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Toute reproduction sans autorisation du Centre français d’exploitation du droit de copie est strictement interdite.
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Le service maintenance doit devenir un interlocuteur crédible dis- ■ Besoins en ressources humaines : la réservation de charge en
posant des éléments quantifiés qui sont source d’un véritable ressources humaines, les modes opératoires qui définissent les qua-
dialogue ainsi que l’initiateur d’un véritable processus de partena- lifications en regard des natures des travaux à effectuer ou par rap-
riat avec toutes les entités de l’entreprise. port à un type de matériel, permettent une gestion prévisionnelle en
ressources humaines et l’élaboration d’un plan individuel de forma-
■ Besoins techniques : la maintenance a besoin de connaître les tion en regard des besoins.
matériels et équipements dont elle a la charge, sur le plan topogra-
phique, fonctionnel, technique et comportemental. Pour assimiler les mutations technologiques et améliorer la pro-
ductivité des équipements, il est nécessaire d’avoir des hommes de
Pour ce faire, la GMAO propose de gérer différentes arborescen- plus en plus qualifiés, de plus en plus compétents.
ces qui identifient chaque matériel, centralisant ainsi toutes les
informations techniques vitales (opérationnelles) et qui consignent La GMAO gère les charges de travaux par nature, par spécialité,
les éléments historiques permettant de faire progresser les métho- par type de matériel et permet donc de quantifier le potentiel, la spé-
des de maintenance. La GMAO crée ainsi des liens avec tous les cialisation et la polyvalence qui sont nécessaires.
fichiers existants (liens de type OLE : object linking and La possibilité de la GMAO de gérer une « charge réservée » qui
embedding) : correspond aux imprévus que la maintenance subira permet de gar-
— nomenclatures de pièces de rechange ; der des ressources pour faire face aux aléas, de préserver la réalisa-
— documentation technique, procès verbaux de réception, suivis tion des programmes de travaux établis, de sauvegarder des
commerciaux ; conditions de travail en évitant les situations de stress et d’urgence,
— modes opératoires et plans de maintenance préventive et sources de conflits et de démotivation.
corrective ;
— check-lists, tableaux de symptômes – causes – remèdes,
AMDEC (analyse des modes de défaillance, de leurs effets et de leur
criticité) [AG 4 220] ; 2.2 Qualités de l’informatique
— plans et fiches techniques ; opérationnelle de maintenance
— schémas techniques et fonctionnels, etc.
Elle centralise ainsi l’information au niveau de la gestion et de la
mise à jour et la décentralise au niveau de l’utilisation et de l’exploi- L’exploitation des moyens informatiques en maintenance, répond
tation. La caractéristique de la GMAO est de scinder l’information à trois objectifs.
par nature, qualité et durabilité, par exemple : ■ Informer :
— informations liées à la documentation : accessibles, fiables, — répertorier (inventaire du patrimoine à maintenir, etc.) ;
durables ; — classer (les coûts, les travaux, les pièces de rechange, etc.) ;
— informations de gestion : fiables, sélectives, durables ; — suivre l’activité (portefeuille des travaux, personnel, matériels,
— informations liées à la réflexion : accessibles, transmissibles, etc.) ;
éphémères. — constituer des historiques (par matériel, nature de travaux,
nature de dépenses, etc.).
La première règle est d’informatiser ce qui est nécessaire et ■ Organiser :
non pas ce qui semble intéressant. — pouvoir accéder aux informations opérationnelles en tout lieu
La deuxième règle est de ne pas confondre rigueur et perfec- et à tout moment ;
tionnisme. — diminuer les temps logistiques d’intervention (recherche de
documentation, de pièces de rechange, etc.) ;
■ Besoins organisationnels : la maintenance a besoin de connaître — optimiser les tâches administratives (saisie unique, imputa-
les ressources quantitatives et qualitatives liées aux opérations tions automatiques, classement de documentation, etc.) ;
subies et programmées de maintenance. Le système d’information — préparer, planifier et déclencher les travaux de maintenance ;
GMAO permet de : — travailler sur sélectivité ou « exception ».
— suivre les heures de fonctionnement et d’arrêt pour mainte- ■ Gérer :
nance des matériels ; — assurer les objectifs de fiabilité, de disponibilité et de mainte-
— simuler, par rapport aux prévisions d’activité, la réalisation des nabilité, au coût optimum ;
programmes de maintenance établis ; — connaître en permanence l’état des engagements de dépenses
— réserver des ressources pour les aléas qui sont gérés et les budgets associés ;
statistiquement ; — anticiper tout écart entre prévision et réalisation ;
— anticiper toutes les décisions concernant les surcharges d’acti-
— coordonner les travaux de maintenance en regard des activités
vité et les délais de réalisation.
de production, de la sous-traitance, de prestataires internes ;
La possibilité de gérer les accès à la GMAO par profil utilisateur — recevoir, traiter et diffuser les informations utiles vers les diffé-
impose de mettre en place une organisation de maintenance effi- rents acteurs concernés ;
cace illustrée par une structure où les tâches et les responsabilités — synthétiser les résultats en regard des objectifs chiffrés ;
de chacun sont clairement définies. — mettre à jour les éléments liés à la documentation technique et
Trop de mauvaises excuses sont avancées et énoncées pour l’historique de maintenance en fonction des travaux réalisés.
rendre l’informatique responsable des anomalies et dysfonctionne- Ces trois objectifs ne peuvent être atteints que si les informations
ments. Le formuler est révélateur d’un aveu d’impuissance qui sont :
résulte de déficiences ou de dysfonctionnements, principalement — centralisées ;
sur les aspects suivants :
— mises à jour immédiatement ;
— organisation et structure se concrétisant par des organigrammes — synthétisées en permanence ;
et des définitions de fonction ; — saisies d’une manière unique à la source ;
— préparation, programmation, planification, distribution du — structurées et organisées de façon cohérente ;
travail, — accessibles rapidement et convivialement ;
ou tout simplement d’une fuite de responsabilités devant cette — filtrées pour ne retenir que les informations exploitables (par
« maison de verre » qu’est un système informatisé. exemple, les historiques).
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— les agents du service maintenance doivent non seulement — technico-économique : saisie détaillée des interventions et
assurer la disponibilité optimale des matériels, mais l’obtenir à des suivi du coût direct de maintenance par nature de travail, type de
coûts également optimisés (aspect concurrentiel) ; maintenance par matériel ;
— ils sont confrontés à une gestion du parc à maintenir, souvent — administrative : automatisation des tableaux de bord et états
ancien, qui représente des investissements lourds et qu’il n’est pas de synthèses, suivi des engagements de dépenses par rapport aux
facile de moderniser ou de renouveler rapidement. prévisions budgétaires.
Les deux premiers axes d’amélioration se positionnent sur le ■ Réduction des coûts d’indisponibilité : la réduction des coûts
moyen et le long termes (fonction méthodes de maintenance), ce indirects repose sur deux types d’actions :
troisième axe se préoccupe essentiellement du court terme (fonc-
— réduction du nombre de défaillances (microdéfaillances, dys-
tion réalisation).
fonctionnements, pannes ou arrêts) ;
La GMAO apporte alors une aide précieuse à la recherche de — réduction de la durée des défaillances.
l’optimum en matière d’investissement dans la maintenance (sous-
maintenance/surmaintenance) en permettant, dans une démarche Une analyse des fiches historiques doit conduire à des actions
d’amélioration continue, de caractériser les facteurs de perte de amélioratives et une optimisation de la maintenance préventive
rendement : conditionnelle ou prévisionnelle.
— connaissance des défaillances, arrêts de production, casses, La GMAO permet d’établir des synthèses sélectives à partir d’une
par l’analyse des historiques informatisés ; saisie unique et d’informations structurées. Elle permet également :
— connaissance des pièces consommées sur les matériels, des — d’apporter une aide pour le diagnostic de pannes en reliant et
taux de rotation des stocks, des taux de rupture, (gestion des en hiérarchisant les symptômes, les causes, les remèdes, par type
réapprovisionnements) ; d’équipement ;
— réduction des temps d’intervention en permettant la réalisation — d’identifier rapidement les références des pièces de rechange,
de modes opératoires optimisés (travaux répétitifs, complexes ou de contrôler leur présence dans le stock ou de trouver des substituts
longs) ; possibles.
— connaissance prévisionnelle des interventions programmées La réduction du nombre des défaillances et de leurs coûts asso-
en cohérence avec les plannings de production ; ciés peut atteindre 20 % à 50 %.
— calcul et suivi de la charge de travail par qualification, par pres-
tataire, par atelier ; ■ Réduction des coûts directs : pour réduire le coût direct de main-
— réservation des pièces et préparation des chantiers. tenance, c’est-à-dire principalement le temps d’intervention, il est
Le volume et la nature des informations à traiter, la réactivité nécessaire d’agir sur les trois axes suivants.
nécessaire devant l’événement, ne permettent plus l’utilisation des ● Préparation du travail : pour un certain nombre de travaux répé-
moyens classiques et requièrent les performances de l’outil infor- titifs, la préparation consiste à élaborer l’ensemble des modes opé-
matique (stockage de données, accès à l’information, tris et syn- ratoires, gammes d’intervention, check-lists, etc., tous ces
thèse, etc.). documents étant gérés en mémoire dans le système de GMAO qui
les édite à la demande ou automatiquement.
Une préparation du travail bien exécutée doit permettre d’écono-
4. Évaluation des enjeux miser entre 20 % et 50 % du temps technique et logistique d’inter-
et des gains potentiels vention. On considère en général que 50 % à 70 % des heures de
maintenance programmée justifient une préparation du travail (sta-
tistiques fournies par l’outil de GMAO lui-même).
4.1 Évaluation des enjeux La GMAO permet aussi de formaliser et de pérenniser le savoir-
faire de maintenance, dès lors que le savoir ne repose plus exclu-
sivement sur l’expérience de quelques compagnons, avec les
Pour évaluer les enjeux, il faut définir correctement ce qu’est le
risques que cela représente. Le transfert éventuel de certaines opé-
coût global de maintenance.
rations bien ciblées à un prestataire extérieur s’en trouve facilité.
Il est la somme de plusieurs composantes :
● Ordonnancement et lancement : l’ordonnancement ne con-
— coût direct de maintenance (main-d’œuvre interne et cerne que les travaux prévus, bien que la « charge réservée » per-
externe + consommation et achat de pièces) ; mette de gérer les imprévus. Il prend toute son importance avec le
— coût indirect ou coût d’indisponibilité des matériels ; développement des méthodes de maintenance prévisionnelle. Il
— coût de la non-qualité imputable à la maintenance ; consiste essentiellement à optimiser l’utilisation des ressources, pré-
— coût de possession des stocks. voir la logistique de soutien nécessaire, éliminant ainsi autant que
Les actions à conduire pour atteindre les objectifs (et les enjeux faire se peut la saturation des équipes internes et/ou externes et des
associés) doivent être évaluées et hiérarchisées en fonction du ressources matérielles.
contexte et de l’environnement de chaque entreprise. Les ratios de Il facilite la tâche de la maîtrise de réalisation qui peut se consa-
productivité des enjeux suivants sont donnés à titre indicatif et crer ainsi au management du personnel interne, à la gestion de la
doivent être modulés au cas par cas. sous-traitance, à la réalisation des contrôles en cours de réalisation
■ Amélioration de la fonction maintenance : une action d’améliora- et à la résolution de problèmes techniques spécifiques.
tion de la productivité de la maintenance, appuyée sur l’exploitation Les systèmes de GMAO intègrent des modules de calcul de
d’une GMAO, peut représenter : charges de travail et de planification.
— une économie minimale sur le budget de la maintenance de Cette amélioration de productivité peut représenter 15 % à 25 %
l’ordre de 10 % ; des heures d’intervention. La GMAO permet, par ses fonctionnalités
— une réduction des défaillances, donc des coûts d’indisponibi- modulaires :
lité du matériel de production, de l’ordre de 20 % à 50 % ;
— de réduire le temps de préparation du travail de l’ordre de 20 %
— une réduction du coût de possession du stock de l’ordre de
à 30 % ;
10 % à 20 %.
— d’automatiser les exploitations techniques et statistiques
Pour atteindre ces résultats, la GMAO doit être pleinement exploi- (requêtes à fréquence déterminée, Pareto ou loi ABC, etc.). L’enjeu
tée dans les trois domaines suivants : est un gain de l’ordre de 50 % sur les temps administratifs par
— technique : historique, analyses de pannes ; rapport à la méthode manuelle ;
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— d’automatiser l’édition des outils de pilotage de la fonction Le tableau 1 réunit les données qui permettent d’évaluer le coût
maintenance (tableaux de bord, reporting, etc.). L’enjeu est égale- total de la maintenance. Les gains escomptés sont établis dans les
ment un gain de l’ordre de 50 % sur les temps administratifs par rap- tableaux 2, 3 et 4 et résumés dans le tableau 5. Le tableau 6
port à la méthode manuelle. contient les dépenses à prévoir.
La conjugaison des actions précédentes représente un enjeu glo-
bal de productivité pour le personnel de maintenance de l’ordre de La méthodologie pour déterminer le seuil de rentabilité (figure 1)
10 % à 25 % en temps. est détaillée dans les tableaux 7 et 8. Dans cet exemple, le seuil de
rentabilité dans la mise en place de la GMAO est atteint au 15 e mois.
■ Réduction des coûts de possession du stock : outre l’immobilisa- Il est fréquemment atteint entre 18 mois et 2 ans.
tion de trésorerie que constituent les stocks de pièces de rechange,
le coût de stockage annuel représente 15 % à 20 % de la valeur du
stock (coût de l’argent, coût du stockage, coût de la dépréciation). Ce
stock est en outre pris en compte dans la valeur globale des immo-
L’exemple présenté est issu d’un diagnostic de la fonction mainte- Coût des pièces de rechange
nance dans une entreprise moyenne. Les données de base ainsi que
les choix au niveau des enjeux sont donnés à titre indicatif. Valeur des stocks .............................. (k€) 800
Ce modèle doit être transposé pour être appliqué dans une autre Taux de possession ........................... (%) 20
entreprise en fonction de son contexte et de ses spécificités. Les Sous-total (c)..................................... (k€) 800 × 20 % = 160
valeurs retenues doivent être validées à l’occasion d’un audit qui
évaluera et hiérarchisera les données. Coût total annuel de la maintenance
(x) = (a + b + c) ................................. (k€) 5 164
Cette mission est souvent assumée par un consultant spécialisé
qui porte un regard extérieur, neutre et objectif. (1) le coût de la non-qualité n’est pas pris en compte dans cet exemple.
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Tableau 2 – Gain escompté sur le coût Tableau 5 – Récapitulatif des gains escomptés
de maintenance du matériel Coût de maintenance (y) ...............(k€) 709
Amélioration de la productivité des équipes interne et externe Coût de non-maintenance (i) ........(k€) 352
Gain possible du temps total Gains sur le coût des stocks (j) .....(k€) 32
d’intervention ............................... (%) 10 Sous-total (k) = (y + i + j)...............(k€) 1 093
Main-d’œuvre directe..................(k€) 1 300
Gain annuel sur le coût total
Sous-traitance..............................(k€) 2 000 de maintenance (k/x) ..................... (%) 21
Sous-total (e) ...............................(k€) (1 300 + 2 000) × 10 % = 330
Amélioration de la préparation du travail
Gain possible Tableau 6 – Investissements et dépenses à prévoir
de l’activité préparable ................ (%) 10
Coût
Activité préparable par la Poste Détail
main-d’œuvre totale directe ........ (%) 50 (k€)
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Tableau 8 – Ventilation des dépenses liées Les dix commandements d’une GMAO réussie
à la GMAO sur trois ans
■ Définir les objectifs poursuivis et les enjeux associés.
Année 1 Année 2 Année 3 ■ Formaliser, hiérarchiser et pondérer ses besoins en regard de
Licences la politique choisie.
des utilisateurs ..........(k€) 70 70 0 0 ■ Identifier précisément les spécificités et les contraintes de
Matériels (serveur + l’entreprise.
postes)........................(k€) 40 30 10 0 ■ Réaliser un état des lieux et réorganiser éventuellement avant
Installation d’informatiser.
et paramétrage ..........(k€) 10 10 0 0
■ Projeter les exploitations souhaitées, rendre cohérent le sys-
Reprise tème d’information.
de données ................(k€) 20 18 2 0
■ Faire participer les futurs utilisateurs à la rédaction du cahier
Formation des charges des besoins.
fonctionnelle ..............(k€) 15 15 0 0
■ Mettre en place un suivi de projet et informer tous les parte-
Formation naires, internes et externes, du service maintenance.
au métier ....................(k€) 15 12 3 0
■ Savoir être sélectif dans l’édification de la base de données
Conseil et techniques.
assistance...................(k€) 12 7 3 2
■ Former les utilisateurs en rapport avec leur métier et créer et
Abonnement mettre en place une démarche de transmission de la formation.
au SAV en ligne .........(k€) 10,5 0 10,5 10,5
■ S’inscrire dans une démarche d’amélioration permanente en
Dépenses annuelles ...................(k€) 162 28,5 12,5
mettant en place une méthode de suivi-évaluation pour corriger
Dépenses cumulées ...................(k€) 162 190,5 203 sans retard les dérives.
Références bibliographiques
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Dans les Techniques de l’Ingénieur
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