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Le vendredi, avec la classe, on va à la piscine. La maîtresse nous sépare en deux groupes : ceux
qui savent nager, dans le grand bain, les autres, dans le petit bassin.
Moi, je ne sais pas nager et, du coup, je déteste aller à la piscine.
L’eau me rentre partout, dans le nez, dans les yeux, dans les oreilles…
Et pendant que je flotte comme un éléphant, là-bas, dans le grand bassin, ma copine Jennifer fait sa
crâneuse parce que, depuis les vacances, elle sait nager.
Elle m’énerve. En plus, elle est avec Olivier, mon amoureux, et je ne sais pas ce qu’elle lui raconte.
Peut-être qu’ils se disent des secrets contre moi ?
Ça vraiment, ça ne me plaît pas.
Un jour, j’ai pensé :
« Laetitia, tu es maligne. Tu dois trouver une solution.
L’idéal, évidemment, serait de ne plus aller à la piscine.
Mais comment faire ?
Ah, si elle pouvait être fermée… C’est ça… fermée… »
Et, tout à coup, j’ai eu une idée, une idée de génie !
Le soir, en rentrant chez moi, je me suis enfermée dans le séjour. J’avais un coup de fil urgent et secret
à passer. J’ai composé le numéro de l’école.
Driiing… driiing… !
La directrice a décroché. Aussitôt, j’ai placé un mouchoir devant ma bouche pour déguiser ma
voix. Comme un gangster, dis donc !
Et j’ai dit :
- Allô ? Ici la dame de la piscine. Je vous appelle pour vous dire qu’on fait des travaux. Alors, demain,
ce n’est pas la peine que les enfants viennent.
Et j’ai raccroché. Ouf !
Le lendemain, je suis arrivée toute gaie, en pensant :
« Ah ! Ah ! Ah ! Jennifer, aujourd’hui tu ne vas pas pouvoir faire ta maligne dans l’eau… »
En effet, la maîtresse a annoncé :
- La piscine est fermée aujourd’hui. Dommage… . À la place, nous ferons de la gymnastique.
J’étais ravie. Parce qu’en gym, je suis très forte. J’adore les roulades, et je réussis presque bien la roue
et l’équilibre.
Bien sûr, je n’avais rien dit à personne au sujet de la piscine. Même pas à Olivier. Pourtant,
c’est mon amoureux. Mais il est aussi le fils de la maîtresse, alors vous comprenez bien qu’il y a
certaines choses qu’il vaut mieux ne pas lui dire. De toute façon, c’était mon secret.
Mais un secret si réussi que j’ai décidé de recommencer.
La semaine suivante, je me suis enfermée encore une fois dans le séjour, et j’ai dit :
- Allô ? Ici la dame de la piscine de mon école. Je vous appelle pour vous dire que les travaux ne sont
pas finis… Et j’ai raccroché.
C’était dans la poche : cette fois-ci encore, on aurait gym, et pas piscine !
Le lendemain, la maîtresse est entrée comme d’habitude, mais elle avait l’air contrarié. Tout de
suite, elle a dit :
- Les enfants, on a encore téléphoné pour dire que la piscine était fermée. Mais cette fois, madame la
directrice a eu un doute. Elle a rappelé le maître nageur. Et figurez-vous, ce n’était pas vrai !
Quelqu’un a fait une blague… donc, prenez vos maillots, nous partons !
Catastrophe ! J’avais raté mon coup ! Adieu les roulades et les roues, bonjour les éléphants
flottants. La mort dans l’âme, je suis partie avec les autres.
Mais ce jour-là, il s’est passé quelque chose de tout à fait extraordinaire.
Quand nous sommes arrivés devant le petit bassin, la maîtresse nous attendait.
Elle n’était pas en survêtement comme d’habitude. Non ! Elle était en maillot de bain !
Un beau maillot décolleté, rouge avec des cœurs jaunes fluo.
Qu’est-ce qu’elle était belle !
Tout le monde la regardait avec admiration. Elle a expliqué :
- Aujourd’hui, je me baigne avec vous. Je crois que vous êtes prêts à savoir nager. Je vais vous aider.
Elle ne nous a pas fait mettre nos brassards, elle est descendue dans l’eau, et a proposé :
- Vas-y, Laetitia, à toi.
J’ai pris mon courage à deux mains et j’ai foncé. Miracle ! J’ai réussi à faire deux brasses sans couler.
Du coup, j’ai recommencé. Et j’ai fait quatre brasses.
La maîtresse m’a félicitée :
- Bravo, Laetitia, tu sais nager !
Je n’en revenais pas ! Olivier a fait une blague :
- Hé, Laetitia, ça y est, tu n’es plus un éléphant flottant…
Il a ajouté en riant :
- Tu barbotes comme un canard.
Le canard l’a poussé dans l’eau et il a bu la tasse. Mais ça ne fait rien, il riait comme une baleine !
Je suis rentrée très fière à l’école. Maintenant que je savais nager, ça changeait tout ! Ça me
plaisait de venir à la piscine.
J’ai dit à Olivier :
- Vivement vendredi prochain, qu’on y retourne…
Mais le vendredi, en arrivant, la maîtresse avait encore l’air contrarié.
Elle a déclaré :
- Pas de chance, les enfants, nous n’irons pas à la piscine aujourd’hui. Elle est fermée pour cause de
travaux.
J’ai crié sans réfléchir :
- Mais ce n’est pas possible, vous vous trompez, je n’ai même pas téléphoné…
La maîtresse m’a regardée d’un drôle d’air, et j’ai senti que je devenais rouge, toute rouge, aussi
rouge que son maillot de bain !
(Texte Béatrice Rouer / Illustrations Rosy)
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7. Qui rit comme une baleine ?
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Connaissance de la langue
contes de fées.
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……………………………. …………………………….
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b- Construis une phrase dans laquelle vous placez un C.O.I (nom propre):
…………………………………………………………………………………………..
c- Construis une phrase dans laquelle vous placez un attribut du sujet (adjectif):
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La nature : …………………………………………………………………………………………
La classe : ……………………………………………………………………………………….…
Sujet : C’est l’été, tu pars avec ta famille à la plage. Raconte comment vous passez votre
journée. N’oublie pas les trois parties.
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2- Compréhension de l’écrit
La bataille du frigo
-Dites donc, les tomates, vous ne trouvez pas qu’il y a une drôle d’odeur par ici ?
-Vous n’avez pas tort les courgettes ! répondirent en chœur les tomates en branches.
-Hum…hum ! Moi, j’appelle plutôt ça un parfum, un doux parfum de melon, parce que
Pas comme certains que l’on trouve en toute saison et qui n’ont plus aucune saveur.
-C’est la jalousie qui vous fait parler, répliqua une carotte, car si vous aviez de la
Et vous aurez été dévoré depuis belle lurette que votre odeur imprégnera encore tout le frigo.
-Vous me faites un procès d’intention, parce que si vous voulez vraiment parler d’odeur, il
-C’est de nous que vous parlez ? s’exclamèrent les fromages sur des tons divers.
Personne ne peut contester que vous puez comme trente-six mille boucs !
-Il ne faut pas exagérer ! s’indigna un petit fromage de chèvre tout sec.
-Oui, ajoutèrent les portions de fromage de la « vache qui miaule », il ne faut pas généraliser.
-J’ai compris, ronchonna le camembert d’une voix rauque à cinquante pour cent de
-Je dirais même plus, surenchérit le faux-filet : dans le freezer ! Dans le freezer !
Tous les aliments du frigo (à l’exception des deux accusés) éclatèrent d’un grand rire à
s’en fendre la poire mais se turent aussitôt car la porte venait de s’ouvrir. La lumière
s’alluma et la famille, affamée par une grosse journée de travail et de classe, opéra une
G. Hubert-Richou
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5) Pourquoi le petit fromage de chèvre et les portions de « la vache qui miaule »
accusent-ils le melon d’exagérer et de généraliser ?
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7) Quel conseil peut-on donner aux consommateurs pour éviter les mauvaises
odeurs dans le frigo ?
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Connaissance de la langue
Ce matin Lucie attend Samuel au coin de cette rue. Ils partent ensemble à l’école. Samuel
part avec son amie Lucie à l’école. La maman de Samuel prépare une tartine à son fils.
Malheureusement, Samuel oublie sa tartine à la maison. Il demande à Lucie de lui offrir un
petit morceau de pain au lait.
Relève les mots soulignés puis indique pour chaque mot s’il s’agit d’un C.O.D, C.O.I ou
C.O.S :
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-Elle a raté son train. Elle a téléphoné à ses amis pour leur dire qu’elle arriverait cet
après-midi.
Faire : vous……………………………………….
Savoir : tu…………………………………………
•Il peut jou….. avec ses camarades puisqu'il vient de termin…… ses études.
•Il a eu une bonne note parce qu'il a récit…… tout son poème.
6. Complète les phrases suivantes par les prépositions convenables :
8. Construis trois phrases en utilisant dans chacune un mot invariable de ton choix
(attention, n’utilise pas le même mot invariable plusieurs fois) :
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Production de l’écrit
Sujet : Tu es parti avec tes parents pour déjeuner au restaurant, tu as rencontré
un ami. Raconte ce que tu as fait en insérant un dialogue entre ton ami et toi.
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3- Compréhension de l’écrit
Une sorcière
La sorcière, on n’a pas su tout de suite qu’elle était une sorcière. On a cru, tout d’abord,
que c’était une vieille femme comme les autres, un peu plusmal coiffée peut-être, mal habillée
aussi, mais ce n’est pas un crime, avec ses cheveux dans les yeux, une dent sur le devant, une
bosse par-derrière, et une goutte au bout du nez qui ne voulait jamais tomber.
Elle habitait une petite maison avec un petit jardin autour et des grilles donnant sur la
rue. Et puis voilà qu’un jour, un taxi a disparu, un beau taxi tout bleu avec un chauffeur russe.
On a cherché partout mais on n’a retrouvé, ni l’homme, ni la voiture.
Mais le lendemain matin tout le monde a vu, derrière les grilles, dans le jardin de la
sorcière, une belle citrouille toute bleue, et tout près d’elle un gros rat rouge, assis sur son
derrière, avec une belle casquette, bien coquette, posée sur sa tête. Alors il y a des gens qui ont
fait des réflexions.
Deux jours après, c’est une couturière qui a disparu : une couturière comme au bon vieux
temps, qui travaillait à domicile, reprisant les chaussettes, recousant les boutons, faisant même
des robes neuves quand on lui fournissait le tissu. Et voilà qu’elle a disparu !
Cette fois, on l’a cherchée pendant une semaine. Et puis, la semaine passée, on s’est
aperçu que la sorcière avait depuis peu une araignée mauve, qui lui tissait des rideaux sur ses
fenêtres, de beaux rideaux brodés.
Et puis, le dimanche suivant, la sorcière est allée à la messe avec une belle robe, tissée de
frais, en toile d’araignée… Cette fois, les gens ont bavardé.
Pierre Gripari
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2) Complète les phrases suivantes :
1……………………………………………………………………………………………………
2……………………………………………………………………………………………………
3.……………………………………………………………………………………………………
4.……………………………………………………………………………………………………
5……………………………………………………………………………………………………
6……………………………………………………………………………………………………
Un jour :…………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………………
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………………………………………………………………………………………………………
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Connaissance de la langue
furieusement les arbres. Des habitants ont été privés d’électricité pendant plusieurs heures.
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l’article et mettez les mots dans un sac. Agitez doucement, sortez ensuite chaque
-Les ouvriers installent d’énormes tuyau…….. pour évacuer l’eau de cet immeuble.
-Il faut placer des épouvantail……… dans le jardin pour empêcher les oiseaux de dévorer
les graines et les fruits.
6. Entoure les noms au pluriel, puis mets au pluriel les noms que tu n’as pas entourés:
Cadeau Adieux
Désopilant- une automobile – une baraque- le travail- une maison- une bagnole- le bruit- le
bonhomme-le tapage- la profession.
Une voiture
Le boulot
Rigolo amusant
Le boucan
Une habitation
Le gamin Le garçon
Production de l’écrit
Sujet : Un jour, ton ami s’est déguisé en sorcière pour te faire peur. Raconte ce qui
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4- Compréhension de l’écrit
À première vue, elle ne se distingue des autres que par sa taille, presque un mètre et son
poids, dix kilos. Mais notre étonnement grandit dès qu’on s’approche d’elle. La poupée est en
effet équipée d’un important dispositif électronique qui lui permet bien des fantaisies. Un
petit radar placé dans la tête détecte l’approche d’un être humain. Ses yeux s’ouvrent, sa
bouche s’arrondit et un petit magnétophone caché dans sa poitrine se met en route.
Prendre cette poupée dans les bras n’est pas chose aisée vu sa taille importante et son
poids élevé. Mais il suffit de lui dire : « Assieds-toi » pour que la poupée pose tranquillement
ses fesses sur le sol sans perdre l’équilibre. La manœuvre inverse est également possible. Il
suffit de prononcer le mot : « Debout » pour que la poupée se remette sur ses pieds.
Le miracle ne s’arrête pas là. Si un maladroit lui marche sur les pieds ou sur les
doigts, les yeux de la poupée s’arrondissent et de sa bouche sort un « Aïe ! » extrêmement
sonore.
Son mécontentement peut également s’exprimer par de grosses larmes bleues coulant sur les
joues tandis qu’un bruit de sanglot sort de sa poitrine.
Depuis longtemps, les poupées disent Maman lorsqu’on les couche et font pipi après
avoir bu leur biberon d’eau. Notre nouvelle poupée fait tout ça et bien plus encore : elle rêve.
Si on la laisse allongée quelques minutes, de curieux messages sortent automatiquement de
son nombril. Ce sont des petits morceaux de papier roulé sur lesquels sont inscrites de courtes
histoires. Par exemple : « Je suis au pays des fées, viens me rejoindre », ou bien. « Je suis
perdue au fond d’une grotte, viens me sauver ».
Les messages se suivent mais ne se ressemblent pas. Ils permettent à l’enfant de
développer son imagination et son goût pour la lecture. Bien sûr, les messages sont écrits
dans la langue du pays où la poupée est vendue. Chaque poupée est chargée de cinquante
messages. Lorsque la réserve est épuisée, il faut acheter une nouvelle recharge de messages et
l’introduire dans le ventre de la poupée.
Christian Lamblin
-France
-Italie
-Corée
-Suisse
-Belgique
Combien mesure-t-elle ?
-10mètres
-5 mètres
-100 centimètres
Combien pèse-t-elle ?
-2 kilos
-10 kilos
-20 kilos
2) Pourquoi la poupée dit-elle « Aïe » ?
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Connaissance de la langue
Ma petite sœur est née, papa m’a tendu le bébé. Elle était plus lourde que je ne
pensais. Au début, j’ai eu peur de la bercer. Je suis resté debout puis sa tête a roulé
contre ma poitrine et mes mains l’ont bercée.
Relève du texte tous les verbes conjugués au passé composé. Indique l’infinitif de
chaque verbe puis le groupe auquel il appartient :
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6. Complète les mots suivants par « il » ou « ille » :
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a- Mettre :
- ………………… sens.
b- Canard :
- ..………………sens.
féminin : …………………………………………………………..........................
Production de l’écrit
Sujet : C’est ton anniversaire, tu reçois une poupée magique, décris-la. N’oublie pas les
trois parties.
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5- Compréhension de l’écrit
Il était une fois un joli petit diable, tout rouge, avec deux cornes noires et deux ailes
de chauve-souris. Son papa était un grand diable vert, et sa maman une diablesse noire. Ils
vivaient tous les trois dans un lieu qui s’appelle l’Enfer, et qui est situé au centre de la Terre.
L’Enfer, ce n’est pas comme chez nous. C’est même le contraire : tout ce qui est bien
chez nous est mal en Enfer ; et tout ce qui est mal ici est considéré comme bien là-bas. C’est
pourquoi, en principe, les diables sont méchants. Pour eux, c’est bien d’être méchant.
Mais pour notre petit diable, lui, voulait être gentil, ce qui faisait le désespoir de sa
famille. Chaque soir, quand il revenait de l’école, son père lui demandait :
-Oui, Papa.
-Oui, Papa.
-Ben…
-Non, Papa.
-Non, Papa.
-As-tu seulement pensé à mettre des punaises sur le siège du maître pour qu’il se pique
le derrière ?
-Non, Papa.
-Mais alors, qu’est-ce que tu as fait ?
-Eh bien, j’ai fait une dictée, deux problèmes, un peu d’histoire, de la géographie… En
entendant cela, le pauvre papa diable se prenait les cornes à deux mains, comme s’il voulait
se les arracher.
-Qu’est-ce que j’ai bien pu faire à la Terre pour avoir un enfant pareil ?
Quand je pense que depuis des années, ta mère et moi, nous faisons des sacrifices pour te
prêcher le mauvais exemple, pour essayer de faire de toi un grand, un méchant diable !
-Mon pauvre enfant, je désespère de toi. J’aurais voulu faire de toi quelqu’un, mais je vois
que c’est impossible.
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3) Papa diable pose des questions à son fils sur ses activités de la journée.
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4) Le petit diable est premier en composition de français. Quelle place aurait-il dû avoir
pour que son papa soit fier de lui ?
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6) Quelles sont les réactions des parents quand le petit diable leur dit : « Je voudrais
être gentil » ?
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Connaissance de la langue
Ce garçon fait la course et il franchit des obstacles. Jihad traverse la forêt courageusement.
Il répond aux questions des journalistes et il peut gagner le premier prix. Les parents de Jihad
embrassent leurs fils fièrement.
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- Regarder :……………………………………...
Finir :………………………………………..
- Fleurir :………………………………………..
Penser :…………………………………….
4. Pour chaque phrase, indique s’il s’agit d’une phrase simple ou d’une phrase
complexe :
- La petite fille vend des allumettes pour gagner le peu d’argent : …………………….
…………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………
………………………………………………………..………………………………………
Il s’agit d’un ensemble de pages reliées entre elles. - Il s’agit d’une unité de
monnaie.
d) Peux-tu me montrer où se trouve la France sur la carte ?
-Papa ne sait pas (ou / où) il a posé ses lunettes : dans la cuisine (ou / où) dans l’entrée.
-……………. dessins sont magnifiques, ………….. ils ne sont pas très colorés.
-J’ai joué avec ………….. billes à la récréation, …………… j’ai toujours peur d’en perdre.
Sujet : Imagine que tu es le papa diable. Quel mauvais coup aurais-tu fait au maître ?
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6- Compréhension de l’écrit
Il était orphelin, mon copain. Il paraît qu’on l’a trouvé au sommet d’une colline couverte de
neige alors qu’il était bébé. Personne n’a su qui étaient ses vrais parents. Il s’appelait Brice,
parce qu’il a été trouvé le 13 novembre, le jour de la Saint Brice. Son nom de famille, c’était
Bosard, parce que les vieilles personnes qui l’ont adopté s’appelaient Bosard, Brice Bosard.
À l’école, les autres ne l’aimaient pas. Ils l’avaient surnommé « Brosse Bizarre »,à cause
de ses cheveux qui brillaient dans la lumière.
Ils disaient :
C’est vrai qu’ils étaient plutôt biz… euh, étranges, les cheveux de Brice. Je n’avais jamais vu
des cheveux comme ça. Ils étaient aussi brillants que le papier d’aluminium qui entoure les
tablettes de chocolat. On aurait dit des fils d’or qui lui faisaient comme un casque sur la tête.
Tout le monde se moquait de lui, surtout les grands : Yannick, Jean-Raoul et leur bande.
Moi, je ne les trouvais pas rigolos, ses cheveux. Je les trouvais même jolis. Pas plus ridicules, en
tout cas, que la ficelle blondasse qui poussait sur le crâne de Jean-Raoul.
Il est arrivé en cours d’année, Brice. Dans la classe, j’ai été le seul qui n’a pas ri quand il
est entré pour la première fois. C’est sûrement pour ça qu’il s’est assis dans le fond, juste à côté
de moi. C’est un voisin tranquille.
Le plus souvent, il regardait par la fenêtre les oiseaux qui volaient au-dessus de toits.
Pourtant, il avait toujours les meilleures notes, des A, des 10. C’est incroyable comme il était
intelligent.
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3) Souligne la bonne réponse.
-en hiver
-en automne
-au printemps
-en été
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Connaissance de la langue
Elle porte une robe rose mais déchirée. Ses chaussures sont très grandes pour ses petits pieds.
Ses parents vivent dans la misère. Elle vend des allumettes pour gagner de l’argent. La petite
fille pleure et les gens achètent quelques allumettes pour l’aider.
1. Relève du texte les verbes conjugués, retrouve leurs sujets et indique la classe
grammaticale de chaque sujet :
1- ……………………… : ……………………………………………………………
2- ……………………… : ……………………………………………………………
3- ……………………….. : ……………………………………………………………
4- ………….………….… : ………….…………………………………………………
5- ……………………… : ……………………………………………………………
6- ……………………… : ……………………………………………………………
7- ……………………….. : ……………………………………………………………
8- ………….………….… : …………..………………………………………………..
9- ……………………….. : ……………………………………………………………
3. Recopie les verbes conjugués contenus dans les phrases suivantes puis sépare le radical
de la terminaison :
5. Dans chaque liste, entoure uniquement les mots qui appartiennent à la même
famille :
Chanter :
………………………………………………………………………………………
Une couleur :
………………………………………………………………………………………
7. Conjugue les verbes entre parenthèses au présent de l’indicatif:
-
8. Écris les verbes au présent de l’indicatif à la 2ème personne du singulier et à la 1ère
personne du pluriel :
Sujet : Tu es en train de te promener avec ton ami dans la rue. Souvent, vous
rencontrez deux adolescents qui se moquent de ton ami. Raconte ce que tu fais pour le
défendre.
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