Sie sind auf Seite 1von 4

Vol.

1 Issue 4
La Vertue
Un Bulletin Hebdomadaire Jeu. 8 Mars 2007
Ô vous qui avez cru! Qu’un groupe ne se raille pas d’un autre groupe:
ceux-ci sont peut-être meilleurs qu’eux. Et que des femmes ne se rail-
lent pas d’autres femmes: celles-ci sont peut-être meilleures qu’elles. Ne
vous dénigrez pas et ne vous lancez pas mutuellement des sobriquets
(injurieux). Quel vilain mot que ‹perversion› lorsqu’on a déjà la foi. Et
quiconque ne se repent pas... Ceux-là sont les injustes.
Le sain Coran (49:11)
Mot de la sagesse «Quatre choses corrompent le coeur et y font
pousser l’hypocrisie comme l’eau fait pousser les
plantes: l’écoute des distractions, la vulgarité, frapper à la porte du
Sultan (Pouvoir), la recherche de la chasse»
Le SaiNt Prophète de l’Islam, Muhammed (P)

«Le monde est édifié sur quatre types d’individus : un savant qui
applique sa science, un ignorant qui ne dédaigne pas l’apprentissage,
un riche qui donne généreusement de son argent aux pauvres, et un
pauvre qui ne troque pas sa vie de l’au-delà contre la vie ici-bas ; car si
le savant n’applique pas sa science, le pauvre dédaigne l’apprentissage,
et si le riche se montre avare de son argent, le pauvre troque sa vie de
l’au-delà contre sa vie d’ici-bas.»
l’ Imam Ali (AS)
Personnalité La Sainte Marie (AS)

Sa naissance:
La sainte Marie(AS) est la fille de la dame Hanna et du Prophète ‘Im-
ran (AS). La soeur de Hanna, la dame Hanana, est l’épouse du prophète
Zacharie (AS), père du prophète Jean (AS), dit Yahya(AS). Hanna ne put
avoir des enfants normalement. Après de longues années de chagrin et
d’espoir, Allah (sw) révéla a ‘Imran(AS) qu’il pouvait maintenant [...]
Suite: Page 2
Question Sociales LA FEMME, CETTE PERLE PRÉCIEUSE
Aujourd’hui plus qu’hier, par ignorance ou par
orgueil, face à la vérité, certains s’attaquent à l’Islam et le critiquent. Al-
ors que cette religion représente par excellence le respect des droits de
l’homme de tous horizons et classes confondus. On l’accuse d’opprimer
certaines catégories de personnes, de leur porter atteinte et de les dé-
nigrer. La femme tout particulièrement est, prétendent-ils, considérée
comme inférieure et dont les droits sont bafoués, voire inexistants,
et dont le rôle dans la société est quasi inexistant. Entre haines, [...]
Suite: Page 3
 La Vertue, Jeudi le 8 Mars 2007. Vol. 1 Issue 4
Suite de la Page 1
[...] avoir un enfant, et bientôt Hanna fut enceinte. En guise de recon-
naissance, elle fit une promesse à Allah (sw); son “fils” sera le serviteur
voué du temple sacré (Bait-Al-Maqdis). “Quand la femme d’Imran
dit: ‘ Seigneur, je T’ai voué en toute exclusivité ce qui est dans
mon ventre. Accepte-le donc, de moi. C’est toi certes l’Audient
et l’Omniscient’”.
Quand elle accoucha, elle fut tristement surprise, car l’enfant était une
fille! Les femmes n’étaient pas admises dans le temple. Comment donc y
servira-t- elle!? “ Puis, lorsequ’elle en eu accouché, elle dit: ‘Sei-
gneur, voilà que j’ai accouché d’une fille’; or Allah savait mieux
ce dont elle avait accouché! Le garçon n’est pas comme la fille.
‘Je l’ai nommé Marie, et je la place, ansi que sa descendance,
sous ta protection contre le Diable, le banni’”.
La mère de Marie ne sut cependant qu’Allah (sw), dans Sa sagesse
sublime,
lui exauça indirectement sa prière. Elle ingnora que son grand-fils sera
le prophète et messager, en plus d’être un serviteur infaillible d’Allah,
Jésus (AS).
Hanna décida finalement qu’elle tiendra sa promesse, elle se dirigea
seule avec son bébé Marie (AS) vers le temple. Son mari ‘Imran (AS)
était déjà décédé. Elle présenta son enfant aux rabbins, qui se réjouirent
de voir l’enfant de leur prophète. Cependant, l’enfant avait besoin d’un
gardien, et les rabbins ce disputèrent sur ce sujet. Chacun voulu pren-
dre la garde de Sainte Marie et Zacharie (AS) réclama qu’il fut le plus
censé de le faire, étant un de ses proches et le prophète d’Allah (sw).
Les rabbins refusèrent. Enfin, ils acceptèrent tous de recourir au tirage
au sort. Chaque candidat écrivit son nom sur son propre calame (outil
d’écriture) et ils les jetèrent à l’eau. Celui dont le calame flotta fut l’élu
gardien de Sainte Marie. Par la volonté d’Allah, seule celui du prophète
Zacharie flotta, les autres coulèrent. Ansi Marie (AS) fut confiée au soins
du bon Zacharie(AS), qui l’éleva avec tant d’amour et de respect, comme
sa propre fille, dans un petit sanctuaire spécial du temple sacré où elle
vécut... (à suivre)
PREPARER PAR: FATIMA DAHER
Enseignements Les enseignements islamiques couvrent tout
le champ de la vie humaine. Ils sont globalement
divisés en deux parties:
1. La relation de l’homme avec Allah
2. La relation de l’homme avec l’homme

La relation de l’homme avec Allah


Pendant qu’il accomplit un acte d’adoration, l’homme est absorbé[...]
Suite: Page 4
 La Vertue, Jeudi le 8 Mars 2007. Vol. 1 Issue 4
Suite de la Page 1
[...] mensonges, ignorances ou amalgames, quel est réellement le statut
de la femme dans l’Islam et en Occident ? Où est elle vraiment respectée
et intégrée dans la société et où y tient-elle vraiment un rôle ?

La condition de la femme en Occident.

En Occident, ou plus largement dans les pays non musulmans,


la femme, disent-ils, est une citoyenne à part entière, égale à l’homme
sur tous les points de vue. Or, cette prétendue égalité, n’a pas toujours
été un acquis ; elle a dû la réclamer haut et fort au prix de sa vie par-
fois A l’époque où les hordes isolées se trouvaient en pleine lutte pour
l’existence ; le clan devait veiller à se débarrasser de tout rejeton qui
nécessitait de grands soins. Les filles nouveau-nées, en première ligne,
avaient ce caractère d’impedimenta. On cherchait donc à s’en débarrasser
autant que possible dès leur naissance. On n’en laissait vivre qu’un petit
nombre, celles dont on avait absolument besoin pour la reproduction de
l’espèce. En Grèce, elle était un objet se vendant et s’achetant dans les
marchés et ne disposant d’aucun droit. Dans l’empire romain, l’homme
avait tous les droits sur sa famille. Même celui de vie et de mort sur sa
femme et ses enfants, sans devoir rendre de comptes à l’Etat. En Inde,
lorsque le mari mourait, son épouse s’immolait sur son bûcher de plein
gré. Aujourd’hui, elle se contente de se raser les cheveux De nos jours,
une situation persiste, se maintenant et s’aggravant toujours davantage
: la prostitution. Elle était non seulement permise aux filles non mariées,
mais à Babylone, chez les Phéniciens, les Lydiens et chez bien d’autres
peuples encore, elle était de-
mandée, voire ordonnée par la
religion. A Babel, la puissante
capitale de l’empire babylonien,
il était prescrit que toute jeune
fille devait se rendre au moins
une fois en pèlerinage au tem-
ple de la déesse Mylitta pour s’y
prostituer, en son honneur, au
libre choix des hommes qui ac-
couraient en foule. On rapporte
de Chéops, roi d’Egypte, qu’il
tira du produit de la prostitution
de sa fille l’argent nécessaire à
la construction d’une pyramide.
 La Vertue, Jeudi le 8 Mars 2007. Vol. 1 Issue 4
Suite de la Page 2
[...] par ses louanges à Allah, et donc, essaie d’amener son âme à se
transcender et à se hisser au-dessus de ce monde matériel. Il tente de se
purifier des impuretés de ses péchés et de cultiver en lui-même, de hautes
qualités humaines. Il implore l’aide d’Allah, le Tout-Puissant et l’Eternel
afin de venir à bout des causes du désespoir et du découragement; il
continue de L’invoquer afin d’assumer sa responsabilité envers Lui. Le
Saint Coran dit: “Adore-Moi et persiste dans la prière pour te souvenir de
Moi.” (Sourate Tâhâ; 20:14)
De là, il est évident que c’est l’adorateur qui tirera profit de
l’adoration.

La relation de l’homme avec l’homme


Cette partie des enseignements islamiques inclut tous les problèmes
sociaux. L’Islam, avec son système distinctif, apprend à ses adeptes
comment ils doivent être, comment ils doivent vivre et comment ils
doivent s’acquitter de leurs devoirs envers la société. Les obligations
dont un Musulman doit s’acquitter sont de nature large et variée.
Ces obligations sont envers les parents, les instituteurs, les amis, les
voisins, les frères en religion, les semblables, et même les animaux (voir:
“Islam, Code of Social Life”)
L’Islam nous informe que l’homme, étant un organe du corps social,
a une si grande importance que rien ne saurait être égal à sa vie et à
son sang. Le Saint Coran dit: “Celui qui a tué un homme qui lui-même
n’a pas tué, ou qui n’a pas commis de violence sur la terre, est considéré
comme s’il avait tué tous les hommes; et celui qui sauve un seul homme
est considéré comme s’il avait sauvé tous les hommes.” (Sourate al-
Mâ’idah; 5:32)
Le Saint Prophète a dit que tous les croyants sont les organes d’un
seul corps. Si un organe souffre tous les autres organes du corps se
sentent malades.
Comme nous le savons, en Islam, il n’y a pas de problème de race,
de couleur ou de région géographique. Il est possible que toutes les
sociétés musulmanes établissent, sur la base de leur adhésion à une
idéologie commune, un gouvernement mondial avec une seule loi et une
seule politique dans lequel toutes les entités raciales et géographiques
peuvent être submergées.
Pour reçevoir votre copie hebdomadaire (Format PDF) veuillez SVP nous envoyer un courriel

Pour publier n’importe quel matériel veuillez SVP nous envoyer un courriel
Veuillez noter que le contenue peut être changé, supprimé ou refusé.
Editeur en Chef: Zain Al-Aabideen Haider Conçu Par: Ahmad Haidar
Editeur: Maythem Ali Editeur: Ahmad Al Najjar Editeur: Mohammed Nazar
Contactez-nous Veuillez SVP nous envoyer vos rétroactions, commentaires et
suggestions au courriel suivant : thetruth110@gmail.com

Das könnte Ihnen auch gefallen