m3/h.
Une pompe centrifuge est constituée par:

• une roue à aubes tournant autour de son axe


• un distributeur dans l'axe de la roue
• un collecteur de section croissante, en forme de spirale appelée volute.

Fonctionnement:
Le liquide arrive dans l'axe de l'appareil par le distributeur et la force centrifuge le projette
vers l'extérieur de la turbine. Il acquiert une grande énergie cinétique qui se transforme en
énergie de pression dans le collecteur où la section est croissante. L'utilisation d'un diffuseur
(roue à aubes fixe) à la périphérie de la roue mobile permet une diminution de la perte
d'énergie.

Pompes Radiales centrifuges Pompes hélico centrifuges

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 Les turbines hydrauliques


Le rôle de la turbine est de transformer l'énergie de
l'eau, de la vapeur ou du vent en énergie mécanique,
de manière à faire tourner un alternateur

• Turbine Francis (1868)

• Turbine Pelton (1880)

• Turbine Kaplan
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Turbine Francis
L'eau arrive sur le pourtour de la roue, pousse les aubes, puis se dirige vers l'axe de la turbine.
Elle s'écoule ensuite par le canal de fuite situé sous celle-ci. Elle tient son nom de James Bicheno
Francis (1815-1892), ingénieur américain qui l'a inventée en 1849.
Elles sont utilisées pour les moyennes chutes (de 30 à 400 m) et les débits moyens.

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Turbine Pelton
Cette roue hydraulique, qui porte le nom de son
inventeur, l’Américain Lester Pelton (1829-1908),
récupère l’énergie du mouvement de l’eau grâce à des
augets en forme de cuillère.

Elles sont utilisées généralement pour les centrales


de hautes chutes, à faible débit

Turbine Kaplan
Cette turbine, inventée par l'ingénieur autrichien Viktor Kaplan (1876-1934), ressemble à la
turbine à hélice, mais ses pales sont orientables. Elle convient à certaines centrales au fil de
l'eau situées sur des rivières à débit particulièrement variable, car on peut régler la position de
ses pales en fonction du débit.

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Symboles et rôles des organes d’une


installation à vapeur
• Pompe :

Son rôle consiste à :

• alimenter la chaudière à vapeur


• élever la pression de l’eau liquide

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• Turbine :
Son rôle consiste à:
• Récupérer l’énergie mécanique contenue dans
la vapeur au moyen des aubages internes
• Transférer cette énergie à l’alternateur au
moyen d’arbre et accouplement

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• Condenseur
le rôle consiste à :
• Condenser la vapeur d’eau afin de pouvoir
recycler l’eau traitée
• Maintenir un niveau de pression assez bas à
la sortie de la turbine

Condenseur

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Chaudière:
Le rôle consiste à :
• Transformer l’eau liquide en vapeur par un
échauffement isobare aux pertes de charges
près
• La chaleur provient de la combustion d’un
combustible solide, liquide, gazeux ou
nucléaire.

CH Chaudière

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Echangeurs de chaleur, réchauffeurs,


surchauffeurs, …

Le rôle consiste à transférer l’énergie


calorifique d’un fluide à un autre, il peut
remplacer le condenseur dans certaines
applications.

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Cycle de base d’une installation à vapeur :


Cycle de Rankine

Le cycle idéal
correspondant à une
centrale thermique
élémentaire à vapeur
est le cycle de Rankine.

Les composantes
essentielles de cette
installation sont : la
chaudière, la turbine,
le condenseur et la
pompe.

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Les évolutions qui composent le cycle


sont :

1-2 : un pompage adiabatique


réversible effectué par la pompe

2-3 : un échange de chaleur à pression


constante dans la chaudière
(évaporation)

3-4 : une détente adiabatique


réversible dans la turbine

4-1 : un échange de chaleur à pression


constante dans le condenseur
(condensation de l’eau)

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Si on néglige la variation de l’énergie cinétique et potentielle on a :

 La chaleur transmise au fluide moteur est représentée par l’air : a-2-2’-3-b-a

 La chaleur transmise par le fluide vers l’extérieure est représentée par l’air : a-1-4-b-a

 D’après le premier principe le travail fourni par la turbine est la différence entre ces deux
aires : 1-2-2’-3-4-1.
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Au niveau de la turbine on constate que:

• La pression en amont > La pression en aval.


• Pression amont de la turbine : fixée par la pompe.
• Pression aval de la turbine : fixée par l’équilibre Liquide-Vapeur
régnant dans le condenseur donc par la température de la source
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froide (fleuve, atmosphère, …)

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Chaque étage possède une double-fonction :


• conversion de l’enthalpie en énergie cinétique (détente de la vapeur).
• conversion de l’énergie cinétique en couple de rotation via les aubages mobiles.
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Calcul du rendement thermique

Le rendement thermique de l’installation est


défini par la relation :

Wnet aire 1 − 2 − 2'−3 − 4 − 1


ηth = =
QC aire a − 2 − 2'−3 − b − a
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• Bilan d’énergie dans l’installation :


On applique le premier principe sur chaque organe
de l’installation:
dE
= ( he + Ece + Epe ) m& e − ( hs + Ecs + Eps ) m& s + W& + Q&
dt

∆w + ∆Q = hs − he

Chaudière : QC = h3 − h2
Pompe : WP = h2 − h1
Turbine : WT = h4 − h3

Condenseur : QF = h1 − h4 25

• Travail utile : Wnet = WT − WP = ( h4 − h3 ) − ( h2 − h1 )

• Dépense : QC = h3 − h2

• Rendement thermique de l’installation :

(h3 − h4 ) − (h2 − h1 )
η th =
(h3 − h2 )
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Le cycle de Rankine présente les inconvénients suivants :

–le titre de la vapeur à la fin de détente est faible

–le rendement de l’installation est faible

Solutions:
–Amélioration 1: Surchauffe

–Amélioration 2: Soutirage

–Amélioration 3: Resurchauffe
27

Amélioration 1: Surchauffe
Influence de l’eau liquide dans turbine :
• Impact grosses gouttes surface détériorée corrosion
réduction durée de vie ailettes.

• gouttelettes ne participent pas à mise en mouvement des ailettes.


moindre efficacité.

La détente au niveau de la turbine est limité: titre x > 80%


Rankine: rendement « faible ».

Solution : surchauffer la vapeur avant la détente dans la turbine.


C’est le cycle de Hirn
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Amélioration 1: Surchauffe
Cycle à vapeur surchauffée: Cycle de HIRN
Le cycle de Hirn permet de remédier à ces problèmes.

Les centrales thermiques modernes fonctionnent selon le principe du cycle de Hirn.


Dans ce type d’installations les chaudières sont équipées de surchauffeurs.

La surchauffe de la vapeur augmente le rendement du cycle de Rankine.


Cela découle du fait que la température moyenne lors du transfert de chaleur à la
vapeur d’eau augmente.

TF
(voir rendement de Carnot : ηCarnot = 1 − )
TC

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xB
xA (xA<xB)

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Effet de la température et de la pression sur le cycle de Hirn


• Influence de la température d’admission à la turbine:

En augmentant le niveau de la température à

l’entrée de la turbine du niveau (A) à (B), on

note une augmentation de ∆h à la traversée

de la turbine et une amélioration du titre de la

vapeur à la sortie.
xA xB

La température moyenne au cours du chauffage dans la chaudière


augmente, donc le rendements du système augmente de quelques point
lorsqu’on augmente la température de surchauffe à la sortie de la
chaudière.
Remarque
T3 admet une limite supérieure qui est dictée par des considérations technologiques.
Les turbines à vapeurs supportent à l’heure actuelle une température de 600°C.
31

• Influence de la pression du condenseur:

Cependant, la pression du condenseur admet une limite inférieure pour les raisons suivantes :

Lorsque la pression diminue à la sortie de la


turbine, on constate que :
• Difficulté pour réaliser le vide dans l’installation
• Problème d’étanchéité

• Difficultés de condenser la vapeur à des


températures inférieures à la température
ambiante

• L’enthalpie ∆-h34 = h3 − h4 augmente (l’effet utile)

• Le titre de la vapeur se dégrade surtout dans


les étages basse pression de la turbine

Du fait que la température moyenne lors du rejet de la chaleur diminue, le rendement du


cycle augmente lorsque la pression du condenseur diminue (voir rendement de Carnot )
La valeur de 0.04 bar admise par les centrales thermiques comme limites inférieure.
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• Influence de la pression d’admission à la turbine:

Lorsque la pression augmente à l’entrée de la


turbine on remarque que :
- le titre de la vapeur diminue à la sortie de
turbine

• ∆h34 = h3 − h4 augmente (l’effet utile)

Cependant, du fait de l’augmentation de la température


moyenne pendant la transformation 2-3 le rendement du cycle
augmente de quelques points.

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Exercices
Exercice 1:

Dans une installation à vapeur, la vapeur d’eau entre dans la turbine


(supposée adiabatique réversible) à l’état surchauffée à une pression de
70 bar et une température de 450°C.

En utilisant le diagramme de Mollier, déterminer la température et le titre


de la vapeur à la sortie de la turbine, ainsi que le travail mécanique
récupérer.

On donne: Pression dans le condenseur Pc= 0,125 bar

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Travail de la
turbine = Δh

Titre de la
vapeur

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Exercice 2
Un récipient ayant un volume de 0.4 m3
contient 2.0 kg d’un mélange d’eau liquide et
d’eau vapeur en équilibre à la pression de 0.6
MPa.
Calculez :
• le volume et la masse du liquide
• le volume et la masse de la vapeur.

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Exercice 3:

Déterminer le rendement d’un cycle de


Rankine utilisant la vapeur d’eau comme
fluide moteur. La pression au condenseur est
de 10 kPa ; la pression de la chaudière est de 2
MPa et la vapeur en sort à l’état saturé.

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Remarque:
Détente et compression réels: Rendement isentropique

• Il existe un écart entre le cycle réel et le cycle


idéal que nous avons déjà étudié.

• La turbine et le compresseur ne peuvent


jamais être adiabatique et réversible
• Dans la réalité la détente et la compression
dans une installation à vapeur n’est jamais
isentropique.
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Cas d’une détente


T
détente réelle

1
détente
isentropique
Δhréel
Δhis
Pression haute
2
2’
Pression basse

S2’ S2
S

La turbine peut être caractérisée par un


rendement de détente isentropique.

∆hréel h2 − h1
ηis = =
∆hisentropiq ue h2 '− h1 39

Cas d’une compression


T
compression 2 Compression réelle
isentropique
2’

Δhréel
Pression haute Δhis

Pression basse
1

Le compresseur peut être caractérisé par un


rendement de compression isentropique.
∆hisentropique h2' − h1
ηis = =
∆hréel h2 − h1 40

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Exercice 4 Etude d’une turbine

Une turbine de rendement de détente isentropique ηis = 0.8, utilise comme fluide
moteur l’eau. A l’entrée de la turbine la vapeur d’eau est à P1= 115 bars et T1= 500
°C. la température de condensation est de 30°C ; le liquide saturé est comprimé
isothermiquement jusqu’à 115 bars.

1. Tracer l’allure du cycle dans le diagramme (T,S) ; on précisera clairement le sens de


circulation du fluide.
2. Présenter sous forme de tableau les coordonnées des thermodynamiques P, T, h
des point 1, 2, 3
3. Quel est le travail massique de compression du liquide? On précisera les
hypothèses. Déduire les coordonnées P, T, h du point 4
4. Calculer le débit masse d’eau m & eau, sachant que la puissance thermique du
condenseur Q& cond = 50kW.
5. Déterminer la puissance mécanique utilisable sur l’arbre de la turbine adiabatique
sachant que son rendement mécanique ηm= 0.9
6. Quelle est la puissance thermique du générateur de vapeur.
1
4

3 2
41

Amélioration 2: Cycles à resurchauffes

• Le problème de dégradation du titre de la


vapeur dans les étages basse pression de la
turbine peut être évité en utilisant les cycles à
resurchauffes.

• Ce procédé consiste à surchauffer la vapeur


d’eau entre les étages de la turbine, cette
opération permet aussi d’améliorer le
rendement de l’installation.

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Amélioration 2: Cycles à resurchauffes


Il s’agit de limiter la détente isentropique puis chauffer à
nouveau, à pression constante, pour augmenter la
température. La vapeur subit alors une deuxième
détente isentropique jusqu'à la température du
condenseur puis se condense complètement.

2 détentes cumulées Travail utile plus grand

 La première détente fournit une vapeur ayant un titre supérieur à 90%,


éventuellement surchauffée.

 Le réchauffage s’effectue jusqu’à atteindre typiquement 560°C.

Travail augmenté avec des couts faibles


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Amélioration 3: Cycles à soutirage


• Dans un cycle à soutirage, le réchauffage de l’eau d’alimentation de la chaudière de T2 à T2’
n’est pas réalisé entièrement dans la chaudière, mais au moyen de la chaleur qui lui est
cédée par prélèvement de vapeur effectué en différents étages de la turbine.

• L’eau liquide est préchauffée après qu’elle ait été comprimée par la pompe
 Elle est préchauffée au moyen d’un Réchauffeur

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L’enthalpie de la vapeur étant très largement supérieure à celle du liquide, en raison de la

chaleur latente de vaporisation, on conçoit qu’il soit possible d’assurer ainsi le préchauffage

du liquide grâce à un faible prélèvement de vapeur en cours de détente. Dans ce but, on

considèrera comme cycle de base celui de Rankine avec surchauffe de la vapeur où on

procèdera à un prélèvement à une pression P’

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Principe de fonctionnement d’un cycle à soutirage


 
Principe : ∆ T = Tsource chaude − T fluide  diminue
 1424 3
chaudiere

A l'entre chaudiere 
{
Rendement augmente
D’où : augmenter T entrée chaudière par transfert interne de chaleur.
L’eau d’alimentation de la chaudière est presque à saturation
Transfert presque isotherme (comme dans Carnot)

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S

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Amélioration 3: Cycles à soutirage


Bilan d’énergie Dans les cycles de puissance à vapeur, le travail de la pompe peut être
négligé devant le travail de la turbine.

 Travail fourni par la turbine:

Wu = (1 + y ) (h5 − h6 ) + (h6 − h7 )
(1 + y ) kg
= (h5 − h7 ) + y (h5 − h6 )
y kg

1kg

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Amélioration 3: Cycles à soutirage


 Bilan d’énergie dans la surchauffeur :

(1 + y ) h3 = y h6 + h2 ≈ (1 + y ) h4

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Chaleur dépensée :

QC = (1 + y )(h5 − h4 ) = (1 + y ) h5 − (1 + y ) h 4

≅ (1 + y ) h5 − y h6 − h2 = y (h5 − h6 ) + (h5 − h2 )

49

Rendement thermique avec soutirage

15

17

ηth (avec soutirage) =


(h5 − h7 ) + y (h5 − h6 ) η th (sans soutirage ) = (h 5 − h 7 )
(h5 − h2 ) + y (h5 − h6 ) (h 5 − h 2 )

ηth ( avec soutirage ) > Wηth ( sans soutirage )


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