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Pour s’entraîner sur les suites :

sur le livre (exercices corrigés) :


n° 51 page 210 ; n° 34 et 36 page 209 ; n° 61 et 62 page 211 ; n° 95 page 216 ; exercice 4 page 204

exercice 1 :
Soit (un) la suite définie par u0=7 et pour tout naturel n , un+1 = 10 un–18.
1. Calculer u1 ,u2, u3.
2. Démontrer par récurrence que pour tout entier n, un= 5×10n +2
i n
3. Calculer en fonction de n la somme Sn= u
i 0
i

exercice 2 :
2 2 2
1. Calculer les sommes A= 3+5+7+….+97+99 et B = 2+   .... 
3 9 729
2. Exprimer en fonction de n la somme Sn= -3+1+5+9+….+(4n+1)

exercice 3 :
n 3(n  2)
Soit (un) la suite définie sur * par : u1= –1 et un+1 = un 
2(n  1) 2( n  1)
et la suite (vn) définie par vn= n(3-un ).
1. Démontrer par récurrence que un < 3.
2. Calculer les 4 premiers termes de chaque suite. Quelle conjecture peut-on faire quant à la nature de la
suite (vn) ? Démontrer cette conjecture.
1
3. En déduire que vn  n 3 puis exprimer un en fonction de n.
2
4. Etudier la convergence de la suite (un).

exercice 4 :
Soit (un) une suite géométrique de premier terme u0=1 et de raison b  ]0 ; + [.
On note Sn= u0+u1+…+un. Répondre par Vrai ou Faux pour chaque item en justifiant brièvement :

1) S’il existe n  IN tel que un > 2000 alors b >1.


1
2) Si lim Sn=2 alors b=
n  + 2

un
Exercice 5: On considère la suite (un) définie, pour tout n par u0=2 et un 1 
un ²  1
a) Démontrer que la suite est à termes positifs et étudier son sens de variation
b) En déduire que la suite est bornée et préciser un majorant et un minorant.

Exercice 6 : La suite (un) est définie par u0 = 0 et pour tout entier n, un + 1 = .


1) Démontrer par récurrence, que pour tout n, 0 ≤ un ≤ 1.
2) Démontrer que la suite (un) est monotone.
3) La suite (vn) est définie pour tout entier n par : vn = .
Démontrer que la suite (vn) est géométrique. Préciser la raison et le premier terme.
4) Exprimer vn puis un en fonction de n.

exercice 7 : ( BAC) Vrai ou Faux ? Justifier ( si faux fournir un contre-exemple)


On considère une suite (un) dont aucun terme n’est nul.
2
On définit une suite (vn) par vn 
un
1. Si (un) est convergente alors (vn) est convergente.
2. Si (un) est minorée par 2 alors (vn) est minorée par –1
3. Si (un) est décroissante alors (vn) est croissante
4. Si (un) est divergente alors (vn) converge vers 0.
Corrigés (non garantis : l’erreur est humaine … !)
exercice 1 :
1. On a : u1 = 10 u0 -18 = 52 , u2=502, u3 = 5002
2. Notons P(n) la proposition : un= 5×10n +2 ;
Initialisation : u0= 7 et 5× 100+2 =7 donc P(1) est vraie
Hérédité : on suppose que pour un entier k quelconque ≥0 , P(k) est vraie .
On a donc uk= 5×10k+2.
Et uk+1 = 10 uk–18. On en déduit que uk+1 = 10 (5×10k+2) –18 = 5×10k+1+20-18 = 5×10k+1+2.
Si P(k) est vraie alors P(k+1) est vraie.
Conclusion : pour tout entier n , P(n) est vraie c'est-à-dire : un = 5×10n+2
i n
1. Sn=  u = (5×100+2 )+(5×101+2) + ….+ (5×10n+2) = 5( 1+10+10²+…+10n) +2(n+1)
i 0
i

1  10n1 5 13 5
On sait que 1+10+10²+…+10 = n
. D’où Sn= – (1–10n+1)+2(n+1).ou Sn=  2n  10n 1
1  10 9 9 9
exercice 2 :
1. A= 3+5+7+….+97+99 . C’est la somme de termes consécutifs d’un suite arithmétique de raison 2 ; avec
u0=3 et 3+2n = 99 , on déduit n = 48. Il y a donc 49 termes.
(3  99)(49)
d’où A= soit A = 2499.
2
² 6
2 2 2 1 1 1
B = 2+   ....   2(1      ....    ) On reconnaît la somme de 7 termes consécutifs d’une
3 9 729 3 3 3
1
suite géométrique de raison de premier terme 2.
3
7
1
1  
 1
On en déduit que B = 2    3 1  7   3  6 et donc B =
3 1 2186
1
1  3  3 729
3
2. Sn= -3+1+5+9+….+(4n+1)
On reconnaît la somme de termes consécutifs d’une suite arithmétique de raison 4.
Avec u0= -3 et un= 4n+1 = -3+4(n+1). Il y a donc n+2 termes ; d’où :
(3  4n  1)( n  2)
Sn =  (2n  1)( n  2) soit Sn =  2n²  3n  2
2
exercice 3 :
1. n est un entier de *
Démontrons par récurrence que un < 3.On note P(n) cette proposition.
Initialisation : u1= –1 et –1 < 3 donc P(1) est vraie
Hérédité : on suppose que pour un entier k quelconque ≥1, P(k) est vraie donc que uk <3.
k 3(k  2) k 3(k  2) 3k  3( k  2) 6k  6
Alors : uk   3 soit uk+1 < ou encore uk+1 <
2(k  1) 2(k  1) 2(k  1) 2(k  1) 2(k  1) 2(k  1)
et donc uk+1 <3.
Si P(k) est vraie alors P(k+1) est vraie
Conclusion : pour tout entier n , P(n) est vraie.
1 3(1  2) 1 9 8 23
2 . u1= –1 , u2= u1      2 , u3 = , u4=
2(1  1) 2(1  1) 4 4 3 8
1
donc v1= 1(3-u1)=4 , v2=2 , v3=1 , v4=
2
1
On conjecture que la suite (vn) est géométrique de raison . Démontrons le . Pour tout entier n ≥1 ,
2
n 3(n  2) n 3(n  2) 3 n 1 1
vn+1 = (n+1) (3- un  ) = 3(n  1)  un   n  un  n(3  un )  vn
2(n  1) 2(n  1) 2 2 2 2 2 2
1
donc la suite (vn) est bien géométrique de raison et de premier terme v1= 4 .
2
n 1
1 2² 1
3. D’après la question précédente et le cours on déduit que vn  4    d’où vn = n 1
 n 3
2 2 2
3n  vn
On sait que vn= n(3-un ) donc vn=3n-n un d’où un = .
n
1
3n  n 3
2 1
On en déduit que un = soit un  3  n3 .
n 2 n

vn 1
4. On a pour tout naturel n : un  3   3  vn 
n n
1 1
Or, comme  ]-1 ; 1[ lim vn  0 ; de plus lim  0 donc lim un  3 . La suite (un) converge vers 3.
2 n  n  n n 

exercice 4 :
1) Vrai. Pour tout entier n on a un = bn. Supposons b  1. On aura alors bn  1 : la suite est majorée par 1. Il est alors
impossible d’avoir un terme supérieur à 2000. Contradiction. Donc b > 1.
2) Vrai.
1  b n 1
Avec la formule de somme des suites géométriques : Sn = (pour b ≠ 1)
1 b
Si b> 1, alors lim bn 1   et 1 – b < 0 donc lim Sn   ce qui contredit l’hypothèse.
n  n 

Si b = 1 Sn + 1 + 1 + … + 1 = n + 1 et lim Sn   ce qui contredit l’hypothèse


n 

1 1 1
Donc b < 1 et comme b > 0 on a b  ]0 ;1[ d’où lim bn 1  0 et lim Sn  d’où  2 donc b =
n  n  1 b 1 b 2
Exercice 5 :
1) Soit P(n) la propriété : un > 0 , n N.
Initialisation : u0 = 2 donc u0 > 0, P(0) est vraie
Hérédité : soit k un entier quelconque, on suppose P(k) vraie, c'est-à-dire : uk > 0 alors uk+1 est le quotient de quantités
positives donc est positif. Par suite P(k+1) est vraie.
Conclusion : pour tout entier n, un > 0.
Pour tout entier n, un+1 – un = donc la suite (un) est décroissante.
2) D’après 1°) la suite (un) est à termes positifs donc 0 est un minorant. D’autre part la suite (un) est décroissante
donc le premier terme u0 est un majorant. On en déduit que la suite est bornée.

Exercice 6 :
1) Soit P(n) la propriété : 0 ≤ un ≤ 1 n N
Initialisation : u0 = 0 donc P(0) est vraie
Hérédité : soit k un entier quelconque, on suppose P(k) vraie, c'est-à-dire 0 ≤ uk ≤ 1.
uk+1 est le quotient de quantités positives donc est positif.
Pour montrer que : uk+1 ≤ 1, on va étudier le signe de : uk+1 – 1
uk+1 – 1 = or d’après l’hypothèse de récurrence uk ≤ 1 donc uk – 1 ≤ 0 et uk ≥ 0 donc
uk + 2 ≥ 0 par suite uk+1 – 1 ≤ 0. On en déduit que P(k+1) est vraie.
Conclusion : pour tout entier n, 0 ≤ un ≤ 1.
2) un+1 – un = un = = or 1 – un ≥ 0 car un ≤ 1 et 1 + un ≥ 0 de même 2 + un
> 0. On en déduit que pour tout entier n, un+1 – un ≥ 0 donc la suite (un) est croissante.
3) or un+1 - 1 = et un+1 + 1 = donc vn+ 1 = = pour

tout entier n. On en déduit que la suite (vn) est géométrique de raison et de premier terme v0 = – 1.
4) Vn = – 1

 vn ( un + 1) = un – 1 < = > vn un – un = – vn – 1 < = > un( vn – 1) ) = – vn – 1 < = > un =

On en déduit que un = .

Exercice 7 :
1) FAUX
avec un = 1/n ( pour n >0) on a (un) convergente vers 0 mais vn = –2n est divergente
2) VRAI
1 1
si 2 < un alors  et donc 1  vn
2 un
3) FAUX
1
Avec un  ( un) décroit et vn= –2n décroit aussi
n
4) FAUX
2
un=(–1)n alors vn  prend les deux valeurs –2 et 2 et ne converge pas
(1) n

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