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Nom: Fowdar.

Classe: Génie civile 2

Date de soumission: 04.05.2016

Professeur: Mr B.Perrine

1
Sommaire:

Remercîments........................................................................................................................3

Introduction Confort............................................................................................................4-5

Confort thermiques.......................................................................................................... ....6

 confort et température............................................................................................7-8
 confort et humidité..................................................................................................9
 plage de confort température-humidité..................................................................10
 Hygrométrie.............................................................................................................11

Confort acoustique...............................................................................................................12-15

Confort visuel.......................................................................................................................16-18

Qualité de l'air......................................................................................................................19-21

Ventilation et climatisation..................................................................................................22-28

Analyse de ma maison.........................................................................................................29-36

Conclusion............................................................................................................................37

Quelque lien.........................................................................................................................38

2
Remercîment:
Je tiens sincèrement à exprimer ma gratitude à Mons Bernard Perrine, architecte de
renom internationale, qui nous a demandé de faire ce rapport sur le confort dans le
bâtiment, plus précisément sur notre propre maison, afin de comprendre les différentes
paramètres de différentes types de conforts que nous devons prendre en considération lors
de la conception et construction d'un bâtiment quelconque.

J'aimerait vous remercier d'avoir partager vos connaissances et vos expériences dans
le filière de l'architectures avec nous. Merci beaucoup pour tout votre aide et conseils qui
ma on permis de réaliser ce rapport.

3
Introduction:
C'est quoi le confort?

Le confort correspond à l’ensemble des commodités (souvent celles d’une habitation) qui
procure le bien-être matériel. C’est aussi l’impression agréable qui procure la satisfaction des
besoins du corps et de l’esprit. Par définition le mot confort semble donc dépendant de l’ensemble
des commodités qui procure de l’agrément, générant une impression plaisante ressentie par les sens
et l’esprit, voire même un certain plaisir. Certes, mais alors que sont ces commodités ? Par
définition, c’est tout « ce qui est d’utilisation facile, qui procure l’aisance, qui remplit l’usage qu’on
en attend ou qui rend la vie agréable ».

Si l’on se cantonne à l’aspect du milieu bâti, les conditions de confort peuvent se réduire aux
conditions environnementales, intérieures et aussi extérieures puisque le milieu bâti se trouve
implanté au sein d’un environnement externe, certes pas ou peu maîtrisé mais réellement influant.

Multiples dimensions du confort:

La satisfaction vis-à-vis de l’environnement fait appel à toutes les dimensions physiques des
ambiances, mais également à des aspects comportementaux et psychologiques.

Au niveau physique, ou physiologique, on distingue les conforts respiratoires, thermiques,


acoustiques et visuels. Ces aspects sont généralement assez bien connus et de nombreuses normes
définissent des seuils minimums et/ou maximums pour les grandeurs physiques concernées
(éclairement, température, puissance acoustique, etc.). à noter que ces grandeurs ne sont pas
nécessairement absolues : elles peuvent varier dans le temps. Ainsi, les plages de confort
thermiques ne sont pas les mêmes en été et en hiver, du fait notamment d’adaptation physiologique
(modification du rythme cardiaque et de la capacité de sudation).

Au niveau comportemental, c’est la capacité d’action de l’occupant dans le bâtiment qui est
mise en évidence. Car les conditions intérieures et les attentes sont variables dans le temps : on
accueillera plus favorablement un courant d’air en été qu’en mi-saison. Il est donc important que
l’occupant ait une capacité d’action sur les organes de contrôle des systèmes du bâtiment, sur son
activité et sur son habillement.

Au niveau psychologique, c’est surtout l’implication de l’occupant qui est mise en avant
lorsque l’on parle d’énergie. Il ne suffit pas qu’il ait la capacité de contrôler son environnement si ces
besoins physiologiques le demandent, il faut qu’il ait conscience de cette capacité. L’implication fait
donc intervenir la compréhension du fonctionnement du bâtiment, la capacité d’anticiper les
conséquences de ses actions sur l’ambiance et une compréhension du lien entre ses actions et leur
impact énergétique. Par exemple, une personne avec une conscience environnementale élevée
acceptera plus facilement une température relativement basse, si elle sait qu’elle contribue par-là à
des économies d’énergie fossile.

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Ces trois dimensions, physiologiques, comportementales et psychologiques sont fortement liées,
comme le montre l’organigramme ci-dessous.

Notons pour mémoire qu’il existe encore d’autres dimensions à la sensation de bien-être dans un
bâtiment, tels que le confort d’usage (est-ce que le bâtiment permet de déployer adéquatement l’activité
pour laquelle il est conçu ?), le sentiment esthétique, un sentiment positif ou négatif lié à la nouveauté
d’un bâtiment ou à la familiarité que l’on a avec, etc.

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Le confort thermique:
Définition:

Le confort thermique est défini comme "un état de


satisfaction du corps vis-à-vis de l'environnement thermique".

Les 6 paramètres traditionnels du confort thermique:

Le confort thermique est traditionnellement lié à 6 paramètres :

1. Le métabolisme, qui est la production de chaleur interne au corps humain permettant de maintenir
celui-ci autour de 36,7°C. Un métabolisme de travail correspondant à une activité particulière
s’ajoute au métabolisme de base du corps au repos.

2. L'habillement, qui représente une résistance thermique aux échanges de chaleur entre la surface
de la peau et l'environnement.

3. La température ambiante de l’air. (Ta)

4. La température moyenne des parois. (Tp)

5. L'humidité relative de l'air (HR), qui est le rapport exprimé en pourcentage entre la quantité d'eau
contenue dans l'air à la température (Ta) et la quantité maximale d'eau contenue à la même
température.

6. La vitesse de l'air, qui influence les échanges de chaleur par convection. Dans le bâtiment, les
vitesses de l'air ne dépassent généralement pas 0,2 m/s.

Notez que de façon simplifiée, on définit une température de confort ressentie (appelée aussi
"température opérative" ou "température résultante sèche") :

T°opérative = (T° air + T°parois) / 2

Cette relation simple s'applique pour autant que la vitesse de l'air ne dépasse pas 0,2 m/s.

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Confort et température:

Dans les conditions habituelles, l'homme assure le maintien de sa température corporelle autour de
36,7°C. Cette température est en permanence supérieure à la température d'ambiance, aussi un équilibre
doit-il être trouvé afin d'assurer le bien-être de l'individu.

PDD: pourcentages prévisibles d'insatisfaits.

Comme nous pouvons le voir dans le figure ci-dessus il est impossible de définir une température qui
convienne à tous : il reste au mieux 5 % d'insatisfaits !

Il est intéressant de constater que la courbe des sujets au repos est centrée sur 26°C, et qu'elle est
plus resserrée : ces personnes sont plus sensibles à de faibles variations de température.

La courbe représentant le travail léger glisse vers les basses températures : les personnes ayant plus
de chaleur à perdre préfèrent des températures plus basses.

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La diffusion de chaleur entre l'individu et l'ambiance s'effectue selon divers mécanismes:

 Plus de 50 % des pertes de chaleur du corps humain se font par convection avec l'air
ambiant (convection et évaporation par la respiration ou à la surface de la peau).

 Les échanges par rayonnement à la surface de la peau représentent jusqu'à 35 % du bilan


alors que les pertes par contact (conduction) sont négligeables (< 1 %).

 Le corps perd également 6 % de sa chaleur à réchauffer la nourriture ingérée.

Cette importance de nos échanges par rayonnement explique que nous sommes très sensibles à la
température des parois qui nous environnent.

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Confort et humidité
L'humidité relative ambiante influence la capacité de notre
corps à éliminer une chaleur excédentaire.

Ainsi, une température extérieure de 24°C et une humidité relative de 82 % (après une pluie en
période de forte chaleur), entraînent une forte impression de moiteur, due à l’impossibilité pour la peau
d’évaporer l’eau de transpiration et donc de se rafraîchir.

Par contre, une température de 24°C conjointe à une humidité relative de 18 % (climat estival
méditerranéen) permet de refroidir la peau par l’évaporation de l’eau de transpiration. La chaleur nous
paraît " très supportable ".

L'impact de l'humidité relative dans un bâtiment:

L'humidité a relativement peu d'impact sur la sensation de confort d'un individu dans un
bâtiment. Ainsi, un individu peut difficilement ressentir s'il fait 40 % ou 60 % d'humidité relative
dans son bureau.

L'inconfort n'apparaît que lorsque :

 L'humidité relative est inférieure à 30 %,


 L'humidité relative est supérieure à 70 %

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La plage de confort température-humidité:
Pour un confort optimal et pour une température de l'air aux environs de 22°C, on peut dès lors
recommander que l'humidité relative soit gardée entre 40 et 65 %.

Plus précisément, on peut définir une plage de confort hygrothermique dans le diagramme suivant:

(extrait de l'article de R. Fauconnier L'action de l'humidité de l'air sur la santé dans les bâtiments
tertiaires parut dans le numéro 10/1992 de la revue Chauffage Ventilation Conditionnement).

1: Zone à éviter vis-à-vis des problèmes de sécheresse.

2 et 3 : Zones à éviter vis-à-vis des développements de bactéries et de microchampignons.

3: Zone à éviter vis-à-vis des développements d'acariens.

4: Polygone de confort hygrothermique.

Confort hygrométrique

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Hygrométrie
L’hygrométrie, c'est-à-dire le degré d’humidité présent dans l’air l’intérieur d’une habitation, est
capitale pour le bon équilibre du bâtiment et le respect de la santé de ses occupants. N’oublions pas qu’en
respirant, chacun d’entre nous produit 40 grammes de vapeur d’eau par heure lorsque nous dormons et
jusqu’à 150 grammes par heure lorsque nous sommes en activité. Mesuré par un hygromètre, ce taux est
idéalement compris entre 30 et 70 %, fourchette dans laquelle l’hygrométrie n’influence que très peu la
sensation de confort thermique.

Les risques de dégradation du bâti et d’inconfort pour l’occupant liés à un taux d’hygrométrie
excessif dans un bâtiment sont de deux natures :

- La condensation qui se forme sur la paroi en contact avec l’air extérieur lorsque l’air
intérieur est chaud et l’air extérieur froid.

- La vapeur d’eau dégagée par toute activité humaine (jusqu’à 14 litres par jour dans une
habitation moyenne) qui a tendance à condenser sur les parois froides (celles en contact
avec l’extérieur).

Mesures :

La mesure la plus évidente à mettre en place pour évacuer les excès d’humidité est l’installation d’un
système de ventilation efficace.

Cette ventilation peut être :

- naturelle ou à tirage thermique : amenées d’air intégrées aux menuiseries et extraction par
tirage naturel par des conduits verticaux (principe de la cheminée) ;

- ponctuelle : extracteur d’air placé dans les locaux humides ;

- contrôlée : VMC simple flux, hygroréglable, double flux.

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Le confort acoustique
Le son est une sensation auditive engendrée par la
fluctuation périodique de la pression de l'air au niveau de
l'oreille. Cette fluctuation peut être caractérisée par son
intensité (niveau sonore, en décibel : dB), sa fréquence
(comprise entre 20 et 20 000 Hz pour l’être humain) et son
timbre (différence qualitative liée à la forme de la vibration).

Les ultrasons ont des fréquences supérieures à 20 000 Hz


et ne peuvent être audibles que pour certaines espèces
animales, par exemple, le chien qui peut entendre des sons
jusqu’à 80 000 Hz.

Le son se propage à une vitesse qui dépend du milieu : dans l’air (bruit aérien) à une température de
20 °C, cette vitesse atteint 343 m/s. Dans l’eau, elle est de 1 170 m/s et peut monter à 5 000 m/s pour la
propagation du son via des masses métalliques (bruit d’impact).

La clarté du son dépend du chemin parcouru par l’onde sonore : la géométrie du lieu détermine le
temps de réverbération, ce qui est primordial, par exemple, pour une salle de concert.

Les pressions acoustiques rencontrées dans la pratique varient sur une échelle de 1 à 10 millions. Par
ailleurs, la sensation auditive est proportionnelle au logarithme de l’excitation (loi de Fechner).

La mesure de l'intensité est faite au moyen de l'échelle logarithmique des décibels, qui caractérise le
rapport d’une puissance sonore par rapport à une puissance de référence (2 dix-millièmes de Pa, soit la
plus faible pression acoustique perceptible par une oreille humaine).

Toute augmentation de 20 décibels de l’intensité sonore correspond à une multiplication par 10 de


l’amplitude de l’onde.

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Comment s'additionnent les bruits ?

Les décibels sont des logarithmes, on ne peut donc pas les additionner ou les soustraire comme des
nombres décimaux.

Pour rester simple, sachez que…

- si le niveau du bruit double, cela correspond à l’émission de 3 dB de plus.


- s’il diminue de moitié, son niveau aura 3 dB de moins.

Afin de connaître le niveau global de bruit émis par plusieurs sources en même temps, deux règles
s’appliquent :

 Pour des bruits de niveaux très sensiblement différents (=10 dB)


20 dB + 50 dB = ? (70) dB
20 dB + 50 dB = 50 dB
Le bruit le plus fort masque le plus faible.
 Pour des bruits de niveaux équivalents (=10 dB)
50 dB + 50 dB = ? (100) dB
50 dB + 50 dB = 53 dB
Pour un écart entre le bruit le plus faible et le plus fort = à 10 dB, ajouter au bruit le plus fort les
valeurs suivantes:

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Quelques valeurs:

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L’exposition au bruit entraîne une diminution de la perception dépendant de l’intensité du bruit, de
la durée d’exposition et du type de son (les sons aigus intermittents étant les plus nocifs). L’excès de bruit
agit au niveau de l’oreille interne, provoquant un déficit temporaire (fatigue auditive) ou définitif de la
sensibilité. Une exposition courte à un bruit très violent (110 dB en discothèque) peut faire perdre
définitivement une partie ou la totalité de l’audition.

Le confort sonore dépend du niveau sonore, spécialement en milieu industriel où les machines sont
assourdissantes. Il dépend aussi de la sensibilité de l'oreille aux basses fréquences. Des mesures
correctrices telles que l’installation de panneaux absorbants peuvent être mises en œuvre pour contrôler
ces deux critères.

Le confort acoustique dépend enfin de la dynamique sonore, c'est-à-dire de l'émergence du son sur
le bruit de fond (effet de contraste). Un robinet qui fuit le soir peut être aussi inconfortable qu'un train qui
passe au lointain. Le confort sonore dans les espaces de bureaux où le niveau sonore est relativement bas
dépend davantage de la capacité du bruit de fond à masquer l'émergence de sons particuliers
(conversations, etc.) que du niveau sonore.

La figure ci-dessous rassemble les critères de niveau sonore et d’effet de contraste en situant une
plage de confort et la position relative de divers bruits courants. Bien qu’ayant un niveau sonore très
inférieur, un ronflement peut être ressenti comme aussi inconfortable que le bruit d’un train. Il est
également important de noter que l’absence de bruit (dB < 30) n’est pas confortable

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Le confort visuel
La lumière:

La perception de la lumière est un des sens les plus importants de l’Homme. Grâce à cette
perception, nous pouvons appréhender facilement l’espace qui nous entoure et nous mouvoir aisément
dedans. L’œil, jouant le rôle d’interface avec l’environnement est sensible non seulement aux
caractéristiques de la lumière, mais aussi au niveau de ses variations et de sa répartition. L’œil est
indubitablement une merveille de "technologie naturelle" capable de s’adapter aux conditions extrêmes
qui règne sur notre planète, mais, naturellement, a ses limites au niveau adaptation et accommodation ; ce
qui consiste les limites du confort visuel.
Le confort visuel:

À l’instar du confort thermique, le confort visuel est, non seulement une notion, objective faisant
appel à des paramètres quantifiables et mesurables, mais aussi à une part de subjectivité liée à un état de
bien-être visuel dans un environnement défini.
Le confort visuel dépend à la fois :

 De paramètres physiques comme l’éclairement, la luminance,

 De caractéristiques liées à un environnement interne, externe,

 De caractéristiques propres à la tâche à réaliser comme la lecture, le travail de bureau, la


manutention de marchandises,

 De facteurs physiologiques tels que l’âge,

 De facteurs psychologiques et sociologiques comme la culture, l’éducation.

Paramètres physiques:

La luminance, l’éclairement, l’éblouissement et les contrastes sont les plus perceptibles par l’Homme
et les représentatifs du confort visuel. À ces paramètres, on associe des valeurs qui garantissent le bon
déroulement d’une tâche sans fatigue ni risque d’accident :

 L’éclairement (en lux) est une valeur relativement facile à mesurer (luxmètre) ;

 La luminance (en candela.m² ou cd/m²), plus représentative de la perception réelle de l’œil,


mais demande du matériel sophistiqué (luminancemètre);

 L’éblouissement (en UGR) qui constitue le paramètre le plus gênant dans la réalisation d’une
tâche. Il se mesure avec un luminancemètre visant une direction bien spécifique. Il reste à
préciser que l’éblouissement peut être direct ou indirect ;

 Les contrastes, quant à eux, sont responsables d’un manque de distinction de deux zones ou
éléments différents.

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Caractéristiques propres à l’environnement:

La volumétrie d’un local et les propriétés des parois influencent la qualité de la répartition
du flux lumineux. Elles constituent l’environnement immédiat ou éloigné. Le flux lumineux au
niveau d’une tâche résulte de la superposition de la lumière naturelle issue d’une ouverture dans
une paroi externe verticale ou/et horizontale et la lumière artificielle.

Au niveau de la composante naturelle, on distingue :

 La composante directe issue sans réflexion du soleil ou du ciel de manière générale


(réflexion du rayonnement solaire sur la couche nuageuse ) ;

 La composante indirecte réfléchie par des éléments externes comme une surface vitrée d’un
immeuble voisin ;

 La composante indirecte interne issue de la réflexion des deux composantes externes sur les
parois internes.

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Au niveau de la composante artificielle d’un luminaire, on distingue aussi :

 La composante directe depuis le luminaire sur le plan de travail ;

 Et la composante indirecte résultant des réflexions multiples sur les parois internes du local
considéré.

Les paramètres influençant le niveau d’éclairement de la tâche est directement liée aux paramètres
influençant l’éclairage naturel et artificiel :

 La contribution des composantes externes dépendra de la taille, de la forme, de


l’orientation, du positionnement de l’ouverture dans la façade, des caractéristiques du
vitrage, de la présence ou pas d’une protection solaire et des coefficients de réflexion des
parois ;

 Les propriétés des luminaires, leur localisation et leur orientation

Facteurs physiologiques:

Nous ne sommes pas égaux devant le confort visuel. Les couleurs ne sont pas perçues de la même
manière d’un individu à l’autre. Aussi, les capacités visuelles sont fonction de l’âge des personnes : dans
une maison de retraite, par exemple, une lumière plus blanche (Rendu de couleur élevé) permettra plus
facilement d’assurer le confort visuel des personnes âgées.

18
La qualité de l'air:
Introduction:

L'être humain passe entre 80% et 90% de son temps dans un espace intérieur clos et y respire de
l'air intérieur bien souvent plus pollué que l'air extérieur.

Par exemple, si le taux de ventilation d'une salle de réunion est insuffisant, l'air y est rapidement
vicié par de multiples agents. En effet, le gaz carbonique (CO2) produit par les occupants, les micro-
organismes et matières odorantes dont ils sont porteurs,... maintiennent chaque personne dans une
ambiance de plus en plus malsaine : la respiration est moins active, une fatigue prématurée apparaît. Le
risque de contamination augmente, ...

L'homme au repos ne consomme qu'environ 0,5 m³ d'air par heure pour respirer. Selon le type
d'activité, ce taux peut atteindre 5 m³/h, alors que pour rencontrer le niveau de qualité requis, le taux de
ventilation d'un local doit être au minimum de 22 m³/h par personne.

Les diverses substances de contamination et de pollution sont d’ordre biologique (germes


pathogènes, pollens, spores), physique (particules radioactives, les poussières) ou chimique (composés
organiques volatiles, matières odorantes, le gaz carbonique, fumée de tabac).

Certaines de ces substances peuvent être détectées immédiatement, d'autres ne sont pas décelables
par les sens, même lorsque leur concentration dépasse la limite admissible.

À courte durée d’exposition, ces polluants peuvent provoquer irritations, nausées, maux de tête, …
Mais à longue durée d’exposition, ils peuvent entrainer des pathologies plus graves et aller jusqu’au
développement de certains cancers. En plus, actuellement, les effets combinés de ces polluants sont très
peu connus.

La qualité de l’air intérieur est influencée principalement par :

 L’environnement extérieur

 Les matériaux de construction : revêtements, installations techniques,

 L’occupation du bâtiment : respiration, entretien,

 Le mobilier et les appareils électroménagers

En outre, le manque de ventilation et l’humidité, augmente le risque et la contamination biologique de l’air


des espace intérieur.

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Les polluants:

1. Germes pathogènes

2. Allergènes

3. Radon

4. Poussières

5. Composés organiques volatiles

6. Matières odorantes

7. Gaz carbonique

8. Le monoxyde de carbone

9. Les oxydes d’azotes

10. Fumée de tabac

11. Humidité

La vapeur d’eau n’est pas un polluant en soi mais l’humidité relative va jouer un rôle aggravant dans
la qualité de l’air. En effet, plus l’air est sec, plus les irritations respiratoires seront favorisées et au
contraire, plus l’air est humide, plus le développement des allergènes, moisissures et acariens sera
favorisé.

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Les taux de renouvellement d'air:

Il existe une relation entre le débit d'air frais et le pourcentage prévisible de personnes insatisfaites
(PPD) par la qualité de l'air ambiant. Le graphe ci-après donne ce pourcentage en fonction du volume d'air
de ventilation en m3/h et par occupant.

Une concentration de CO2 maximale de 0,15 % (ou 1 500 ppm) en volume correspond à un
renouvellement d'air de 20 m³/h par personne, soit un pourcentage prévisible d'insatisfaits de près de
25 %. Les normes internationales suggèrent de n'admettre que 20 % maximum de personnes insatisfaites,
ce qui correspond à un renouvellement d'air de 30 m³/h par personne.

Dans des locaux à usage particulier, ces valeurs de référence peuvent être différentes : par exemple
dans une chambre d'hôpital, pour limiter les risques de contamination, il faut prendre un renouvellement
d'air de 50 m³/h par personne. Par ailleurs, lorsqu'il est permis de fumer, il faut au minimum doubler les
taux de renouvellement d'air proposés.

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Ventilation et climatisation:

En région tropicale, il existe deux manières d'établir un excellent confort thermique dans l'habitat:

1. la climatisation naturelles: en adaptant le bâtiment aux atouts du climat et du site.


2. la climatisation artificielle: en installant un conditionneur d'air ou un climatiseur.

Toutefois, la climatisation naturelle est préférable au climatiseur pour au moins trois raisons:

 les conditions climatiques particulièrement clémentes en régions tropicales font que, dans une
maison bien conçue, le confort thermique est tout à fait satisfaisant,
 le confort thermique naturel présents des qualités spécifiques : ni bruits, ni impression
d'enfermement, ni maladie due à la climatisation artificielle,
 ce confort ne coûte rien en frais d'exploitation. Rappelons qu'une maison équipée d'un climatiseur
voit sa consommation électrique douleur!

Principe de la climatisation naturelle:


Un climat tropical humide se caractérise par une température relativement élevée et une grande
humidité .C'est la combinaison de ces deux facteurs qui est à l'origine de la sensation d'inconfort.
Néanmoins, ce type de climat est agréable à l'extérieur, à l'ombre et sous une brise légère. L'objectif
de la climatisation naturelle est de recréer à l'intérieur des conditions de confort thermique
similaires.

Pour reproduire ces conditions thermiques idéales, deux écueils doivent être évités :

 la surchauffe des locaux due au rayonnement solaire,


 l'absence de circulation d'air.
Aussi une bonne conception architecturale doit-elle reposer sur deux principes fondamentaux :

 La protection solaire du bâtiment.

Un bâtiment mal protégé du soleil génère une surchauffe à l'intérieur. Cette


surchauffe peut être combattue efficacement par des moyens relativement simples : ombre, ventilation...

 Le développement de la ventilation naturelle.

Cette dernière contribue non seulement à refroidir les locaux, mais surtout elle
favorise le processus de sudation, véritable climatiseur du corps humain. Les moyens de développer la
ventilation naturelle sont le thème principal de ce dossier.

22
Quelques chiffres:

 Une bonne protection solaire doit maintenir le local à une température similaire à celle
régnant à l'extérieur à l'ombre.

 Une bonne ventilation naturelle doit développer une vitesse d'air de 1 m/s aux heures les
plus chaudes. Ce qui procure une sensation de fraîcheur représentant une diminution de la
température de 3 à 4°C.

 Dans une maison bien conçue, un confort thermique "équivalent" à 26°C est escompté aux
heures les plus chaudes de la journée.

Les trois fonctions de la ventilation:

Selon son débit, la ventilation naturelle peut assurer trois fonctions :

 débit faible (1 à 5 volumes/heure): maintenir des conditions d'hygiène par évacuation de l'air vicié
et de l'excès d'humidité,

 débit moyen (20 à 50 volumes/heure): évacuer la chaleur interne et refroidir. A 30 volumes/heure,


on obtient 85% de l'effet de refroidissement pour un local à structure légère (bois, tôle) et 80 % pour
un local à structure lourde (parpaings).

 débits forts (au-delà de 100 volumes/heure): confort thermique des occupants.

La ventilation optimale de confort, sans gêne pour les occupants (pas d'envol des feuilles de papier,
etc.), est de l'ordre de 1 m/s. Au-delà, le bénéfice de confort thermique est moindre compte tenu des
gênes occasionnées.

VITESSE D'AIR : 1 m/s => 3 A 4°C de fraîcheur

Un débit jusqu'à 30 volumes/heure, nécessaire à l'évacuation de la chaleur, est facilement obtenu


par l'ouverture des baies, sans conception particulière du local. Par contre, l'obtention d'une ventilation
naturelle développant les vitesses d'air indispensables au confort thermique des occupants est plus difficile
et nécessite une conception appropriée du bâtiment.

23
Les critères de la ventilation:

Ventiler un local en utilisant le vent consiste à utiliser la différence de pression existant entre les
différents murs d'un local, la circulation d'air s'établissant entre les ouvertures. Deux types de paramètres
régissent les courants traversant :

 le potentiel du site, selon :


1. l'importance et la régularité du vent,
2. la présence d'éléments déventant le site (colline, vallée, cocoteraie,...),
3. la nature de l'environnement (milieu urbain, dégagé, barrière végétale,...).
 les performances du local, selon:
1. l'orientation du bâtiment et des ouvertures par rapport aux vents dominants,
2. Le nombre d'ouvertures sur les façades,
3. la circulation intérieure (définition des cloisons intérieures, portes,...),
4. la forme et la dimension du local.

 Les meilleurs résultats sont obtenus:


1. lorsque l'axe des principales ouvertures coïncide avec la direction des vents
dominants, (est/ouest),
2. avec l'orientation où l'exposition solaire est maximale pour les ouvertures, mais la
plus difficile à protéger.

S'adapter aux contraintes:

Profil des vents:

Les alizés sont le principal potentiel de vent en région tropicale (vent de secteur Est). Ils peuvent être
complétés par de petits vents thermiques comme le vent de la terre et de la mer. Excepté les zones
protégées ou très urbanisées, le potentiel de vent est généralement suffisant pour établir une bonne
ventilation. Le vent atteint généralement son maximum d'intensité aux heures les plus chaudes, c'est-à-
dire au moment où il est le plus utile. La nuit, le vent est plus faible. Ce n'est nullement gênant dans la
mesure où les besoins en ventilation sont plus faibles.

Sites venteux:

Ils se situent généralement en bord de mer ou en milieu dégagé. Une bonne conception doit amener
un profil de vitesse de l'ordre de I m/s aux heures les plus chaudes. Il existe des moyens de réguler la
vitesse d'air à l'intérieur des locaux : les lames orientables. Celles-ci protègent du soleil et offrent la
possibilité de moduler la ventilation par l'inclinaison des lames. Thermiquement, le meilleur matériau pour
ces lames est l'aluminium.

Autres cas:

En zone urbaine dense ou dans tous les sites confinés ou soumis à la pollution et au bruit, il est
illusoire de compter sur une bonne ventilation des locaux. Si l'obtention d'une ventilation de confort paraît
hors de portée, il est toujours possible d'évacuer la charge thermique. Pour pallier l'insuffisance de vitesse,
il existe un moyen peu coûteux : le brasseur d'air.

Un brasseur d'air est toujours préférable à un climatiseur : sa consommation est bien moindre.

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Orientation et dimension des ouvertures:

Deux phénomènes antagonistes interviennent pour le dimensionnement des ouvertures. En effet,


un accroissement des dimensions des baies entraîne :

 les avantages liés au développement de la ventilation,


 les inconvénients d'un risque de surchauffe dû aux apports solaires par les ouvertures.

Il en va de même quant à l'orientation du bâtiment : l'orientation la plus favorable à la ventilation


est également la plus exposée au soleil.

Orientation nord/sud:

Le potentiel de ventilation est moindre qu'en direction est/ouest, mais l'exposition solaire des
ouvertures est nettement moins importante. De plus, il est facile de protéger du soleil les ouvertures
nord/sud. Des baies couvrant 40 à 60% des façades sont un bon compromis pour une ventilation
satisfaisante.

Orientation est/ouest:

C'est la meilleure orientation pour mettre à profit les vents dominants pour ventiler la maison. Mais
l'exposition solaire des ouvertures est 2 à 3 fois plus importante qu'en direction nord/sud et est difficile à
protéger 30% de surface d'ouverture sont Un optimum raisonnable permettant une bonne ventilation.
Mais, pour éviter les risques de surchauffe, des protections solaires spécifiques doivent être prévues.

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Implantation du bâtiment:

Dans les climats chauds, la conception architecturale doit mettre en œuvre toutes les opportunités :

 limiter géométriquement les apports solaires,


 favoriser la ventilation naturelle par les ouvertures.

Pour les bâtiments neufs, orienter le bâtiment de façon à réaliser une bonne exposition solaire du
bâtiment. L'axe longitudinal du bâtiment doit être Est/Ouest (façades principales au nord et au sud).

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CLIMATISATION ARTIFICIELLE:
Dans les régions tropicales humides, la croissance du parc des matériels de conditionnement d'air
est importante. La diffusion rapide de ces équipements gros consommateurs d'énergie électrique pose
toutefois quelques problèmes. Le bilan énergétique s'alourdit, augmentant les importations pétrolières
lorsqu'on n'utilise pas les énergies renouvelables.

Quelques chiffres éloquents...

Saviez-vous que le climatiseur est l'équipement le plus consommateur d'électricité ? Une chambre d'hôtel,
un grand bureau. c'est 1 à 5 A4Whian de consommation électrique !

Les déterminants de la demande en climatisation sont liés :

 à des paramètres objectifs:

1. En région tropicale humide, la température et l'humidité atteignent simultanément des


niveaux élevés. L'installation est utilisée pour corriger ces aléas climatiques.

2. Productivité accrue ou renforcement de l'image d'une entreprise ou nécessités d'ordre


technique dans le domaine du tertiaire (salles informatiques, blocs opératoires,...)

3. Mauvaise conception des bâtiments. La construction dite 'moderne' reposant sur les
préceptes des standards occidentaux, peu adaptés au climat tropical humide, elle génère
un inconfort latent structurel.

 à des paramètres subjectifs : phénomène de mode, qualité de la vie et coût d'investissement


relativement faible, surtout en habitat individuel.

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Choix d'une installation:

La climatisation artificielle contrôle à l'intérieur des locaux la température et l'humidité de l'air. Ce


résultat est toujours obtenu par extraction de chaleur et puisage de l'air traité (refroidi, déshumidifié,
chauffé, purifié). Dans le secteur tertiaire, on devrait utiliser essentiellement des installations de
climatisation centralisée. Pour les particuliers, l'utilisation de climatiseurs de type Inverter s'impose.

Alors, comment choisir une installation ?

Il n'existe pas de méthodologie absolue. Le choix d'une installation de climatisation dépend de la


particularité du projet, des exigences du client, du budget.. Parmi les solutions proposées, toutes ne sont
pas équivalentes, notamment d'un point de vue de la consommation énergétique (par exemple, les
installations de type Inverter consomment nettement moins d'énergie que les installations classiques).

Quel critère de choix retenir ?

Le coût global, un excellent critère:

L'aspect financier est souvent prédominant dans la prise de décision. L'examen du prix d'achat
matériel doit impérativement être complété par les frais d'entretien et d'exploitation. Avant de fixer son
choix, une analyse complète du coût global sur plusieurs années est la meilleure solution pour optimiser
les différents budgets. Les frais d'exploitation (consommation électrique) sont de très loin le poste le plus
important devant le prix d'achat initial et les frais de maintenance.

C'est pourquoi il est TOUJOURS préférable d'investir sur du matériel performant et de qualité, même
plus cher en coût d'achat initial mais infiniment plus rentable à l'usage.

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Analyse de ma maison:

Positionnement géographique:

Description de la maison:

 Ma maison est située à Royal Road Mont-Ida dans le district de Flacq.


 La maison à été construit dans l'année 1993.
 La maison est de 112 mètre carre en béton avec des ouvertures vitrée.

La maison consiste de:

 2 chambres à coucher
 1 séjour
 1 cuisine
 1 salle à manger
 1 toilette
 1 Salle de bain
 2 porches

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Analyse de la chambre à coucher qui est située au fond:

Tube

Description des divers problèmes de cet chambre:

1. Confort thermique

Dû à sa positionnement vis-à-vis le positionnement du soleil la température dans cet chambre est


très élevé le soir. la température peut atteindre 26-29 °c le soir, qui est très inconfortable pour
dormir.

2. Confort visuel

Comme nous pouvons le voir sur les photos ci-dessus il fait très sombre dans cet chambre, cela est
dû à la proximité de la maison voisine et aussi dû à cet petite arbuste qui est située devant le seul impose
de la chambre.
La fenêtre permet la lumière de pénétré dans la chambre mais celle-ci n'est pas suffisante.

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3. Confort acoustique

Concernant le confort sonore on peut entendre les bruits de la cuisine des voisins de cet chambre
car celle-ci est située à-côté de la chambre.

4. Confort olfactif

De ce coté on peut ressentir les odeurs qui sont émit de la cuisine des voisins car l'ouverture de leur
cuisine est efface le la chambre .

5. Ventilation

Nous avons une tres mauvaise circulaire d'air dans cet chambre car le vent souffle complètement au
direction oppose des ouverture ,et que le mur de clôture ne permet pas la circulation d'air dans cet
chambre.

Solution possible:

Concernant le problème de confort thermique afin de réduire la température le soir on peut


utiliser un ventilateur ou faire même installer un climatiseur, le problème acoustique et olfactif n'est
pas trop grave car il y a du bruit que pendant que les voisine cuisine. Pour la visibilité on peut utiliser
des ampoules économique au lieu des tube. Pour la ventilation il est impératif que l'impose soit
ouvert tous le temps même le soir car si la fenêtre est fermer il n'y aura pas d'apport d'air frais.

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Analyse de la salle à mange:

Description des divers problèmes de cet chambre:

1. Confort thermique

La chaleur dans la salle à manger est assez élevé comparer au températures au qu'elle on est
confortable généralement. Le matin comme le soir la températures reste plus haute que la
moyenne.

2. Confort visuel

Le salle à manger est bien éclairé le matin mais dans l'après-midi il devient un peu sombre car elle ne
reçoit pas la lumière du soleil directement. Aussi il n'y a que une long impose pour permettre la
lumière de pénètre à l'intérieur qui est elle aussi à l'oppose du soleil dans l'après-midi. Aussi il y a
une gros arbre juste derrière le seul ouverture de la salle à manger qui bloque la lumière.

Arbre

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3. Confort acoustique
Concernant le confort acoustique il n'y a pas de problème dans la salle à manger.

4. Le confort olfactif

Appart des odeurs de cuisons de la cuisine on ne distingue pas d'autre odeur.

5. Ventilation

La circulation de l'air est moyenne dans cet pièce car li n'y a qu'une seul ouverture qui ne permet pas
une bonne apport en air frais

Solution possible:

Concernant le problème thermique on peut utilise un ventilateur au moment où on utilise la


salle à manger. Comme le salle à manger n'est pas beaucoup utiliser le problème de ventilation ne
cause pas trop de problème, mais lors des diner en famille où il y a beaucoup des personnes dans la
salle à manger on peut utiliser des ventilateurs pour l'aération de la pièce.

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Analyse de la cuisine:

Description des divers problèmes de cet chambre:

1. Confort thermique

La cuisine est la pièce où il fait le plus chaud, cet pièce a que deux impostes donc une seul qui peut
être ouverte.

2. Confort visuel
La cuisine est bien éclairé le matin de 7hrs à 11hrs environ ensuite la pièce devient sombre.
Les grandes impostes sont bloquer par le gros arbres qui est la l'arrière.

Arbre à
l'arrière de
l'imposte

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3. Confort acoustique
Concernant le confort acoustique il n'y a pas de problème dans la cuisine soif lors de la cuisson.

4. Le confort olfactif

Appart des odeurs de cuisons on ne distingue pas d'autre odeur.

5. Ventilation

La circulation de l'air est très mauvaise dans cet pièce, le seul imposte qui peut être ouvert est très
petite est ne permet pas une bonne circulation de l'air dans la cuisine. Le deuxième imposte qui est
prés du four ne peut être ouverte.

imposte qui
n'ouvre pas

Solution possible:
Comme la cuisine est utilisé que le matin et le soir pour un temps très minimum on peut l'utiliser
sans faire de trop gros changement, au moment de la cuisson on peut mettre un extracteur qui va retirer
l'air chaud et les fumée dehors, pour la lumière on peut utilisé des ampoules économiques afin d' éclairé la
pièce.

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Analyse de la chambre à l'avant et du séjour:

Description des divers problèmes de cet chambre:

1. Confort thermique

Le séjour et cet chambre sont très bien concernant le confort thermique, le vent travers bien ces
pièces. Le matin il faire un peu chaud mais dans la journée et le soir la températures est très
confortables.

2. Confort visuel
La visibilité est très bonne dans ces deux pièces. Il y a beaucoup d'ouvertures dans ces pièces.

3. Confort acoustique
Concernant le confort acoustique il n'y a pas de problème dans ces deux pièces. Sauf le sons de la
télé peut être entendu dans la chambre.

4. Le confort olfactif

Pas de problème d'odeurs dans ces pièces.

5. Ventilation

La circulation de l'air est très mauvaise dans cet pièce, le seul imposte qui peut être ouvert est très
petite est ne permet pas une bonne circulation de l'air dans la cuisine. Le deuxième imposte qui est
prés du four ne peut être ouverte.

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Conclusion:

Après avoir réaliser se rapport sur le confort de bâtiment, je suis maintenant capable de
comprendre clairement les différentes paramètres comme le confort thermique, confort visuel,
ventilation etc..qui doivent être pris en compte lors de la conception et la construction d'un
bâtiment, Ces différentes critères de confort sont très importantes car elle influence nous vie
quotidien. Comme le dégrée de confort varie pour chaque personne on doit faire en sorte de
atteindre un niveau de confort où tous le monde se sante confortable et se sens bien. Pour
terminé j'aimerait encore une fois remercier notre professeur Mr B.Perrine pour ce conseil lors de
la réalisation de ce rapport.

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Quelque liens:

http://www.moanaroa.com/energie/de-clim.php

http://www.energieplus-lesite.be/index.php?id=15297

http://www.saint-pierre-saint-jean.com/sites/default/files/4%C2%B0/Ressource%202.pdf

http://www.environnement.brussels/uploadedfiles/Contenu_du_site/Professionnels/Formations_et_s%C3
%A9minaires/B%C3%A2timent_durable_-_ENERGIE_2014/PRES_20140227_NRJ_LGTR_4_1LGTR_FR.pdf

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