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La newsletter pour décideurs
[ 30 SEPTEMBRE 2010 – N° 31 ]

Le marché intérieur, élément vital pour

relancer la croissance en Europe !
Lors de sa récente allocution à la FEB,
Herman Van Rompuy, président du Conseil
européen, rappelait combien il est vital pour
l’économie européenne de retrouver rapide-
ment une croissance forte, si l’on veut encore
compter sur la scène mondiale et conserver
notre ‘European way of life’. Parmi les instru-
ments de relance dont l’UE dispose, le mar-
ché intérieur devrait être remis au centre des
priorités politiques. Dans un rapport publié en
mai dernier, Mario Monti, ancien Commissaire
européen, relève une certaine 'lassitude de
l’intégration', qui se traduit par le maintien,
au niveau national, d’une série d’obstacles.
Ceux-ci brident considérablement le potentiel
de développement de nos entreprises. Est-il
normal qu’en 2010, soit près de 20 ans après
la création du marché intérieur, il subsiste
encore tant d’obstacles de nature à découra-
ger nos entreprises, en particulier les PME, de
vendre leurs biens et leurs services au-delà
des frontières ?
Les nombreuses recommandations que propo-
se Mario Monti dans son rapport visent à corri-
ger cette situation. Sur la base de ce rapport,
le Commissaire Barnier présentera d’ailleurs
prochainement une communication intitulée
‘Single Market Act’, qui proposera des mesu-
res concrètes.
Pour la FEB, plusieurs dossiers méritent une
attention absolument prioritaire. Il s’agit, en
premier lieu, de l’adoption d’un brevet unique
de l’UE, qui permettrait d’encourager considé-
rablement l’innovation en Europe, grâce à la
réduction des coûts de traduction et à une
plus grande sécurité juridique. La proposition
de la Commission reposant sur le système lin-
guistique actuel de l’Office européen des bre-
vets (choix de la langue par le demandeur
entre l’anglais, l’allemand et le français) nous
semble la seule voie à suivre dans les circons-
tances actuelles. Il faut espérer que nos col-
lègues italiens et espagnols, et leurs
gouvernements, abandonneront leur opposi-
tion à cette solution. Ceux qui connaissent
bien l’industrie technologique savent parfaite-
ment que leur opposition n’est pas inspirée
par la pratique de leurs centres de R&D. Par
ailleurs, en matière fiscale, la double imposi-
tion des dividendes constitue un obstacle
majeur au bon fonctionnement d’un marché
européen des capitaux. Les dividendes trans-
frontaliers ne sont pas seulement taxés dans
l’État de résidence de l’actionnaire, mais éga-
lement dans l’État de la source. Cette situa-
tion est extrêmement préjudiciable pour un
pays comme la Belgique. En effet, dans les
petits pays, les entreprises se voient obligées
de recourir davantage à des actionnaires
étrangers et le bon père de famille qui entend
diversifier son portefeuille d’actions sera plus
vite enclin à y intégrer quelques valeurs étran-
gères.
Une série d’obstacles brident
considérablement le potentiel
de développement de nos
entreprises.
Pour eux, l’Europe n’est pas crédible si elle
laisse subsister cette double imposition. En
outre, le marché des services, qui représente
les trois quarts du PIB de l’UE, est encore
trop fragmenté. Toutes les mesures de mise en
œuvre de la directive ‘services’ doivent être
prises sans délai, en particulier celle relative
aux guichets uniques interactifs. Enfin, un
droit de la consommation harmonisé au
niveau européen, en lieu et place des 27
droits nationaux, faciliterait grandement la
tâche des entreprises, en particulier les PME.
Autant d’exemples qui démontrent que le
marché intérieur est à parfaire. Lors du
Conseil Compétitivité de ce jour, la FEB pré-
sente d’ailleurs ses préoccupations au sujet
de l’achèvement du marché intérieur.
RUDI THOMAES, ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ

À ÉPINGLER LE CHIFFRE DE LA SEMAINE

> CHÔMAGE DES JEUNES > Outre la formation, l’attitude
revêt aussi de l'importance Nouveau test pour les marchés financiers
Cette semaine, le secteur financier doit rem-
> L’analyse de la FEB confirmée par la
BUDGET
Banque nationale
ECO-CHÈQUES > Tolérance exceptionnelle en 2010
225 bourser le prêt de quelque 225 milliards EUR
consenti par la Banque centrale européenne. La
facilité ou la difficulté avec laquelle s’effectuera
MILLIARDS EUR ce remboursement constituera un important
indicateur de la confiance sur les marchés financiers.
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959 www.feb.be > publications > chiffres et faits
[ INFOR FEB 31 — 30 SEPTEMBRE 2010 ]
> BUDGET
L’analyse de la FEB
confirmée par la Banque
nationale
Dans son Focus Budget, la FEB a récemment
indiqué que la majorité des efforts à consentir
pour assainir à nouveau les finances publiques
devra se situer au niveau des dépenses. La
semaine dernière, la Banque nationale a éga-
lement mis en avant ce principe. Ainsi, dans
ACTION FEB
> CV Trust vainqueur du prix
Enterprize
Le 21 septembre dernier, Rudi Thomaes, admi-
nistrateur délégué de la FEB, a remis le pre-
mier prix du concours Enterprize à David
Goldenberg, fondateur de CV Trust. CV Trust est
une application web qui garantit l’intégrité des
CV de demandeurs d’emploi. Ce label entend
faire gagner beaucoup de temps et d’énergie
aux employeurs. En s’associant à ce concours,
la FEB veut soutenir les entrepreneurs débu-
tants et stimuler l’entrepreneuriat. En plus de
ses efforts quotidiens en vue d’améliorer le cli-
mat d’entreprise en Belgique et d’actions spé-
Rudi Thomaes, administrateur délégué de la FEB,
a remis le premier prix du concours Enterprize
à David Goldenberg, fondateur de CV Trust.
un article relatif aux mesures d’assainissement
déjà prises dans d’autres pays, elle déclarait :
"Il ressort de la littérature économique que les
assainissements budgétaires reposant sur des
réductions de dépenses sont plus efficaces et
exercent des effets plus favorables sur la crois-
sance économique à long terme que ceux
s’appuyant sur une hausse des recettes
publiques. C’est particulièrement le cas si ces
assainissements budgétaires portent sur
d’autres dépenses que celles qui sont généra-
lement considérées comme productives, com-
me les dépenses en matière d’investissement,
d’enseignement, de recherche et d’innovation".
Cette recommandation est extrêmement impor-
tante, surtout pour un pays comme la
Belgique, dont la pression fiscale compte par-
mi les plus élevées au monde.
Après l’OCDE, le FMI et la Commission
européenne, la Banque nationale affirme
désormais aussi que les efforts budgétaires de
notre pays doivent essentiellement se situer
au niveau des dépenses. On peut difficilement
trouver un consensus plus large. Seul un gou-
vernement peu soucieux de la croissance et de
l’emploi pourrait avoir l’idée de faire fi de cet-
te recommandation !
Geert Vancronenburg – gva@vbo-feb.be
cifiques, comme la création du site web de
référence www.ta-propre-entreprise.be, la pré-
paration d’un avis relatif à l’entrepreneuriat
avec les partenaires sociaux, etc.
Frederic Teerlynck – ft@vbo-feb.be
> Les partenaires sociaux de
Bosnie-Herzégovine
Le 15 septembre dernier, la FEB a reçu une
délégation tripartite de Bosnie-Herzégovine.
Outre un exposé sur la structure de l’État bel-
ge, l’organisation de la concertation sociale et
le fonctionnement de la FEB, plusieurs dos-
siers d’actualité ont été abordés. Il s’agissait
notamment des mesures de crise, de
l’indexation automatique des salaires et des
avantages non récurrents liés aux résultats qui
permettent une rémunération variable. La délé-
gation a manifesté beaucoup d’intérêt pour
l’organisation de la concertation sociale aux
divers niveaux politiques belges et elle était
impressionnée par le rôle important des parte-
naires sociaux et par les accords récemment
conclus par ces derniers.
Klaas Soens – ks@vbo-feb.be
> ECO-CHÈQUES
Tolérance exceptionnelle
en 2010
L’exonération fiscale des éco-chèques est pré-
servée pour tous les travailleurs qui n’ont pu
recevoir qu’en 2010 les éco-chèques attri-
bués pour l’année 2009. Dans le cadre de
l’Accord interprofessionnel 2009-2010, il
avait été décidé de permettre l’octroi d’éco-
chèques aux travailleurs en exonération
d’impôt et de cotisations sociales, pour un
montant maximal de 125 EUR en 2009 et de
250 EUR en 2010. Pour des raisons diverses,
certains secteurs d’activité n’ont pu distribuer
qu’en 2010 les éco-chèques octroyés pour
l’année 2009. Dès lors que ces éco-chèques
s’ajoutaient aux éco-chèques octroyés en
2010, la limite de 250 EUR pour 2010 était
de ce fait formellement dépassée. Les tra-
vailleurs concernés risquaient d’être imposés
sur la totalité du montant de 375 EUR, nonob-
stant le fait que le prescrit de l’Accord inter-
professionnel avait été respecté.
C’est pour éviter cette conséquence inopportu-
ne que le ministre des Finances a décidé, dans
un communiqué de presse du 24 septembre
2010, d’accorder en 2010 une tolérance
unique pour tous les travailleurs se trouvant >
> Exécution de la directive
'services' : un travail de
longue haleine
Lors de la réunion du BBE du 21 septembre
dernier, Maria Martin-Prat, chef d’unité à la
direction générale Marché intérieur de la
Commission européenne, a présenté un expo-
sé intitulé 'The Internal Market for Services –
the implementation of the Services Directive
and beyond'. Elle a analysé la directive
'services' et souligné l’importance de la véri-
table simplification administrative qui devrait
s’en suivre. Cette directive devrait en effet sup-
primer toutes les règles qui entravent encore le
marché intérieur en dépit du Traité de Rome.
Les guichets digitaux uniques, sont essentiels
et doivent rapidement être rendus opération-
nels dans tous les États membres (*). Après un
débat animé avec plusieurs secteurs concer-
nés, la discussion a également porté sur plu-
sieurs dossiers européens d’actualité, au
niveau tant du Conseil que de la Commission
et du Parlement européens.
Michael Voordeckers – mv@vbo-feb.be
(*) Pour la Belgique, http://business.belgium.be
 [ INFOR FEB 31 — 30 SEPTEMBRE 2010 ]
> CHÔMAGE DES JEUNES

Outre la formation, l’attitude revêt aussi de l'importance

La FEB Social Academy a organisé la semaine dernière son deuxième sociaux,… doivent motiver, guider, encadrer et suivre les jeunes. Les
déjeuner-débat sur le thème : 'Chômage (des jeunes), quel chemin vers deux orateurs estiment également que les demandeurs d’emploi doivent
le travail ?'. Deux orateurs, Jean-Claude Daoust, administrateur délégué davantage être mis en face de leurs responsabilités.
de Daoust Interim et président honoraire de la FEB, et Gerd Bellemans, L’enseignement a manifestement un rôle important. Outre le
ancien HR-manager du Groupe Thermote & Vanhalst et gérant de Talent, manque de profils techniques, 1 chômeur sur 2 n’a pas de diplôme de
ont partagé leur expérience et leur vision avec le public. L’inadéquation l’enseignement secondaire. La politique doit également être corrigée à
qui affecte le marché du travail depuis longtemps ne cesse de d’autres niveaux : (1) le contrôle par l’Onem des efforts de recherche
s’aggraver. Il existe un manque structurel de nombreuses compétences des chômeurs doit être plus rapide ; (2) les allocations d’attente pour
(techniques). On constate en outre un problème d’attitude chez de les jeunes qui quittent l’école doivent être subordonnées à des efforts
nombreux jeunes, mais aussi chez d’autres demandeurs d’emploi. de travail et de formation suffisants pendant la période de stage ou à
Malgré la disponibilité d’emplois, dont près de 60% ne nécessitant ni une obligation de qualification ; (3) on ne peut imposer des quotas aux
diplôme ni expérience, certains préfèrent une allocation. Il appartient entreprises : l’obligation de premier emploi se traduit par de nouvelles
à l’enseignement d’inculquer formation et attitude. Par ailleurs, les opportunités pour les jeunes qualifiés alors qu’elle est destinée aux
parents, les services de l’emploi, les entreprises, les partenaires jeunes peu qualifiés, et les secteurs qui en sont dispensés parce qu’ils
développent leurs propres actions à
l’intention des groupes à risque
embauchent plus de jeunes ; (4) des
allocations plus activatrices, inspi-
Il appartient à l’ensei- rées de ce que font d’autres pays de
l’UE, doivent inciter à travailler et
gnement d’inculquer non à s’installer dans le chômage.
formation et attitude. Klaas Soens – ks@vbo-feb.be
Bart Buysse – bb@vbo-feb.be

> dans cette situation. Un addendum à la circu-
laire du 25 juin 2010 sera publié en ce sens.
La FEB se réjouit de cette décision,
essentielle à la préservation de la paix sociale
dans les entreprises, et qui s’aligne fort utile-
ment sur celle déjà prise par le Comité de ges-
tion de l’ONSS.
Jean Baeten – jb@vbo-feb.be
> MARCHÉ INTÉRIEUR
Les procédures
d’infraction à l’encontre
de la Belgique en forte
hausse
de la tendance positive amorcée depuis
quelques années au sein de l’UE. En revanche,
la Belgique a consenti des efforts évidents,
puisqu’elle a atteint l’objectif européen de 1%
ainsi que son meilleur résultat à ce jour (avec
un déficit de transposition de 0,7%). Mais cet-
te bonne nouvelle a également un revers. Il y a
dans notre pays trop de directives incorrecte-
ment transposées, ce qui engendre bien enten-
du un nombre élevé de procédures d’infraction
devant la Cour européenne de justice (CEJ).
Depuis 2007, leur nombre a crû de 68%, le
Nombre de procédures pendantes devant la CEJ
120
chiffre le plus médiocre de l’Union européen-
ne. Inutile de préciser que près de 111 procé-
dures d’infraction sont inéluctablement source
d’insécurité juridique pour les entreprises, ce
que la Belgique ne peut absolument plus se
permettre.
Le bon fonctionnement du marché inté-
rieur est crucial pour une économie ouverte
comportant de nombreuses PME comme la
Belgique. Notre pays preste bien en termes de
transposition ponctuelle des directives, mais il
doit tout mettre en œuvre pour améliorer la

À intervalles réguliers, la Commission euro- 100

péenne vérifie le nombre de directives relatives 80
au marché intérieur qui n’ont pas été transpo-
60
sées en droit national dans les délais. L'Opinion
de cet Infor met l'accent sur l’importance du 40
marché intérieur pour la prospérité, la crois- 20
sance et l’emploi dans notre pays. La transpo-
0
sition correcte et ponctuelle des directives y CY LV SI LT FI EE MT RO DK HU BG LU CZ SK AT SE NL IE PL DE PT UK FR ES IT EL BE
afférentes est un facteur clé. Le dernier mesu-
rage, réalisé en septembre 2010, révèle la fin >
[ INFOR FEB 31 — 30 SEPTEMBRE 2010 ]

AGENDA Specialised Study Programme (LL.M.) in Competition DATES AND THEMES: VENUE: FEB, BRUSSELS

Law and Economics 8 AND 15 OCTOBER: INFORMATION & INSCRIPTION:

General Introduction to www.brusselsschoolofcompetition.eu
This course is divided into 12 'learning blocks': with 15 hours of taught Competition Law and info@brusselsschoolofcompetition.eu
seminar for each learning block, this programme seeks to offer the Economics
strongest possible training in the various disciplines of competition FROM 12.30 PM.
policy. From October 2010 to June 2011. TO 6.30 PM.

DATE: 25 OCTOBER, VENUE: FEB, BRUSSELS

Innovation and Belgian Judicial System
12 PM - 6 PM INFO: NATHALIE PETIT
The Need for a Centralized IP Court and Specialized Judges T 02 515 09 64
In collaboration with Howrey LLP F 02 515 09 15
np@vbo-feb.be

Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

> qualité de sa législation. Le nombre de pro- la FEB, l’UCM et l’Unizo se sont concertées > CONVENTIONS FISCALES
cédures d’infraction doit absolument baisser ces derniers mois avec la Sabam et la Simim INTERNATIONALES
dans les prochaines années. afin de mieux définir les possibilités de tarifi-
Les entreprises sont
cation particulière. Ces discussions ont abou-
Michael Voordeckers – mv@vbo-feb.be
ti à l’élaboration d’un régime facultatif
invitées à exprimer leurs
comportant un tarif particulier pour les entre- préoccupations
> MUSIQUE SUR LE prises ayant des espaces ouverts au public ou
Un nouveau projet de convention modèle belge
LIEU DE TRAVAIL celles où le taux d’écoute est limité. Dans les
en matière de prévention de la double imposi-
Plus de possibilités pour autres situations inadaptées, les entreprises
tion a été rendu public cet été. Comme ce fut
peuvent également faire la demande d’un régi-
un tarif particulier me particulier.
le cas pour le modèle publié en 2007, toutes
les personnes intéressées ont été invitées à fai-
La perception Unisono pour la diffusion de La FEB est satisfaite de ces solutions
re connaître leurs réactions.
musique sur le lieu de travail a suscité de apportées aux situations inéquitables. Les
Lors de la réunion de la Commission fiscale de
nombreuses réactions négatives parce que le entreprises ayant déjà fait une déclaration sous
la FEB du 23 septembre, Jacques Gombeer et
tarif, basé sur le nombre d’équivalents temps le régime général peuvent elles aussi deman-
Arie Geens du SPF Finances sont venus expli-
plein inscrits au bilan social, générait souvent der l’application d’un régime particulier si elles
quer la plupart des changements qui ont été
des situations inéquitables. Les entreprises rentrent dans le champ d’application de celui-
apportés au modèle de 2010, ce qui a donné
demandaient à juste titre un tarif adapté lors- ci. Ces entreprises ont normalement reçu fin
lieu à des premiers échanges de vues extrême-
qu’elles paient déjà pour la musique diffusée septembre 2010 une facture pour le prochain
ment positifs et constructifs. Cette réunion fut
dans les magasins ou que seule une petite exercice. Elles sont libres d’en différer le paie-
aussi l’occasion de rappeler que le SPF
minorité du personnel entend la musique. Les ment jusqu’à ce que toutes les informations
Finances est à l’écoute des préoccupations des
entreprises avaient déjà la possibilité de béné- pratiques sur les régimes particuliers soient
entreprises et qu’il souhaiterait tout particuliè-
ficier d’un régime particulier, mais il fallait en disponibles sur le website d’Unisono.
rement connaître:
préciser l’application pratique. C’est pourquoi Stefaan Verhamme – sv@vbo-feb.be • leurs réactions complètes au nouveau projet
de convention modèle ;
• leurs souhaits pour la fixation des priorités
Brussels calling, une newsletter FEB à lire en ligne quant à l’agenda des prochaines négociations
13/07/2010 •
Issue 1

ess Newsletter à mener (ce qui implique aussi de pouvoir

Prenez le pouls de l'actualité de
idency Busin
Belgian EU Pres
g
Brussels callin .. . ...........
..8
disposer d’un maximum d’informations sur
t Council . . . . .....9
Informal Environmen

la présidence belge de l'UE

........1
Council . . . . .
........... Financial Affairs
...........
...........
.. ...1 Economic and ...........
...........
.....9
Editorial . . . . ........... ...........
CONTENTS

....9
Belgian Presidency Links . . . . . . . . ...........
Priorities of the ...........
....2 eness Council
........... Informal Competitiv . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
10

la nature et l’importance des échanges éco-

........... .........5
In the spotlight ........... n. . . .
........... Team presentatio
Events and meetings and Social Affairs Council
..6
t
Informal Employmen

Editorial Therefore, an
effective research,
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

capacity to innovate. as a cleantech

nomiques avec chacun de ces pays) ;

policy, as well
and innovation way
ncy: development This is the only
Belgian EU Preside industrial policy
should be developed. in clean
ges ahead to current technologic
al leadership
huge challen to turn Europe’s The Federation
of
into market leadership. for example the
re-establish growth Presidency will
face
technologies
Belgium (FEB)
welcomes
EU
The Belgian EU and Enterprises in to unblock the
restore financial Belgian Presidency for
huge challenges: ambition of the le instrument
re-establish fiscal which is an indispensab SMEs.
economic stability, patent system especially for
return for the industry,
guarantee a swift growth and innovation

http://eupresidency.vbo-feb.be • les problèmes spécifiques qu’elles peuvent

discipline and eco- in the
growth. Therefore, Leterme stated
to sustainable at Prime Minister Yves Europe to
issues will be As Belgian
on July 7, we
need “more
nomic and financial European Parliament gear”.
agenda. states in higher
the heart of the and its member
get our Union taire’ (the Community
’s EU ‘méthode Communau
The Belgian government focus on Favouring the policy. Our Federation
will the core of Belgium’s
Presidency programme method) is at
new financial approach.
in place a fully supports
this
aiming at putting gover- Presidency
major priorities the economic takes over the
strengthening that Belgium

rencontrer dans certains pays et leurs sug-

rein- It is crystal clear is well
regulatory structure, g the internal market, es. But our country
circumstanc FEB
nance of the EU,
reinvigoratin
and, last but not under very difficult the next six months.

(site web, agenda, newsletter, etc.)

and Growth Pact Europe during
forcing the Stability The latter prepared to guide to the success
of this EU
2020 strategy. to contribute
g the Europe will do its part
least, implementin states, who will
by the member Diane Struyven
requires real ownership to implement structural reforms Presidency.
their ability of the FEB
have to show European Department
Director of the
quickly. Europe’s
be taken to enhance
measures will
Furthermore,

Priorities of the
Belgia n Presidency
n w th the European
Parliament and
d ff
the Commission
,
nt points of view
gestions concrètes pour les résoudre ;
• leurs réactions par rapport aux discussions en
cours aux niveaux européen et de l’OCDE.
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15 Il est important que les entreprises
RÉDACTION : Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be contribuent au maximum à l’élaboration de
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be
ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles notre politique fiscale conventionnelle en par-
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be
ticipant activement à la préparation des
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com
CHANGEMENTS D’ADRESSE : FEB – Service mailing – tél. 02 515 09 06 – fax 02 515 09 55 – mailing@vbo-feb.be concertations régulières avec le SPF Finances,
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l'écosystème forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est
responsable d'un point de vue économique.
préoccupations, réactions et suggestions.
Jean Baeten – jb@vbo-feb.be