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L'enseignement de la logique à l’école

au collège et au lycée
László ASZALÓS* Mária BAKÓ† Katalin BOGNÁR
IRIT, Toulouse IREM, Toulouse‡ Université de Debrecen

Résumé : Au cours des dernières années la logique a perdu sa place dans


l'enseignement de mathématiques en Hongrie comme en France. Bien que la
logique fonde la base des mathématiques les élèves n'en obtiennent la
connaissances qu'à l'université, pourtant elle serait nécessaire même aux lycées.
La connaissances des base de la logique est indispensable dans les différents
domaines de la vie, par exemple dans l'apprentissage des langues. Dans cet article
nous allons proposer une méthode d’enseignement de la logique dans les écoles,
les collèges et les lycées.

1 Introduction

Pourquoi de la logique?

Les Mathématiques trouvent des applications dans les activités humaines.


D'autre part, les Mathématiques nécessitent un raisonnement clair et
logique, et une expression rigoureuse et précise.
Aussi est-il indispensable de réfléchir sur ce qu'est la logique, et de
dépasser la notion de logique intuitive ou "de bon sens", pour l'étude d'un
certain nombre de règles simples, dont la connaissance permettra d'éviter
les plus grossières des fautes habituelles.

L'étude d'un problème de Mathématiques nécessite une réflexion, préalable


toute recherche, sur le contenu de l'énoncé. Il convient d'abord de
discerner avec précision quelle est la question posée, puis quels sont les
renseignements qui permettront de démontrer le résultat cherché à partir
des hypothèses données.
Ces renseignements sont donnés à l'aide de mots, et, en Mathématiques, on
emploie des mots techniques que l'on a soigneusement définis comme
exposant, proportion, bissectrice, etc., et des mots ou expressions du
*
Université de Debrecen

Lycée Fazekas Mihály, Debrecen

Boursier de Gouvernement français
langage courant tels que: un, une, le, la, les, des, au moins un, chaque,
toujours, parfois, si...alors, or..., donc..., réciproquement et bien d'autres
encore. Mais les mots du langage courant présentent souvent des
ambiguďtés ou des obscurités.

Ainsi, dans le proverbe "Un sot trouve toujours un plus sot qui l'admire", le
premier article un veut dire un (sot) quel qu'il soit (et non pas un seul sot,
ni un certain sot); on pourrait remplacer cet article par l'adjectif indéfini
tout. Le second article un signifie au moins un (pas nécessairement un seul,
mais pas n'importe lequel).

En Mathématiques, il convient de distinguer entre ces acceptions de


l'article un et, plus généralement, entre les diverses significations des mots-
outils.

Pour éviter ces ambiguďtés et obscurités du langage courant, on précise la


rédaction des raisonnements à l'aide de quelques symboles et termes
logiques spécialisés [GGL69].
La citation montre la nécessité de l'enseignement de la logique. Malgré ces
arguments dans les livres de mathématiques des lycées en Hongrie comme en France
on ne trouve que des notion sur les connecteurs de logique. Nous pensons, que la
méthode algorithmique est utilisée d'une manière exagérée dans l'enseignement des
mathématiques. L'apprentissage des formules est concret mais les élèves sont
incapables de se débrouiller dans les situations inconnues poursuite du manque de
raisonnement logique. Cela pourrait expliquer pourquoi les élèves français ne savent
pas différencier l'utilisation de car et de donc.
La suite propose une méthode et une structure de thématique possible dans
l’enseignement de la logique. Dans la deuxième partie nous montrons les domaines à
exploiter aux différents âges. Les troisième et quatrième parties mettent une revue des
jeux et des casse-tête de la logique. La cinquième partie misante une introduction à la
démonstration en mathématiques tandis que la sixième ainsi en bases du calcul des
prédicats du premier ordre.

2 Plan de renseignement de la logique

école primaire : les bases du raisonnement logique. Il n'est pas encore temps
d'utiliser les symboles de la logique, mais nécessaire de clarifier la notion des
connecteurs (et, ou, si alors) et des quantificateurs (tel que pour tout, il existe)
école secondaire : les bases de la logique classique comme système formel à travers
des exemples. Montrer les relations entre la logique et la théorie des ensembles.
école secondaire dans les classes spécialisées : les bases de la théorie de la
démonstration et de la modélisation. Le travail individuel peut être aidé par des
logiciels qui méritent d’être étudiés.

Les affirmations précédantes sont résumées dans les tableaux suivants :

Dans les tableaux suivants


d indique que le sujet doit être étudié en détails
s indique que le sujet doit être étudié abordé en le simplifiant

Notions 10-14 14-18 14-18


spec.math.
la sémantique des connecteurs de la logique s d d
les tables de vérite - d d
tautologies - s d
les règles principales - s d
la notion de démonstration - s d
les quantificateurs s d d
les règles principales avec quantificateurs - d d
la relation entre la logique et la théorie des - d d
ensembles
contre-exemples s d d

Pour enseigner les notions mentionnées nous proposons l'utilisations des outils
suivants :

Outils 10-14 14-18 14-18 spec.math.


Utiliser des jeux d'ordinateur d d d
Résoudre des casse-tête d d d
Formaliser des casse-tête - d d
étude des logiciels - s d
MIZAR-MSE, Metamath

Nos propositions par rapport aux outils et aux notions sont décrites dans les
paragraphes suivants.

3 Les jeux d'ordinateurs

Aujourd’hui en Hongrie nombreuses écoles primaires sont équipées d'ordinateurs, et


il est prévu que dans quelques années chaque école en possédera. La tendance est la
même dans les écoles françaises. La majorité des élèves passe beaucoup de temps a
côté des ordinateurs, mais les jeux d'ordinateurs sont connus pour chacun. Les enfants
aiment jouer et nous devrons exploiter cette préférence pour leur offrir les jeux de la
logique.

3.1 Nonogram

Le jeux Nonogram a une grande succès parmi les japonais, il existe plusieurs web-
pages ou il se joue. Ce jeux est populaire même en Hongrie, on trouve des journaux
qui le proposent , ex. Abacus.

Figure 1. Nonogram

Il s'agit d'un jeux ou des certaines champs d'un grille doivent être colorés. Les
nombres à côté des lignes et des colonnes montrent la longueur des champs colorés
continuellement qui permettent de remplir le tableau et la solution finale donne un
dessin chouette. Les enfants qui cherchent la figure cachées dans le dessin jouent
volontairement ce jeux. Entre-temps leur raisonnement logique se développe puisque
ils ont obligés de passer par une chaîne d'un raisonnement pour apprendre quels sont
les champs colorés ou sans coloration.

Au cours des premiers jeux il est indispensable de montrer et expliquer aux enfants
dans quelle raison certain champs sont colorés ou restent sans coloration. Après un
peu d'expérience laissons les jouets jouer seuls, mais demandons les arguments de
chacun pourquoi ils ont fait ce qu'ils faisaient. Ils seront obligés de mettre au mots
leur raisonnement. De plus, ils seront obligés de comprendre les arguments des
autres, et découvrir éventuellement les erreurs commises. Si l'on résout les problèmes
en groupes cela permet de développer leur capabilité de raisonner logiquement et en
même temps d'augmenter l'aptitude à argumenter.
Parmi les élèves - évidemment - il y a certains qui résolvent des problèmes plus vite
que les autres. Ceux qui travaillent plus lentement n'obtiennent pas de grands succès
dans le groupe, donc il leur est préférable de suivre les méthodes individuelles.

3.2 Sherlock

Il est bien connu dans la littérature le casse-tête Einstein ou Le zèbre. Il s'agit cinq
maisons voisins à différentes couleurs dans lesquelles habitent cinq hommes à
nationalités différentes. Chacun a son animal domestique, sa boisson et l'habitude de
fumer préférés. La tâche est à déterminer à qui appartient le zèbre en considérant une
douzaine des contraintes. Le program Sherclock (Fig. 2) est né suivant l'idée de ce
casse-tête.

Figure 2. Sherlock

Dans la dernière ligne et à droit de l'écran s'apparaissent les contraintes et le joueur a


la tâche de déterminer tels et tels maison, fruit, voiture appartiennent à une personne
donnée.

3.3 Les autres jeux de logique sur les ordinateurs

Il existe nombreux jeux de logique sur les ordinateurs. Ils peuvent être exécutés sur
les ordinateurs assez simple, puisque ces jeux n'utilisent trop de capacités, ils ne sont
pas basés sur des mouvements ou la vitesse du processeurs.

Nous pouvons mentionner ici :


• Sokoban Dans cette jeux le joueur cherche la place des caisses dont les
mouvements sont limitées par des mûres et des autres caisses.
• Le détecteur de mines La tâche est à marquer les carrées contenant des mines
considérant le nombre des mines sur les carrés voisins.
• Certaines jeux de cartes, ou la place des cartes sont données et la chance (le
hasard) n'influence pas le résultat.

La propriété des jeux de logique consiste à déterminer nombreux conséquences


logiques pour résoudre le problème. De plus, ces jeux donnent le sentiment de succès
pour tout les élèves.

4 Les casse-tête de logique

Evidemment les casse-tête de logique ont une longue histoire. Ils existent et se
pratiquent depuis longtemps, et il a beaucoup de journaux pour eux qui les aiment. Le
livre le plus connu est écrit par Smullyan [Smu81]. Au début de ce livre nous
trouvons des problèmes assez simples qui sont suivis par les autres plus en plus
compliqués, aboutissant au résultat de mathématiques très impressionnant du
vingtième siècle, au théorème Gödel.

4.1 Les casse-tête simples

Même des élèves d'une âge de 8-10 ans sont capables de résoudre les plus simples
problèmes du livre Smullyan.

Un homme regarde un portrait. Quelqu'un lui demande : « Qui regardez-


vous ? » Il répond : « Je n'ai point de frère ni de soeur mais le père de cet
homme est le fils de mon père. » ( « Le père de cet homme » signifiant,
bien-sûr, de celui qui est représenté par le portrait.) De qui regarde-t-il le
portrait? [Smu81, Problème 4]
Bien que le problème soi-même ne soit pas difficile, il est étonnant qu'ils sont
nombreux qui prennent la fausse conclusion, notamment que l'homme regarde le
portrait de soi-même. Il est indispensable que les élèves suivent chacun des pas tout
au long de la chaîne du raisonnement, et qu'ils en discutent.

Généralement le problème suivant amène à une discussion animée.

Qu'arrive-t-il si un boulet de canon irrésistible cogne un poteau


inébranlable? (Par boulet de canon irrésistible nous voulons dire un boulet
de canon qui renverse tout son passage. Par poteau inébranlable nous
voulons dire un poteau que rien ne peut renverser.) [Smu81, Problème 6]

La solution - c'est à dire que l’existence de boulet de canon irrésistible et du poteau


inébranlable sont exclues mutuellement - donne l'occasion d'introduire la notion de la
contradiction. En même temps nous pouvons présenter quelques simples paradoxes.

4.2 Les casse-tête de type Purs et Pires

Le livre de Smullyan contient beaucoup de casse-tête de type Purs et Pires. Parmi eux
il se trouve plus ou moins simple qui peuvent être étudiés même dans les écoles
primaires.
Les Purs disent toujours la vérité, les Pires mentent toujours. Chaque
habitant de l’île est soit un Pur soit un Pire.

Trois habitants de l’île - A, B et C - sont ensemble dans un jardin. Un


étranger vient à passer qui demande à A, « Êtes-vous un Pur ou un Pire ? »
A répond, mais en bredouillant tant que l'étranger ne comprend pas sa
réponse. Alors l'étranger demande B « Qu'est-ce qu'il a dit ? » B répond
« Il a dit qu'il est un Pire ». Mais à ce moment C intervient et dit « Ne
croyez pas B, il ment ! » Déterminez si B et C sont des Pures ou des Pires.
[Smu81, Problème 25]
Cette type de casse-tête s'apparaisse souvent dans les cours d'introduction de logique
dans l’enseignement supérieur [HR96, Zal87], mais à notre avis, ils s'appliquent bien
dans les écoles secondaires. Après la résolution des casse-tête bien choisis les notions
de base (par exemple, les opérateurs logiques) peuvent être introduites. Les
opérateurs logiques aussi bien que les tables de vérité s’apprennent plus facilement à
travers de la formalisation et la résolution des casse-tête.
Suivant la méthode de Smullyan [Smu87], les problèmes se décrivent par les
formules du calcul propositionnel. Le problème mentionné dernièrement peut être
formalisé par le formule (A ⇔ X) /\ (B ⇔ (A ⇔ ¬A)) /\ (C ⇔ ¬B) ou X signifie la
réponse qui ne se comprend pas.

On introduit les notions de la tautologie, le théorème logique et la conséquence


logique basées sur le table de vérité. Dans notre exemple la question qui se pose est la
suivante : quel formule entre B et ¬B est la conséquence logique du formule donné.

Les questions centrales par rapport des casse-tête de type Purs et Pires sont "quoi
dire" "quoi demander". Ces problèmes comme le suivant ne se solvent pas après la
première vue :

Vous habitez l’île des Purs, des Pires et des Versatiles. (Les Purs disent
toujours la vérité, les Pires mentent toujours. Mais ce sont les Versatiles,
qui disent de temps en temps la vérité ou qui mentent parfois, au gré de
leur fantaisie.) Vous devenez amoureux de la fille de Roi, Margozita, que
vous désirez épouser. Mais le roi ne veut pas que sa fille épouse un
Versatile et lui dit: « Ma fille, tu ne peux pas épouser un Versatile. Ils sont
capricieux, imprévisibles et on ne peut pas les croire. Avec eux, on ne sait
jamais sur quel pied danser. Parfois ils disent la vérité et quelquefois ils
mentent. Ce n'est pas possible! Un Pur, c'est tout le contraire, car avec lui,
on sait toujours oů l'on en est, et un Pire, c'est presque aussi bien, puisqu'à
chaque fois qu'il dit quelque chose, il suffit d'entendre le contraire pour
savoir la vérité. En outre, je crois qu'un homme doit rester fidèle à ses
principes. Si c'est de dire la vérité, il faut lui laisser dire la vérité; si c'est
mentir, il faut lui laisser la possibilité d'être cohérent. Mais non, ma fille,
ces girouettes de Versatiles ne sont pas pour toi ! »

Supposons à présent, que vous ne soyez pas un Versatile. Toutes vos


chances sont intactes, mais vous devez convaincre le roi, sinon il ne vous
laissera pas épouser sa fille. Vous lui demandez audience, et vous êtes
autorisé à lui faire autant des déclarations que vous le voulez.
Le problème comprend deux parties:
(a) Quel est le plus petit nombre de déclarations vraies que vous puisez
faire pour prouver au Roi que vous n'êtes pas un Versatile ?
(b) Quel est le plus petit nombre de déclarations fausses que vous puisez
faire pour prouver au Roi que vous n'êtes pas un Versatile ?
[Smu81, Problème 105]
Contrairement aux problèmes du type précédente - ou il est suffisant d'étudier
systématiquement tout les cas - une nouvelle formule doit être inventé qui se présente
comme un défi à surmonter pour les élèves. De plus, le fait qu'il existe plusieurs
bonnes solutions pose les questions comment peut on déterminer toutes les solutions
et prouver qu'il n'y a plus de solution outre lesquelles de retrouvées. L'expérience
obtenue au cours de mettre au point la réponse de cette type de questions s'utilise
dans les autres domaines de mathématiques (ex. lieu géométrique).

L'algorithme de la résolution de tel problème se trouve dans l'article [Asz01] ou on


utilise essentiellement les tables de vérité déjà connus.

Les casse-tête de Smullyan sont intéressants, ainsi le fait qu'ils peuvent être résous
par les outils simple donnent un sentiment de succès. De plus, à travers de ces
exemples les élèves peuvent considérer la logique comme un outils utile dans la
résolution des problè

mes.
5 Le fond de la base de mathématiques

La notion de la conséquence logique nous permet de faire baser, même dans les
écoles secondaires, la définition de la démonstration. Il nous semble indispensable
que les élèves apprennent certaines tautologies qui sont souvent utilisées dans les
démonstrations mathématiques.

(Dans les écoles on ne différencie pas encore l'aspect sémantique - qui est
l’interprétation des formules et qui consiste en l'analyse des formules toujours vraies
appelées tautologies - et l'aspect syntaxique - qui revient à définir un système formel
dans lequel les déductions conduisent à des théorèmes.)

la négation de la négation ¬¬A ⇔ A


contraposition (A ⇒ B) ⇒ (¬B ⇒ ¬A)
reductio ad absurdum (A ⇒ B) /\ (A ⇒ ¬B) ⇒ ¬A
syllogisme hypothètique (A ⇒ B) /\ (B ⇒ C) ⇒ (Α ⇒ C)
lois de Morgan ¬(A /\ B) ⇔ ¬A \/ ¬B
¬(A \/ B) ⇔ ¬A /\ ¬B

Bien que dans les écoles primaires les élèves apprennent nombreuses de
démonstration, on ne paye pas l'attention à la notion de la démonstration.

Il est vrai, que la théorie de la démonstration ne se comprend pas dans cette âge,
quelques notions de base peuvent être introduites. On pourra bien utiliser un autre
livre de Smullyan [Smu82], mais il n'est pas possible de trouver assez le temps pour
l'étudier. Malgré cela, nous pouvons l'offrir pour les élèves intéressés.

A notre avis, au cours des années de l'enseignement secondaires les notions de la


démonstration, les axiomes, et les théorèmes doivent être clarifiées devant les élèves.

Dans les classes spéciales de mathématiques l’enseignement peut offrir des


connaissances plus précises. Il est nécessaires que les élèves obtiennent une certaines
expertises dans la constructions des démonstrations. Il est une tâche désagréable de
vérifier si la démonstration faite par les élèves sont correctes ou pas. Le programme
MIZAR-MSE peut nous aider puisque il marque les démarches fausses. Nous
donnons ici un exemple cooment décrire la méthode de la démonstration pour
MIZAR-MSE.
environ
p1: p[];
p2: p[] implies not q[];
p3: not q[] implies not r[];
begin
not r[] proof
1: not q[] by p1,p2; :: Modus Ponens
thus thesis by 1,p3; :: Modus Ponens
end;
:: alternate proof
not r[] proof
1: p[] implies not r[] by p2,p3; :: Syllogism
thus thesis by p1,1; :: Modus Ponens
end;

Le program MIZAR-MSE peut aider dans la construction des démonstration; en


même temps on peut mentionner le program Metamath, dans lequel la théorie des
ensembles est bien construite et le fait que deux fois deux est égale quatre est
démontrée par une chaîne des conséquences d'une taille d'un mégoctets.

6 Le calcul des prédicats du premier ordre

Les notions des quantificateurs tout et il existe peuvent être clarifiées dans les écoles
primaires, même il est possible de faire connaître aux élèves les tautologies
quantifiées de Morgan. Tels problèmes qui ne sont pas toujours, sans condition vrai
nous permettent d'expliquer les tautologies de Morgan. Regardons par exemple la
sentence tout les triangles sont isocèle.
Dans tels cas il suffit de trouver une contre-exemple pour démontrer que cette
sentence n'est pas vrai.

Dans les cas plus compliqués il peut être utile de prendre en compte de la théorie des
ensembles [GGG73]. Si les élèves découvrent la relation entre les opérateurs des
ensembles et des connecteurs logiques ils peuvent imaginer plus facilement ce qu'ils
veulent signifier.

{x | A(x) /\ B(x)} = {x | A(x) } U {x | B(x)}


ou
Vx( A(x) /\ B(x) ) ⇔ Vx A(x) /\ Vx B(x)

A l'aide de diagramme de Venn il est facile de montrer que certaines formules sont
tautologies. En mêmes temps les contre-exemples sont utiles pour vérifier que
certaines formules ne sont pas tautologies.

7 Conclusion

Dans cet article nous avons donné une méthode pour enseigner la logique des écoles
primaires aux écoles supérieures. Nous avons mentionné des programme qui peuvent
développer le raisonnement logique même à l'âge de 10 ans. Quelques types des
problèmes sont énumérées qui peuvent être utiles dans l'enseignement de la logique.
Les notions et les tautologies sont données qui sont indispensables dans la
compréhension profonde du thématique obligatoire.

Références

[Asz01]László Aszalós. Automated Solution of the Riddle of Dracula and Other


Puzzles. IJCAR, Siena 2001.
[Bai79] J. C. Baillif. Les casse-tête logiques de Baillif . Dunod, Paris, 1979.
[GGL69] C. Gautier, G. Girard, et A. Lentin. Aleph0 / Algèbre. Classiques Hachette,
Paris, 1969.
[GGG73] C. Gautier, G. Girard, D. Gerill, C. Thiercé et A. Warusfel. Aleph1 /
Analyse. Classiques Hachette, Paris, 1973.
[HR96] H. James Hoover et Piotr Rudnicki. Teching freshman logic with Mizar-MSE.
In DIMACS Symposium on Teaching Logic and Reasoning in an Illogical
World, Rutgers University, Piscataway, New Jersey, 1996.
[Smu81] Raymond Smullyan. Quel est le titre de ce livre ? Dunod, Paris, 1981.
[Smu82] R. M. Smullyan. The Lady or The Tiger? and Other Logical Puzzles.
Alfred A. Knopf, Inc., 1982.
[Smu87] R. M. Smullyan. Forever Undecided -- A Puzzle Guide to Gödel. Alfred
A. Knopf, Inc., New York, 1987.
[Zal87] A. Zalewska. An application of Mizar MSE in a course in logic. In J.
Srzednicki, editor, Initiatives in Logic, pages 224-230. Martinus Nijhoff
Publishers, 1987.

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