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LE GUIDE DE L’AUTEUR

PLAN DU GUIDE

L’élaboration de votre document........................................................................................................... 2


Format du livre ......................................................................................................................................................................... 2
Folios – pagination .................................................................................................................................................................. 3
Pages de garde .......................................................................................................................................................................... 3
Texte courant ............................................................................................................................................................................ 3
Quelques règles pour la ponctuation ..................................................................................................................................... 4
Notes ......................................................................................................................................................................................... 4
Pages blanches - pages de titre ............................................................................................................................................... 4
Table / sommaire..................................................................................................................................................................... 4
Citations .................................................................................................................................................................................... 5
Illustrations ............................................................................................................................................................................... 6
Visualisation des modèles de mise en pages ......................................................................................................................... 6

Transmission du document à nos services et mode de prise en charge par le fabricant ............. 12
Documents à fournir ............................................................................................................................................................. 12
Texte de quatrième de couverture et maquette .................................................................................................................. 13
Vérifications orthographiques .............................................................................................................................................. 13

Annexe : quelques indications typographiques .................................................................................. 14


I. Généralités typographiques ............................................................................................................................................... 14
II. Références bibliographiques............................................................................................................................................ 18

Informations sur la promotion et la commercialisation de nos ouvrages...................................... 20

1
CONSIGNES PRATIQUES AUX AUTEURS
POUR L’ÉLABORATION D’UN PRÊT-À-CLICHER

Nos indications sur les fonctions du logiciel concernent Word. Mais il est bien entendu possible de réaliser la mise
en pages sous un autre logiciel (In Design, Xpress…). Nous consulter si nécessaire à ce sujet.

L’ÉLABORATION DE VOTRE DOCUMENT

Voici les consignes données à nos auteurs, dont le respect est indispensable. En cas de
difficultés ou pour des demandes précises, notre équipe est à l’entière disposition de l’auteur.

FORMAT DU LIVRE
Il existe deux formats : le petit de 13,5  21,5 cm et le grand de 15.5  24 cm.
ATTENTION : Pour tous les livres, au-delà de 300 pages en petit format (soit environ 450 000 signes espaces
comprises), il faut passer en en grand format sauf exception.

- Le petit format : Largeur du texte : 10 cm / hauteur du texte (numéro de page et éventuel


titre courant compris) : 18,5 cm
Intégrer les marges suivantes dans votre document (Mise en pages / Marges) :
Haut : 6 cm / Bas : 6,2 cm
Gauche : 5,5 cm / Droite : 5,5 cm
Reliure : 0
En tête : 0 / Pied de page : 5,2 cm

- Le grand format : Largeur du texte : 12 cm / hauteur du texte (numéro de page et éventuel


titre courant compris) : 20 cm
Intégrer les marges suivantes dans votre document (Mise en pages / Marges) :
Haut : 5 cm / Bas : 5 cm
Gauche : 4,5 cm / Droite : 4,5 cm
Reliure : 0
En tête : 0 / Pied de page : 4 cm

Remarques : Dans l’onglet « Format du papier », vous devez impérativement sélectionner le format de papier A4
(ni format lettre, ni format personnalisé). Ces marges sont définies par rapport au format de référence A4, qui est
celui d'une feuille de papier (21 cm de largeur pour 29,7 cm de hauteur). Ces marges n'ont de sens évidemment que
si l'on considère ce format de référence A4. Mais l'on pourrait tout autant définir des marges différentes en prenant
un format de référence 13,5 x 21,5 ou 15,5 x 24 cm, qui serait exactement celui d'un ouvrage L'Harmattan.

2
FOLIOS – PAGINATION
Le folio (numéro de la page) devra donc être placé à 5,2 cm ou 4 cm suivant le format du livre.
(Onglet : Insertion, numéros de page, pied de page) Il devra être homogène dans tout le document.
Le corps du folio est en général de la même taille que le texte. Il doit être centré et placé en bas de
page.

PAGES DE GARDE
Les pages de garde figurent en début d’ouvrage. Elles doivent respecter l’ordre suivant :
– Pages 1 et 2 : pages blanches (facultatif).
– Page 3 : page de faux titre. Seul le titre complet apparaît.
– Page 4 : page réservée à la liste de collection (ajoutée par l’éditeur) à laisser blanche.
– Page 5 : page de titre sur laquelle apparaissent le nom de l’éditeur, le nom de l’auteur (ou des
auteurs ou du responsable de collectif) et le titre complet.
– Page 6 : page réservée au copyright et à l’ISBN (ajoutée par L’Harmattan) et aux ouvrages
« Du même auteur » à renseigner.
Remarque : selon les deux pages blanches du début, il y a donc au moins 4 ou au plus 6 pages de garde : aucun
texte ne peut donc commencer en page 1. Le texte commence en page 5 ou 7. Peuvent s’ajouter des éléments tels que
la dédicace, une citation… chaque fois sur une nouvelle page impaire (à intercaler par une page paire blanche).
Toutes comptent dans la pagination. Les 4 ou 6 premières pages sont, la plupart du temps, refaites par le fabricant
selon les normes éditoriales, mais vous devez les fournir pour renseigner les éléments qui y apparaîtront (titre exact,
ouvrages du même auteur…).

TEXTE COURANT

1. Les alinéas
L’usage des alinéas est fortement recommandé pour rendre la lecture de votre ouvrage plus
agréable. Ils doivent être d’une longueur de 0,5 cm, pas davantage.

2. Le corps et le caractère
Le corps est la taille du caractère dans lequel le livre va être composé. Les choix du corps et de la
police influent sur le nombre de pages, qui détermine le prix futur de votre livre. Il faut donc être
très attentif au calibrage de votre texte et, dans le doute, il ne faut pas hésiter à s’adresser au service
de fabrication pour être guidé. Voici cependant quelques conseils.
Dans la plupart des cas, suivant le nombre de signes, au niveau de la police de caractères, on
optera pour un corps 11 ou 12 en Times New Roman. Ce choix convient très bien pour les essais
et études diverses. Dans le domaine de la création littéraire, nous conseillons l’utilisation du
Garamond. Pour les ouvrages ne comportant qu’un faible nombre de pages, un corps 12 ou 13
peut être utilisé, de manière à donner au livre une meilleure tenue.
Ces polices doivent s’accompagner d’un interlignage simple (voir ces options dans l’onglet
paragraphe de Word).

3
QUELQUES RÈGLES POUR LA PONCTUATION
– Les signes de ponctuation uniquement suivis d’un espace sont : , .
– Ceux précédés d’un espace et suivis d’un espace sont ? ! ; : - « »
– Pour les guillemets à l’anglaise ["] et les parenthèses, pas d’espaces à l’intérieur.
– Pour éviter que ces signes ne se retrouvent en début [ ? ) ! ; : »] ou en fin de ligne [ « ( ],
l’espace situé respectivement avant ou après doit être insécable (l’espace insécable est inséré
par le logiciel lors de la saisie d’un sigle de ponctuation ; il peut être également créé
manuellement en appuyant sur les touches ctrl + maj. + barre espace).
– Il faut éviter les veuves et les orphelines (un mot ou un bout de ligne isolé en haut ou bas de
page). Celles en bas de page sont à remonter en haut de la page suivante, celles en haut de page
sont soit à faire précéder de la dernière ligne de la page précédente pour qu’il y ait au moins
deux lignes en haut de page, soit à ramener en bas de la page précédente. Sur Word, une
fonction permet automatiquement d’« éviter les veuves et les orphelines » (Sélection du texte en
entier, ou simplement du paragraphe puis /Paragraphe/Enchaînement).

NOTES
Les notes peuvent être placées soit en bas de page, de préférence, soit en fin de chapitre ou en
fin d’ouvrage. Le corps à utiliser est de 2 points de moins que le corps du texte. Les notes doivent
être justifiées.
Il ne faut pas sauter de ligne entre deux notes. Attention à ce que le trait de séparation soit bien
calé à gauche sur les marges du texte. Les appels de note dans le texte doivent être en exposant. Les
notes doivent être de toute façon intégrées en numérotation automatique.

PAGES BLANCHES - PAGES DE TITRE


Chaque nouveau chapitre ou nouvelle partie (y compris les éléments en début d’ouvrage :
remerciements, sommaire, dédicace…) doit se trouver en belle page, c’est-à-dire en page impaire, quitte
si nécessaire à laisser la page paire précédente blanche. A noter cependant que, dans le cas de
romans ou d’essais, il est possible, et même recommandé, lorsque ceux-ci sont courts ou nombreux,
de ne pas laisser de page blanche, mais simplement d’intégrer un saut de page.
Dans tous les cas, une page paire seule peut être blanche, et il ne pourra jamais y avoir deux
pages blanches à la suite. Si une page est consacrée uniquement au titre, comme dans le cas de
présentation des parties, le début du texte qui suit doit aussi se trouver en page impaire et donc la
page paire intermédiaire reste blanche. Vos titres devront respecter une hiérarchie soigneusement
établie entre titres et sous-titres divers. Tous ces éléments devront être homogènes tout au long du
document (corps, police, graisse, italique…).

TABLE / SOMMAIRE
La plupart des ouvrages contiennent un sommaire et/ou une table des matières. Le sommaire se
place habituellement en début d’ouvrage. Le sommaire n’intègre que les éléments d’intitulé de
premier et deuxième niveau (parties et chapitres) et n’a pas vocation à être exhaustif.

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La table des matières, qui doit être complète, doit être impérativement placée en fin d’ouvrage. Il
n’est pas utile de l’alourdir visuellement en ajoutant trop de gras ou de texte composé en
majuscules. Elle est plus détaillée et comporte davantage de niveaux de titres.
L’un comme l’autre devront reprendre exactement les intitulés des titres utilisés dans le document
et indiquer les folios de ces derniers. Ils seront vérifiés au moment du contrôle du document.
Sous Word, vous pourrez les générer automatiquement, un outil existe pour cela dans l’onglet
« références » puis « table des matières ». C’est une opération spécifique qui nécessitera quelques
manipulations.

CITATIONS

Les citations : aspects juridiques


Le droit de citation permet de reproduire librement un court extrait d’un ouvrage sans le
consentement de l’auteur ou de ses ayants-droit lorsque l’œuvre n’est pas encore tombée dans le
domaine public, ce qui n’arrive que soixante-dix ans après la date de décès de l’auteur.
Pour les ouvrages collectifs, on compte à partir de la date de décès du dernier auteur. Pour les
périodiques, il faut attendre soixante-dix ans après la date de parution de la revue. C’est le droit
patrimonial.

L’exception de courte citation : notion de longueur


Les citations doivent donc être courtes et ce point est très important. Le Code de la propriété
intellectuelle ne donne pas de caractère quantitatif. On s’accordera sur l’idée que l’on peut utiliser
une citation de huit lignes au maximum pour les œuvres encore dans le domaine privé.
L’exception de courte citation constitue une exception au droit d’auteur et permet d’utiliser un
fragment d’œuvre protégée sans avoir à en demander l’autorisation. Sa longueur n’est pas évaluée
d’un point de vue quantitatif, mais elle obéit à trois règles qui doivent être simultanément
respectées :
– Au niveau du droit moral, l’auteur doit impérativement mentionner la source de la citation
(titre de l’ouvrage, éditeur, année de parution, numéro de page).
– Le caractère succinct, qui s’apprécie à la fois au regard de l’œuvre citée et de l’œuvre citante,
selon un rapport proportionnel. Une citation de 5 lignes, par exemple, doit être
appréhendée de façon différente selon qu’elle soit issue d’un court texte (poème…) ou de
plusieurs pages. À titre d’illustration, justement, un haïku (court poème japonais) n’entrera
pas dans la règle d’exception de courte citation.
– Le recours à la citation, en tant qu’élément de développement dans un contexte précis, doit
être justifié (d’un point de vue pédagogique, critique, polémique, scientifique ou informatif).

La question des traductions


On peut désormais publier librement Freud, par exemple, mais seulement en allemand. En
français, on ne pourra reproduire qu’un texte dont le traducteur est décédé depuis soixante-dix ans.
Il en est de même des textes par exemple de l’Antiquité gréco-latine. On ne peut reprendre une
traduction sans tenir compte de la question des droits.

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NB. Des citations plus longues peuvent être reproduites mais avec autorisation et rémunération de l’auteur cité.
Notre maison ne prend pas cette somme en charge ni ne peut s’occuper des démarches administratives auprès de
l’éditeur possédant les droits. Il en est de même pour tout document photographique, domaine où il faut être très
prudent.
Disons seulement que si un tableau est l’œuvre d’un peintre tombé dans le domaine public, par exemple le
Caravage, il reste que le cliché trouvé appartient à un photographe. Il faut savoir également que, dans le
domaine de la photographie, l’absence d’autorisation équivaut à une interdiction.

ILLUSTRATIONS
Si des illustrations sont prévues, merci de le faire savoir dès le début. Si elles doivent être placées
dans le texte, l’auteur devra les intégrer à sa mise en pages. Si elles sont sur des pages isolées du
document, il faudra également les intégrer à la mise en pages ou bien laisser une page blanche
comptant dans la pagination à cet effet pour des illustrations fournies à part sur papier ou fichier.
Elles doivent être libres de droits (à l’auteur de s’en assurer et de les demander le cas échéant). À
noter que les droits de reproduction, contrairement à ce qu’on lit sur Internet, ne sont pas tous
soumis au passage dans le domaine public 70 ans après la mort de l’auteur hors période de guerre,
car dès lors qu’il y a des ayants-droit, que l’œuvre se retrouve dans un musée, une base de données
ou une collection privée, etc., sa reproduction doit faire l’objet d’une autorisation. Les graphiques, figures,
etc. qui sont tirés d’ouvrages, revues, etc. sont soumis aux mêmes règles.
Ces illustrations doivent être en haute définition (300 dpi minimum). Il faut noter que nous
imprimons généralement, sauf exception définie au préalable, l’intérieur des ouvrages en noir et blanc,
illustrations comprises, et que le rendu en numérique de l’iconographie n’est bon que si le
document fourni est en haute définition, suffisamment contrasté, ni trop sombre ni trop clair… Merci
d’éviter dans la mesure du possible les textes sur fonds grisés, et de préférer les hachures, pointillés,
etc. aux nuances subtiles de gris pour les légendes de cartes par exemple, etc.

VISUALISATION DES MODÈLES DE MISE EN PAGES


Les documents présentés ci-après ont été élaborés pour aider les auteurs à visualiser leurs pages
et appliquer leurs consignes de manière à obtenir un résultat qui leur convienne. Présentés dans les
deux formats utilisés par notre maison, ils servent de guide pour la plupart des cas de figure. A
partir de ces modèles, l’auteur saura comment placer les divers éléments de son texte. Les
indications concernant les pages de garde aideront l’auteur à placer les éléments du début du livre.

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TRANSMISSION DU DOCUMENT À NOS SERVICES
ET MODE DE PRISE EN CHARGE PAR LE FABRICANT

Une fois le document terminé, celui-ci sera confié à une personne de notre équipe de
fabrication. Celle-ci va examiner le futur livre et contacter l’auteur directement pour mener à bien la
finalisation de l’opération. Celle-ci se déroulera en plusieurs phases :
– réception des documents,
– vérification orthographique,
– vérification de la mise en pages,
– conception de la couverture,
– envoi chez l’imprimeur après réception de votre accord (BAT) pour la couverture.
Pour ce faire, notre maison a besoin de recevoir les éléments suivants :

- Impression papier du document complet et définitif


- Document identique à la version papier en version PDF
- Document en version native (Word, Indesign)
- Texte de 4ème de couverture avec biographie de l’auteur
- Photographie de l’auteur et proposition d’illustration (facultatives)

DOCUMENTS À FOURNIR
Une impression papier doit être fournie lors du dépôt du prêt-à-clicher. Elle ne servira pas à
l’impression finale mais demeure indispensable au fabricant qui va suivre votre ouvrage afin
d’effectuer les opérations de contrôle.
Cette sortie papier qui est ici demandée ne nécessite pas une qualité particulière car à terme, c’est
le PDF qui sera envoyé chez l’imprimeur et exploité. La copie papier servira seulement de modèle
de comparaison pour s’assurer que tout va bien. Il importe que cette version papier corresponde
exactement au texte de la version présente en PDF et nous demandons à l’auteur la plus grande
attention à ce niveau.
Un document identique en version PDF. Si vous n’avez pas PDF Creator, vous pouvez le télécharger
gratuitement sur Internet. Une fois ce programme installé sur votre ordinateur, il suffit ensuite, dans
la commande « IMPRIMER », de faire dérouler la petite fenêtre affichant le nom de l'imprimante
pour choisir PDF Creator. Toujours sur cette fenêtre, aller dans « PROPRIETES / AVANCE /
POLICES » et cocher « télécharger en tant que police logicielle » (pour incorporer les polices).
Valider. En cliquant ensuite sur « IMPRIMER », le PDF se crée dont vous déciderez de
l’emplacement sur votre ordinateur. Toujours garder la version Word en plus de la version PDF car
seule la version Word sera retouchable.

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TEXTE DE QUATRIÈME DE COUVERTURE ET MAQUETTE
– Texte de quatrième de couverture. Il faut joindre à l’envoi du prêt-à-clicher une quatrième de
couverture (texte au dos du livre : une quinzaine de lignes de présentation de l’ouvrage et 3
à 5 lignes sur l’auteur) sur papier et fichier Word. Celle-ci sera contrôlée par le service
éditorial. Le texte ne devra cependant pas être trop long et ne pas dépasser les 1 000 signes
pour un petit format et les 1 200 signes pour un grand format.
– Éléments de couverture. Toutes les couvertures de livres, sans exception, sont fabriquées par
nos graphistes mais l’auteur peut proposer un document iconographique qui sera reproduit
en quadrichromie, sauf si la collection dans laquelle sera publié son ouvrage ne le permet
pas.
Nous essayons de satisfaire l’auteur dans la mesure du possible et de lui offrir une couverture qui
lui plaira. Néanmoins, notre équipe éditoriale se réserve le droit de refuser certaines illustrations qui
ne s’accordent pas avec la ligne éditoriale de la maison ou l’esprit de la collection.
Pour le titre, un travail s’effectue en lien avec le service commercial qui doit donner son accord.
L’auteur peut nous proposer cinq titres, en veillant à placer des mots clés pour le référencement
bibliographique et commercial ultérieur, règle qui ne s’applique pas vraiment dans le cas des œuvres
littéraires.

IMPORTANT. Le prêt-à-clicher doit être la version complète et définitive de votre livre. Préface, dédicace,
bibliographie, etc., tout doit être présent au moment de la remise du premier exemplaire et aucune retouche de
fond ne pourra être apportée après dépôt (donc assurez-vous bien des questions de droits de reproduction texte et
image AVANT le dépôt chez nous).
Tous les éléments fournis (documents iconographiques, CD…) doivent être des doubles, nous ne pourrons être
tenus pour responsables de la perte d’originaux.

VÉRIFICATIONS ORTHOGRAPHIQUES
Nous rappelons que les documents remis doivent être très soigneusement corrigés. Il est
impératif que votre texte soit passé au minimum au correcteur orthographique de l’ordinateur et
soit soumis à une relecture par un tiers avant dépôt auprès de nos services.
Nous invitons vivement l’auteur à utiliser les logiciels de correction. Nous vous recommandons
Antidote ou ProLexis, très efficaces pour détecter les fautes lourdes. Il est nécessaire bien entendu
d’être très attentif car cette aide, précieuse, ne se substitue pas à la relecture « humaine ».
Un test ortho-typographique d’une dizaine de pages est effectué par nos soins sur chaque prêt-à-
clicher jusqu’à ce notre équipe n’y détecte plus de fautes gênantes. Lorsqu’une relecture complète
du document est jugée nécessaire, l’auteur en est informé par son fabricant qui fera alors le point
avec lui à propos des solutions envisageables.
Une relecture par nos services est possible, sur devis. Cette formule peut être adoptée d’emblée à
la demande de l’auteur, dès le début du processus, ou bien en cours de route en cas de difficultés
insurmontables, ce qui est au demeurant très rare. Nous nous permettons d’attirer l’attention sur le
fait que c’est généralement la question du contrôle ortho-typographique qui bloque le processus de
fabrication et allonge le délai de fabrication.

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Il importe de se montrer très attentif car, contrairement à ce que l’on peut imaginer, la chaîne
numérique et le développement des nouvelles technologies ne permettent pas de pouvoir modifier et corriger le livre après
la première parution. Le nombre d’interlocuteurs numériques et de serveurs où le fichier est déposé
ainsi que l’ensemble de la chaîne rendent désormais très difficile de remplacer, pour un titre avec
son ISBN initial, une ancienne version par une nouvelle.
En conséquence, il ne sera plus possible de faire des modifications sur les fichiers, une fois le
livre paru. Une nouvelle réédition, avec un nouvel ISBN, sera la seule solution avec toutes les
contraintes qui y sont attachées. Nous vous remercions d’en prendre bonne note.

Possibilité de faire réaliser un devis


Pour nos auteurs désireux de ne pas réaliser eux-mêmes ce travail de mise en pages ou de relecture intégrale, nous pouvons
proposer une réalisation en interne. Pour faire établir un devis, merci de vous adresser à Virginie Hureau. Il suffit de lui
envoyer le document sous Word à son adresse e-mail : virginie.hureau@harmattan.fr

ANNEXE : QUELQUES INDICATIONS TYPOGRAPHIQUES

Ces quelques conseils - très sommaires- ont été rédigés par le service éditorial dans le but d’aider
les auteurs à réviser leur texte en répondant aux questions les plus souvent posées. Il s’agit là de
l’écriture typographique de la langue française, et non de technique pure. Les auteurs chevronnés
connaissent ces règles et nous pardonneront ce rappel.
Ce document ne constitue en rien un Code typographique abrégé doté de toutes les rubriques
habituelles. Il a été élaboré à partir de l’observation des erreurs les plus couramment rencontrées au
fil des ans.

I. GÉNÉRALITÉS TYPOGRAPHIQUES

Titres d’œuvres et de journaux


On utilise l’italique sans guillemets pour les titres d’œuvres : Les Femmes savantes, Le Rouge et le
Noir, La Peste. On remarquera surtout les majuscules à l’article initial s’il fait partie du titre, et les
majuscules aux substantifs et non aux adjectifs.
Cette règle est valable pour les titres de chansons et autres œuvres littéraires et artistiques. Même
chose pour les organes de presse. On trouve Le Monde, Le Figaro, et on peut écrire que l’on a vu un
article du Monde. Le titre d’un article se compose en romain et entre guillemets.

La composition des citations


Elles se composent de préférence en romain et entre guillemets. Mieux vaut conserver l’italique
pour affiner la typographie (insistance sur une notion, mots étrangers…).
« Pour les citations en retrait, le retrait ne s’effectue que sur la gauche. On compose en un
corps inférieur. L’espace au-dessus devrait être un peu moins important qu’au-dessous. »
On place des guillemets au début et à la fin, pas à chaque paragraphe. Et l’on termine bien par
guillemet fermant et ponctuation finale à l’intérieur.

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Il faut éviter l’utilisation conjointe des guillemets et de l’italique également parce qu’il s’agit d’une
redondance typographique. Le choix du maintien des guillemets est préférable également pour des
raisons de précision au niveau de la reproduction de la citation.
Pratiquement, cela signifie que, dans un texte, il faut éviter de voir ceci : « Il a parlé le premier ».
Mieux vaut choisir cette solution : « Il a parlé le premier ». Ce qui est le plus gênant est d’écrire
ainsi : Il a parlé le premier sans guillemets.

Guillemets et ponctuation
Il faut d’abord savoir qu’il existe deux sortes de guillemets. Les « guillemets à la française »,
visibles dans cet exemple, et qui sont à utiliser en toute circonstance, avec une seule exception,
lorsqu’une citation se trouve dans une autre citation. Dans ce cas, la citation de l’intérieur est placée
entre guillemets à l’anglaise, lesquelles sont de petites virgules doublées.
Le vrai problème avec les guillemets est celui de l’emplacement du guillemet fermant par rapport
à la ponctuation. Nous venons de voir ce problème mais mieux vaut être encore plus précis. Nous
allons prendre un exemple :
a) La mise entre guillemets ne coupe pas la phrase car il n’y a pas le signe de ponctuation
constitué de deux points avant le guillemet ouvrant.
Nos parents ont dit de ne pas « sortir de la maison avant dimanche ».
b) La phrase entre guillemets est précédée de deux points car il s’agit d’une citation reproduite.
Nos parents nous ont dit : « Ne sortez pas de la maison avant ce dimanche. »
Il y a à cela comme à tout une raison mais n’y pensons pas pour l’instant et voyons où se place
l’appel de note dans tout cela.

L’emplacement de l’appel de note


L’appel de note - toujours composé avec le chiffre en hauteur et sans parenthèse sauf en algèbre
- a lui aussi une place bien précise :
« Il précède donc toujours le signe de ponctuation ou le guillemet fermant la citation. En
fin de phrase, l’appel de note sera suivi du point final, même s’il est précédé de trois
points de suspension ou du point accompagnant un mot abrégé1 ».

Les dialogues
Les dialogues se composent de nos jours de la manière la plus simple. Sans guillemets, ni
changement de corps, ni bien entendu d’italique. Exemple :
– Michel, est-ce bien vous ?
– Et qui voudriez-vous que ce soit passant dans ce quartier à une heure pareille ? rétorqua le
passant avec un geste d’impatience.
Il faut juste penser aux espaces, ceux de ces pages ne constituant en rien un modèle. En règle
générale, l’espace au-dessus du début de la citation est inférieur à celui du dessous comme pour les

1 Code typographique établi par Jean Duval pour l’imprimerie Charles Corlet. On notera au passage que les codes se
composent toujours en romain : le Code typographique, le Code civil… Même chose pour les textes religieux de
référence : la Bible, le Coran… Ce sont là les seules exceptions pour les titres d’œuvres.

15
citations. Mais ce n’est pas toujours simple à réaliser et nous nous contenterons ici de seulement
bannir la solution inverse.
On remarquera dans l’exemple de dialogue ci-dessus la nécessité absolue du retour au fer à
gauche. Ce n’est pas facile à réaliser et nous pouvons vous aider. Bien entendu, d’autres modèles
sont valides pour présenter les dialogues mais il faut alors très bien en maîtriser les codes.

L’utilisation du gras dans le texte courant


L’usage du gras est réservé aux titres et sous-titres et son utilisation à l’intérieur du texte courant
est fortement déconseillée. Seul, nous l’avons dit, l’usage modéré de l’italique permet l’insistance sur
une notion et c’est pourquoi il faut dès le départ économiser cette précieuse ressource
typographique.
Elle permettra en particulier de composer les mots en langue latine, genre in situ, et aussi d’autres
mots étrangers lorsque ceux-ci ne sont pas bien intégrés à la langue française.

L’utilisation des mots en lettres capitales dans le texte


Il ne faut jamais laisser des noms propres, comme monsieur Jean DURAND, composés en
lettres capitales dans le texte courant, sauf lors de la reproduction de citations anciennes, genre
circulaire administrative.
Mieux vaut, même dans ce cas, utiliser alors des petites capitales, ce qui donnerait monsieur Jean
DURAND, tout comme pour les sigles. Il faut composer en un corps inférieur. Par exemple la
SNCF devient la SNCF. Il s’agit d’une consigne facultative, bien entendu.
En vérité, les grandes capitales se justifient essentiellement dans le cas des chiffres romains
utilisés pour les arrondissements (le XIe arrondissement) ou par exemple pour les rois (Louis XIV).
Pour les siècles, genre le XVIIIe siècle, il est d’usage de composer en petites capitales.
Pour les ouvrages littéraires, romans mais aussi certains récits, il est préférable d’écrire le nom
des siècles en toutes lettres, par exemple le dix-neuvième siècle ou le vingtième siècle.

Les nombres en chiffres arabes


On compose en lettres les nombres inférieurs à 10. On écrira donc que l’on a rencontré huit
personnes, acheté trois œufs mais 125 bonbons. Et que l’on a payé 23 euros les deux kilos et demi
de bœuf ou neuf euros les 500 grammes. J’ai 25 ans mais mon fils n’a que trois ans. J’ai donc 22 ans
de plus que lui.
Les durées s’écrivent généralement ainsi : « Vingt-cinq minutes ont passé ; nous avons marché
durant trois jours. » Il est important, surtout en littérature mais pas seulement d’éviter d’écrire les
heures en abrégé. Exemple : « Il prit le train de 8 h pour se rendre à son rendez-vous. »
En revanche, les dates restent en chiffre, par exemple : je suis née le 9 avril 1981. On remarque
que, pour les dates, on compose en chiffre arabes même les nombres inférieurs à 10.
Les nombres en chiffres romains sont employés pour les siècles, les parties d’ouvrage (acte I, tome
VII), et diverses appellations : Henri IV, la IV° région militaire…

Les sigles
Nous venons de voir qu’il est préférable de composer les sigles en petites capitales (capitales du
corps inférieur tout simplement si, comme nous, l’auteur ne trouve pas la touche « petites

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capitales »). Ils se composent également depuis longtemps sans points entre les lettres. Sauf dans le
cas de reproduction d’un texte historique où l’on peut, de fait, retrouver la S.F.I.O.
Pour les sigles, nous savons qu’ils sont élaborés à partir de la première lettre de chaque mot
composant l’appellation en question. Il faut savoir également qu’un acronyme peut être forgé à
partir de mot abrégé en conservant leur syllabe initiale, comme dans le cas du Benelux.
Nous allons juste signaler ici que pour certains acronymes, l’usage en a fait des noms communs
qui ne comportent pas de majuscule initiale comme un ovni, un laser, le sida ou maintenant le pacs.
D’autres cependant demeurent des noms propres et prennent la majuscule comme l’Onu,
l’Otan, le Comecon, et autres organismes internationaux.

Les noms de rues


Pour les noms de rues, il faut procéder ainsi : 10, rue du Faubourg- Saint-Martin, 11bis,
boulevard des Capucines et 4, square Louise-Michel. Il faut toujours un trait d’union et jamais
d’abréviation.

Les noms géographiques


On met toujours un trait d’union lorsqu’il s’agit d’évoquer un lieu géographique comme par
exemple, pour les villes, comme Châlons-sur-Marne, le Kremlin-Bicêtre. Dans ce domaine, les
correcteurs orthographiques des ordinateurs sont des alliés relativement fiables. Ils savent même
que Garges-lès-Gonesse s’écrit comme nous venons de le faire.
C’est la même chose avec les départements. On écrit la Haute-Marne, la Haute-Corse, la Seine-
Saint-Denis, les Alpes-de-Haute-Provence, l’Ile-de-France. Mais l’on parlera de la Ville de Paris et
du Territoire de Belfort.
Comme on peut le voir, la majuscule apparaît aux noms et aux adjectifs mais bien sûr pas à
l’article. En fait, les noms géographiques prennent toujours une majuscule. Par exemple : la France,
les Etats-Unis, la Seine, la Méditerranée.
Et la mer Méditerranée ? On met bien sûr la majuscule à Méditerranée. Même chose pour la mer
Egée. Et donc aussi pour la mer Rouge, la mer Morte ? Oui. De même on écrira le canal de
Panama, le golfe de Guinée, les îles Kerguelen, et bien sûr l’océan Atlantique. Et c’est la même
chose pour les monts, comme le mont Ventoux. Une seule exception : le Mont-Blanc.

Nationalités, langues…
Les nationalités s’écrivent avec une majuscule initiale : les Français, les Belges, les Chinois, les
Serbo-Croates. Attention lorsque l’on parle d’une langue. On écrira bien le français, le chinois, le
serbo-croate…

Emploi de ces noms comme adjectifs


Attention si le nom de la nationalité devient adjectif. On parlera d’une femme française, d’une
jeune fille chinoise et du mode de vie bantou. On écrira aussi un chef peul puisqu’il s’agit d’un
adjectif.

Les religions
Pour désigner les adeptes d’une religion, on utilise une minuscule initiale : les catholiques, les
protestants, les musulmans… mais on peut écrire les Musulmans lorsque, dans le contexte colonial,

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on les oppose aux Français d’Algérie par exemple. On désigne alors un peuple. Le problème se
pose avec le mot juif ou Juif. Religion ou peuple dans le contexte du livre ? A l’auteur de trancher.

Les organismes divers


En apparence, les choses sont simples. Lorsque l’on parle d’un organisme unique, comme l’Etat
ou l’Assemblée nationale, on place une majuscule au substantif, mais pas à l’adjectif. C’est pour
cette raison que le mot Etat est toujours doté d’une majuscule initiale. Nous aurons donc le Conseil
d’Etat, puisque ces deux substantifs désignent ici un organisme unique.
Pour les organismes multiples, comme les ministères, on place la majuscule au substantif qui
définit ledit ministère. On parle ainsi du ministère de l’Intérieur, du ministère du Travail et de
l’Emploi, du ministère des Affaires étrangères avec à sa tête un ministre des Affaires étrangères.
On remarquera que ministre ne prend pas de majuscule initiale comme c’est le cas pour les
autres titres distinctifs habituels tels que : le colonel du régiment, le député de la circonscription, le
préfet du Var, le maire de Paris, le président du conseil général, et même le président de la
République.
En revanche, si l’on reproduit une lettre, on mettra une majuscule car nous sommes dans le cas
d’une formule de politesse. Il faudra alors écrire : Monsieur le Président, Monsieur le Préfet.
Bien sûr, nous ne voyons là qu’une toute petite partie du problème mais l’on peut toujours se
référer aux codes typographiques imprimés ou en ligne.

II. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES


La présentation des références bibliographiques requiert un soin tout particulier de la part de
l’auteur. Voici les règles de composition d’une bibliographie et aussi des notes de bas de page.
On notera que les noms d’auteurs peuvent s’écrire de deux manières. Soit en bas de casse avec
prénom entre parenthèses [ex. Martin (Julien)], ou bien avec le nom en petites capitales avec
capitale initiale et sans parenthèses au prénom [ex. MARTIN Julien]. Il faut éviter la solution avec
noms en grandes capitales.

1. Bibliographie en fin d’ouvrage


a) Version simple la plus usitée. On peut à la limite faire l’impasse sur le nombre de pages si cela
n’a pas été noté.
Martin (Julien), La route du vent: des Açores aux Galápagos, Paris, PUF, 1995, 363 p.
b) Version plus complète mais que l’on ne voit plus beaucoup.
Martin (Julien), La route du vent: des Açores aux Galápagos, 5ème éd., Paris, PUF, 1995, 363 p.,
(coll. Le fil rouge).
c) Modèle avec typographie plus classique :
MARTIN Julien, La route du vent: des Açores aux Galápagos, Paris, PUF, 1995, 363 p.

2. Notes infrapaginales
a) Référence ordinaire
Martin (Julien), La Route du vent: des Açores aux Galápagos, Paris, PUF, 1995, p. 9.

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b) Utilisation des abréviations latines
Ibid. il s’agit de l’abréviation de la locution latine ibidem qui signifie « au même endroit ». On ne
peut l’employer que dans le cas où la référence complète précède immédiatement. Cette nouvelle
occurrence est complétée par le numéro de page.
1. Martin (Julien), La Route du vent: des Açores aux Galápagos, Paris, PUF, 1995, 363 p.
2. Ibid., p. 63.
Op. cit. Il s’agit de l’abréviation utilisée pour opus citatum, qui signifie « dans l’ouvrage cité ». Cela
veut dire que la référence a déjà été citée précédemment mais pas immédiatement avant. Il est
nécessaire alors de rajouter le nom de l’auteur suivi du numéro de la page.
1. Martin (Julien), La Route du vent: des Açores aux Galápagos, Paris, PUF, 1995, 363 p.
2. Martin (Michel) et al. « Le rêve réalisé» (1946), in Etudes de psychopathologie, Paris, PUF,
1972.
3. Martin (Julien), op.cit. p. 113.

3. Références à des articles parus dans des collectifs


a) Pour une contribution dans un livre collectif
Moulineur (Michel) et al., « Le rêve réalisé» (1946), in Etudes de psychopathologie, Paris, PUF,
1972.
b) Pour un article dans un périodique
Dubois (A.), « Réflexions sur le temps qui passe», in Revue française de psychologie 1985, 49,
n° 3, pp. 773-778.
Nous voyons ici seulement le cas du référencement bibliographique « à la française ». Pour le
système anglo-saxon, les auteurs universitaires qui l’utilisent connaissent généralement parfaitement
la méthode.

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INFORMATIONS SUR LA PROMOTION
ET LA COMMERCIALISATION DE NOS OUVRAGES

Une fois votre livre imprimé, commencera alors sa phase de promotion avec nos équipes. Dès
que le livre sorti de l’imprimerie sera entre les mains de nos équipes de promotion, ce seront elles
qui vous contacteront après avoir effectué les opérations indispensables, telles que le dépôt légal
auprès de la Bibliothèque nationale de France.
En effet, une fois le livre sorti, un interlocuteur spécifique de notre service de communication
vous contactera pour évoquer les opérations de suivi promotionnel et commercial, et pour vous
remettre cinq exemplaires personnels d’auteur. Voici, pour vous préparer à cette prochaine étape,
quelques éléments d’information.
Il est important que vous ayez à l’esprit un certain nombre de choses liées à la vente des livres
et à la socio-économie de la chaîne du livre. Nous sommes dans un contexte de forte
augmentation du nombre de titres publiés en France. Face à ce phénomène, les libraires, même
les plus importants, sont amenés à faire des choix draconiens. Les chiffres actuels sont les
suivants : 65 000 nouveaux titres ou nouvelles éditions sont mis sur le marché chaque année,
dont en moyenne seuls 9 000 à 15 000 sont présents en librairie. 50 000 nouveautés ne sont donc
pas commercialisées par le biais de ce canal traditionnel de distribution. C’est pourquoi,
aujourd’hui, votre dynamisme et vos réseaux sont indispensables pour faire connaître votre livre.
Votre ouvrage sera présent dans toutes les bases professionnelles, les sites de vente web, et
disponible à l’achat pour l’ensemble des librairies qui en feront la demande. Votre action dans votre
réseau sera également déterminante pour le succès et la connaissance du livre. Nous présentons un
bref résumé de votre livre accompagné de sa couverture sur notre site Internet www.editions-
harmattan.fr (plus de 40 000 heures de visites par jour).
Vous disposez sur notre site web d'un espace personnel pour votre biographie, vous permettant
de publier des articles ou diverses contributions. Nous intégrons votre livre à notre feuille
mensuelle de nouveautés (version papier, tirage à 15 000 exemplaires), envoyée à un important
fichier généraliste tous les deux mois. Une newsletter hebdomadaire électronique est également
largement diffusée dans notre fichier généraliste et notre fichier libraire. Par ailleurs, des envois sont
effectués sur des cibles plus précises, mensuellement, en fonction de la thématique de votre
ouvrage. Celui-ci sera également disponible en format numérique (e-book). Ce marché en est à ses
prémisses (moins de 5 % du marché du livre papier), mais L’Harmattan est déjà un acteur
incontournable sur ce domaine, présent sur tous les supports et distributeurs. Il est également
possible d’organiser une séance de signature de votre ouvrage à L’Harmattan, ainsi que d’enregistrer
un petit film de 3 ou 4 minutes, présenté par vous-même, qui sera relayé par notre site, et notre
chaîne YouTube.
Mais tous ces éléments ne se mettent en action qu’une fois le livre imprimé, et le contact réalisé par notre service de
promotion, qui complètera avec vous, suivant les besoins, ce dispositif général.
En espérant que ces informations vous aideront à optimiser, avec notre soutien, la fabrication et
la promotion de votre ouvrage, dans cet univers complexe, nous vous rappelons que toute notre
équipe compte sur votre dynamisme et votre implication pour défendre vos idées et votre travail de
recherche ou de création. Vos interlocuteurs successifs, au fur et à mesure de l’avancée de ces étapes,
seront à même de répondre à vos questions et interrogations… À bientôt donc pour la suite de vos
aventures éditoriales.
Pour l’équipe Promotion / Diffusion, Armelle Riché

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PS : Nous nous tenons à votre disposition pour toute question se posant une fois l’ouvrage paru
et serons heureux de vous accueillir et de vous rencontrer au 5/7 rue de l’Ecole-Polytechnique
(75005 Paris).

ADRESSES UTILES

Service fabrication : Editions L’ Harmattan 16, rue des Ecoles 75005 Paris
de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h du lundi au vendredi
Tél. 01 40 46 79 10 (ou 14)

Responsable générale du service fabrication : Virginie Hureau. C’est à l’adresse ci-dessus (16, rue
des Ecoles, 75005 Paris) que devront être envoyés les contrats ainsi que les documents demandés
afin que puisse commencer le travail de mise en fabrication. Rappel de ces éléments : texte
définitif mis en pages sur un support informatique (clé USB ou CD) contenant également les
autres éléments demandés (illustrations et texte de quatrième de couverture) ainsi qu’une version
papier de cette même version définitive. Nous demandons aux auteurs une version PDF. Les
PAC peuvent être désormais envoyés par e-mail.
Les auteurs peuvent éventuellement joindre notre équipe pour demander des renseignements ou
un rendez-vous, concernant des questions d’ordre technique. Les questions peuvent être
également posées par e-mail : virginie.hureau@harmattan.fr

Direction générale

Les auteurs peuvent également entrer en contact avec nos directeurs :

Denis Pryen : denispryen.harmattan@wanadoo.fr (01 56 24 38 55)


Affaires générales, éditoriales et juridiques (contrats...) pour les éditions L'Harmattan

Xavier Pryen : xav.pryen@free.fr (01 40 46 79 12)


Filiales nationales ou internationales et marques associées,
nouvelles technologies, autres métiers…

Le présent guide a été réalisé par Christiane Dubosson (direction éditoriale) et Julien Denieuil,
avec le concours de Stanislas Esposito (et en collaboration avec le service de fabrication).
Ce guide méthodologique demeure en phase d’expérimentation ; il est susceptible d’être
modifié. Vos remarques et suggestions de nos auteurs seront, à ce titre, les bienvenues.
N’hésitez pas à nous contacter par e-mail :
manuscrit@harmattan.fr ou virginie.hureau@harmattan.fr.

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