Sie sind auf Seite 1von 4

Danilo Martuccelli, La condition sociale moderne.

L’avenir d’une inquiétude,


Paris, Gallimard, 2017 (766 paginas).

INDICE

INTRODUCTION………………………………………………………………………...
Où il est question de proposer, dans l’histoire de la modernité, l’avènement, d’une inflexion
expérientielle majeure au détour des années 1990. Une réalité qui invite la sociologie à
reprendre et à repenser ses principales catégories d’analyse depuis les classiques.
I. Dans quelle modernité vivons-nous ?.......................................................................
II. Un mode d’argumentation……………………...………………………………….

Chapitre 1. Le commun et le singulier………………………………………………..……


Où il est question de présenter la modernité comme une expérience et d’aborder les
transformations qu’elle a connue dans la période récente. Cette présentation nous mène à
une inflexion de l’ancienne problématisation confrontant individus et société vers la
dynamique entre singulier et commun.
I. La condition sociale moderne…………………………………………………….
II. Vers l’étude de la CSM actuelle……………………………………………….....
III. Repenser le commun……………………………………………………………...
IV. Repenser le singulier…………………………………………………………..….

Chapitre 2. L’affectivité implicative………………………………………………………..


Où il est question d’expliquer la tonalité émotionnelle générale avec laquelle les individus
éprouvent désormais la vie en société – la manière dont ils se sentent concernés, blessés,
agressés par les collectifs dont ils font partie. On comprendra alors pourquoi le social est
désormais une affaire personnelle.
I. Qu’est-ce que l’affectivité implicative ?.................................................................
II. L’affectivité et la vie quotidienne……….………………………………………..
III. L’affectivité et la vie politique……………………………………………………
IV. La morale et ses affects…………………………………………………...………
V. Du Peuple à l’égo-peuple…………………………………………………...…….
VI. Le multiculturalisme et ses passions………………………...……………………

Chapitre 3. La mobilisation généralisée………………………………..……...……….…..


Où il est question d’analyser les manières plurielles dont les individus sont pris et investis
dans la vie sociale et contraints à une mobilisation constante dans tous ses domaines. Où l’on
voit que chacun, malgré son irréductible singularité, est enrôlé de force dans la vie en
commun, souvent à son corps défendant.
I. Les individus et la participation politique…………………………………...……
II. De la participation politique à la mobilisation généralisée……………………….
III. Une société de mobilisation généralisée……………………………….…………
IV. La mobilisation généralisée au jour le jour……………………………...………
V. Peut-on résister à la mobilisation généralisée ?....................................................

Chapitre 4. La coordination des actions…….………………………...............................


Où il est question d’explorer les transformations dans la conceptualisation du faire-société,
induites par la consolidation d’un continuum sociotechnique, allant des normes jusqu’à
l’automation. On s’apercevra ainsi que cette expérience quotidienne nourrit la possibilité de
l’émergence d’un autre idéal du collectif.
I. Les deux modalités d’intégration de la société……………………………….…
II. De l’intégration de la société à la coordination des actions……………………..
III. La coordination de l’action : le continuum sociotechnique……………………..
IV. La coordination des actions et les singularités en commun…………………..…
V. Le continuum sociotechnique : un nouvel idéal de l’être-ensemble ?..................

Chapitre 5. Les expériences positionnelles…………………………………………….....


Où il question de décrire les transformations des rapports entre le capitalisme et l’Etat social
national, en tant que grandes structures des sociétés modernes, au niveau des expériences des
individus. Où l’on réalise que l’instabilité des processus et l’interdépendance de chacun avec
une vie en commun entraîne une accentuation des inquiétudes positionnelles.
I. La structure des inégalités : capitalisme et Etat social national…………………
II. Ensembles structurels……………………………………………………………
III. Expériences et inquiétudes positionnelles……………………………………….
IV. Le capitalisme et l’individuation……………………………………...…………

Chapitre 6. L’agonie de l’égalité……………………..........................................................


Où il est question de comprendre ce que la consolidation du principe d’égalité en tant
qu’imaginaire central, politique et juridique, des sociétés modernes entraîne dans le
déroulement ordinaire de la vie sociale. On étudiera ici les différents défis que l’égalité,
comme idéal et comme impossibilité, pose à la dynamique du singulier et du commun.
I. Antimodernes et contre-modernes………………………………………..……..
II. L’égalité et l’horizontalité relationnelle…………………………………………
III. L’égalité et les asymétries du pouvoir…………………………………….…….
IV. L’égalité, la médiocrité et l’héroïsme……………………………………...……
V. L’ambition, la comparaison et l’émulation……………………………...………
VI. L’égalité : retour à la liberté……………………………………………..………

Chapitre 7. Matrices de narration…………………………...…………………………....


Où il question de montrer que les types de récits par lesquels les individus rendent compte de
la singularité de leurs expériences sont hétérogènes mais participent néanmoins à la mise en
œuvre d’une structuration commune autour d’une narration transversale – celle d’une vie
soumise, dans tous les domaines, à un ensemble d’épreuves mondaines.
I. La mise en vérité………………………………………………………...……
II. La mise en contexte……..……………………………………………………….
III. La mise en événement……...………………………………………………...….
IV. La mise en conflit………………………………………………………………..
V. Les mises à l’épreuve : le surcode de la CSM………………..……………..…..
Chapitre 8. La géo-modernité………………………………………………....……….….
Où il est question d’entrevoir les conséquences que l’entrée dans un monde interdépendant,
mettant à mal la traditionnelle vision occidentale de la modernité, entraine au niveau des
expériences et des représentations quotidiennes. On réalisera ainsi que la reconfiguration de
la géographie de la modernité transforme la relation avec « nous » et avec les « autres ».
I. La modernité et les autres……………………………………………………….
II. Qu’est-ce qu’un regard géo-moderne ?.................................................................
III. Une modernité inquiète……………………..…………………………….……..
IV. La fin d’une boussole géographique et historique………………………....……

CONCLUSION………………………………………………………………………….
Où il est question de penser à l’avenir d’une civilisation moderne, plus que jamais inquiète
sur elle-même, dessaisie de ses certitudes et même du supplément de sens dont elle était
porteuse historiquement, une civilisation débarrassée de toute confiance téléologique, en
conséquence contrainte à un inlassable travail d’inventaire.

BIBLIOGRAPHIE……………………………………………………………………..

Das könnte Ihnen auch gefallen