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« A l’opposé, Dies Solis exalte la beauté du soleil et sa lumière resplendissante,

mais aussi le regret de l’homme devant le temps si court que sa vie lui accorde
pour aimer la création.

« Les soleils peuvent mourir et renaître


« Mais quant à nous, quand s’éteint
« La brève lumière de notre vie
« La nuit qu’il nous faut dormir
« Est une et éternelle. »
! Éditeur : Jobert, 1988.

NUIT DE POUCHKINE (n° 104) Durée : 7’30’’.


extrait du poème Le Cavalier de bronze d’Alexandre Pouchkine, adapté par
Maurice Ohana.
" Effectif : contre-ténor solo, 12 voix mixtes SATB, viole de gambe.
! Éditeur : Billaudot, 1992.
« A Léningrad, j’ai composé une oeuvre pour douze voix, haute-contre et viole
de gambe en huit heures à peine. Pourtant, cette Nuit de Pouchkine n’apparaît
guère comme une improvisation. Sans doute cet aboutissement a-t-il de lointaines
origines. Mais ces dons que la musique prodigue parfois, sont rares. »

AVOAHA (n° 106) Durée : 27’.


12 parties : I. Iya-Ngô ; II. Igvodou ; III. Yemaya ; IV. Refrain d’esclaves ; V.
Iya ; VI. Eros noir ; VII. Conductus ; VIII. Aux Dieux de la foudre et du vent ;
IX. Imprécations au Dieu Changô sourd aux sortilèges ; X. Eloge des héros et des
ancêtres ; XI. Tiger moon (lune du tigre) ; XII. El Dorado.
" Effectif : Choeur mixte SATB (36-48 voix)/ percussion (3 exécutants)/ 2
pianos.
Détail du matériel de percussion :
Percussion I : Vibraphone, 3 cymbales suspendues, 1 cymbale chinoise
suspendue, 2 m’tumbas, log drum, 4 wood-blocks, 2 bongos, 1 paire de maracas
aiguës ;
Percussion II : Xylomarimba, glockenspiel à marteaux, 3 gongs, 1 cymbale
chinoise aiguë, 4 toms, 4 temple-blocks, 1 paire de claves, maracas graves ;
Percussion III : Vibraphone, 3 toms (si, mi, si b), tom contrebasse (grosse caisse à
défaut), tambour de basque, 3 tam-tams (aigu, moyen, grave), 1 cymbale
moyenne suspendue, 2 cymbales posées sur feutre, 4 wood-blocks, 1 paire de
maracas aiguës.
! Éditeur : Billaudot, 1993.
« Avoaha désigne parmi les nombreux rites afro-cubains le rituel du combat.
Dans l’oeuvre présente, autour de la cérémonie qui accompagne ce rituel,
s’ordonnent comme dans une célébration religieuse, douze épisodes sans
interruption. Les uns sont des conjurations, d’autres de simples « paysages »
sonores évoquant les lieux ou l’heure. »
« Le titre est un peu énigmatique ; c’est une oeuvre qui est partie de cet immense
réservoir de musiques qu’est la musique afro-cubaine, qui est très connue à
travers le jazz et à travers les orchestres que l’on entend souvent, à Paris
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