phaaa 2.04% + Qepmnretuiets ae Wate (LE TERME GUI DANS LES NOMS DES POINTS : ~D? ACUPUNCTURE ~~ 2 DanC, pura ts 08 SINOLOGIE "Pour traiter les malades, il faut observer ce qui est visible et faire un rapprochement avec l'aspect du pouls, en tenant compte de l'état d’esprit du malade. A celui qui croit aux démons, on ne parle pas de traitement médical. A celui qui répugne aux pigires, on ne parle pas d'acupuncture, A celui qui ne veut as se soigner, on n'imposera aucun traitement” (4 Wen, Le tl Capi 11, De Dincton er Wacker Aploxprsssion Guishen (R. 2632, R431), qu’ Albert Husson rend ict globalement par "démons", est diversement traduite dans les adaptations toccidentales des grands ouvrages chinois NNotoas tout e'abord que ce passage du Suwen utilise le earatére Iu (R, 1308), qu, plus encore ‘que eroire, évoque I'idée d’obstination, d'ére fermemnent attaché & son opinion, de exuindre doffeaser, de violer des régles qui tembarrasse, génent au point de resteindre toute liber ‘Lemalade évoque parle texte nes"intresse ‘pas A Phomme vivant et ses potentiates de {Eurison, mais a’estfascin€ que par ces Gui Shen, espritsterestres et célestes qui, n°étant plus melés aux souffes (Qi) et au sang (Xue), ‘assurent pli, a mor, la cohésion de ere 4u'elies composaient. On ne peut done paler & tunel patent de Ia vert d'un traitement’ La teatation d'une opposition trop manichéenne entre le mal terest issu d'un liable (Gui) etlebien eétestegénéré parun dew {Shen) est fortement temperée pr la ectre des ‘extestraditionnels "Reto RAPT 3,48. Le Grand Commentare du Yijng, dans le fustmchapire de a premat prt Syoqy xs nits inves, Le Deter LAR Sung dane sa taduction anglaise du plas ancien des Clasigues,prle"Pani ania, Gouple dont ta contotation Yin-Yang est silicate, as dont Taceepuonjonpeane feat iiprler confusion Wiel Perot es {erveat comme “spi i soert tg se rete" oulgnant en commetare qui ne ‘agi pas ne opponent ds Sues boos tatmmavaly mitt "de le disneion eae expansion eta contraction dv sts dela foes vine as 'atemance dans a pande mereolavie ‘cor fate des ‘donors cht ‘nner on soir Sermage sorters des Dictionnaire ranges de detain ene Hiner np (ion Por 3 - Stange, Oetore ssp 278 Bone 4 on Métissivowocre £3 Som ‘aitone oP neti nis (5 -Craeracion ‘cme cel der eceparagrap. Diconae Clie ete Logue Cina, ong Pre Cot xpos as voion Selene inte iechepie 1540 honeys dons es aur Leto ‘Chine Treo “Sa Lar Rohde Vale (Eas aisonenie) “GIRARD EM ‘H3ZUn autre Classique, le Lif, préte & ‘Confucius une definition wes élairante surles Quiet es Shen :"REuniren quelque sore Time sensitive (Gul) et I'ame raisounable (Shen [des parents defons, ties servir dans es ‘ceremonies commesiséaient encore vivats), est le grand enseignement des sages. Tout ce ‘qui vitdoit mouri, Apr lamon i retoure a terre. Ce qui reloure 8 la tee se nomme Gui. ‘Ans lt chair et les ofsements sont enfouis e& ‘vieanent comme la tere des champs, Mais ‘Pespritde "homme [apr amor] s lance vers leciel,cedevient brillantet glorieux. Lesodeurs, Jes exhalaisons qui produisent sur nous une impression pénible et désagréable, sont des particules qui émanent des corps de toute spboe, (lorsqu'ls sont en putrefaction), Aw ontrare, ime fsisomabe (lorgq’elle est séparée du corps] devient brillant "RAZ ERIE” *P AE Dans I'Invariable Milieu, Confucius fexclame en outre : "Que Vaction des Esprits (Gui Shen) est puissante | On a beau regarder, on ne les voit pas, on a beau préter loreille, on ne les entend pas. Bt, cependant, ils sont intimement igs & tous les étres; aucun étre ne peut, s’en séparer sans cesser d'exister"...° Ce passage a été commenté : "Tout dre vit par les deux principes Gui et Shen" (Zheng Kangcheng). Mais. aussi > "Les Esprits supérieure Shen qui président au Bois et au Feu, font nafire et crottre les Gtres; les esprits inférieurs Gui, qui président au Métal et a I°Eau, les Conduisent & leur fin"..."les premiers les font naitre et eroftre au printemps et en 41g; les seconds les conduisent 8 leue fin en automne eten hiver"... (Kong Yingda) “Le commencement et la fin des étres ne sont que le résultat de I'union ct la séparation des deux principes Yin et Yang. Les Gui Shen forment la substance des étres, et aucun €tre ne peut s'en séparer ou exister sans eux”... (Zhu Xi). Les Gui redescendent a Ia Terze pour y etre recyclés, les Shen remontent au Giel et, éventueitement, reviendsont pour se réincarner. Les premiers sont des souffles lourds, qui peuvent &tre chargés 50 de tout ce que dure a engendré de pulsions Fixatrices, d'aitachements, tandis que les secondstémoigrent do travail deraffiement,de perfection, accompli par ete au cours de son existence. Les Gui, dans Ia société tradtionnelle, esaient Iobjet de sacrifices, de libations apaisantes mélées de craines, tans ‘que les Shen recevaient un eulte invocation fmpreine de respect pour leurs vers, ‘Un Gui devientpervers sles rituels n’ont pas été obsersés. Tl en va de méme pour Phomme dont la vie est déréglée et qui neffectue pas pour li méme tes indispensables ifcations,accumulant tensions et blocages, ’Gui" qui se épandent dans son corps comme stant de souffes devenant pervers, ABS& La langue chinose assoce du reste ax Caractowe Gui le terme Xie, dans expression XieGa guisignii mon au sens wicieax 0d terme, ey gu évoque “ghelque hse gugt igus, gu nest pas dot guest cour” aveeune connotation¢ gression, tetouve dans Fexpesion Xie Qi gui diane, th Medecine Chine ls Cnerpespereres Des cliriges iniresans sont apporés par Ganesexjessions contenant Ie carctre Ei dont conint ut abord &approfondie Torigine ee sn L7Btymulogie tes Sens de Gui NEL ovigine sxymologige da cars et Studige par L- Wieger (Legons eymolonigus, #40 6), qu indigue que "le arcie anc est Gridemment une forme human vapoeise pine". "L'apendice figure le tourillon gut aecompagne Te Gui {and ise met La Secon forme eniemne Tepond sux canons boudchiques qu attibvent tin pas ae fend . Ryik précis (lot Chinois, 19 «) WAR go wagt "Sexbalaisons ehtoniennes qui exlstalent 8 pour les Yin (Oya des Shang-Yin) en espe de fates efayants appasisean aux hommes, notamment dans les chochemrs ‘Le carctrest a clén 194d dicionnsire teaitonnel de Kanga et phoniqu n 36 do Wieser SEPT, Phonétiquement, il se prononce (au ton prs) comme Gui (R. 2814), tablette de jade, sccrécitifce porvoirdonné par empereu ses vasssux Gui (R, 2820), revenir,caractdre avecJequel de nombreux paallles ont & gracés pour souligner le sens de “revenant™, Gui (R 2828), codteux, cher, préieut; Gui. 2834) a ‘eros anmal symbotiga de Elem au, wie pourla divination 8. Le dictionnsre Rice (au n 2832) done es sens de = "() Ame sensitive (sincamée apes la mort); mane des morts, ant6me, revenant, spectre (2) Esprit insatisfat, noc si on ne Papaise pas; génie, esprit mauvais, démon, able. Diaboligue, démoniague. 3) Taflance occult, néfaste. Pericieux, sournois, petide (4) Malin; rusé, roublard, malicieux (3) (Astronomie) La 238me des 28 Mansions (Domiciles), 8a, théta, gamma, delta du Lechapire67du Suven tallusontunedtile decedomice “BRAM, BFE” "Le Qi ver-blew passe pr les les Wei Shi et Liu Gui (Traduction A. Huson) SEG. Schlegel, dan Uanogphie Chinas, ‘ert Gui, le "Dome des Mines" tes second de a Constellation de POisea rouge, comme prsiant aux sarees aux mines det ances sous Tes dynasties des Xia et es Shang. Yin, ‘Les sens modemes et populies de Gui ont rete et our la connotation agave, inguin, du caracte, que Ton revouve dans cerines expressions BK Guilwo (R. 2307, "Feu des Démons", fe follet. AF Guishi (R. 4365) marché gui se tient dans Vombry, 08 'coulent les marchandises volées Mie Guidao (R477), "Voie des Démnons’, désigne a magic, Ia sorellerie tandis ‘que, dans son acception bouddiste, il sragit de la voie des esprits affamés (prétas), Mine des six destinges dans le cycle des renaissance. lars des Démons", Lacs tn phoniqe génbrent de nomirenx arate qui décrvent toute une vari de démons "Note cependant ML, Hun et Po (R. 2286, 4148), qui, sans tre et équivalents de Shen et Gui des Dremidres dynasties, en ont reprs bien det soceptions:Ce sont Les Trois Hun eles Sept Po gui se séprent Be mot de individ, mais uss es cents visors du Bos et du Mésal qui son alors appelées& even regetivement Sen et Gui. IRB Le cate Yan (R169) asc Gate ges Wane geen pss signte le cauthenar Sl on hl haboets FHiogramme Mer (3419) Pexresion ‘Yai fate aan une seme pr co Ls Noms de ats Cotennt Tene Gal Leasteur1M, Eyton remebecuvage “Shen uu Cla? iawn depos cuapurtry pnt oo ‘comdurepconprtnemcie Set! Recs tosindeses apes dno ton ces cone apanie Ga ‘su non pee oases Gisoquneone cel eeu ARAM Lali qui uit avestsans dou pas exkaustive. lle ‘ental du ing Shiy Hue pub & Shang (1989) Ane exept prs, ces mos st ens en deux cates Isnt doo par ockeaiabique, tec leu ences es es pic dh ds sdeuxcancs qui quaint ou sient eG. SEE, Guichen (R302), ministre serveur, le 11 GL. HK. Guiciwang (R. 1232) le bane, lacouche fe it, eoumm, ign 2475, pis Ae ion on seta) 46 Ganene SLEM. Gui Keting (R. 2632, 4970, la salle de éception, le 26 Gouverner. A.B uti 279 ema ke remanemen eae HAR Gain (310) fi es 6 str 16 Gouverneur SLB Guilu (R. 3264), roue, chemin, moyen, ‘oli, inclination, ls 62 Vee, les 5 et Consricteur du Coeur 9: ate marr ‘tu Sdomehexagranme ute! 10-6 lec maree (cre Va Nd dane 11-Voir glenn, née Le Sere (Cte eson det ‘eer. 2 30, ‘era conpeGulsen (ons dott 1 te Pofon Chins (zanons agont e s Sisan mcr pas