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Nous fîmes notre entrée à Janina.

II fallut tout de suite deviner que Janina signifiait jardinet, diminutif


de « jenan » qui est « le jardin » en arabe, en turc, en kabyle. Les beaux platanes de ce jardin se mirent dans
un lac splendide, de même qu’un palais mauresque avec un minaret très fin, très élégant et très haut. C’est
là, nous expliqua-t-on, le palais du pacha Ali ; un pacha des mille et une nuit qui gouverna jadis la région.
Janina recèle tous les charmes d’une petite ville de province, un peu vieillotte et endormie mais
pleine de santé et de confiance comme une paysanne naïve qui n’attend rien de personne. A la terrasse des
cafés, on peut regarder les passants tuer le temps comme tous les consommateurs, on peut écouter la
musique au rythme lent et se voir offrir le spectacle des danses locales. Cela ne dépend que du hasard. Dans
la rue, on côtoie tout le peuple de la ville, apparemment heureux de vivre en dehors, en foule.
Oui, c’était bien là une ville de province accueillante ou il n’y avait de curieux que cette soudaine
apparition d’experts internationaux qui eurent vite fait de se confondre avec les gens de la ville et qui
passèrent inaperçus dés qu’ils eurent fini de parcourir la grand-rue.
D’après M. Feraoun, le voyage en grec.
QUESTIONS :
1- L'auteur de texte est :
- Un écrivain. - Un historien. - Un sociologue. Coche la bonne réponse.
2- Réponds par « vrai » ou « faut » :
a) Janina est une femme. b) Janina est une ville. c) Janina est un palais.
3- Relève dans le premier paragraphe la phrase qui montre que janina a appartenu jadis aux
musulmans.
4 - Parmi les titres suivants, choisis celui qui convient le mieux au texte :
a) Janina, ville déserte. b) Janina l’enchanteresse. c) Janina, une ville d’Algérie.
5- Remplace dans la phrase suivante « on »par « nous »
« A la terrasse des cafés, on peut regardes les passants tuer leur temps… ».

Nous fîmes notre entrée à janina. II fallut tout de suite deviner que janina signifiait jardinet, diminutif de «
jenan » qui est « le jardin » en arabe, en turc, en kabyle. Les beaux platanes de ce jardin se mirent dans un
lac splendide, de même qu’un palais mauresque avec un minaret très fin, très élégant et très haut. C’est là,
nous expliqua-t-on, le palais du pacha Ali ; un pacha des mille et une nuit qui gouverna jadis la région.
Janina recèle tous les charmes d’une petite ville de province, un peu vieillotte et endormie mais
pleine de santé et de confiance comme une paysanne naïve qui n’attend rien de personne. A la terrasse des
cafés, on peut regarder les passants tuer le temps comme tous les consommateurs, on peut écouter la
musique au rythme lent et se voir offrir le spectacle des danses locales. Cela ne dépend que du hasard. Dans
la rue, on côtoie tout le peuple de la ville, apparemment heureux de vivre en dehors, en foule.
Oui, c’était bien là une ville de province accueillante ou il n’y avait de curieux que cette soudaine
apparition d’experts internationaux qui eurent vite fait de se confondre avec les gens de la ville et qui
passèrent inaperçus dés qu’ils eurent fini de parcourir la grand-rue.
D’après M. Feraoun, le voyage en grec.
QUESTIONS :
1- L'auteur de texte est :
- Un écrivain. - Un historien. - Un sociologue. Coche la bonne réponse.
2- Réponds par « vrai » ou « faut » :
a) Janina est une femme. b) Janina est une ville. c) Janina est un palais.
3- Relève dans le premier paragraphe la phrase qui montre que janina a appartenu jadis aux
musulmans.
4 - Parmi les titres suivants, choisis celui qui convient le mieux au texte :
a) Janina, ville déserte. b) Janina l’enchanteresse. c) Janina, une ville d’Algérie.
5- Remplace dans la phrase suivante « on »par « nous »
« A la terrasse des cafés, on peut regardes les passants tuer leur temps… ».

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