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L’analyse du marché Monétaire Marocain moi avec mes collègues X et Y, et donc pour vous mettre Dans le
contexte on a décidé de deviser notre Travail on deux Partie, la 1ér est consacrée pour Le marché
interbancaire ( le changement des taux monétaire alors l’évolution en général ) et la 2éme Partie est consacrée
pour Le marché des TCN qu’est elle-même subdivisé en deux partie Public ( L’état) et Privé ( des entreprise),,
alors permettez nos mes chers amis de commencé
La sortie des dividendes est un autre élément qui commence à peser lourd sur les
comptes extérieurs. Les investissements étrangers réalisés dans le cadre de
l’intense vague de privatisations pèsent considérablement sur les comptes
extérieurs, de par l’importance des sorties d’argent qu’ils occasionnent. A titre
d’exemple, en 2011, les sorties (dividendes rapatriés par les sociétés cotées et non
cotées) ont atteint près de 20 milliards de dirhams, contre 15 milliards en 2010 et 9
milliards en 2008.
B1 : Des levées nettes en reprise (entre 2006 et 2008) sous l’effet de la hausse
des besoins du Trésor
Toutefois, la détérioration des finances publiques, à partir de2009, contraint le Trésor à se
réorienter vers le marché des adjudications,
L’évolution des levées nettes annuelles pendant cette période rejoint parfaitement
notre analyse. Entre 2006 et 2008, les levées nettes de l’argentier du royaume ont
nettement baissé jusqu’à devenir négative en 2008. Au terme de cette année, le
désendettement du Trésor a atteint 7 Mrd DH. Cette tendance ne perdure cependant
pas. Les levées nettes ont, en effet, repris à partir de 2009 pour atteindre un niveau
record en 2012 de 43 Mr DH.
B2 : Saisonnalité des levées du Trésor
Ses levées nettes lors du premier et dernier trimestre de chaque année restent les plus importantes.
Lors du 1er trimestre, le Trésor lève massivement afin de faire face à ses remboursements de dette
intérieure, d’améliorer son compte courant et d’être en avance par rapport à son programme
d’investissement. Au dernier trimestre et à l’approche de la fin de l’exercice budgétaire, le Trésor se
trouve contraint à faire appel au marché des adjudications afin de boucler son programme
budgétaire, notamment en matière d’investissements.
Notons alors que cette tendance baissière a connu 4 phases d’essoufflement provoqués par :
Juin-Oct 2001 :
Cette phase se caractérisée par une surliquidité du marché monétaire ce qu’est poussée la BAM a
procédé à une augmentation de la réserve monétaire de 10% à 14% en décembre 2002, et par
conséquence donc une hausse des taux provoquant ainsi un réajustement des taux obligataires.
Août-Nov 2005 :
Les achats massifs de devises suite aux rumeurs de dévaluation du dirham en 2005
Grace à la dévaluation du Dh en 2005, les autorités monétaires ont commencé les achats massifs de
devises ce qu’est impacter les maturités courtes et moyennes en raison de leur forte corrélation
avec les taux monétaires
2ème phase (fin 2007 - début 2010) : les maturités courtes et moyennes corrigent, le
long terme stable
Cette période a été marquée par une baisse progressive du niveau de liquidité ce qui a entrainé une
correction des taux jj, le relèvement par Bank Al-Maghrib de son taux d’intervention à travers les
reprises hebdomadaires le faisant passer de 2,50% à 2,75% dans un premier lieu avant de passer aux
injections de liquidités à travers les avances à 7 jours à 3,25%.
De l’autre coté des finances publiques grâce au bon comportement des Recette fiscales et la
réalisation de programme de privatisation la situation financière de l’état est suffisante
Alors tout au long de cette période le financement de l’état se fait par le court et moyen terme.
3ème phase (2010 - 2011) : Quasi-stabilité après une correction des taux longs
Une hausse confirmée Ralentissement de l’activité économique, hausse continue des cours du
pétrole alourdissant la charge de la compensation de l’Etat, aggravation du déficit commercial et
apparition de charges supplémentaires pour le Trésor en relation notamment avec l’augmentation
des salaires de la fonction publique afférentes au dialogue social ces indicateurs quelque peu
alarmants accentuent le scepticisme des investisseurs, demeurés prudents. Ceci entraine par la suite
un recul de la demande sur le marché obligataire, tant au niveau des soumissions qu’au niveau du
marché secondaire.
La liquidité du marché monétaire, les anticipations baissières sur les taux et également de la quasi-
absence d’autres opportunités de placement aussi intéressantes … ont favorisé les échanges sur le
marché secondaire des BDT et les échanges sont corrélé sauf 2006 et 2007 à cause de,,,
Le volume transactionnel réalisé n’a pas dépassé les 94 MrDH contre plus
de 156 MrDH en 2011. Et cela en raison du manque de la liquidité et une invisibilité sur les taux
obligataire sur l’ensemble de l’année.
Alors concernant les volumes échangés sur le secondaire par tranche de maturité le segment court
terme a drainé le plus d’échanges sur le compartiment secondaire à l’exception des années
2005,2006 et 2007 dont lesquelles on trouve que le segment LT qu’est a drainé et ce, grâce à une
recherche de rendements plus intéressants dans un contexte stable des taux.
En 2010 Le manque de visibilité et l’évolution inquiétante du déficit budgétaire ont orienté les
investisseurs vers le court terme
Comparaison des volumes échangés sur les deux compartiments primaire (P) et
secondaire (S) par tranche de maturité :
Source : Ministère de l'Economie et des Finances, Bank Al-Maghrib, CDG Capital Research
En 2012, la partie courte de la courbe reste la plus liquide sur le compartiment secondaire. Avec une
part de 62% du volume global des échanges, suivies par les maturités moyennes (24%) et longues
(14%). Et cela se traduit par un contexte difficile, et la prudence des investisseurs qui préfèrent de
positionner sur le court terme et ce, en l’absence de perspectives claire par rapport à l’évolution des
taux obligataires.
A l’image des taux primaires, les taux secondaires évoluent
également en quatre phases
Selon l’historique disponible Les taux secondaires ont également évolué en quatre phases :
Une première phase qui a duré jusqu’à fin 2006 et qui a été marquée par une légère hausse voire
stabilité sur les maturités courtes et même le 2 ans et une baisse sur les maturités supérieures à 5
ans.
2007 - 2008 : Les taux se sont légèrement redressés par la suite sur presque toutes les maturités, vu
la contraction du niveau de liquidité.
2009 - fin 2011 : les taux ont commencé à se stabiliser globalement affichant des variations de faible
ampleur.
En 2012, les taux, à l’image du marché primaire, ont entamé un mouvement haussier généralisé (à
l’exception des maturités 20 et 30 ans illiquides) finissant l’année avec des hausses moyennes de 54
pbs sur le 10 et 15 ans, 44 pbs sur la partie moyenne et 24 pbs sur le court terme.
- Introdu
-marché inter
-trésor
-tcn
-conclusion