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Scheepers Caroline. Les verbalisations écrites et orales des enseignants autour des journaux des apprentissages. In: La Lettre
de l'AIRDF, n°59, 2016. pp. 25-35;
https://www.persee.fr/doc/airdf_1776-7784_2016_num_59_1_2087
LES VERBALISATIONS
DES ENSEIGNANTS AUTOUR
APPRENTISSAGES ÉCRITES
DESET
JOURNAUX
ORALES
INTRODUCTION
En 2004, Bertrand Daunay et Jacques Treignier (2004) indiquaient que les pratiques
langagières enseignantes constituaient une problématique émergente en formation
initiale et continue des enseignants. Ils mentionnaient alors quelques travaux en
littéracies universitaires, champ qui s'est considérablement étoffé, mais soulignaient que
l'oral était peu étudié. Depuis lors, plusieurs publications sont apparues concernant les
écrits professionnels des enseignants : Daunay (2011), Cadet & Rinck (2014), Bride &
Chenot (2015), Ronveaux (2015), en plus des travaux pionniers entrepris par et autour
de Dominique Bucheton au sujet des conduites orales en classe (voir notamment
Bucheton & al., 2004 ; Bucheton & Dezutter, 2008 ; Bucheton & Soulé, 2009). À la
suite de Dominique Bucheton et al. (2004), je soutiens que le langage constitue la
dimension centrale de l'activité enseignante, qu'il soit écrit ou oral. Dans une
perspective vygotskienne (1997 [1931], 2014 [1934]), je considère en effet que les
verbalisations enseignantes constituent des médiations décisives dans le processus
d'apprentissage des élèves. Ces traces sémiotiques diverses constituent véritablement
des outils au sens vygotskien (1934-1997, 1931-2014), donc des dimensions
susceptibles de soutenir chez les élèves des fonctions psychiques supérieures
(mémoriser, problématiser...). Les verbalisations enseignantes constituent des
médiations décisives, donc des intermédiaires, des interfaces, entre l'élève et le savoir.
À ce titre, ces pratiques langagières fondatrices de l'agir enseignant méritent d'être
mieux cernées. La présente contribution se propose d'étudier les verbalisations écrites et
orales déployées par les enseignants autour des journaux des apprentissages, journaux
réflexifs par lesquels élèves du primaire et du secondaire sont invités à secondariser
(Bautier & Goigoux, 2004) les apprentissages réalisés en classe : autrement dit, ils
adoptent à leur égard une posture exotopique, une posture de surplomb. Cette analyse de
l'activité interactive et dynamique « enseignant/élève » repose sur une conception qui
articule contenus d'enseignement et pratiques langagières scolaires, tandis qu'elle vise à
décrire « le détail ordinaire du quotidien » des praticiens (Bucheton, 2008).
Par l'entremise
sont invités à revenir
du journal
de des
façon
apprentissages,
réflexive surdes
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élèves
apprentissages
du primaire en
et du
cours1.
secondaire
Si le
dispositif a connu bien des adaptations, sa forme canonique repose sur une certaine
ritualisation, laquelle associe étroitement activités scripturales et orales. Ainsi, une
1 D'abord mis en place en France par Jacques Crinon et son équipe (2000, 2002, 2008), le
dispositif a ensuite été transposé dans des écoles belges (Scheepers, 2007, 2008, 2012), avant
que mes travaux ne suscitent de nouvelles expérimentations en France (Duffez, 2010), au
Québec (Larivière, 2012) et en Belgique (Vasseur, 2013). De nouveaux projets sont en cours
DOSSIER
nouvelle
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Le schéma montre bien comment les écritures singulières se nourrissent des intera
avec les pairs et l'enseignant, comment médiations orales et scripturales se tisse
unes aux autres. À l'heure actuelle, ce sont près de deux-cents cahiers, lon
plusieurs dizaines de pages, qui ont été analysés de près. Le tableau ci-dessous don
aperçu du corpus écrit1, auquel il faut adjoindre plusieurs heures d'enregistre
vidéos qui ont capté des lectures partagées :
École
Barbès
Remouchamps
Opprebais
Jodoigne
Chastres
.École
Perwez
Piétrain
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(ZEP-Paris)
de Mars-juin
Durée
2005-2006
2006-2007
2009-2010
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projet
Tableau
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du 1 : le corpus
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1 Ce corpus a déjà fait l'objet de nombreuses analyses, chacune d'elles portant sur
problématique singulière : entre autres, le journal et la littérature (Scheepers, 2007
dimension socioculturelle (Scheepers, 2008) les dimensions paratextuelles (Scheepe
DOSSIER
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Pour recontextualiser les propos des enseignants, je mentionne à la fois le texte de l'enfant
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Fort heureusement, dans les classes avec lesquelles j'ai pu collaborer plus étroite
les enseignants ont tous assumé une posture d'accompagnateur (Bucheton &
2009 : 41) : le pilotage est souple et ouvert, le climat détendu, bienveilla
collaboratif (ce qui n'est pas antinomique de beaucoup de rigueur et d'exigence
liens permanents sont tissés entre les savoirs, les tâches et les points de vue, l'ensei
se montre soucieux de soutenir chez ses élèves une posture réflexive, cré
personnelle1. Martine Jaubert et Maryse Rebière (2002) déploraient que l'oral r
soit si peu présent dans les classes : il est ici travaillé quotidiennement.
La phase de lecture partagée, ce moment matinal de discussion autour des entrées é
la veille au soir par les élèves, est structurée par l'enseignant, lequel
soigneusement la discussion en cours, mais aussi le processus d'écriture mobilisé p
élèves. L'observation des interactions ainsi nouées en classe montre un très compl
subtil mécanisme d' étayage, fondé sur des actes langagiers hétérogènes (Charaud
Maingueneau, 2002) : une typologie de ces actes a été établie au départ de plu
observations réalisées dans les classes. Cette typologie montre toute l'experti
l'enseignant :
Acte
Tableau
langagier
4 : les verbalisations orales de l'enseignant lors des
Illustration
lectures partagées
Lire « Qui veut venir lire ce qu'il a écrit dans son journal ? »
« As-tu lu tout ce que tu as écrit hier ? »
« Qui se sent capable de réexpliquer comment on doit faire avec l
nombres décimaux ? »
« Lallie, on ne t'a pas beaucoup entendue »
Préciser « Comment faites-vous pour lire de façon expressive ? »
« Comment sais-tu quelle intonation mettre en lisant un texte ? »
« Quand on calcule avec des nombres décimaux, on calcule avec
même technique qu'avec des nombres entiers ? »
« Est-ce qu'on peut être plus précis ? »
« Qu'est-ce que ça veut dire quand vous écrivez « j'ai appris u
chanson » ? »
« Est-ce qu'on peut trouver un autre mot qu'apprendre pour qu'o
comprenne bien ce que vous êtes en train de faire ? À connaître ? Vo
avez commencé la mémorisation ? Et vous le connaissez bien ? Donc
pourrait dire « découvrir » au lieu d' « apprendre » ?»
Argumenter « Pourquoi est-ce que tu dis que le petit poème que tu as aimé, c'est
réalité ? »
Invitation à « Pourquoi tu dis "réviser" ? D'accord tu avais déjà compris, donc là, tu
révisé »
« Pourquoi tu as trouvé facile de calculer ? »
Exemplifier « Est-ce que quelqu'un veut donner un exemple ? »
Ecrire au tableau « Peut-être tu veux l'écrire au tableau : prends ton journal »
Débattre « Vous êtes d'accord avec ce qu'elle a fait ? »
« Les autres sont d'accord avec Benali ? »
Mieux parler « Ibrahim, articule bien, STP »
« On n'entend pas, Ibrahim, tu parles dans ta bouche »
« Articule et parle bien fort. Ne sois pas plus gêné que d'habitude »
« Bien fort STP »
« Tu peux redire plus fort, STP ? »
Reformuler « Est-ce que tu peux reformuler ? »
Répéter « Tu peux redire »
Écrire dans le « Ce serait intéressant que tu l'écrives dans ton journal »
journal « Je vous laisse cinq minutes pour améliorer ce que vous avez écrit, e
ajoutant des exemples. Je rappelle que c'est préférable d'écrire dans un
autre couleur pour que je puisse, moi, voir la différence »
Injonction « Montrez à Caroline à quoi il faut faire attention quand il y a un enfant q
nous lit ce qu'il a écrit dans son journal »
« D'abord vous écoutez Boubacar, puis vous complétez sa réponse
vous trouvez qu'elle est incomplète »
Affirmation « On va pouvoir repartir de l'erreur pour mieux comprendre »
« Le but est de t'aider à améliorer ce que tu as écrit dans ton journal »
Autorisation « Tu peux retourner à ta place »
Reformulation Des propos de « Quand on écoute, on se demande : est-ce que l'élève a écrit ce qu'il
l'enfant appris ? »
« Donc il y avait beaucoup d'informations, donc voilà, ce qui était diffici
c'est que vous aviez des questions et que contrairement à un tex
habituel, vous êtes capables de retrouver l'information, alors que là vou
aviez plusieurs textes, des données sous forme de tableaux »
« Donc, tu veux dire [...] »
DOSSIER
CONCLUSION
Pour mesurer complètement l'impact des lettres ou des lectures partagées, le chercheur
doit s'immerger quotidiennement et longuement dans la classe. Sans doute l'enseignant
est-il bien placé pour percevoir de tels effets. Le chercheur constate en tout cas l'effet
heuristique de ce délicat tressage entre verbalisations (enseignantes et apprenantes)
orales et scripturales, même si cet effet est difficilement quantifiable, mesurable,
cernable. Comme l'écrit Jacques Crinon (2002 : 133), l'impact du journal sur
l'élaboration de savoirs n'est « en tout cas ni direct, ni simple, ni généralisé », ce qui
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