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Deneb
Joaquı́n BERMEJO ORTIZ Antonio LORCA CAMARA
Master 1 Cosmologie Champs et Particules
HPMH108 - Projet Astrophysique 1
December 20, 2017
imagenes/portada.png
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Table des matières
1 Contexte et objectifs de l’étude 3
1.1 Contexte astrophysique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
1.2 Objectifs de l’étude . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
4 Commentaire astrophysque 9
5 Bibliographie 9
6 Références web 10
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1 Contexte et objectifs de l’étude
1.1 Contexte astrophysique
En astrophysique, le spectroscopie est un outil qui nous permet d’estimer
différents paramètres physiques d’une étoile.
Dans le cadre du Projet Astrophysique 1, nous allons réaliser toutes les
étapes nécessaires pour obtenir le spectre du Soleil et le spectre stellaire de
l’étoile Deneb ( α Cygni ) par le bias du matériel disponible à l’observatoire
astronomique de la faculté des sciences. D’abord, on utilisera la technologie
du CCD pour obtenir nos images. Un CCD est un senseur électronique
qui peut détecteur de la lumière dans un large plage de la longueur d’onde
en offrant une haute efficacité quantique et du faible bruit. Ces détecteurs
consistent à un ensemble de condensateurs semi-conducteurs identiques formé
sur un substrat de silicium, de manière à pouvoir déterminer le nombre de
photons qui arrivent au CCD en établissant une relation entre ce nombre et
le nombre des électrons qui passent à la bande de conduction. C’est le type
de détecteur qui a dominé dans l’astrophysique amateur.
Les images obtenues par le biais de ces détecteurs ont des défauts inhérentes
qu’il faut corriger. On les corrigera avec des images de calibration en utilisant
Iraf. Iraf est un logiciel de réduction et d’analyse de données astronomiques
développé principalement par les astronomes et les programmeurs du Na-
tional Optical Astronomy Observatory, aux États-Unis. [1]
Enfin, on aura des images corrigées qui seront exploitables depuis un point
de vue astrophysique.
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2 Description des observations spectroscopiques
2.1 Instrumentation
L’observatoire Astronomique de la Faculté des Sciences est équipé par deux
coupoles, la coupole est et la coupole ouest. On a utilisé les instruments
disponible dans la coupole Est sur le toit de bâtiment 13.(figure 1) Dans la
coupole Est il y a quatre tubes optiques différents comme on peut voire dans;
on a utilisé le Télescope Cassegrain Dall-Kirkham D=250 mm f=3000 mm
(f/12). Le télescope et la coupole tournent 360o .
imagenes/telescopio.png
Utilisations/configurations testées
• Observations nocturnes.
• Imagerie planétaire avec caméra Atik Titan.
• Imagerie longue pose avec caméra SBIG STL-11000M.
Avec le capteur plein format de cette caméra le vignettage et la coma
du télescope sont nettement visibles. De plus le capteur de guidage est
généralement trop affecté par le vignettage pour être utilisable.
• Spectroscopie avec eShel.
Caractéristiques Techniques
• Formule optique : Cassegrain DallKirkham.
• Miroir primaire : elliptique D = 260 mm (ouverture utile 250 mm) f/3.
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• Miroir secondaire : sphérique D = 70 mm (amplification : 4x; obstruc-
tion centrale : 28%).
• Distance focale : 3 000 mm (f/12).
• Cercle image : 21 mm.
• Mise au point : translation motorisée du miroir secondaire.
• Coulants / filetages de sortie :
◦ M71x1,0 mâle.
◦ Porte-oculaire 50,8 mm vissant sur pas M71x1,0.
2.1.2 Le spectrographe
Il y a deux spectrographes dans l’observatoire. Le Spectrographe SECIA à
réseau, résolution basse à moyenne (Rmax 1300) et le Spectrographe échelle
eShel Shelyak Instruments, résolution moyenne à haute (R>10 000). On a
utilisé le deuxième, dont les caractéristiques sont montrés ci-dessous.[3]
• Système:
◦ Bonnette à F/6 d’injection et de guidage pour fibre optique, trou de
50µm.
◦ Fibre optique objet de 50µm, protégée par une gaine inox.
◦ Boı̂tier de calibration piloté par ordinateur.
◦ Fibre de calibration de 200µm, protégée par une gaine inox.
◦ Module logiciel basé sur AudeLA (Tcl/Tk).
• Spectrographe:
◦ Connecteur FC pour fibre de 50µm.
◦ Collimateur F/5.
◦ Réseau R2 haute performance.
◦ Objectif 85mm f/1.8 (connection type EOS).
2.2 Observations
Les observations de l’étoile ont été faites depuis la coupole Est du bâtiment
13 de l’Université de Montpellier (Figure 1) le 6 novembre 2017.
Ici on montre le diagramme d’observabilité ou de masse d’air de l’étoile
Deneb pour le jour de observation et de mesure des données.
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imagenes/diagrammeobservabilite.png
On peut voir que Deneb est visible à partir de 18 heures à peu près jusqu’à
un peu plus de 12 heures de la nuit. On peut regarder aussi comme l’étoile
et toujours avec une altitude plus haute que cela de la Lune, à 12 heures il
sont pareil de hauteur.(figure 2)
Premièrement on a cherché dans la carte stellaire l’étoile Deneb (alpha
Cyg) puis on a introduit son ascension droite ainsi comme sa déclinaison (Ta-
ble 1) sur un logiciel informatique (Prism) connecté au télescope. Le logiciel
nous permet de pointer de façon automatique l’étoile (par triangulation), ce
qui deviendra très utile au moment de l’obtention des images. Cependant,
au debut, on a pointé l’étoile de manière manuelle grâce a une raquette et à
travers l’écran du PC. Un petit tube nous aide à focaliser l’étoile. Le réglage
précis est procédé à l’écran du PC où on a cherché et marqué le point d’entrée
du fil optique avec un papillon adhésif.
Il fallait bien placer l’étoile sur son point, ce qui a été un peu difficile à cause
du bruit atmosphérique terrestre, du vent et de l’inertie du télescope. Le
système d’observation consiste à un détecteur CCD branché à travers d’une
fibre optique et à un spectrographe qui est directement branché à l’oculaire
du télescope. Une fois l’étoile est pointée, on commence avec l’obtention du
spectre de l’étoile avec un temps de exposition de 120s.
D’un côté, les images qu’on a pris de l’étoile Deneb se trouvent dans le
dossier 171106/raw [4]. D’un autre coté; les images de la lune se trouvent
dans le dossier 171031/raw [4].
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d’autres galaxies spirales. Son type spectral est donné en A2 Ia par presque
tous les classificateurs modernes commençant par Morgan & Roman (1950)
et Keenan & Hynek (1950)[5].
On montre les caratheristiques observationelles et physiques suivantes:
Table 1:
Masse ∼ 19 Ms
Rayon ∼ 203 Rs
Luminosité ∼ 196 000 Ls
Température de la surface ∼ 8525 K
Vitesse de rotation 20 km/s
Distance 3,230 al
Magnitude aparente 1.21 à 1.29
Âge inconnue
Table 2:
Deneb c’est la 19ème plus lumineuse étoile du ciel de nuit. L’étoile forme
l’un des sommets de l’astérisme du Triangle d’Été, et marque la tête de
la Croix du Nord. On peut voir Deneb depuis + 90◦ vers -40◦ de latitude.
Pour l’hemisphere sud dessous 45o sud, mais elle ne se leve pas sur l’horizon.
Comme supergeant blanche (A2Ia), Deneb est une des etoiles les plus
grandes connues et plus massive. C’est aussi une des etoiles les plus bril-
lant. En plus Deneb experiments de fluctuations de son brille ainsi comme
changements dans son type spectrale
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Pour corriger les erreurs additives on doit utiliser deux types d’images de
calibration: les dark et les bias frames.
D’un côté, des dark frames sont associés au dépôt des électrons dans les
pixels à cause de l’agitation thermique des atomes du matériau du CCD.
Pour obtenir des dark frames il faut prendre des images une de la même
durée et à la même température que l’image que l’on souhaite corriger mais
avec l’obturateur fermé. [6].
D’un autre côté, un bias frame c’est un dark frame du temps d’exposition
zero; c’est pour ça qu’on prend des images sans temps d’exposition et avec
l’obturateur fermé. Ces images caractérisent la lecture du CCD. [6]
D’autre part, des erreurs multiplicatives proviennent de la différence de
sensibilité d’un pixel a l’autre dans le chip. Pour corriger ça on fait des
images qu’on appelle flat field. Pour obtenir ces images il faut prendre une
image d’une champ illuminée.[6]
Enfin, on a pris plusieurs images de calibration du type bias, dark et flat
pour les combiner en créant des master, comme il est expliqué dans 3.1, pour
corriger nôtres images. Les images de calibration qu’on va utiliser dans les
sections suivantes se trouvent dans les dossiers 171031/raw et 171106/raw de
[4]
2.5.1 Utilisations
• Spectroscopie avec le spectrographe eShel
◦ Les dimensions du capteur permettent d’obtenir un spectre couvrant tout
le domaine visible
◦ La taille des pixels permet un échantillonnage optimal du spectre en binning
2x2
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• Bruit de lecture 5e− (en moyenne)
• Temps de pose minimal 1/1000 s
• Temps de lecture: xx s
• Alimentation 12VCC, 1A
• Refroidissement Thermoélectrique régulé avec consigne. ∆T = -25◦ C max
• Backfocus 13mm
• Dimensions 60 x 121mm
• Type d’adaptation M42 femelle + adaptateur coulant 31,75mm
•Anti-blooming
•Binning: 1x1, 2x2, 3x3
• Masse: 400g
• Échantillonnage CAN : 16 bits
• Courant d’obscurité: 0,0004 -e− /pix/s à -10◦ C
• Gain : 0,27 e− /ADU
•Rendement: 76% @ 500nm (max); 66% @ 650nm
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imagenes/bias.png
Figure 3: mbias.fit
Pour le Master dark on procède comme pour le Master bias avec les
images dark de temps d’exposition de 180s. Une fois que nous avons l’image
Master dark, on doit corriger les pixels chaud comme on montre dans [B].
On obtient une image que l’on appelle mdark-180s-h.fit.(Figure 4)
imagenes/dark.png
Figure 4: mdark-180s-h.fits
A fin de créer une master flat,on a crée une liste avec les images du
type FLAT, liste qu’on appelle flat.list . On doit soustraire à nos images
flat l’image mbias.fit avant de les combiner. Pour ça, on doit créer une
liste hors du logiciel Iraf appelé flat b.list en utilisant le deuxième morceau
des commandes montré dans [C]. Une fois que nous avons créé la deuxième
liste, on fait la soustraction de l’image mbias.fit par le biais de la commande
imarith [C] et on les garde dans la liste flat b.list Après, on les combine avec
imcombine [C] pour créer le Master flat, image qu’on appelle mflat.fit .
Ensuite, on utilise la commande apall pour définir les paramètres d’extraction
spectral avec l’image mflat.fit comme textitinput,tel qu’il est expliqué dans
10
[8]. Nous définissons 3 apertures pour l’ordre 34, 38 et 46. On définit d’abord
l’ordre 34 en cherchant le pic qui soit près du nombre 1527, et, à partir de
ça, nous définissons les autres ordres. (Voir figure 5)
imagenes/apertures.png
Après , on utilise apflatten comme il est expliqué sur [9] pour obtenir
une image que l’on appelle mflat.flat.fits ( Figure 6 ); cette image est l’image
qu’on doit utiliser pour faire la correction du Flat field.
imagenes/flat.png
Figure 6: mflat.flat.fits
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3.2 Étape 2
Dans cette étape, on va corriger les images obtenues pour notre étoile et pour
la lune en utilisant les images de calibration et on va las combiner. Après ça,
on extraira leur spectre.
On va expliquer ce qu’on doit faire avec les images de l’étoile Deneb et on
fera la même chose pour les images de la lune pour obtenir le spectre solaire.
D’abord il faut créer une liste avec les images scientifiques, liste qu’on ap-
pelle Deneb.list . Après, on crée deux autres listes qu’on appelle Deneb b.list
et Deneb bf.list , comme on montre dans le deuxième morceau de commandes
dans [E].
Ensuite, on soustrait à toutes les images gardées dans la liste Deneb.list,
l’image mbias.fit, et on les garde dans la liste Deneb b.list. Aussi, on corrige
ces images en les divisant par l’image mflat.flat.fits, et on les garde dans la
liste Deneb bf.list. Ensuite, on combine ces images pour obtenir une image
qu’on appelle Deneb bf.fit . [E]
Puis, on doit faire la correction des pixels chauds,[E], et on obtient l’image
Deneb bfh.list .
Postérieurement, on corrige la lumière diffusée avec apscatter [10].
Finalement, on fait l’extraction du spectre en utilisant la commande apall
tel qu’il est montré dans [11]. À ce stade, il faut calibrer les spectres obtenus
comme on va faire dans ce qui suit.
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mettre la fonction legendre pour adapter la fonction. Si tout marche bien
on peut autoidentifiquer le spectre et supprimer les lignes qui sont faibles ou
mal identifie. Finalement on peut observer comme tous les lignes sont bien
adaptes au ordres 1 et 2 et que dans l’ordre 3 ils sont a peu près proches de
zero. (Figures 7, 8 et 9) et (Anexe 1: figures 18-26 pour les trois apertures)
Pour la Lune on montre l’extraction des frames ThAr dans l’anexe 1 (figures
27, 28 et 29)
Alors, on va a appliquer la solution de longueur d’onde à notre etoile avec
cet code[H]
Ici on peut obtenir la resolution spectral en observant les valeurs qui on
obtient avec dispcor. (figure 10)
Où nw c’est le nombre de pixels, delta lambda = dw et w1 y w1 lambda
min et max. On peut obtenir δx en faisant des gaussians dans l’image spec-
trale.(Anexe 1: figure 35)
Résolution spectral de l’étoile Deneb pour Apert. 2
∆x=5.3 δλ=0.080594 ∆λ=0.4271 λ=5900.539
λ
R= ∆λ ' 13800
Résolution de la vitesse: ∆v = Rc ' 21700m/s
On montre la résolution spectral pour la Lune dans la figure 36 de l’anexe
1.
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imagenes/captura14.png
Figure 7: Extraction des frames du ThAr pour marquer les longueurs d’onde
avec la reference du Atlas ThAr. Aperture 1 avec l’ordre Atlas 52 pour Deneb
imagenes/captura12.png
Figure 8: Extraction des frames du ThAr pour marquer les longueurs d’onde
avec la reference du Atlas ThAr. Aperture 2 avec l’ordre Atlas 58 pour Deneb
imagenes/captura13.png
Figure 9: Extraction des frames du ThAr pour marquer les longueurs d’onde
avec la reference du Atlas ThAr. Aperture 3 avec l’ordre Atlas 70 pour Deneb
imagenes/captura24.png
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4 Commentaire astrophysque
Donc, maintenant on peut faire la correction a le ”heliocentric restframe”,
pour cela il faut mettres les donnés de l’observatoire et mettres les parametres
de l’observation. On peut obtenir le redshift et faire la correction de le spectre
de l’étoile avec Doppler. En faisant isvelocity=no le valeur qu’on obtient c’est
un valeur de décalage vers le rouge, pas un vitesse physique. On obtient pour
le redshift un valeur de -1.54, cela veut dire que le decalage de l’étoile est
vers le bleu qui vient de si l’étoile s’approche ou s’éloigne.
Pour normaliser le spectre on utilise le code continuumIH]
Ici on peut voir le spectre pour les trois apertures pour l’étoile Deneb
qu’on analisera.(Figures 11-14)
On peut regarder qu’il y a quelque erreur pour l’aperture 1 mais si on
fait zoom on peut voir le spectre.
Finalement on va a faire l’analise spectrale de l’étoile Deneb: On peut voir
dans la aperture 1 dans la longueur d’onde 6561Å le spectre d’émission de
l’hydrogène rouge. Dans la deuxieme aperture on peut observer les longueur
d’onde d’émission du sodium (Na) dans le jaune avec des longueur d’onde
de 5893Ået pour la longueur d’onde 5998Å pour le carbone orange. Dans
l’aperture 3 on peut voir la longueur d’onde du 4864Å pour l’hydrogène bleu
et pour 4924Å l’helium bleu cyan[13]
Pour les images qui correspond à le spectrede La Lune (Anexe 1: figures
30-34) on peut obtenir que: Pour l’aperture 1 on peut voir à la longueur
d’onde 6560Å le spectre d’emission du hidrogène rouge. Dans l’aperture
2 les longueurs d’onde de 5896Å et 5890Å pour le sodium orange. Pour
l’aperture 3 la longueur d’onde de 4858Å pour l’hydrogène bleu.
15
imagenes/captura26.png
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Figure 14: spectre pour l’aperture 3 en faisant zoom pour l’étoile Deneb
16
5 Bibliographie
Acker, A., 2013, Astronomie, astrophysique, 5e édition, Paris: Dunod, DL
2013
R. Berry, J. Burnell., (añooooo), The Handbook of Astronomical IMAGE
PROCESSING, Second English Edition
6 Références web
References
[1] Logiciel Iraf.
http://iraf.noao.edu/
17
[8] Definir les paramètres d’extraction spectral
https://moodle.umontpellier.fr/course/view.php?id=158 Diaporamas
présentés en cours, 20/11 : Calibration des observations spectro-
scopiques 3, Pages 6,7,8.
18
imagenes/captura9.png
Figure 15: Extraction du spectre ThAr avec le master flat comme reference
en faisant le master ThAr.ec Aperture 1
imagenes/captura10.png
Figure 16: Extraction du spectre ThAr avec le master flat comme reference
en faisant le master ThAr.ec Aperture 2
imagenes/captura11.png
Figure 17: Extraction du spectre ThAr avec le master flat comme reference
en faisant le master ThAr.ec Aperture 3
imagenes/captura17.png
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Figure 27: Extraction des frames du ThAr pour marquer les longueurs d’onde
avec la reference du Atlas ThAr. Aperture 1 avec l’ordre Atlas 52 pour la
Lune
imagenes/captura35.png
Figure 28: Extraction des frames du ThAr pour marquer les longueurs d’onde
avec la reference du Atlas ThAr. Aperture 2 avec l’ordre Atlas 58 pour la
Lune
imagenes/captura36.png
Figure 29: Extraction des frames du ThAr pour marquer les longueurs d’onde
avec la reference du Atlas ThAr. Aperture 3 avec l’ordre Atlas 70 pour la
Lune
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26
8 A Titre de la section 2 d’annexes
\begin{verbatim}
27
->ls raw/*Deneb-*.fit > Deneb.list
28
[I] Normalisation du spectre
->continuum processed/lune_bfsl.ec.fits processed/lune_bfslc.ec.fits
9 Résumé
On a appris d’un point de vue astrophysique comment marche un telescope,
les instruments qui faut connaı̂tre et utiliser pour observer une étoile et la
mis en marche et la mesure de le spectre de l’étoile. Lorsque on était dans la
salle informatique on a appris le logiciel Iraf pour traiter les donnés qu’on a
mesuré dans la coupole de l’observatoire et on a su reconnaı̂tre les utilisations
des différents codes et l’information qu’on peur obtenir à partir d’eux.
Les resultats qu’on a obtenu nous montre, surtout pour le soleil, le spectre
d’emission de cet étoile en voyant, ensuite une normalisation, les longueurs
d’onde pour laquelle il y a un pic, c’est à dire, ces longueurs d’onde qui carac-
terisent l’étoile pas ses éléments qui la compose. En analisant ces longueurs
d’onde on a obtenu quelques elements. Pour le Soleil, où les pics sont très
claires, on a obtenu les hydrogènes et les sodium qui caracterisent le Soleil.
En revanche, pour l’étoile Deneb, pour le spectre qu’on obtient il y a plusieur
de pics et on a identifié quelques longueurs d’onde comme on à écrit dans la
calibration de la longueur d’onde. Cependant, on pense que le spectre qu’on a
obtenu il est très diffusé et c’est très difficile de detecter les longueurs d’onde
qui correspond a certains emissions des elements chimiques.
10 Abstract
29