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2
INTRODUCTION
Carrefour
Market
est
une
enseigne
Française
spécialisée
dans
la
grande
distribution
sous
le
format
«
supermarché
»
qui
appartient
au
Groupe
Carrefour.
La
marque
Carrefour
Market
a
été
déposée
en
2007
suite
à
la
disparition
progressive
de
l’enseigne
Champion
(qui
fut
intégré
au
Groupe
Carrefour
en
1999
grâce
à
la
fusion
entre
le
Groupe
Carrefour
et
Promodès).
Carrefour
Market
est
la
deuxième
enseigne
de
supermarché,
et
la
cinquième
enseigne
de
distribution
en
France.
En
2008
l’enseigne
disposait
de
2.919
supermarchés
dans
le
monde,
dont
1.021
magasins
en
France
(c’est
aussi
le
premier
réseau
mixte
de
supermarchés
associant
magasins
intégrés
et
franchisés
avec
417
supermarchés
Franchisés).
L’enseigne
Carrefour
Market
a
généré
13,5
milliards
d’euros
dans
le
monde
(soit
prés
de
15%
du
CA
total
du
Groupe),
et
9,13
milliards
d’euros
de
Chiffre
d’affaires
en
France
en
2009.
Sur
le
territoire
national,
l’enseigne
dispose
d’environ
60.000
collaborateurs
dont
35.000
en
magasins
intégrés.
Sur
le
plan
commercial,
l’entreprise
a
su
se
diversifier
sur
différents
Domaines
d’Activités
Stratégiques
(D.A.S)
notamment
:
-‐ La
distribution,
-‐ Les
services
Financiers
et
assurances,
-‐ Le
cyber
commerce,
-‐ Les
vacances,
-‐ La
billetterie,
-‐ Immobilier,
-‐ L’énergie
(partenariat
avec
POWEO)…
Mon
étude
portera
sur
le
D.A.S
de
la
distribution,
celui
qui
est
le
corps
de
métier
du
groupe,
c’est
à
dire
celui
qui
lui
a
permis
de
prospérer
et
de
développer
les
différents
D.A.S
cités
ci-‐dessus.
Dans
la
suite
du
dossier
je
poserai
en
première
partie
le
diagnostic
externe
de
l’entreprise,
avec
la
définition
de
l’industrie,
l’étude
des
caractéristiques
du
secteur,
l’analyse
des
forces
concurrentielles
et,
des
facteurs
économiques
influant
sur
le
secteur.
En
deuxième
partie,
je
poserai
le
diagnostic
interne,
en
définissant
la
chaîne
de
valeur
de
l’entreprise,
et
l’analyse
des
ressources
et
des
compétences.
Et
en
conclusion
j’établirai
le
diagnostic
final
de
l’entreprise
où
je
définirai
les
différentes
pistes
de
développements.
3
Partie
1
-‐
Diagnostic
externe
de
l’entreprise
:
Titre
1
-‐
La
définition
de
l’industrie.
Chapitre
1.
Définition
de
la
distribution.
La
distribution
se
définit
en
économie
comme
les
opération
économique
par
lesquelles
un
bien
ou
un
service,
après
sa
fabrication
(conception)
est
vendu
ou
fourni
à
un
utilisateur
final.
C'est
une
étape
dans
un
circuit
économique
entre
la
production
et
la
consommation.
En
droit,
c'est
l'ensemble
des
opérations
qui
permettent
d'acheminer
les
produits
du
fabricant
jusqu'à
l'utilisateur
(le
consommateur).
La
distribution
n'est
pas
nait
avec
le
consommateur,
dans
la
mesure
où
se
dernier
a
vécu
très
longtemps
en
autarcie,
et
par
la
suite
le
développement
des
transports,
le
développement
des
industries
grâce
aux
progrès
techniques
(le
moteur
à
explosion,
le
fordisme,
le
taylorisme)
ont
conduit
à
l'apparition
de
production
de
masse
qui
donc
a
créé
une
consommation
de
masse.
L'apparition
de
ses
deux
phénomènes
ont
conduits
à
une
nécessaire
concentration
de
la
distribution,
d’où
la
création
de
la
grande
distribution.
Chapitre
2.
Les
différents
formats
de
ce
secteur.
Au
long
de
leurs
histoires,
les
différents
groupes
de
distribution,
ont
fait
évoluer
leur
concept,
de
manière
à
répondre
au
mieux
possible
à
l’ensemble
des
consommateurs.
Ces
différentes
mutations
ont
permis
de
faire
naitre
différents
«
formats
»
de
magasins.
Aujourd’hui,
les
principaux
formats
de
magasins
sont
:
• La
superette
ou
le
petit
libre-‐service
est
un
magasin
d'une
surface
de
vente
comprise
entre
120
et
400
mètres
carré,
vendant
en
libre
service
des
produits
à
forte
prédominance
alimentaire.
Dans
ce
type
de
point
de
vente,
le
consommateur
peut
trouver
la
majorité
des
produits
alimentaires
d'usage
courant.
Elle
est
implantée
en
centre
ville.
• Le
discounter
est
un
mode
de
distribution
en
moyenne
surface
basé
sur
une
pratique
de
prix
bas.
Ces
prix
bas
sont
obtenus
par
la
quasi
absence
de
services,
un
environnement
de
vente
spartiate,
par
une
limitation
des
références
offertes
et
par
une
présence
souvent
très
limitée
des
grandes
marques.
Il
est
implanté
soit
en
centre
ville,
soit
en
périphérie
des
villes.
• Le
supermarché
est
un
établissement
de
vente
au
détail
en
libre-‐service
réalisant
plus
des
deux
tiers
de
son
chiffre
d’affaires
en
alimentation
et
dont
la
surface
de
vente
est
comprise
entre
400
et
2
500
m2.
Il
est
implanté
soit
en
centre
ville,
soit
en
périphérie
des
villes.
4
• L’hypermarché
est
un
établissement
de
vente
au
détail
en
libre-‐service
qui
réalise
plus
du
tiers
de
ses
ventes
en
alimentation
et
dont
la
surface
de
vente
est
supérieure
ou
égale
à
2
500
m².
Il
est
implanté
en
périphérie
des
villes.
• Les
G.S.S,
ou
Grande
Surface
spécialisé
est
spécialisé
dans
un
type
de
bien
(électroménager,
sport),
et
offrant
un
large
très
profond.
• La
vente
à
distance
par
catalogue,
téléphone,
annonces
presse,
publipostages
ou
média
électroniques.
Chapitre
3.
Les
facteurs
clés
de
succès
(FCS).
Les
facteurs
clefs
de
succès
sont
des
éléments
stratégiques
spécifiques
qu’une
entreprise
doit
maitriser
pour
être
compétitive
dans
une
activité.
Les
FCS
peuvent
se
répartir
en
deux
catégories
:
-‐ Les
FCS
visant
à
maintenir
la
positon
concurrentielle,
-‐ Les
FCS
qui
renforcent
la
position
de
la
firme
sur
le
marché.
Section
1.
Les
FCS
visant
à
maintenir
la
position
concurrentielle.
Voici
les
FCS
communs
aux
groupes
de
distribution
:
-‐
Forte
dépenses
publicitaire
visant
à
générer
une
bonne
image
de
marque
et
de
la
notoriété,
-‐
Forte
base
de
données
permettant
d’offrir
des
offres
personnalisées
aux
clients
notamment
grâce
à
la
carte
fidélité,
-‐
Très
bonne
maitrise
de
la
chaîne
logistique
(gestion
efficace
des
réseaux
et
circuits
de
distribution),
-‐
Etre
à
la
pointe
des
nouvelles
technologies,
-‐
Avoir
une
réelle
puissance
d’achat
qui
permet
d’obtenir
des
conditions
d’achats
et
des
coûts
avantageux.
Section
2.
Les
FCS
visant
à
renforcer
la
position
de
la
firme
sur
le
marché.
Voici
les
FCS
qui
peuvent
devenir
des
avantages
concurrentielles
:
-‐
Gestion
permanente
de
l’image
de
marque
de
l’entreprise
(ce
FCS
est
dans
cette
catégorie
car
l’avantage
sera
en
relation
directe
entre
le
choix
stratégique
de
l’entreprise
et
les
tendances
du
marché),
-‐
Capacité
a
obtenir
des
liquidités,
-‐
Un
parc
de
magasin
important,
en
effet
l’aspect
de
proximité
est
de
plus
en
plus
important.
-‐
Avoir
des
MDD
apprécié
qui
sont
aujourd’hui
génératrice
de
marge
importante
mais
de
plus
en
plus
vecteur
d’image
(exemple
carrefour
avec
sa
dernière
MDD
Carrefour
Discount).
5
Titre
2
-‐
L’étude
des
caractéristiques
du
secteur.
Les
stratégies
d’internationalisations
sont
assez
variées
en
fonction
des
groupes.
Le
leader
mondial
Wal-‐Mart,
réalise
75%
de
son
CA
sur
son
territoire
d’origine
(USA)
et
a
fait
le
choix
de
se
développer
dans
les
pays
proches
de
sa
structure.
Il
est
présent
dans
15
pays
dans
le
monde.
Carrefour
a
commencé
sa
stratégie
d’internationalisation
en
1973.
Il
réalise
56%
de
son
CA
à
l’étranger
(présent
dans
56
pays).
Aujourd’hui,
le
groupe
se
recentre
essentiellement
sur
les
pays
les
plus
rentables
(Amérique
du
sud,
Asie
et
Europe
de
l’est).
Section
2.
Sur
le
territoire
National.
Les
principaux
acteurs
de
distribution
sur
le
territoire
sont
principalement
des
groupes
Français.
Six
groupes
règnent
sur
le
marché
:
Auchan,
Casino,
Carrefour,
6
Intermarché,
Leclerc
et
Système
U.
Le
marché
étant
saturé,
seulement
quelques
enseignes
Allemandes
sont
présentes,
Aldi,
Lidl
et
Metro.
Selon
un
article
du
magazine
LSA
du
8
avril
2010
que
Leclerc
et
Carrefour
Market
sont
en
fort
gain
de
parts
de
marché
depuis
le
début
de
l’année
2010,
et
selon
un
article
du
Figaro
du
16/04/10,
nous
confirme
que
le
Carrefour
gagne
des
parts
de
marché,
notamment
grâce
à
ses
magasins
Carrefour
Market.
(Commerce
en
France,
édition
2009)
Aujourd’hui
la
tendance
d’achat
des
consommateurs,
se
porte
sur
les
structures
à
taille
humaine
offrant
un
choix
large
en
alimentaire.
En
effet,
les
consommateurs
boudent
de
plus
en
plus
les
hypermarchés,
aux
profits
des
supermarchés
(en
dix
ans
les
supermarchés
ont
grignoté
3%
de
parts
de
marché
aux
hypermarchés).
Cette
tendance
s’explique
par
le
besoin
de
proximité
souvent
dû
à
l’évolution
du
coût
de
transport,
aux
besoins
de
rapidité,
mais
aussi
les
courses
ne
riment
plus
avec
plaisir,
et
les
consommateurs
ne
veulent
plus
se
faire
tenter
par
les
produits
dont
ils
n’ont
pas
besoin.
La
grande
distribution
est
au
stade
de
maturité
en
France
avec
une
croissance
stagnante,
des
PDM
stables,
un
potentiel
de
croissance
faible,
avec
une
concurrence
concentré
et
des
barrières
à
l’entrée
élevées.
Cependant,
malgré
la
crise,
ce
secteur
est
l’un
de
ceux
qui
a
été
le
moins
touché
sans
voir
les
PDM
(Parts
De
Marché)
changer
en
faveur
des
discounters
(Annexe
3
:
La
7
part
de
marché
des
discounter
en
France).
Il
est
à
noter
que
les
ventes
par
internet
ne
cessent
d’évoluer.
D’autres
Lois
ont
été
créés
pour
protéger
les
fournisseurs
des
abus
des
grands
groupes.
La
dernière
Loi
en
date
de
2008,
est
la
Loi
L.M.E
(Loi
de
Modernisation
de
l’Économie).
Elle
libéralise
le
développement
territorial
des
Grandes
surfaces.
L‘objectif
est
d'accroitre
la
concurrence
sur
le
marché
dans
le
but
de
faire
baisser
les
prix,
en
favorisant
le
développement
des
discounters
étrangers
dans
le
système
de
distribution
Français.
Titre
3
-‐
L’analyse
des
forces
concurrentielles
:
L’hexagone
sectoriel
du
secteur
de
la
grande
distribution
en
France.
Voici
l’hexagone
sectoriel
applicable
au
secteur
de
la
«
Grande
distribution
»
réalisé
avec
les
parties
précédentes.
Le
but
de
cette
figure
est
de
présenter
sur
un
même
axe
les
5
(+1)
forces
de
porter,
pour
en
montrer
les
puissances
sur
une
échelle
de
0
à
5
(du
plus
petit
au
plus
fort).
8
En
résumé,
plus
la
surface
est
grande,
et
plus
les
forces
concurrentielles
sont
importantes,
et
moins
une
entreprise
est
susceptible
d’y
faire
des
profits
importants,
et
donc
une
faible
surface
indique
un
secteur
attractif
pour
l’entreprise.
Nous
pouvons
voir
ici
que
l’intensité
concurrentielle
et
l’influence
de
l’Etat
sont
les
facteurs
les
plus
importants.
En
effet,
un
groupe
limité
d’entreprise
qui
distribue
77%
de
la
marchandise
alimentaire
en
France,
oblige
l’Etat
a
créer
de
nombreuses
lois
qui
tendent
à
réguler
les
possibles
abus
des
distributeurs
(envers
les
fournisseurs
principalement).
Ensuite
la
menace
des
nouveaux
entrants
est
très
faible,
cependant
la
Loi
L.M.E
de
2008
autorise
les
ouvertures
sans
demande
au
préalable
à
l’Autorité
de
la
concurrence
pour
les
points
de
vente
dont
la
superficie
est
inferieure
à
300
m2.
La
menace
de
produits
de
substitution
existe,
notamment
par
la
proportion
que
prend
le
cyber
commerce.
En
France,
les
ventes
via
internet
sont
en
constantes
évolutions,
au
premier
trimestre
2010
par
rapport
au
premier
trimestre
2009,
elles
ont
augmenté
de
35%
(Annexe
4
Progression
annuelle
des
dépenses
en
ligne
des
Français).
Avec
l’emprise
qu’ont
les
distributeurs
sur
le
marché,
les
fournisseurs
craignent
le
déréférencement
et
donc
se
plient
facilement
lors
de
négociation
commerciale,
de
plus
les
produits
standardisé
que
l’on
trouve
en
magasin
sont
aujourd’hui
facilement
substituable.
Il
existe
quelque
entreprise
qui
quand
à
elles
ne
sont
pas
remplaçable,
comme
par
exemple
Coca-‐Cola,
Nutella…
La
force
de
négociation
des
clients
est
quasi
inexistante
car
leur
capacité
à
se
regrouper
pour
négocier
est
impossible.
9
Titre
4
-‐
Facteurs
économiques
influant
sur
le
secteur
:
Le
modèle
P.E.S.T.E.L.
Le
modèle
PESTEL
est
une
analyse
des
tendances
structurelles
du
microenvironnement.
10
Partie
2
-‐
Le
diagnostic
interne
de
l’entreprise
:
Le
diagnostic
interne
vise
à
définir
les
capacités
et
aptitudes
stratégiques
de
l’entreprise.
Développement technologique : nouvelles technologies (caisses automatiques etc.)
CLIENTS
Marge
Approvisionnements : négociation sélection des fournisseurs.
11
• Infrastructures : Un parc de magasin très important (propriétaire de plus de la moitié)
permet de développer les différents D.A.S (vue en introduction) comme par exemple
le service banque assurance, et même louer les magasins dans les galeries
commerciales.
On peut constater que les activités de soutiens sont positionnées de la plus importante activité
à la moins importante (du centre vers l’extérieur de la chaine). En effet aujourd’hui la qualité
est primordiale pour la clientèle, et à contrario le besoin d’expansion de structure est freiné
par les lois.
Tourné vers ses clients, l’entreprise carrefour Market use de l’efficacité de ses
activités principales qui n’auraient pas connu une telle réussite si les activités de soutiens
n’avaient pas été là (comme par exemple une entreprise sans veille technologique, ou
l’absence de Ressource Humaine aurait comme répercutions une mauvaise gestion dans les
différentes activités principales).
12
Chapitre
3.
L’innovation.
L’objectif
ici
est
de
retrouver
le
leadership,
«
renouer
avec
l’esprit
pionnier
»
dans
le
but
de
«
ré-‐enchanter
l’esprit
magasin
».
Titre
3
-‐
Analyse
des
ressources
et
compétences
de
l’entreprise
Carrefour
Market
:
Pour
bien
analyser
les
ressources
et
compétences
de
l’entreprise,
j’ai
choisi
d’utiliser
la
matrice
S.W.O.T.
13
14
CONCLUSION : Diagnostic final.
Aujourd’hui
la
société
Carrefour
Market
arrive
à
gagner
des
parts
de
marché,
grâce
à
un
concept
nouveau,
une
force
logistique
optimal
sur
le
marché
naturel
de
l’entreprise,
et
ceux
malgré
l’arrivé
en
maturité
du
DAS
de
la
distribution.
L’objectif
aujourd’hui,
de
l’entreprise
est
de
continuer
à
gagner
en
PDM,
sans
avoir
d’effet
sur
la
marge
nette.
Pour
cela,
voici
les
différentes
actions
qu’il
serait
utile
:
-‐ L’internationalisation,
-‐ Continuer
à
améliorer
notre
image
prix,
-‐ Etre
innovant,
-‐ Aller
plus
loin
dans
la
synergie,
-‐ Améliorer
la
santé
financière
du
groupe.
1.
L’internationalisation
:
Le
principal
moteur
de
croissance
du
groupe
réside
dans
les
pays
en
plein
essor
(Chine,
Amérique
latine).
La
stratégie
de
l’enseigne
est
d’être
présente
dans
les
pays
les
plus
rentable
de
manière
à
générer
un
maximum
de
liquidité.
Cette
stratégie
est
payante,
donc
le
groupe
se
doit
de
continuer
ainsi.
La
difficulté
ici
est
d’imposer
sur
les
nouveaux
marchés
sa
logistique,
et
cela
en
ayant
suffisamment
de
magasins
rentable.
2.
Continuer
à
améliorer
notre
image
prix
:
Cette
aspect
est
très
important
a
l’égard
des
consommateurs
en
cette
sortie
de
crise,
et
donc
il
faudra
d’une
part
à
maintenir
la
position
de
l’image
de
la
marque
Carrefour
Discount,
et
en
seconde
part
ne
pas
hésiter
à
faire
des
publicités
comparatives
avec
les
MDD
concurrentes
par
exemple.
3.
Etre
innovant
:
L’innovation
technologique
dans
ce
secteur
est
primordiale
et
permet
de
marquer
la
différence
entre
les
différents
acteurs.
De
nombreux
projets
sont
en
stade
de
test
depuis
bien
longtemps
mais
n’ont
toujours
pas
vu
le
jour
(exemple
la
puce
R.F.I.D).
Il
faudra
également
être
innovant
sur
l’offre
commerciale
en
proposant
en
premier
les
nouveaux
produits,
améliorer
ou
créer
des
services
comme
par
exemple
la
commande
via
internet,
la
livraison
à
domicile.
Rendre
les
courses
moins
contraignante
pour
le
consommateur
en
améliorant
les
flux
clients
(moins
de
blocage
en
caisse
par
exemple)
en
réorganisant
la
structure
même
des
magasins
(rendre
le
personnel
polyvalent).
Théâtraliser
le
magasin
avec
des
PLV
différentes
lors
des
actions
promotionnelles.
4.
Aller
plus
loin
dans
la
synergie
:
L’objectif
ici
sera
de
réduire
les
coûts
de
fonctionnement,
notamment
en
utilisant
le
parc
de
magasin
pour
investir
dans
des
panneaux
photovoltaïques,
se
qui
permettrai
d’une
part
a
réduire
les
coûts
d’énergie
et
d’autre
part
d’améliorer
notre
image
client,
de
créer
de
relation
fournisseur
sur
de
longues
périodes
(comme
Wal-‐Mart)
ce
qui
nous
15
permettrai
de
réduire
les
coûts,
et
enfin
d’offrir
les
mêmes
promotion
dans
les
différents
formats
de
magasins
sous
la
même
enseigne
pour
ne
pas
perturber
le
client,
mais
surtout
pour
réduire
les
coûts
d’achat.
5.
Améliorer
la
santé
financière
du
groupe
:
L’idée
ici,
est
de
permettre
aux
groupes
de
ne
pas
être
cible
d’une
OPA.
Avec
son
capital
fragmenté
et
des
actionnaires
désireux
de
percevoir
un
retour
sur
investissement,
sachant
que
le
leader
mondiale
Wal-‐Mart
dispose
de
liquidité
quasi
illimitée.
16
SUPPORTS BIBLIOGRAPHIQUES
Liens
et
sites
internet
consulté
:
http://www.ac-‐franchise.com/franchise-‐champion+carrefour+market_4_140.html
http://www.edubourse.com/finance/actualites.php?actu=59044
http://www.lequotidienlesmarches.fr/la-‐grande-‐distribution-‐a-‐resiste-‐a-‐la-‐crise-‐par-‐
les-‐promotions-‐art259714-‐4.html
http://www.itrnews.com/articles/89168/grande-‐distribution-‐continue-‐investir-‐
technologies-‐information.html
http://www.daily-‐bourse.fr
http://www.insee.fr
http://www.lineaires.com
http://www.lsa.fr
http://www.carrefour.com/cdc/groupe/
http://www.distrijob.fr
http://www.lefigaro.fr
http://www.boursorama.fr
Différents
cours
:
• droit
de
la
concurrence,
• histoire
de
la
distribution,
• stratégie
d’entreprise.
Documentation
interne
à
l’entreprise
Carrefour
Market
:
• Dossier
Image
prix,
• Market
V2
17
ANNEXES
Annexe
1
Les
principaux
groupes
de
la
distribution
dans
le
monde.
source : Nielsen
18
Annexe
2
Parts
de
marché
du
commerce
de
détail
selon
la
forme
de
vente.
Produits
Formes
de
vente
(1)
alimentaires
(hors
tabac)
1999
2008
(p)
Alimentation
spécialisée
(2)
17,7
16,6
Boulangeries-‐pâtisseries
6,7
6,3
Boucheries
charcuteries
6,3
5,1
Autres
magasins
d'alimentation
spécialisée
4,7
5,2
Petites
surfaces
d’alimentation
générale
et
magasins
de
produits
surgelés
8,6
8,4
Grandes
surfaces
d’alimentation
générale
67,1
67,3
Supermarchés
30,8
33,0
Magasins
populaires
1,0
1,5
Hypermarchés
35,4
32,7
Grands
magasins
0,1
0,1
Pharmacies
et
com.
d’articles
médicaux
0,2
0,2
Magasins
non
alimentaires
spécialisés
0,2
0,3
Commerce
hors
magasin
4,0
3,8
Vente
par
correspondance
0,2
0,5
Autres
ventes
hors
magasin
(marchés,
réparation
domestique...)
3,7
3,4
Réparation
d'articles
personnels
et
domestiques
(3)
///
///
Commerce
de
détail
et
artisanal
97,9
96,7
Ventes
au
détail
du
commerce
automobile
(4)
0,2
0,8
Autres
ventes
au
détail
(5)
1,9
2,6
Ensemble
des
ventes
au
détail
100,0
100,0
///
:
absence
de
résultat
due
à
la
nature
des
choses.
p
:
données
provisoires.
(1)
:
l'activité
de
certaines
grandes
entreprises
relève
de
deux
ou
plusieurs
formes
de
vente
;
ainsi
les
ventes
d'une
entreprise
peuvent
être
réparties
entre
les
formes
de
vente
d'hypermarchés,
de
supermarchés
et
de
petites
surfaces
d'alimentation.
(2)
:
y
compris
artisanat
commercial.
(3)
:
pour
leurs
ventes
au
détail
et
leurs
prestations
de
réparation.
(4)
:
y
compris
les
ventes
et
réparations
de
motocycles
et
les
ventes
de
produits
liés
à
l'automobile
;
non
compris
les
ventes
et
réparations
automobiles.
(5)
:
ventes
d'autres
secteurs
:
cafés-‐tabac,
grossistes,
ventes
directes
de
producteurs
...
Champ
:
France.
Source
:
Insee,
comptes
du
commerce.
19
Annexe
3
La
part
de
marché
des
discounter
en
France.
source
Xerfil
Previsis
2009
20
Annexe
4
Progression
annuelle
des
dépenses
en
ligne
des
Français.
21