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BIDI

Partie 4
Mai 2018

Et bien Bidi est avec vous. Et il vous salue. Nous allons continuer à échanger, à témoigner, à vous
écouter. Et aussi, je rajouterai quelques compléments s’adaptant de manière extrêmement fine,
concernant la conscience. Mais tout d’abord, je vous écoute.

Alors c’est un témoignage d’une sœur absente :

« Nous sommes tous aux anges. Je voulais juste témoigner quelque chose vécu hier soir en
écoutant Bidi. Les yeux ouverts, tous ses mots se sont inscrits en lettres de lumière dans ma
chambre, en une écriture inconnue, comme sur un grand tableau transparent. Mille mercis à
Bidi ». Fin du témoignage.

Bidi : Je te remercie, mais ce qu’il t’est donné de voir, c’est-à-dire mes mots mis en forme, est la
stricte vérité. Je vous ai dit hier : Que mes mots étaient le Verbe. Le Verbe est l’essence de la
forme. Ainsi donc, par l’activation de vos potentiels nouveaux, vous êtes extrêmement
nombreux à me voir, à m’entendre, mais aussi à me sentir en vous. Ceci est une réalité. Il existe
en effet une capacité, par mon vécu quand j’étais incarné, d’aujourd’hui vous accompagner par
le verbe et le silence, à l’intérieur de vous. Ne me voyez pas non plus comme un Christ, mais
bien celui qui a parcouru l’alpha à l’oméga.

Mes paroles ne pouvaient pas échouer, je vous en apporte à chacun aujourd’hui la


démonstration formelle. Ainsi donc, ce témoignage correspond à la stricte vérité de votre
irruption au sein de l’éternité, au sein des mondes libres, quel qu’en soit l’aspect. Que cela soit
visuel, que cela soit dans l’évidence, sans aucune autre manifestation de ce grand vide, de cette
grande joie qui ne vient que de votre résurrection et de vous-même. Ou encore, par quelque
figure que ce soit, ayant parcouru ce monde, ayant œuvré à ce qui se passe aujourd’hui.

Le moment nommé collectif approche à grand pas. Et comme cela vous a été dit par l’acolyte ou
par moi-même : vous avez toutes les cartes en main, toutes les possibilités d’action.

Que cela soit depuis ce sac de viande, à travers l’ensemble des consciences qui vous constituent,
qui ont émergées au sein de votre éphémère et se manifeste dorénavant de façon de plus en
plus extensive et ce, quel que soit les processus vibratoires antérieurs.

Vous êtes de plus en plus nombreux à passer de l’ego à la vérité, sans passer par le Soi. Et vous
serez, chaque heure, de plus en plus nombreux, jusqu’au moment collectif. Votre présence

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entière et pleine, au travers de ce sac, même si vous n’en sortez pas, vous permet d’agir de la
même façon. La meilleure des actions étant le silence, l’accueil, se laisser traverser. Et œuvrer
dans le don, dans le don d’amour, depuis le rien ou depuis le tout, avec la même efficacité,
venant mettre fin à l’illusion, de manière formelle, de manière définitive et totale. Ainsi est la
liberté, éloignant de vous les souffrances, les blessures, les comportements, l’illusion d’être de
ce monde, l’illusion d’être ce corps, cette société.

La liberté ne fera plus jamais aucun compromis par rapport à la vérité. Et cette vérité est
commune à chacun.

Aujourd’hui il est temps de lâcher ce qui vous semble encore en train de tenir. Et de vivre cette
évidence, cette contagion de joie, de l’amour, de la vérité, de la lumière et de la sagesse. Vous
ne devez dépendre d’aucun être, ni même de nous, même si nous sommes là en vous. Allez à
l’essentiel, là où il y a le vide, si plein de cet amour que vous avez toujours cherché en ce monde,
sans jamais le trouver. Le processus de diffusion au travers des consciences nues, qu’elles soient
dépouillées de ce corps, ou au travers de ce corps, a été accompli à la perfection, amenant le
champ de cohérence nommé matrice christique, non seulement en présence, mais en activité
par vous-même, de vous-même, sur l’ensemble des consciences de la terre, sur l’ensemble de ce
système solaire, au-delà de toutes les dimensions, jusqu’à l’absolu.

Oubliez tout ce qui peut vous gêner dans votre tête, dans votre corps. Il n’est plus temps de
tergiverser. Il est temps d’être pleinement et entièrement ce que vous êtes, sans fuite, sans
conditions, sans culpabilité et sans souffrance. Vous allez être de plus en plus nombreux, en
attendant l’événement qui est à la porte, vivre non seulement votre résurrection, mais une
guérison totale. Je parle de la chair comme de la tête. Et cela, vous allez le voir de façon, là aussi
de plus en plus extensive, en vous comme autour de vous.

La lumière vous prend entièrement, c’est-à-dire que vous vous prenez vous-même en main et au
cœur, afin d’établir la vérité de l’amour, la vérité de votre présence, comme la vérité de votre
absence. Il ne vous reste plus qu’à être, qu’à vivre, sans être affecté par le moindre demain, la
moindre anticipation de peur, car vous le constatez chaque jour : plus l’événement s’approche à
grand pas, plus vous découvrez, de manière collective et individuelle, la vérité. C’est-à-dire que
vous êtes antérieurs à la conscience. Vous êtes l’amour en totalité, la totalité des mondes, la
totalité des possibles, la totalité des merveilleux. Rien n’échappe à ce que vous êtes. Vous sortez
du temps, vous remplissez l’espace de votre présence, de votre radiance, de votre évidence et
de votre éternité.

Acceptez cela, et cela va grandir à chaque minute. Cela va se manifester de façon de plus en plus
évidente, non plus seulement au cours des vagues actuelles, mais de manière de plus en plus
extensive, quel que soit le déroulé de la scène de théâtre, qui est simultané : plus vous êtes en
joie, plus l’illusion disparait ! Il ne peut en être autrement, et vous êtes dans ces moments-là,
qui participent ensemble, tous uni dans le même Un, dans le même Cœur, dans le même absolu,
mettant, de façon collective, avec l’aide du ciel et de la terre, l’illusion de ce monde, retrouvant

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sa gloire, retrouvant sa liberté, aussi bien pour la terre que pour le système solaire, que pour
l’ensemble des consciences, où qu’elles soient sur cette terre.

Il y a donc une notion, non plus seulement de joie et de silence, mais une forme d’allégresse
collective, qui contrastera d’autant plus avec les événements matériels se déroulant sur cette
scène finale. Vous n’en serez affecté en aucune manière. La peur est éradiquée, il ne reste plus
que l’amour ! Tout le reste passe. Et vous le voyez s’éloigner de plus en plus, avec de plus en
plus d’éclairage, non pas pour la personne, mais sur la reconnaissance de qui vous êtes.
Dorénavant, vu ce qui a été nommé les eucharisties : vous le savez, les grands archétypes de
l’humanité sont présents en vous et actifs en même temps sur ce monde, comme au ciel, tout
comme nous. Il n’y a aucune différence. Vous avez les mêmes pleins potentiels, la même
responsabilité d’amour, la même autonomie, même si vous êtes encore dans ce sac de viande.
Vous pouvez le mener, à partir d’aujourd’hui, de l’intérieur de ce sac.

Comme je l’ai dit : vous êtes reliés à la matrice christique par le chakra du Coeur et par le
nouveau chakra intégral du front, qui n’est pas le troisième œil, qui est la réunification des
douze étoiles qui avaient été séparées par l’enfermement, vous donnant donc ce plein potentiel
d’action concernant le nom même et la résonance et la fonction des étoiles, appliqué à la vérité
et non pas à ce monde. Car l’éclairage des étoiles, vos propres étoiles sur ce monde, entraine
une dissolution immédiate de l’illusion et certainement pas une compréhension de l’illusion,
mais une compréhension de la vérité par le vécu direct.

Vous ne pouvez pas vous tromper. Vous ne pouvez pas être trompés. Vous êtes dans cette
évidence. Si vous n’y êtes pas, vous allez y venir, sans rien faire. Parce que cela est présent de
partout, là où vous êtes. Et c’est cette présence permanente de la conscience libre, nue, que
cela soit à travers un corps ou hors de ce corps, qui est agissante. Et qui va focaliser la lumière
sur ce qui est vu. Et si ce qui est vu est éphémère, cela disparaît ! Certes parfois de façon un peu
bruyante, que cela soit en vous, que cela soit n’importe où à la surface de cette terre. Mais ce
bruit n’est rien par rapport à la profondeur du silence, par rapport à sa prééminence et par
rapport à tout brouhaha de votre personne, comme de ce monde. Vous n’êtes définitivement
plus de ce monde. Vous êtes encore sur ce monde, mais la vérité a éclaté. Et elle se propage.

Vous avez juste à disparaître, ou juste à être en joie. Cette joie particulière, dont nous vous
parlons depuis tant de temps, qui aujourd’hui est vécue de façon de plus en plus permanente,
au travers de ce sac. Le sentiment de liberté, malgré les contraintes sociétales, et de calendrier
de ceux qui s’opposent à la Lumière, est là en permanence, avec vous, en vous, autour de vous,
disponible pour n’importe quelle conscience sur cette terre. Fondamentalement, aujourd’hui, il
n’existe aucune différence entre celui qui se libère d’un coup d’un seul, sans aucune histoire
préalable, sans aucune vibration préalable, il est efficace de la même façon que le Christ.

Alors osez être vrai, osez montrer votre lumière. Osez agir par le silence et l’évidence, et ne vous
préoccupez de rien d’autre. La résurrection accompagne dorénavant votre libération effective,
l’ascension effective de la terre, au niveau individuel, et de plus en plus collectif. L’événement,

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bien sûr, syntonisera l’ensemble des consciences de la terre sur la vérité éternelle. Quoi qu’il
advienne, vous n’avez à vous préoccuper de rien. Si ce n’est accueillir quelque élément qui se
présente, car même si celui-ci vous semble opposé, dans un premier temps à la lumière, il ne
fait que concourir à l’installation permanente de votre liberté, et à l’événement.

Je vous avais parlé depuis trois mois de ce système de balance entre l’éphémère et l’éternité.
Aujourd’hui, cette éternité, comme vous le constatez, prends tout la place. Et au fur et à mesure
que cette place est occupée, tout ce qui appartient à l’ancien, à l’histoire, à la prédation, au
contrôle, à l’enfermement, seront définitivement dissous dans les heures et les jours qui
viennent. Il ne s’agit en rien de prédiction, de prophétie ou d’annonce, mais de la réalité qui se
vit d’ores et déjà.

Autre Témoignage ?

C’est un témoignage en deux parties, d’une sœur présente : « Bonjour Bidi. Je me suis fracturée
hier les deux malléoles de la cheville gauche. En attendant les frères et sœurs, je me suis mise
dans le Cœur et la cheville, aussi. Je n’ai pas trop souffert. Ensuite, Jean-Luc et les frères et
sœurs sont venus m’aider avec le Cœur. Ils m’ont soulagée. La radio a montré une fracture
déplacée malléole externe et fracture malléole interne. Je reste toujours dans le Cœur. Le
chirurgien me conseille de partir à Barcelone pour me faire opérer. Je lui dis : non, tout va bien.
Et lui répond : ça arrive rarement. Après le plâtre et la radio de contrôle, la fracture est réduite.
Je suis restée dans le Cœur et la cheville, et j’ai eu l’aide des frères et sœurs et de Jean-Luc. Je
les remercie du fond du cœur, ça me permet de continuer les vacances. J’ai évité l’opération.
Merci à la Lumière, merci à vous tous. Vous voyez, ça fonctionne !

Fin de la première partie.

Bidi : Alors, ça fonctionnera totalement, au-delà de l’aide des frères et des sœurs, au-delà de la
réduction de ta fracture. N’oublie pas que, très vite, tu as aussi la possibilité d’agir par miracle
en toi-même. Ce qui devait être évacué, s’est certes évacué très violemment, mais comme tu le
dis si bien : la joie demeure ! Mais comme je l’ai toujours dit, même si c’est une libération par un
événement de cette nature, il est quand même de votre devoir de vous en occuper sur tous les
plans : sur le plan de la matière, sur le plan de l’énergie et bien sûr aussi, comme tu l’as fait, par
ton cœur. Mais très vite, l’action de ton cœur, c’est-à-dire la réabsorption de telle fracture dans
ton cœur, pourra amener avec évidence et contrôle, le miracle. Mais toutefois, si le miracle n’a
pas lieu, il convient de s’en occuper avec les moyens anciens. Ces moyens anciens, si je peux
dire, qu’ils soient chirurgicaux ou autres, se passeront de toute façon beaucoup mieux que dans
tous les autres cas, parce que tu es demeurée en joie.

Mais je conçois tout à fait que dans ce cas-là, il est peut-être plus souhaitable d’éviter ce que tu
nommes chirurgie. Mais il n’y a que l’examen, ton vécu, qui te le confirmera. Mais en tout cas,
tu démontres par là-même que quelle que soit la douleur, quel que soit l’événement, la joie
demeure ! Et c’est bien là l’essentiel. C’est bien là la seule chose importante. Ainsi tu témoignes
que quelle que soit l’atteinte de ton intégrité, ici : physique, la joie n’est pas partie. Et à partir du

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moment où tu demeures en joie, en la vérité de ton cœur, quel que soit l’événement,
concernant ton corps, ton pays, ton quartier ou le monde entier, ne changera absolument rien.
La joie demeurera. Là est la vérité. Je te remercie.

Et bien Bidi écoute.

Seconde partie de ce témoignage : « Cette nuit, je me suis mise dans le Cœur, et j’ai fait des
aller-retours Cœur-cheville, cheville-Cœur et tout d’un coup, je ne savais plus très bien où
j’étais, entre la cheville et le Cœur. Je me suis dit : je suis perdue. Et je me suis dit : mais enfin,
Bidi, je vous attends, où êtes-vous ? Très peu de temps après, j’ai eu des chatouillis sous le pied
droit, et il a été secoué. J’ai compris que c’était vous, Bidi, et j’étais remplie de joie. Je riais et je
pleurais de joie. Merci Bidi. » Fin du témoignage.

Bidi : Je te remercie. Et par là-même, tu démontres que, malgré la fracture, tu as été capable de
connecter ton essence, ton cœur. Et à ce moment-là, tu ne peux que constater que je suis déjà
là ! En effet, je suis toi, comme tu es moi. Et je le démontre à chaque fois que je rentre en
contact avec vous. Que cela soit ici par le verbe, que cela soit chez vous, dans votre cœur, lors
des travaux réalisés par la Lumière, en ce moment. Tu en es donc la preuve vivante. Alors, ne
vous fixez pas non plus sur ma forme, mais rappelez-vous que je suis toi ! C’est-à-dire qu’à ce
moment-là, il y a encore une petite distance entre ce que tu considères être toi et moi. Mais toi
et moi, dès que tu le conscientises, nous sommes Un. Donc, surtout : que ce soit le Christ, Marie,
Mikaël, l’acolyte ou toute autre figure, n’a aucune espèce d’importance. Parce que notre
spécificité commune est l’amour et la vérité. Tout le reste ne sont que des attributions, des
attributs, des décors, qui passeront eux aussi. Allez à l’essence de la Joie, au-delà de la forme,
même si vous me reconnaissez en vous, ou dans mon approche de vous.

Que cela soit le Christ, Marie, Mikaël et tant d’autres. Ils ne sont que vous !

Alors là aussi, vivez ce qui est à vivre. Avec moi, avec qui vous voulez, avec une autre âme, mais
n’oubliez jamais l’essentiel : Tout est Un. Il n’y a qu’une conscience, fragmentée en ce monde. Il
n’y a qu’une conscience en toute dimension, s’exprimant par le jeu de la forme et le jeu de
l’espace. C’est bien plus que ce qui pourriez nommer, sur cette terre, une forme de fraternité.
Mais une fraternité céleste, qui ne connaît aucun lien à ce monde, et aucune attraction à ce
monde, à l’illusion. Mais je te remercie encore une fois, ton témoignage est éloquent.

Qui veut parler ?

Témoignage écrit d’une sœur présente : « cet après-midi, en alignement, est apparu au cœur du
cœur ce qu’on pourrait nommer une soucoupe volante qui s’est mise à tourner de plus en plus
vite à l’horizontale, jusqu’à des vitesses vertigineuses. Puis une soucoupe similaire est apparue
au troisième œil, toujours à l’horizontale, et qui tournait à la même vitesse. Plus tard, au centre
de la poitrine, est apparue une lumière blanche, qui venait de l’intérieur et se diffusait à
l’extérieur. Cette lumière a pris de plus en plus de place, jusqu’à occuper toute la cage
thoracique. Même si le reste du corps était toujours présent, je n’étais plus que cette lumière

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très intense, vive et douce, qui occupait tout l’espace. Un peu plus tard, me promenant près du
ruisseau, quelque chose m’a arrêté. La tête tournait un peu, j’ai fermé les yeux. Mon corps était
présent et vide, et je n’étais plus que la forêt, l’eau qui coulait, et les oiseaux. » Fin du
témoignage.

Bidi : Et fin des problèmes. Quels qu’ils soient. La conscience s’est vue elle-même. Elle n’est plus
limitée à la personne, au sac de viande, aux concepts ou tout ce que vous connaissez en ce
monde. Vous êtes aussi bien l’ensemble de la forêt, animés de la même vie. Vous êtes l’éclat du
soleil, la fourmi qui se déplace, comme l’eau qui coule. Beaucoup de frères et de sœurs, de
toutes traditions, surtout au vingtième siècle, vous ont laissé ce genre de témoignage. Vous
passez d’un état enfermé, à la vérité de la vie. Instantanément. Le plus important est ce
mécanisme de la conscience. Bien évidemment, vous vous abandonnez tout au long de ces
années nombre d’éléments pour vous repérer. Mais comme tu l’as vécu, dès l’instant où tu vis
cela, tous les repères antérieurs sont balayés. Tu n’en n’as plus besoin.

La conscience est nue, même si elle ne sort pas de ce corps, elle est toutefois présente au
travers de ce corps. Ainsi ce témoignage, comme les précédents, nous montre clairement que le
processus qui est en cours est à nul autre pareil. Ça n’a jamais existé sur terre ! Quel que soit le
pays. Regardez dans mon pays, l’Advaïta védanta. Depuis des siècles, la non-dualité n’a jamais
été prépondérante, avec tous ces dieux de partout, de pacotille. Comment voulez-vous que
l’Advaita védanta puisse se vivre ? Or, aujourd’hui, vous le vivez indéniablement, quel que soit
votre préalable et quels que soient vos antécédents.

Que vous faut-il de plus pour ceux qui dorment dans leur coin ? Je ne parle pas d’ici, mais de
tous ceux qui m’écoutent et qui vivent les vibrations. Ou qui vivent cette joie. Il n’y a plus à
hésiter. Il n’y a plus à s’interroger. Il n’y a plus à se croire coupable. Il n’y a rien à attendre, rien à
projeter, rien à demander, rien à prier. C’est là, en vous ! Même si vous ne sentez rien, même si
vous n’avez encore rien vécu, ou même si vous êtes en souffrance. Bientôt, en ce moment, et
dès demain, cela ne fera plus aucune différence. Et vous allez le voir avec une intensité et une
propagation, qui, elle non plus, n’a jamais existé sur la terre. Il y a, par l’accès à cette conscience
nue, une forme d’instantanéité, ou de raccourci du temps, qui vous montre que vous avez
échappé au temps !

Si vous étiez capables, et ça vient, de vous déplacer en ultra-temporalité, vous constaterez que
vous pourrez agir sur votre corps, sur un moment qui est déjà passé, ou qui n’est pas encore
arrivé. Vous êtes donc, individuellement, votre propre maître du temps et de l’espace. Et le
temps intérieur ne présente aucune superposition ou comparaison possible avec le temps de ce
monde, vous le voyez bien ! A travers les multiples états vécus, progression de la résurrection et
de la libération.

Que voulez-vous faire d’autre ? Il est temps de jeter par-dessus la tête toutes vos connaissances,
tous vos a priori, toutes vos réticences et toutes vos interrogations. Il n’y a que l’évidence.
Comment voulez-vous la vivre si vous cherchez ce qui n’est pas évident ? Vous ne pouvez rien

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chercher ! C’est la Lumière dorénavant qui vous cherche de partout. Et c’est ce que vous êtes.
Donc, regardez l’absurdité de la personne qui se débat, et qui croît ne pas y être arrivé, ne rien
vivre. Bien sûr, que le fait d’assister, d’entendre, d’écouter, de lire tous ces témoignages ne peut
que vous faire baver ! C’est fait pour ça. Quand vous aurez suffisamment bavé, vous le vivrez !

Et là aussi, vous n’aurez plus jamais soif. Il n’y a personne de supérieur à quiconque en ce
monde, ni le Christ, ni moi, ni vous ! A ce moment-là, acceptez cela. Il n’y a rien au-dessus de
vous, il n’y a rien au-dessous, devant. A ce moment-là, l’humilité, la sagesse s’emparera de vous
et vous serez totalement mûrs pour être cueillis par la Lumière. Mais ne vous débattez pas, ne
faites pas travailler votre intellect, vos concepts. Oubliez-vous ! Profitez et abusez des
différentes effusions, des différentes fusions, des différents foudroiements, des différentes
eucharisties.

Tout le travail collectif qui est réalisé, bien sûr, par tous les frères et sœurs éveillés et libérés de
la terre, au même moment : vous avez une puissance à nulle autre pareille, que même le Christ
n’a jamais eu sur cette terre, ni aucun de nous, même au sein de l’absolu ! Parce qu’il n’y avait
pas de lien formel collectif entre l’absolu, le rien et l’instant. Ayant mis fin au temps et à
l’anomalie primaire, vous n’êtes plus assujettis à quoi que ce soit. C’est cela qu’il vous faut
réaliser ! Et surtout pas d’une douleur, et surtout pas de votre tête, et surtout pas de ce
monde ! Ne vous laissez plus abuser, ne vous laissez plus emmener vers des histoires, vers des
scénarios spirituels, vers des êtres à adorer, à vénérer : vous êtes tout cela !

Acquissez aux images, même quand je viens. Echangeons, il m’arrive d’ailleurs de parler en vous.
Certains d’entre vous m’entendent clairement. Et c’est notre contact, au-delà de ce que je peux
dire, rire ou sourire, qui réalise votre résurrection. Il faut un ustensile : je suis donc votre
ustensile. C’est ce qu’est le Christ, c’est ce qu’est Marie. Ils sont en vous déjà. Donc il ne sert à
rien de l’idéaliser, de vénérer : il faut l’être spontanément, naturellement !

Tant que vous êtes dans l’adoration, vous ne pouvez pas être vrai. Vous projetez. Quand vous
accueillez, vous incorporez, et vous devenez cela. Vous êtes des dizaines de milliers de Bidi sur la
terre, bon, même si vous n’avez pas la même voix. Mais ça va venir (rires). Vous êtes tout autant
de Christ, de Marie, de Mikaël, de Métatron, de ce que vous voulez ! Ce qui est important, c’est
pas la forme, ou la projection, ou l’identification, bien que vous ne soyez plus, en général, sujets
à cela : à l’identification. Mais c’est cette présence qui est rayonnante, et qui vous démontre à
vous-même que vous êtes en résurrection.

Croyez-vous qu’en 2012 ou quand j’étais incarné, mes mots ont été efficaces ? Croyez-vous qu’il
y a eu beaucoup d’êtres qui vivaient la libération, de mon temps ? Alors que, dès que l’un
d’entre vous rentre en contact avec mon verbe, il est réveillé. Parce que je suis beaucoup plus
présent, indépendamment de l’acolyte, que le Christ, même s’il est présent totalement en vous.
J’ai été le premier à fermer le livre. Et comme l’acolyte vous la dit, il est réellement venu le
brûler, comme vous brûlez tout ce que vous voyez, quand vous êtes en conscience nue, hors de

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ce corps et que vous bénissez par votre voyage, en survolant quelque élément de ce monde, où
se réalise alors une dissolution, certes parfois éclatante, de l’éphémère qui laisse à nu la vérité.

Le processus, que vous attendiez ou que vous redoutiez, n’a plus aucune importance s’il se
produit maintenant. Mais vous voyez bien que dès que vous êtes libres et en joie, plus rien de ce
monde ne peut vous emmener trop loin ! Vous revenez très vite au centre, parce que la joie est
telle ici, que tout le reste ne vous intéresse pas. Et c’est logique ! C’est totalement naturel.
Encore une fois, oubliez les scrupules, oubliez les limites, oubliez que vous étiez une personne,
car vous constatez que vous n’êtes rien de ce que vous avez cru, à la surface de ce monde, dans
cette vie ou dans toutes les vies que vous y avez passé.

Pour ceux, innombrables, qui le vivent, vous le savez parfaitement ! Vous y avez acquiescé,
parce que vous l'avez vu. Vous le vivez ! Et même celui qui n'en vit rien aujourd'hui est tout à fait
susceptible, dans l'instant, de vivre sa liberté, cette conscience nue. Mais il faut déjà vous
tourner vers l'inconnu. Il faut déjà vous placer dans une posture d’accueil et non de projection
de fantasmes, d’histoires, ou d’expériences passées. Laissez vivre l’éternité dans l’instant
présent ! Laissez vivre la vérité, qui met fin à tout mensonge en vous, comme sur ce monde.

C’est ainsi que naît l’amour. C’est ainsi que vous vous retrouvez. En totalité. Non pas à travers le
cinéma des vies passées. Non pas à travers le cinéma de quelque chose à améliorer ou d'une
évolution quelconque, puisque ce qui se déroule en ce moment est la preuve formelle que vous
passez de l’ego au tout et rien en une minute ! Est-ce qu'il y a un préalable à ça ? Est-ce que
votre karma va vous embêter ? Est-ce que votre douleur va vous empêcher de le vivre ? Est-ce
que les conventions sociales, ou l’accord familial est plus important que la vérité ? Réfléchissez !
Que voulez-vous vous ? Qui êtes-vous ?

Vous voulez l’amour ? Ou vous voulez tout le reste de ce monde ? Et le reste de ce monde n’est
pas beau. Alors que dans l’amour, tout est beau ! Votre regard change, il est lavé des impuretés.
Vous ne voyez plus l’illusion, vous voyez la vérité. Comme nous l’a dit une sœur tout à l’heure,
où elle est devenue Tout, tout en demeurant dans cette personne, mais, bien sûr, le
conditionnement de votre mental, et surtout au niveau spirituel, dans vos adhésions à tout ce
qui est farfelu et non vécu, est un obstacle aujourd’hui.

Heureux les simples d’esprit, car ceux qui n’attendaient rien, qui ne vivaient rien sont libérés :
de l’histoire, de leurs personnes, comme de ce monde, dorénavant. Quand vous sortez en
conscience nue, ou quand la conscience nue est de plus en plus présente, indépendamment de
vos états intérieurs, que voulez-vous qu’il reste à faire, ou à accomplir ? La Lumière et la grâce
s’installent toutes seules. Elle est, je vous l’ai dit, en surabondance.

Qui prend la parole ?

C’est un témoignage en direct : « Ça fait à peu près une demi-heure que j’ai le cœur qui bat très
fort dans la poitrine, comme si j’avais couru un 100 mètres. C’est pas très confortable, mais ça
ne m’empêche pas de rester dans la joie. C’est juste un témoignage. »

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Bidi : ce que tu dis, je t’en remercie. Mais effectivement, quand le cœur-organe ascensionne,
comme c’est le cas ; votre corps physique, pas encore. Mais le cœur s’élève à l’intérieur de vous-
même. Je parle du cœur-organe, c’est-à-dire que le chakra du cœur qui est lié, ne naît plus
depuis le chakra du cœur, depuis le cœur du cœur, mais depuis la porte ER et au milieu des
deux, prenant toute la poitrine. Alors bien sûr, il y a parfois lors des injonctions, des
foudroiements d’aujourd’hui, un décrochage par le rythme du cœur. Il suffit simplement de
respirer, et le battement du cœur va se synchroniser, non plus sur cette tachycardie, mais sur
ton inspire et expire. Et c’est fini, tu es libre !

C’est les petits inconvénients, au niveau de la poitrine, de ce que j’ai nommé ascension du cœur,
qui est un déplacement, réel et concret, de l’emplacement du cœur, qui je vous le rappelle,
présente une anatomie déviée vers la gauche, qui se redresse et remonte. Donc, bien
évidemment, ça tire un peu sur la matière organique. Et le premier trouble à apparaître est soit
une extrasystole, soit une tachycardie. Parfois aussi, hélas, des troubles tensionnels.

Mais cela ne dure pas. Dès l’instant où le rythme de la respiration prend le pas sur le battement
cardiaque, alors la vague apparaît, le cœur ascensionnel devient sensible, le tétraki-hexaèdre
entre en manifestation. Et il existe, au-devant de votre poitrine, le triangle de la nouvelle
Eucharistie. Il existe, en plus, l’émanation, dans le cadre précis constitué entre les portes
Attraction, Vision, AL et Unité, une forme rectangulaire où s’expriment les pleins potentiels de
votre éternité, depuis le cœur. Et bien sûr, l’alchimie qui est en cours ne concerne pas
uniquement la lumière, mais touche en priorité, en même temps, le fonctionnement
physiologique de la région.

C’est la même chose lors des mécanismes de syntonie planétaire ou individuels, où l’ultime
structure vibrale inscrite dans le petit bassin, entre le sacrum et le pubis devant, s’ajustent et
peuvent effectivement, vous le savez, pour certains, pour l’avoir vécu, des formes de douleur
sur portes, locales. Mais le cœur, la qualité et la quantité de l’amour vrai, en vous, autour de
vous et de partout, ne permet plus de laisser cohabiter la joie de la liberté et la douleur. C’est
plutôt une très bonne nouvelle. Ce qui veut dire qu’à très brève échéance, voir instantanément,
le processus du soin planétaire qui va se reproduire dorénavant de plus en plus fréquemment,
qui vous sera annoncé ou pas, va œuvrer !

Attendez votre moment. Pour l’instant, vous ne savez pas pourquoi, même si les raisons en ont
été données, de manière fort juste, par mon acolyte. Mais il vous a peut-être dit que je
l’engueule souvent, parce qu’il ne sert à rien d’aller décoder des âmes qui sont en train de
disparaître, ni d’apporter du baume à la personne. Alors, maintenant que la vérification est
faite, que l’action est immédiate, il n’y a pas besoin de décrire quoique ce soit. Et de raconter
des histoires vraies qui, de toute façon, vont s’effacer. Restez au cœur du cœur, permutez de
conscience, et l’amour sera là !

Ne vous encombrez plus de quoi que ce soit d’autre, car là vous rentrerez dans l’instantanéité
du miracle. Mais ce ne sera pas un miracle, parce que ce sera une action répandue et commune.

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Et vous pouvez le faire chacun de vous. Et je le fais aussi chez certains de vous, quand je viens.
Par exemple, pour la sœur qui nous a donné son premier témoignage, en deux parties : bien sûr
que je suis venu, et à chaque fois au-delà de ma présence, s’il y a possibilité de réparation, elle
se fait intégralement, instantanément ou en l’espace de quelques jours. Et ça, vous pouvez le
vérifier, c’est réel, au sein de cet irréel. C’est concret !

Tu peux me dire dans combien de temps est le foudroiement ? Très bien, alors nous
poursuivons, tranquillement.

Une autre sœur voulait vous remercier.

Bidi : Mais je te remercie aussi. Et comme on est l’un l’autre identique, on s’auto-félicite !
(Rires). Mais dans l’amour, c’est très bien, c’est une preuve d’amour de soi-même. De la vérité
de la lumière. Au-delà du Soi. Quand je dis du Soi, n’allez pas imaginer que c’est le miroitement
de l’orgueil du Soi. Vous n’êtes plus dans ces jeux puérils. Même si certains d’entre vous veulent
continuer à y jouer. Cela, le commandeur vous l’avait dit : ils ont des emplois tout trouvés !

Témoignage d’une sœur présente : « En écoutant le témoignage très prudent de notre frère,
mon cœur s’est mis à s’emballer. L’emballement continue depuis ce temps et j’ai la sensation
d’aller à un rendez-vous amoureux.

Témoignage d’une sœur présente : « En écoutant le témoignage très prudent de notre frère,
mon cœur s’est mis à s’emballer. L’emballement continue depuis ce temps et j’ai la sensation
d’aller à un rendez-vous amoureux (Bidi : On va vous laisser entre vous, hein ? rires) et j’ai un
grand sourire intérieur avec une grande jubilation ».

Bidi : tu as la démonstration parfaite que lui et toi, c’est le même ! Tu t’es connecté à lui
spontanément, sans le chercher, et tu vis la même chose. C’est pas une raison pour en faire un
couple, hein ? (rires) ça se passe dans le cœur, mais c’est la réalité et c’est vécu. Et si l’un
respire, l’autre respirera. Il y en a peut-être d’autres, d’ailleurs hein ? Parce que le verbe que
j’émets prend chaque jour plus d’intensité. Pas parce que je parle plus fort, mais parce que ça
vous pénètre instantanément ! Vous n’avez plus de barrière. Alors on fait silence deux minutes,
car ça sert à rien de palpiter maintenant.

Ça palpite toujours ? « Ça s’est arrêté » Bidi : comment ? « Notre frère dit : pour lui, ça s’est
arrêté. Pour notre sœur, ça s’est calmé aussi ». Bidi : Merci, on peut continuer. C’est pas la peine
d’appeler les urgences ! (Rires).

Témoignage : « Il y a quelques minutes, un de nos frères ici présent s’est présenté sur ma
gauche, avec sa voix claire et forte, m’a appelé par mon prénom. Ça m’a fait sursauter, ça m’a
fait penser à l’appel de Marie. »

Bidi : En tout cas, même s’il y a une analogie parce que vous vous appelez les uns les autres, on
n’est jamais mieux servi que par soi-même. Donc ce que tu dis est similaire. Ça illustre
parfaitement, pour les consciences aujourd’hui, la possibilité de venir, tout en ayant un corps,

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tel un être de lumière, te parler dans ton canal marial. Mais c’est un être de lumière,
simplement il a encore un sac de viande quelque part dans cette pièce. Mais l’effet est le même.
Et dans les échanges, quand vous accueillez la conscience de l’autre en totalité dans ce sac de
viande, vous le guérissez et vous vous guérissez !

Alors n'hésitez pas : communier entre vous ! Mais pas seulement : accueillez-vous les uns les
autres ! Parce que c'est dans cet accueil tel que tu le vis là, que la vérité se fait jour totalement
en toi, comme pour celui qui a laissé son corps de lumière ou d’éternité arriver jusqu’à toi. Bon
d'accord, il n’a pas une grande distance à faire dans cette pièce. Mais c’est pas une question de
distance. C’est uniquement une question de temps. Plus vous vous rapprochez de l’instant
présent, ici et maintenant, c’est-à-dire du temps zéro, plus vous êtes, non pas alignés, mais plus
vous êtes vrai.

Et plus vous êtes libres. Et plus vous avez la possibilité de vivre ce genre de choses. Et même de
prendre pour vous toutes les consciences de la planète. Puisque vous êtes dans la matrice
christique. Puisque l’anomalie primaire a été ôtée, dissoute. Il n’y a pas d’autres obstacles que
les a priori, parce que ça n’a jamais existé. Excepté pour certains très grands mystiques. Et
encore, quand je les rencontrais, je disais : laissez passer ça ! Allez derrière ça, il y a plus : il y a la
vérité et elle est nue. Elle n’a pas besoin de conscience. Mais là, c’est déjà une étape majeure
qui vient vous conforter dans l’évidence, et qui vient la renforcer, la stabiliser, l’amplifier et la
rendre permanente !

Qui veut s’exprimer ?

Une sœur : « J’ai vécu tous les symptômes du cœur, dont il a parlé avant, avec les palpitations, la
respiration. Tous ces passages par des vagues, qui me prenaient pratiquement toutes les nuits,
et je passais des heures avec cette respiration, qui m’inquiétait. Et la tension également : j’ai dû
reprendre des cachets pour la tension. J’ai une paix maintenant, effectivement, je me sens en
paix, différente. Mais, pourtant, il y a quelque chose en moi, déjà vu de mes frères et sœurs : ils
m’exaspèrent encore quand ils sont encore là, à me demander toujours sur la même chose.
C’est-à-dire qu’ils ne voient pas la lumière, Ils ne voient pas qu’ils sont tout ça, et je ne sais pas
comment m’exprimer, et ça me met de mauvaise humeur. Et je leur réponds d’une mauvaise
façon. Je ne me vois pas dans l’amour, en fait. »

Bidi : Mais il suffit simplement de les accueillir dans ton cœur, en silence. Et ils seront libérés. Il
faut oser le faire ! Il faut oser l’être ! L’autre est toi. Cela veut dire, comme disait le
commandeur : « c’est celui qui dit qui est ». Ça veut dire que l’autre en face de toi, n’a pas été
accueilli en totalité, pas par le mental, ou la relation sociale ou professionnelle, Mais au-delà de
tout ça. S’il t’énerve, tues-le ! Fais-le rentrer en toi ! Pourquoi as-tu peur ? Tout est déjà en toi.
Si tu l’accueille en toi, il est libéré. Ce n’est pas une plaisanterie. C’est la stricte vérité. Et ça va
devenir de plus en plus comme ça.

Regarde le témoignage du frère, juste avant, qui se balade. Nous avons un autre frère qui rentre
dans son canal marial en m’écoutant. Je ne vais pas dire que vous êtes dissipés, mais je dirais

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même que vous devriez être tous lucides de ce qui se produit, même ici entre vous. Donc, c’est
une posture qui est vue. Il te reste juste à penser, simplement, à l’accueillir. Pas dans ce qu’il dit,
ça t’énerve ! Alors, dis-lui de se taire, si tu veux, ou laisses-le parler dans le vide. Et mets-le en
toi. Quand je dis « mets-le en toi », je parle pas de couple, hein ? Je parle du cœur… (rires).

La sœur : « je vais essayer ».

Bidi : mais c’est pas essayer ! Ça peut être fait tout de suite ! Sans délai ! Commence par un
frère, par un arbre, par un poisson rouge, si t’as peur (rires)… Et puis après, tu verras tu peux en
prendre deux, cinq, dix, cinquante, mille en même temps. Mettez-vous au travail, vous êtes des
milliards ! Vous savez, l’événement ne va pas attendre, au-delà d’un certain seuil !

Puisque, plus vous êtes libérés, plus vous êtes en conscience nue, à travers ce corps ou ailleurs,
plus vous agissez par votre présence, même sans rien vouloir.

Donc, dépêches-toi d’en prendre le maximum dans ton cœur. Et ne pose plus de questions. Que
veux-tu qu’il t’arrive ? De te sentir possédée ? Oui, possédée par la vie, par la vérité ! L’autre
n’est rien d’autre que toi. Et il est temps de vous le démontrer à vous-même. Il suffit d’une fois.
Je ne parle pas de projection ici, ou de syntonie. Je parle uniquement d’échange de cœur,
d’échange de conscience, afin de réaliser que, dans un sac, il y a toutes les consciences,
réellement et concrètement. Simplement, maintenant, ce n’est ni un concept, ni une croyance,
ni un vécu exceptionnel. C’est un vécu quotidien. Dès que vous l’avez vécu, vous n’arrêterez
plus. Vous arrêterez plus d’accueillir, sans même connaître, tout ce qui se présente. Ne mettez
pas de barrière ! Et ne me dis pas : « je vais essayer ». Il n’y a rien à essayer, c’est sûr !

La sœur : « Je vais le faire ».

Bidi : Fais-le tout de suite ! On n’en parle plus ! Celui qui se promène, là : il veut pas aller voir le
canal marial là-bas ? (rires). Il y a une fusion d’amour qui attend. Soyez léger, voyagez léger, et
tout sera parfait ! Vous pouvez le faire en quelques heures, Je ne plaisante pas ! Etablir la
totalité de la vérité, pourquoi est-ce que ça dépendrait seulement des guignols qui suivent des
calendriers ? Vous êtes hors du temps ! Vous n’avez rien à attendre pour le faire ! Nous vous
encourageons chaque jour.

Chaque jour, il vous est démontré, par les différentes fusions, par les différentes effusions, que
c’est la vérité ! Ne gardez pas la vérité cachée, c’est la vraie lumière maintenant ! Et si la
personne t’énerve avec ses questions, dis-lui quand même que tu vas l’accueillir dans ton cœur.
Et raccroche ! Au moins, il est informé. Même s’il ne donne pas son accord, vous n’avez plus
besoin d’avoir un accord, quel qu’il soit, puisque vous êtes hors du temps. Vous ne demandez
rien, vous réalisez l’amour !

Il n’y a pas de meilleure façon de réaliser l’amour que d’être tout et rien. Et pour être rien, il
suffit d’accueillir une autre conscience, puisque tu lui laisses la place. Donc tu te démontres bien
par là-même que t’es rien ! Tu ne risques rien ! Vous n’êtes plus dans des histoires de diable, de

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possession ou d’entités. Ça, c’est être malade de la tête, aujourd’hui, que de penser ça ! Dans le
cœur, il n’y a pas de place pour ce genre de choses. Arrêtez vos sornettes ! Arrêtez de vous faire
peur tout seul !

C’est exactement cela qui se passe : quand vous dites que vous avez une entité à côté de vous,
mais elle est à vous ! Il n’y a pas une cause extérieure. Ça ne sert à rien de chercher la cause.
Mettez-vous dans le cœur, il n’y a plus de place pour autre chose que l’amour. Et même cette
entité, vous pouvez la réabsorber ! Vous êtes amour, vous ne risquez strictement rien ! A part
les petites palpitations qui sont liées à l’ascension et au déplacement du cœur physique. Qu’est-
ce que vous voulez qui vous arrive, quand vous êtes vrai, quand vous êtes dans cet amour ?
Qu’est-ce qui est plus important que ça ? Rien !

Il n’y a rien qui tienne devant l’amour, concernant ce monde : votre vie, votre maison, votre
argent, votre mari, vos acquis, vos connaissances, vos expériences. Tout ça, c’est un fatras
maintenant, que vous avez construit ! Il est temps de jeter tout ça ! L’amour ne s’encombre pas
d’autre chose, la magie de l’amour est simple. Elle n’est pas un rituel, elle n’est pas une
connaissance, elle n’est même pas une énergie et une vibration ! L’amour nu vient de la a-
conscience ! Antérieurement à la lumière.

En allant plus loin, en vivant le cœur, vos allez conscientiser que vous n’êtes, bien sûr, ni cette
personne, ni cette histoire, ni ce monde, ni même vos lignées stellaires, ni même votre origine
stellaire, c’est fini tout ça ! Oubliez-les ! Faites le deuil de tout ça ! Soyez pur et nu, et votre
mémoire éternelle revient. Elle viendra après le sacrifice, pas avant ! Le commandeur disait qu’il
fallait lâcher les cacahuètes, moi je vous dis qu’il faut ouvrir les bras pour être crucifié ! Pour
accueillir l’autre, pour accueillir tous les autres. Rien de la personne, rien de l’histoire ne vous
est utile. C’est même des poids. Et le jour où ça arrivera, si ce n’est pas arrivé, vous ne pourrez
que rire ! Toutes les larmes que vous avez encore en vous seront transmutées par le rire !

Sans objet, lui aussi, sans raison : c’est le rire de la vie ! Celui de l’amour retrouvé, qui croyait
avoir été perdu. En l’amour, vous ne perdez rien, c’est les concepts que vous perdez. C’est les
idées, l’idée d’être une personne, d’avoir une maison, d’avoir une famille, d’avoir des enfants.
Vous n’avez à quitter personne ! Sauf votre personne. Et vous ne la quittez pas en la fuyant !
Dorénavant, vous la quittez en la transmutez à l’intérieur de vous. Donc, osez ! Osez accueillir
tout ce qui se présente. Afin de démontrer, pour vous-même, pour chacun de vous, la réalité de
l’amour, la réalité de la lumière, son pouvoir, sa magnificence et son évidence. Vous ne pouvez
pas la garder pour vous !

Y’en a encore qui palpitent ? « Oui ».

Bidi : Combien ? « Une qui palpite en tout cas, et qui chauffe ». Bidi : Tant que ça sent pas le
brûlé (rires)… Mais à priori, ça devrait plutôt sentir la rose, mystique.

Réponse : « bien sûr ».

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Bidi : Qui veut parler ?

Une sœur : « Cet après-midi, pendant une effusion, j’ai eu une vision : j’ai vu un fauteuil marron,
massif qui se trouve réellement dans ce lieu, mais pas dans cette pièce. Et dans l’angle droit de
ce fauteuil était blottie une de nos sœurs, mais elle était toute petite. Est-ce que ça a une
signification ?

Bidi : ça a une signification pour toi ! Mais à partir du moment où tu vois des objets physiques,
tu es peut-être en conscience d’éternité ou en conscience nue, mais peux-tu me dire ce que t’a
apporté cette vision ?

Réponse : « rien ».

Bidi : Rien. Voila.

Tu as ta réponse. Je vous ai dit : traversez les visions, mais ne vous y arrêtez pas ! Si vous vous y
arrêtez avec ce genre de questions, ça veut dire que vous ne l’avez pas traversé, parce que vous
êtes en train de demander ce que c’est. C’est rien ! Et d’ailleurs, tu le confirmes : t’as rien vécu.
A cette occasion. Je n’ai pas dit que tu n’as rien vécu à d’autres moments. Quand vous traversez,
vous traversez ! Que ce soit physique, que ce soit une conscience, que ce soit le monde.
L’éclairage vient de votre présence, et si l’éclairage se fait, il ne peut subsister au retour aucun
besoin de sens ou d’explication. Sinon, cette vision, elle sert à rien !

Les visions dont je vous parle quand j’arrive, c’est pas une vision, c’est la vérité de ce qui se
produit. Est-ce que ce fauteuil ou cette sœur rabougrie a changé quelque chose à ton cœur ? La
réponse, elle est là ! La sœur : « J’étais surprise, je ne savais pas quoi en faire ». Bidi : Je ne parle
pas de surprise, je parle de l’effet sur le cœur. Elle : « Rien ». Bidi : toute expérience et toute
vision qui ne se traduit pas par une augmentation de la paix, de la joie et du vécu, est stérile !
Elle ne fait que vous encombrer. Ceux qui se promènent en conscience nue et qui éclairent
d’autres âmes, d’autres lieux, ne se posent pas de questions. Ils se demandent parfois ce qu’ils
ont été faire là-bas, mais le résultat, ils le vivent à l’intérieur. Il y a eu un éclairage. Et cet
éclairage, vous le savez, va consumer l’illusion.

Ne cherchez pas avec votre tête à essayer de comprendre pourquoi vous avez vu le Christ,
pourquoi je suis en vous. Je l’ai expliqué ! Sans ça, tu te montres à toi-même que tu es encore
attaché viscéralement à l’image. Or, l’image est toujours fausse ! Il vaut mieux être sans visions,
sans rien vivre et vivre la Vérité : c’est beaucoup plus efficace et direct, que la compréhension
d’un fauteuil ou du Christ. Là il y a un problème de positionnement : ne plus nourrir les
histoires ! Arrêtez de vous raconter des images ! Si l’image est là, c’est la réalité qui est en vous.
L’effet sur le cœur est immédiat ! Mais si c’est des images qui vont et qui viennent des mondes
intermédiaires ou du monde physique… si tu voyages et que tu as la conscience d’être en
conscience nue, et que voir ce que tu as vu, et il se passe rien, ça veut dire qu’il s’est rien passé !

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Parce que tout ce qui est vu, en conscience nue ou en conscience d’éternité dans le véhicule
d’éternité, est immédiat comme action. Quand il y a un soin que vous réalisez entre vous, par
exemple : ça sert à rien, je l’ai déjà dit à l’acolyte, ça sert à rien de dire ce qui était lié à la
personne. Aujourd’hui, il y a juste à pénétrer au cœur du cœur, d’échanger les consciences et
âmes s’il y a, et de le vivre. Tout se résout comme ça, absolument tout ! L’efficacité est
immédiate. Le vécu du cœur est immédiat. Si vous avez quelques visions matérielles, même
réelles de n’importe quoi ou n’importe qui, et qu’il n’y a pas d’action de résonance : c’est que ce
n’est pas vrai.

Ce n’est pas grave, mais ce que j’attire là-dessus et ton attention et pour d’autres frères et
sœurs qui sont fort nombreux : c’est se laisser embarquer par les archétypes parce que vous les
cherchez depuis tellement longtemps, vous les idéalisez depuis tellement de temps ! Même
Marie, elle est humaine comme vous et comme moi ! C’est aussi un sac de viande, non ? Quelle
qu’est été sa fonction : de mère de l’ensemble de l’humanité. Il est autre chose que d’avoir la
vision de Marie, que de vivre Marie en soi.

Ou alors la vision doit être couplée au vécu intérieur. Sinon ça ne sert à rien, même si c’est vrai !
C’est pas une question de vrai ou de pas vrai, en définitive. Est-ce que ça agit ou pas ? Et ça, ça
se passe dans l’instant. Vous savez très bien que quand vous me voyez en vous, ou quand je
vous souris quand j’approche de vous, vous sentez une transformation immédiate ! il ne peut
pas en être autrement. Et de la même façon, quand vous voyagez en conscience nue, si vous
voyez, sans le décider, un territoire, un bâtiment donné : il n’existe plus, réellement et
concrètement. Et là, vous sentez le retour, si je peux dire : votre cœur s’ouvre, la vibration
augmente si vous êtes un sensitif. Mais la lucidité est toujours présente.

L’image, aujourd’hui, est un obstacle. Cela a été expliqué à de nombreuses reprises, voilà déjà
de nombreuses années. Je vais pas vous replonger dans la notion d’image ! L’image, elle
s’imprime où ? Dans les yeux, vous allez me répondre… mais, à travers les formes : dans le foie.
Plus vous êtes nu, moins il y a d’images. Plus vous êtes vrai, plus à la limite vous restez en
conscience nue dans l’évidence de la joie : il n’y a besoin d’aucun décor et d’aucune entité. La
vision, si elle consécutive à un échange de conscience, ou à une respiration du cœur, ou alors à
l’eucharistie, là elle est agissante ! En vous directement. C’est pas une vision comme ça, c’est
une vision active parce qu’elle est en vous. C’est toute la différence avec les images qui ne
tiennent pas debout, où vous recherchez un sens symbolique, une explication, plutôt que de le
vivre ! Et s’il ne s’est rien vécu, ce n’est pas la peine de chercher une explication : il n’y en a pas !

Croyez-vous que les sœurs les frères qui ne sont pas sensitifs, et qui vivent le basculement
irrémédiable de l’ego à l’absolu, s’encombrent d’images de quelque nature que ce soit, ou de
quelque histoire que ce soit ? Non ! Ils sont immergés dans l’amour ! Il n’y a pas de place pour
des images dans l’amour, ni pour les concepts, ni pour les bagages, ni pour les peurs. Ça a été dit
pendant des années : l’amour ou la peur ! On vous a donné, l’acolyte et moi, toutes les
explications concernant l’enfermement de l’âme, La puissance résolutoire de l’amour nu qui est
là. Et vous êtes encore en train de nourrir des histoires. Vous n’en avez pas besoin ! Rendez-vous

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compte du conditionnement, même le cœur ouvert, que vous n’avez pas à dépasser, à traverser,
vous arrêtez, vous-même.

L’amour nu, il n’y a pas d’images, pas de scenario, il n’y a personne ! Même si le Christ est là ! Si
le Christ est là, vous vivez l’amour nu. S’il n’y a pas l’amour nu, s’il n’y a pas l’évidence, votre
Christ, c’est un Christ de pacotille ! Il n’existe que dans vos fantasmes ! Il ne peut pas y avoir
d’image de quelque nature que ce soit, si elle est vrai, c’est-à-dire concernant ce monde, ou
n’importe quelle entité, en conscience nue ou en corps d’éternité, que vous allez voir, c’est
qu’elle est en vous. Elle est donc active en vous. Alors qu’une image comme ça, n’entraine rien
du tout ! Ni le Tout, ni le rien, mais alors vraiment là : rien du tout ! C’est une perte de temps !
C’est gâcher l’amour ! Acceptez cela !

Je vous secoue pour que vous dépassiez ces images ! Ces histoires qui vous encombrent encore,
alors qu’il n’y a plus d’histoires. Qu’est-ce qu’il vous faut de plus ? Vous vivez la preuve de votre
résurrection, vous vivez la preuve de la liberté, au travers de ce sac ! L’évidence de l’amour ne
vous suffit pas ? Il faut mettre les décors, des ornements ! Rendez-vous compte du
conditionnement, même libres, que vous avez ! Cessez de jouer avec ça ! Vous n’avez besoin de
rien ! L’opportunité exceptionnelle, c’est que tous les frères et les sœurs incarnés peuvent vous
le faire vivre en venant en vous, ou en vous accueillant en eux.

Il n’y a besoin de rien d’autre ! Ni de diagnostic, comme faisait l’acolyte, même si ça… quelque
part, ça… (rires) Vous voyez ce que je veux dire ! Mais bon, heureusement, tous, vous
comprenez très vite (rires). Allez droit au but ! Ne vous emmerdez pas avec des visions ! Ne vous
emmerdez pas avec des scénarios ! Vous êtes tous les scénarios ! Je peux pas vous dire mieux.
Ne gâchez pas cette vie, cet amour, cette grâce. Ne la laissez pas passer, avec vos revendications
d’explications. Et tant que vous vous posez la question de ce que veut dire ce que vous avez vu
ou perçu, vous ne le vivez pas.

Il y a une différence profonde entre ce que nous a décrit notre sœur qui est cassée je sais pas
où, là, et cette interrogation. Vous voyez bien la différence, quand même ? Non ? Réponses :
« Oui » Bidi : Elle est claire ! Il n’est pas question de juger qui que ce soit, là je parle de ces
foutues images, de ces foutues représentations. Est-ce que vous percevez par le verbe ce que ça
veut dire ? Réponses : « Oui. Oui, tout à fait ». Alors ne m’énervez pas ! (rires).

C’est vrai que parfois je peux être scandalisé, littéralement, de voir des frères et des sœurs qui
m’accueillent, sans même savoir qui je suis, ni m’avoir vu, parce que je suis là, et qui vivent
l’amour. Et ceux qui me connaissent, qui m’ont entendu depuis des années, et qui sont encore
en train de gamberger ! Vous ne pouvez pas mettre au-devant de vous l’explication d’image, ou
même des perceptions. Vivez-les, vous verrez après. Mais si vous les vivez, il ne peut subsister
aucune interrogation, aucune !

Alors, bien sûr, au début, si c’est par exemple, en conscience nue que vous survolez des choses,
et que vous voyez que ces choses après ont un peu disparu, c’est normal ! Là aussi, c’est actif
votre lumière. Mais la Lumière, ici, elle sert bien sûr à éclairer, mais pas à éclairer un écran de

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cinéma ! À éclairer la vérité. Pourquoi vous tenez, comme ça, tant que ça, surtout parmi les
spiritualeux, à toutes ces histoires ? Comment voulez-vous être libres ?

Je vous rappelle que, même avant cette époque particulière de résurrection, depuis plusieurs
mois maintenant, vous avez eu, dans toute l’histoire de l’humanité, je ne parle pas des saints ou
des mystiques qui appartenaient à des ordres, vous avez toujours eu des frères et des sœurs,
certes en nombre réduit, qui l’instant d’avant étaient dans l’ego, et l’instant d’après étaient dans
la vérité, sans avoir rien demandé à personne. C’est ce processus-là qui se produit au niveau
collectif. Ne ratez pas le train ! D’ailleurs, il n’y a pas de train…

Je résumerais ça en disant : tant qu’il y a autre chose, en plus de l’amour, ce n’est pas l’amour
libre. Ce n’est pas l’amour nu. L’amour nu, il n’y a personne ! L’amour nu, il n’y a aucune
histoire. L’amour nu, il n’y a pas d’image. L’amour nu, il n’y a rien d’autre que la jouissance
perpétuelle de ce qui s’est reconnu. Il n’y a pas de place là-dedans pour des histoires, des
scénarios qui se passent dans le temps ou dans l’espace. L’avantage que vous avez, par rapport
à mon époque, c’est que vous pouvez explorer toutes les gammes, mais ne confondez pas
toutes les gammes dimensionnelles avec des images qui n’ont aucune efficience. Si image il y a,
elle agit instantanément sur la conscience. Instantanément ! Si ce n’est pas le cas, c’est une
image morte. C’est simple à sentir, à vivre.

Qui veut parler ?

Une sœur : « Vous parlez parfois… enfin, pas parfois : tout le temps. Vous parlez toujours
d’accueillir l’autre et d’autres fois, vous parlez de devenir l’autre.

Bidi : C’est très simple : Pour devenir l’autre, qu’est-ce que tu fais ? Tu vas en lui. Accueillir
l’autre, c’est l’autre qui vient en toi. Pour réaliser enfin que c’est le même mouvement, qu’il n’y
a pas d’autre. Mais il y a quand même une dynamique de départ. Tant que l’amour n’est pas
installé. Dans un cas, tu accueilles les bras ouverts. Dans l’autre cas, c’est toi qui y va. Et croyez-
vous que j’aie besoin d’une quelconque autorisation de quelle qu’autorité que ce soit, pour
pénétrer dans n’importe qui, maintenant, puisque j’y suis ? Je suis déjà chez moi ! Il y a aucune
violation de domicile (rires). Donc, accueillir et devenir, c’est la même chose. Il y a juste
l’impulsion initiale qui peut sembler différente, mais il n’y a aucune différence.

Les soins de l’amour se font comme ça. Et je vous l’ai dit, ce type de soin, par la conscience dans
une autre forme, est instantané, c’est du pur amour ! Vous ne risquez strictement rien, puisque
l’autre est vous et vous le démontrez de cette façon. Vous ne pouvez plus jamais juger,
condamner, ou porter un regard critique sur quiconque, dès l’instant où vous avez vécu ça !
Parce que vous savez que tout autre est vous, même dans son agression envers vous ! Il n’y a
plus de distance ! Il n’y a plus de séparation !

Nous vous l’avons dit : l’anomalie primaire est dissoute sur ce plan. Donc, toutes ces
interférences, que vous nommiez entités, ombres noires et autres, n’existent plus ! À part dans
votre tête. Et vous vous guérissez de ça en devenant l’autre ou en l’accueillant, c’est la même

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chose ! Il suffit d’une fois ! Foncez ! Ce que fait l’acolyte, ce que je fais, ce que font d’autres
frères et sœurs incarnés, d’ores et déjà, est exactement la même chose. Mais tant que vous ne
l’avez pas vécu, vous ne vous l’êtes pas prouvé à vous-même.

Et ce que je dis, par rapport à accueillir ou devenir l’autre, est une constante dorénavant. Dans
tous les rendez-vous que vous vous donnez entre vous, ou planétaires, vous allez le vivre. Avec
évidence, avec légèreté. Tandis que si vous mettez des a priori, des peurs, ou des
conditionnements de la dualité, ou l’avidité inconsciente d’images pour vous raccrocher, vous
ne le vivrez pas ! Mais il faut le vivre entre vous, pas seulement avec moi ! Pas seulement avec
l’acolyte, ou le Christ, ou Métatron, ou je ne sais qui. Avec tout autre, présent dans une forme,
sur ce monde !

De la même façon qu’une sœur nous a dit qu’elle était passée. Elle n’était plus elle, mais elle
était l’environnement. C’est la même chose ici : ne restez plus axé sur votre individualité, votre
petite personne, votre petit confort, votre petite spiritualité. Comment voulez-vous être libre,
dans ce qui est sclérosé ? Qui n’a plus lieu d’être, qui n’a aucun intérêt, si ce n’est celui de vous
encombrer ! Comment vous faites ? Soyez libres, et montrez-le ce qu’est la liberté à vous-même
et à l’autre ! Pas par des discours, par le vécu, dont je viens de parler.

Vous avez exactement les mêmes attributs, les mêmes capacités, à tous les niveaux, que moi, ou
que n’importe qui. Il n’y a que juste votre appréhension de l’habitude de la forme.

C’est tout. Il n’y a rien d’autre. Tout le reste est dans votre tête. Il n’y a pas ce genre de choses
dans le cœur. Et d’ailleurs, le cœur se sent maintenant. Donc, vous êtes tout à fait capable de
sentir, chacun de vous, quand vous êtes dans le cœur, quand vous êtes dans la tête christique,
ou quand vous êtes dans votre pauvre petit mental qui essaye de survivre ! Au sein de la
personne !

Et comme il n’y a plus, fondamentalement, de possibilité de secréter de la peur, que voulez-vous


risquer ? Ou alors, vous vous prouvez à vous-même que vous êtes encore enfermés ! Par
l’habitude. Par les enfermements vécus. Mais si vous n’ouvrez pas la cage, comment voulez-
vous sortir ? Ouvrez la cage, et que celui qui vienne, vienne ! Ne posez aucune limite, aucune
barrière ! Je vous l’ai dit : vous êtes in-vul-né-rables ! Au contraire : vous allez gagner l’un et
l’autre. À chaque fois que vous accueillez, vous allez grandir en amour, vous allez grandir en
lucidité. Ce n’est pas en gardant l’amour que vous vivez dans votre petit chakra, que les choses
vont changer ! Que les choses vont disparaître !

Vous êtes créateurs, au sein du verbe, au sein de l’androgyne primordial, au sein du


rayonnement de qui vous êtes ! Tout le reste appartient à la personne. Vous n’êtes rien d’autre
que l’amour, antérieur à toute forme. Vivez-le ! Ne traînez pas ! Bientôt vous n’aurez plus aucun
alibi ! Même à travers des éléments qui ont été nommé, je crois, les bleus de l’âme, ou les
circuits dérivés par l’enfermement. Bientôt, ces alibis-là ne tiendront plus du tout. Pour deux
raisons : l’anomalie primaire a été dissoute ; le liseré ascensionnel du cœur, qui bordait le cœur,
a disparu au niveau collectif. Il n’y a, réellement et concrètement, plus aucun obstacle. Sauf ceux

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que vous créez vous-même, par la répétition des fonctionnements archaïques : ceux de la
dualité, du bien et du mal, des images, des symboles, qu’il faut interpréter. Mais ça, c’est
mental, ça n’a rien avoir avec l’amour.

L’amour n’a pas besoin d’interpréter des images. L’amour est. Tout le reste vous éloigne, vous
densifie, vous cristallise. Et après, ne venez pas vous étonner d’avoir des problèmes, au niveau
physique. Qui ne sont plus liés à des karmas, qui ne sont plus liés à des peurs, mais simplement :
ce que vous créez là, à l’instant ! Vous créez l’amour que vous êtes, ou vous créez des images !
Même si elles arrivent toutes seules. Vous voyez bien que quand vous vivez cet amour indicible,
il n’y a rien ! Même si ça a été déclenché par moi, ou par une vision : il n’y a plus rien quand
vous le vivez ! Il faut le vivre, ça !

Il est nécessaire que le deuil de l’ancien, de la dualité de ce monde, de l’histoire, de la personne,


disparaisse en totalité par l’amour ! Alors, bien sûr, il y a parfois des éclairages qui se font. Mais
comme je l’ai dit et je le répète de manière ferme, quand il y a éclairage, par exemple : une
scène de vie passée, qui apparaît et disparaît, la pathologie psychologique, organique, doit
disparaître instantanément ! Quelle que soit la pathologie. Sinon, ce n’est pas l’amour. Et ça va
devenir de plus en plus évident pour chacun d’entre vous. Tout ce que vous essayez de
maintenir en rapport avec l’ancien mode de fonctionnement de votre spiritualité, est
aujourd’hui un obstacle total et un écran à l’amour. Comprenez cela !

Et saisissez bien la différence entre une présence et une image. La présence du Christ, vous
pouvez l’avoir en vous, comme là-haut. C’est pas du tout une image, parce que ça vous
transporte d’amour : vous pleurez, vous avez des larmes, vous exultez de joie ! Choses que ne
pourra jamais faire une image, qui est morte. Autrement dit, s’il y a vision, elle est vivante. Elle
est vivante et active sur le positionnement même de votre conscience. Y’a pas d’autres
éléments : y’a action ou y’a pas action. Quel que soit l’objet, le sujet, l’image, la vision ou
l’élément qui semble être rencontré par vous, est toujours la même chose.

Je le répète : dans l’amour véritable, Il n’y a ni image, ni scénario, ni histoire, ni personne, ni


monde. La conscience nue et l’amour à travers le corps n’a pas besoin de tout ça. Bien sûr, c’est
profondément différent quand vous voyagez en conscience nue. Et d’ailleurs, ceux d’entre vous
qui voyagent déjà en conscience nue, savent pertinemment que chaque voyage est de plus en
plus lucide et clair.

Qui veux parler ?

Une sœur : « En début de rencontre, vous avez dit de prendre les autres dans notre cœur. Alors,
comme j’ai une grande famille, j’ai essayé avec plein de personnes de la famille.

Bidi : qu’est-ce que tu entends par « prendre quelqu’un dans le cœur » : c’est une pensée ? Ou
c’est un vécu réel de la conscience de l’autre ? Ne confonds pas les deux, hein ! Il ne suffit pas de
dire « je prends dans mon cœur », pour que ça se réalise !

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La sœur continue : « J’ai recommencé à le faire. Alors, je remarque deux choses : c’est pas les
mêmes personnes avec qui je suis en résonance… alors, je vais expliquer ce que je vis, pour
savoir si c’est juste, ce que je vis : c’est comme si mon cœur palpitait, je rencontrais le cœur de
l’autre, et qu’il y avait des résonances, et que l’on palpitait ensemble.

Bidi : mais c’est comme ça que ça se passe !

La sœur poursuit : « alors, ce que je voulais dire, c’est qu’il y en a avec qui je n’y arrive pas. Est-
ce que c’est parce que je n’ai pas le cœur assez rempli, assez grand ? Ou est-ce que c’est parce
que l’autre ne veut pas ?

Bidi : C’est pas une question de grandeur : tu peux accueillir l’univers entier dans ton petit cœur.
En totalité. Il y est, d’ailleurs. C’est pas une question comme ça. C’est une question qui
correspond simplement à une espèce de résonance commune, qui ne dépend ni de toi, ni de
l’autre. Et effectivement, tu as tout à fait raison. Mais, quand je dis : accueillir l’autre dans son
cœur, c’est pas un concept. Mais c’est la réalité du vécu de l’autre dans son corps en totalité !
Vous devenez lui : corps, âme, esprit ! Vous vivez son corps, vous vivez la totalité de sa vie,
Instantanément.

Donc ne pas confondre : prendre dans son cœur et accueillir en concept, et en vérité. Parce que
si vous accueillez en vérité et que cela se produit comme le dit notre sœur, elle comme l’autre
sont guéries ! De tout ce qui pouvait exister. Ou en tout cas, il y aura un équilibre nouveau.
Beaucoup de choses disparaîtront. Vous n’êtes plus dans les concepts. Quand je dis accueillir
l’autre, il est évident que ce n’est pas une idée, un concept. C’est vivre l’autre en totalité en soi :
corps, âme, esprit, avec toute sa mémoire, toute sa vie. C’est pas une idée comme ça de sentir
juste le cœur. C’est un vécu réel à l’intérieur de soi, comme à l’intérieur de l’autre.

La sœur poursuit : Même si on n’a l’impression qu’il résiste ?

Bidi : mais il ne peut pas résister ! Il peut s’y opposer, mais ça, c’est sa liberté. Mais, dès l’instant
où il y a cette vague du cœur, l’autre rentre en vous par le cœur, en conscience de nue. Il
s’installe en vous, il devient à 200 % vous. C’est vécu ! C’est pas une vue de l’esprit ! C’est pour
ça que quand j’entends tout à l’heure : accueillir ma famille qui est grande, est-ce que tu as vécu
chacun de tes membres de ta famille dans toi ?

La sœur poursuit : j’ai essayé. J’ai réussi avec certains.

Bidi : Oui, Mais faites-le de plus en plus extensivement, et plus ça sera facile. Mais il y a des fois
où vous ne pourrez pas. Parce que l’intelligence de la lumière le décide : ça ne dépend ni de ton
cœur, si du cœur de l’autre. Par ce que le temps de l’un et le temps de l’autre ne sont pas dans
le même espace. Ce n’est ni une supériorité, ni néfaste. C’est simplement un concours de
circonstances. Et si vous prenez l’autre en vous, vous le connaissez vraiment. Vous êtes capable
de vivre où il a mal, où il souffre dans son âme, dans son corps. Vous pouvez lire toute sa vie,
même si ça n’a aucun intérêt, comme je l’ai dit à l’acolyte. Mais vous le vivez réellement et

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concrètement en vous. Totalement. Donc, oubliez les notions d’accueillir, de projeter. Le
processus dont je parle depuis tout à l’heure et depuis plusieurs jours, n’a rien à voir ! Quand je
dis : vous devenez l’autre, ce n’est pas une vue de l’esprit. C’est la réalité vécue par votre
conscience dans ce sac, qui accueille l’autre sac en totalité.

C’est ce que je fais quand je viens vous voir. C’est ce que fait l’acolyte quand il vous accueille ou
qu’il se déplace. Et c’est aussi ce que vous faites et que vous ferez. Ça ne peut laisser aucun
doute. De la même façon que l’image des mondes supra-mentaux, et des images de votre
mental. L’efficacité est immédiate. Et le vécu est immédiat. Quand je dis que vous devenez
l’autre, vous le devenez réellement et concrètement. À tout point de vue. Rappelez-vous : non
seulement vous êtes reliés à la matrice christique par le cœur, et par la tête. Pas pour avoir des
informations de l’autre ou vouloir le soigner, mais pour, réellement et concrètement, devenir
l’autre qui est vous.

Il n’y a pas de meilleure preuve que cette joie. Et que cette possibilité que confère la joie de
l’amour d’être, comme ça a été dit dans certains témoignages, l’oiseau qui chante, comme
l’arbre, comme l’eau qui coule. C’est pas de la poésie ! C’est pas du fantasme, c’est pas de
l’imaginaire, c’est le vécu direct, authentique et vrai ! Et dont les effets n’ont rien à voir avec
tout le reste.

Bidi : Qui veut parler ?

Nous arrivons au terme du temps, Il y a une dernière question.

Bidi : Alors, je l’écoute.

Une sœur : L’autre jour, votre acolyte nous a parlé de la dissolution de la peur. Donc, j’ai
accueilli en moi ma plus grande peur, que j’ai depuis toute petite. L’image de croyance religieuse
de Satan. D’ailleurs, depuis toute petite, quand que je pensais à Satan, toute la partie du point
OD de la tête et le triangle de la Terre, s’hérissait. J’ai donc fait venir Satan vers mon cœur. Il
s’est présenté l’image d’un humain, jeune, avec un bel aspect, à ma surprise. Et il m’a regardé
en me disant : je suis toi, c’est un jeu, il n’y a pas de risque.

Bidi : mais c’est évident ! Satan n’est pas ailleurs qu’en vous ! (Rires) La sœur poursuit : Et alors,
j’ai eu une grande paix. Je l’ai accueilli dans mon cœur, et j’ai senti une libération. Ça fait que
quelques jours, hein, ça.

Bidi : c’est strictement la vérité ! Si vous vous accueillez l’ennemi, il n’existe plus. L’ennemi n’est
que dans la tête. Même pour les guignols, même pour Yaldébaoth. Je vous dis : si vous avez peur
du diable, de Satan, ça se passe dans votre tête, aujourd’hui. Pas dans votre cœur, puisque que
dans votre cœur, il existe plus. Vous en avez la démonstration. Qu’est-ce que vous voulez qu’un
archonte, que Satan, comme vous dites puisse contre votre cœur, quand vous l’avez intégré en
vous ? Il n’y a rien. C’est votre tête qui vous fait croire l’inverse.

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Alors, je crois que tu m’as dit qu’il était l’heure. Alors Bidi vous salue et Bidi va venir chatouiller
les pieds et les cœurs. Je vais être très occupé pendant les foudroiements.

Je vous dis : à demain, et à toujours !

Le groupe : à tout à l’heure, à ce soir. Bidi : pour certains.

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Publie par : Blog Les Transformations

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