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• Système discret :
N N
−−→ X −−→ X −−→ →
−
mOG = mi OP i ou mi GP i = 0
i=1 i=1
• Système continu :
ZZZ ZZZ
−−→ −−→ −−→ →
−
mOG = OP dmP = ou GP dmP = 0
P ǫV P ǫV
σ A (Σ/R) = σB (Σ/R) + AB ∧ m→
→
− →
− − −−→
vG
Le moment cinétique d’un système (Σ) par rapport à l’axe orienté ∆ est :
σ∆(Σ/R) = →
−
σA (Σ/R).→
−
u∆
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Résumé de mécanique du solide Mécanique du solide
σA (Σ/R) = →
→
−
σA (Σ) + −AG
−⋆ →
∧ m→
−
v (G/R)
1.5.3. Théorème de Kœnig pour l’énergie cinétique
1 2
Ec = Ec⋆ + mvG
2
Qui s’écrit pour un système fermé sous la forme du théorème du centre de masse :
d→
−v (G/R) →
−
m = m→
−a (G/R) = F ext
dt
Dans un référentiel galiléen, la quantité de mouvement d’un système isolé ou pseudo-isolé se conserve.
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Mécanique du solide Résumé de mécanique du solide
2.3.2. TMC en G
→
−
d G (Σ/R) σ − −
→ →
= MG F ext
dt /R
→
−
d ⋆ (Σ) σ
→ →
− −
= MG F ext
dt /R⋆
2.3.4. TMC par rapport à un axe fixe ∆
d σ∆ (Σ/R) →
−
= M∆ F ext
dt /R
σ
h→
− →− i
d P, A h→
− −→ → − i
= F ext , MA F ext
dt /R
2.5.2. Travail
Le travail élémentaire d’une action mécanique par rapport au référentiel R entre les instants t et t + dt est :
X→ − → X→ − −−→
δW/R (action) = P/R (action)dt = F i .−
v i (Pi ) dt = F i .dOP i
i i
Remarque :
• Dans le cas d’un système continu on a
ZZZ
→
−
P/R (action) = d f (P ).→
−
v (P )
P ǫV
ZZZ
→
− −−→
δW = d f (P ).dOP
P ǫV
• Malgré que la résultante des actions intérieures est nulle, la puissance des actions intérieures à un
système de points n’est pas nulle et indépendante du référentiel d’étude. Par contre la puissance des
actions intérieures à un solide indéformable est nulle.
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Résumé de mécanique du solide Mécanique du solide
→
−
dEm (Σ/R) = δW/R F nc
ou pour un déplacement fini :
→
−
∆Em = W ( F nc )
t1 →t2 t1 →t2
Dans un référentiel galiléen tel que le travail des actions non conservatives appliquées sur un système
est nul, l’énergie mécanique de ce système est conservée, soit :
→
−
W ( F nc ) = 0 ⇒ Em = cte
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Mécanique du solide Résumé de mécanique du solide
On a la formule du changement de point pour la vitesse appelée formule de Varignon : pour deux
points A et B quelconque d’un solide indéformable :
→
− −−→ →−
v (A/R) = →
−
v (B/R) + AB ∧ Ω (Σ/R)
→
− →
− −−−→
v (M/R) = →
−v (M/R′ ) + →
−
v (O′ /R) + Ω (R′ /R) ∧ O′ M
| {z } | {z } | {z }
vitesse absolue vitesse relative vitesse d’entraı̂nement
→
−
→
− →
− d Ω −−′−→ → − →− −−−→ →
− −
a (M/R) = a (M/R′ ) +→
−a (O′ /R) + ∧ O M + Ω ∧ Ω ∧ O′ M + 2Ω ∧ →
v (M/R′ )
| {z } | {z } | dt {z } | {z }
accélération absolue accélération relative accélération de Coriolis=→
−
ac
accélération d’entraı̂nement=→
−
ae
→
− →
− →
−
Ω (Σ/R) = Ω (Σ/R′ ) + Ω (R′ /R)
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Mécanique du solide Résumé de mécanique du solide
→
− →
− →
−
R (Σ2 /Σ1 ) = R N + R T
→
−
• La composante normale R N s’oppose à la pénétration d’un solide dans l’autre d’où la condition
→
− →
R N .−
n 2→1 > 0
→
−
n 2→1 la normale dirigée de (Σ2 ) vers (Σ1 ).
→
−
• La composante tangentielle R T s’oppose à un éventuel glissement de Σ1 sur Σ2 , il s’agit du frottement
de glissement.
On note ici →
−
vg=→
−
v g (Σ1 /Σ2 ).
→
− →
−
k R T k 6 fs k R N k
Avec fs coefficient de frottement statique.
→
−
4.1.2. Cas du glissement → −v g 6= 0
Les lois de Coulomb s’écrivent :
→
−
• R T et →−v g sont colinéaires et de sens opposés :
→
− →
− →
− →
RT ∧ →
−
vg= 0 et R T .−
vg <0
→
− →
−
• les normes de R T et R N sont reliées par :
→
− →
−
k R kT = fc k R N k
Une liaison entre deux solides est dite parfaite lorsque les actions mécaniques de liaison ont une puissance
totale nulle.
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Mécanique du solide Résumé de mécanique du solide
J∆ = J∆G + md2
σA (Σ/R) = σA
→
− →
−
k
+ σA
→
−
⊥
⋄ σA
→
−
k
→
−
= J∆ Ω la composante du moment cinétique parallèle à ∆
σ
→
− −−→
RRR
⋄ A ⊥
=ω P ǫV
AH HP dm(P ) la composante du moment cinétique normale à ∆
→
− →
−
σ A (Σ/R) = J∆ Ω
5.3.3. Moment cinétique par rapport à l’axe ∆ fixe
σ∆(Σ/R) = J∆ Ω
5.4. Energie cinétique
5.4.1. Expression générale
1 h→ →
−
σ
→
− →
− i
Ec (Σ/R) = −
v (A/R). P (Σ/R) + A (Σ/R). Ω (Σ/R)
2
Conclusion :
L’énergie cinétique d’un solide de mouvement quelconque est égale au comoment des torseurs cinétique et
cinématique.
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Résumé de mécanique du solide Mécanique du solide
1
mv 2 (G/R)
Ec (Σ/R) =
2
5.4.2.b. Solide en rotation autour d’un axe fixe ∆
on prend A un point de ∆ donc A fixe.
1
Ec (Σ/R) = J∆ Ω2 (Σ/R)
2
5.5. Puissance
5.5.1. Expression générale
Soit un point quelconque du solide.
→
− − −
→ → − −
P(action)/R = F .→
v (A/R) + MA ( F ).→
Ω (Σ/R)
Conclusion :
La puissance d’une action qui agit sur un solide est égale au comoment du torseur de cette action et le
torseur cinématique.
5.5.2. Cas particuliers
5.5.2.a. Solide en translation
→
− →
− −
P( F ) = F .→
v (G/R)
5.5.2.b. Solide en rotation autour d’un axe fixe
→
− −
→ → − → − −
→ → −
P( F ) = MA ( F ).Ω (Σ/R) = M∆ ( F ) Ω ; Aǫ ∆
5.5.2.c. Force appliquée en A
→ →
− − →
−
MA ( F ) = 0 d’où
→
− →
− −
P( F ) = F .→
v (A/R)
5.5.2.d. Cas d’un couple
→
−
Considérons le cas d’un couple de moment Γ .
− →
→ −
P(couple) = Γ . Ω
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