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1
Je dédie ce travail
A mon père
A ma mère
2
REMERCIEMENT
au long de ce mémoire.
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•
PLAN
-4-
Introduction Générale…………………………………………………………………… 1
SECTION I : BUREAUCRATIE......................................................................... 4
I. 1. Différences entre activités administratives et autres activités de production……… 4
I. 1. 1 Difficulté de mesure de performance……………………………………………. 4
I. 1. 2 Multiplicité des objectifs………………………………………………………… 5
I. 2 Que maximisent les bureaucrates ?…………………………………………………...5
4
II. 2 Salaires dans le secteur public…………………………………………………… 22
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AVANT PROPOS
Toute personne qui possède une information privilégiée, tout agent qui a pour
fonction de définir ou d’appliquer un système de pénalités / récompenses.
ETAT est lieu privilégié de modification autoritaire, corruption est donc un
problème qui intéresse le secteur public pour cette raison, on se limite à cet
aspect du problème.
1. Les critères fondées sur la légalité : pour pouvoir être classé comme
corrompu un acte doit être interdit par la loi.
2. Critère lié aux effets sur « l’intérêt public ». Même si un acte est légal ; il
peut être corrompu s’il est contraire à intérêt public.
3. Critère fondé sur l’opinion publique . Est corrompu tout acte que l’opinion
considère comme tel.
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asymétrique(l’agent est corruptible dans la mesure où il peut dissimuler sa
corruption à son principal).
En fait, les difficultés apparaissent lorsqu’il s’agit d’étudier le phénomène
empiriquement :
• On a tout d’abord du mal à définir la frontière au-delà de laquelle une
transaction licite se transforme en acte de corruption.
• Vue la nature de corruption (illégalité, confidentialité) et la complexité
des transactions ; il est presque impossible d’obtenir d’information précise
sur l’extension de corruption surtout dans la haute administration.
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I- INTRODUCTION
Corruption est un des grandes problèmes des pays en voie de développement, au
point de devenir ; à tort ou à raison ? ;le bouc émissaire de toux les maux de
sous-développement.
Elle est identifiée être obstacle institutionnel au développement économique
durable et d’entraver le fonctionnement des institutions.
La répression de corruption revêt actuellement, l’un de plus hauts rang de
priorité du programme du travail des organismes de prêt (BM, FMI) et
institutions internationales de développement(PNUD,OCDE).
Dix ans en arrière, la recherche sur corruption était plutôt, un champ étroit.
Ce n’est que récemment qu’on a commencé à s’y intéresser : en effet plusieurs
études et recherches ont été réalisées. Ce développement reflète en partie la
montée des sociétés concernées par ce problème. Parallèlement, au moins dans
la discipline économique ; ça reflète les changements internes dans les
approches et les instruments d’analyse de la discipline conjugués avec un accès
plus vaste aux données qui rendu corruption au sujet de recherche.
Ce travail avise une simple révision des causes théoriques, et un très bref
regard sur les plus récents résultats économétriques qui cherchent à déterminer
les causes et conséquences à l’échelle macroéconomique- sous forme littérature,
sans présentation des modèles par défaut d’accessibilité à l’information sur le
WEB(droits de propriété imposent).
Il est organisé comme suit : Après le débat classique, (section I) porte sur la
bureaucratie pour discerner le différence entre activités administratives et les
autres activités de production ; il apparaît que la structure d’incitation est
différente entre les deux et que le bureaucrate dispose le plus souvent d’un
avantage d’information sur son supérieur.
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non sur la corruption elle-même :car il est à peu prés impossible de quantifier
cette dernière ; pour voir, après, les études qui essayent de quantifier les
causes(section II) et les conséquences(section III).
DEBAT CLASSIQUE
Débat qui a eu lieu dans les années 60 et porté sur les coûts et avantages de
corruption.
Ceux qui considèrent corruption, un moyen d’aider le fonctionnement d’une
économie hautement entravée par les réglementations inutiles et contraignantes,
bureaucratie excessive ou restriction des marchés [NYE1967] ;[LEFF1964] .
[MORGAN1964] arguent : « Corruption, peut dans les cas extrêmes, être non
seulement désirable mais essentielle pour que l’économie marche ».
L’analyse, selon ces auteurs, est que corruption réduit les coûts d’attente
résultant des procédures administratives et incitent ainsi les bureaucrates à
accroître leurs efforts et de procéder aux cas selon leur urgence.
Argument opposé par [MYRDALL1968], qui soutient l’idée que l’agent corrompu,
au lieu d’être plus actif, va occasionner des retards administratifs dans l’intention
d’attirer plus de commissions supplémentaires illicites. Une proposition similaire
est avancée par[ROSE-ACKERMAN1978], estimant que le bureaucrate se
comporte comme un monopole qui profite de l’augmentation des prix en créant
la rareté. [LUI1985] utilise le modèle de file d’attente pour montrer que
contrairement à l’idée avancée par MYRDALL, corruption incite les agents à être
plus et non moins efficaces.
SECTION I : BUREAUCRATIE :
Il existe une impression générale selon laquelle bureaucratie, dans le
secteur public, incarne l’inefficience, manque de rénovation, rigidité routine et
lenteur des procédures administratives(Red tape).
Dans cette section, on discute comment bureaucratie diffère d’autres types
d’organisations et comment on peut expliquer certains aspects du comportement
du bureaucrate.
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d’incitations : il n’est pas possible de désigner une structure d’incitation où la
mesure de performance pose des difficultés.
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P Figure 1
Dicter
Régles
Attaché au contrat
negocié
Payer
Salaire Fourniture services/licenses
A C
2. Le second point est que les agents disposent des informations qui
manquent à leurs supérieurs, telle asymétrie d’information peut être
significative dans plusieurs institutions publiques comme l’administration
fiscale, douane, ou autorités portières .Par exemple, les agents
responsables de collecte de taxe sont mieux informés, sur le revenu
potentiel d’un taxe particulier, que leur principal.
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3. Enfin, troisième et dernier point lié aux difficultés d’établir un système
d’incitations et des motivations des agents qui va en harmonie avec les
objectifs de l’institution.
SELECTION ADVERSE
Dissimuler Conséquences de
Qualifications Contrat Dissimulation
qualifications temps
HASARD MORAL
Action Conséquence
occultée De l'action
Contrat
occultée
temps
temps
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corruption considérée prendre place quand l’agent dépasse les règles établies par
le principal en s’associant ,avec le client pour promouvoir son propre intérêt. Il
obtient une commission supplémentaire qui sera étouffée sur le
principal(Figure3). Le but derrière cette commission supplémentaire est de
privilégier le client en basculant les règles en sa faveur.
P Figure 3
Dicter
Régles
Attaché au contrat
negocié
Payer commission
Payer supplémentaire
Salaire Fourniture services/licenses
A C
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II. 2. 1 Incitation salariale( rente) :
Cette motivation par une hausse de salaire(rente d’information) vise une
révélation d’information-qui jusqu’ici fait défaut- et d’où à une coopération plus
productive qui serait source d’efficacité. Mais en réalité, le rôle de la telle
motivation économique est inférieure à ce que prédit la théorie[FURBOTN et
RICHTER 1998].
La difficulté ne se pose pas comment le principal tend à restreindre la marge
de manœuvre de l’agent, et de le rendre,ainsi,part dans l’opération ;mais elle
s’expose, particulièrement par les bureaucraties, du rôle mineur que puissent
jouer des telles incitations, du fait qu’il manque un surplus économique
mesurable oui sert de référence pour la rémunération[MOE1984].
Une recherche qui pédante les limites de la solution du superviseur est faite
par[MOOKHERJE et PNG 1995]. Elle étudie l’arrangement optimal, pour une
bureaucratie dans laquelle un inspecteur doit contrôler une firme pour son
respect des régulations de la pollution. Les enseignements de modèle peuvent
servir aux autres institutions en matière de contrôle(AUDIT).Comme
l’administration fiscale,si le mot « respect » veut dire respect de le loi fiscale au
lieu de régulations de la pollution.
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Figure 4
P Payer salaire
Dicter
Régles
Reports honnêtes/
Défectueux
Attaché
au contrat
C
Payer Contrôler
Negocié/ l'agent
Salaire defection
A
Payer commission supplémentaire
Les deux problèmes sont liés au hasard moral .Le problème de connivence avec
l’agent, peut être traité avec l’engagement d’un audit externe ; pour le contrôle
de l’audit (interne).D’où le principal pourrait appréhender l’audit (interne) dans
des actes de se laisser offrir des commissions supplémentaires .En revanche un
manque d’engagement ne peut pas être détecté à travers les mécanismes de
contrôle, du moment où le principal ne peut pas observer l’effort fourni par
l’audit(interne).
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II.3 Implications sur le bien être et niveau de corruption :
Agents corrompus font affront à leur principal ;mais après tout la perte est
minime,l’agent gagne le principal ajuste.
Cependant,une perte nette résultera lorsque le comportement de l’agent induit
une distorsion par ces décisions prises. Ce type de distorsion n’est pas facile à
établir .L’agent a tendance à se contracter avec ceux qui sont prêts à offrir plus
des commissions supplémentaires.
En marchés parfaits, les producteurs les plus efficients sont tentés,aussi,à des
tels versements .Cette conclusion est aussi valable où il existe une information
imparfaite sur l’action des concurrents[BECK1986].
En clair, ceux qui sont les plus prêts a se connecter pour un compromis sur ce
type de transaction ne sont pas nécessairement les plus efficients ;ce qui
aboutirait à une sélection adverse,telle décision peut être source de distorsion.
Autre facteur qui peut influencer cette sélection adverse : certaines formes de
marchés sont plus incitatives que d’autres(les nombres de firmes qui soumissions
à un marché public intervient par exemple de façon déterminante)et le principal
a d’autant plus de problèmes qu’il a du mal à formuler précisément ses
préférences[ROSE-ACKERMAN1978].
Outre cela,il se peut que le but explicit de collusion entre l’agent et le client
c’est de créer distorsion :c’est le cas où le client paye l’agent pour limiter la
concurrence en assaillant ses concurrents ;distorsion est une conséquence
intelligible d’association liée à al corruption[BARDHAN1997]
Ça ne peut pas aider,dans ce contexte,que ses concurrents font de mémé et que
les firmes les plus efficientes gagnent la bataille .D’autre part, le principal
cherchera des moyens a contrer le comportement de collusion de l’agent en le
poussant à révéler ses vraies actions .Mais,ça ne sera pas suffisant pour éviter
des distorsions ;tout ce que le principal peut achever sont des solutions de
second rang pour atténuer le niveau de corruption.
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Vraisemblablement,le principal peut effectivement influencer le niveau de
corruption,on assume qu’il choisirait ce niveau optimal .Mais,des limites peuvent
subsister pour cette influence du fait que d’autres déterminants exogènes de
niveau de corruption peuvent être plus importants que les actions prises par le
principal .Implorer que le degré soit à son optimum peut être incongru .Mais
avec un principal fort et bénévole,les craintes sur corruption devraient être
limitées.
Son dépendance de P révèle un de plus grand obstacles .Il existe aux moins
deux limites à cette approche :
1. Il pourrait que plusieurs principaux engagés avec des intérêts
divergents,c’est le cas où le modèle P.A , parfois, construit sans un
hiérarchie donnée,où A est à la tête de quelqu’un et représente un autre
qui dans le sens a un rôle supérieur : par exemple, le parlement est
considéré le principal de la bureaucratie, et que les votants sont le
principal de parlement.
2. Le principal pourrait poursuivre son propre intérêt et devient sujet de
corruption ; dans ce cas aussi l’approche n’est pas valide.
III.1-Recherche de la rente :
Recherche de la rente souvent agrafée avec corruption. Rente est généralement
vue comme le profit du monopole, recherche de rente est ainsi l’effort de
s’acquérir accès ou contrôle des opportunités pour gagner des rentes.
Ces efforts se manifestent à travers les formes de lobbies(groupe de
pression),certaines formes sont efficientes . Mais des économistes, à l’instigation
de [JAGDISH BHAGWATI] qualifie ces activités, de la recherche de la
rente,directement improductives,car elles gaspillent les ressources et peuvent
contribuer à une inefficience économique[BHAGWATI,KRUEGER1974].
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Ces activités ne sont pas nécessairement illégales ;en revanche il subsiste des
différences significatives dans la forme et l’extension du comportement de
recherche de rente.
Des études récentes ; sur la recherche de rente se penchaient sur les politiques
et les structures institutionnelles qui peuvent mitiger les formes les plus
destructives [KLITGAARD1988][ROSE-ACKERMAN1997].
Principal peut s’associer avec des parties privés(grands capitalistes locaux,par
exemple) qui s’invertissent en lobby afin de créer des monopoles,forme de
cartels ou placer des barrières à l’entrée des
marchés[STIGLER1971]et[POSNER1974] dans le but de s’approprier les rentes
qui en découlent.
Alors que loue terme « corruption », n’est pas mentionné dans ce contexte ;
selon les représentatifs de l’école de Chicago ce n’est pas le comportement du
principal qui est responsable de l’inefficience des ces lois et réglementations,mais
plutôt, le pouvoir dont disposent ces groupes d’intérêts pour influencer les
opérations d’intervention du gouvernement. Ce dernier n’est pas
intentionnellement à la recherche de son propre intérêt,mais victime du groupe
d’intérêts.
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Cependant, le secteur public est répandu dans quelques pays qui en souffrent le
moins de corruption, les pays scandinaves [ DANEMARK , SUEDE …]. En même
temps, corruption semble croître dans des pays comme la CHINE , RUSSIE ou
TANZANIE qui ont opté pour une économie libérale et privatisation des
compagnies publiques.
Comment expliquer ces paradoxes liés aux fonctionnements du secteur public ?
Il faut aller plus loin et porter l’analyse sur les institutions qui encadrent les
agents économiques.
CREDIBILITE :
Problème de crédibilité résulte de la volonté de s’engager dans des réformes,
le plus souvent draconiennes et la capacité de s’attacher à ces objectifs ; du fait
de l’incertitude qui pourrait accompagner telles reformes, en particulier la lutte
contre la corruption dans les P.V.D , et encore de l’opposition contre tout reforme
de la part des bénéficiaires qui pour eux, elle relève de leur quotidien et vont
même la considérer avec fatalisme comme partie intégrante de leur culture.
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I- FONDEMENTS EMPIRIQUES DES RECENTES
RECHERCHES SUR CORRUPTION :
Idéalement, les données appliquées dans la recherche sur corruption devraient
être basées sur des observations -des transactions illégales- directes et de
première main faites par des observateurs familiers avec les règles et les
routines de secteur en question.
Ce type d’étude empirique n’existe presque jamais, en plus pour des raisons
limpides, on ne peut pas s’attendre à grande chose dans le futur proche. Le plus
souvent, on fait front avec des transactions complexes qui prennent place dans
des hiérarchies à qui les recherches indépendants, normalement, n’ont pas
d’accès , ni le statut approprié pour relever et vérifier des données.
L’information est indirecte et, jusqu’à récemment, n’est pas systématique.
L’une de majeur difficultés dans la recherche sur corruption est, par conséquent,
manque d’une solide base empirique.
- Ils ont tendance à donner priorité aux affaires les plus spectaculaires
et négligent les petites corruptions.
- Quant il s’agit de recherche empirique, on doit encire se contenter
d’une information de deuxième main de la part des médias qui,
comme les courts de justice ne donnent pas vraiment une sur la
perception de niveau de corruption.
Il est clair, que les occurrences de découvrir et prouver des actes de
corruption sont modiques pour avoir une idée représentative des actes de
corruption.
Pour créer des modèles ou faire des analyses, les recherches doivent
s’arranger avec une information relativement grossière pour , après,
s’engager dans le difficile processus de détermination de marge d’erreur.
L’alternative, faire avec cette incertitude et imprécision de l’information
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dans les modèles et la considérer comme non amendable pour la
recherche.
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II- PERSPECTIVES ECONOMIQUES ET ANALYSES
QUANTITATIVES DE QUELQUES CAUSES DE
CORRUPTION
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Contrairement à ce que prédit la littérature classique ; ils déduisent que les
compagnies qui payent plus de commissions supplémentaires perdent plus- et
non-moins du temps avec le bureaucrate en négociant les réglementations et
font face avec un coût de capital plus élevé.
Il est facile de dénicher des arguments théoriques qui supportent les deux
points de vue du fonctionnement et dysfonctionnement ; cependant une
révision systématique d’une évidence empirique ne donne pas une
réponse définitive.
Il existe une forte corrélation entre ces trois indices ; le nouveau indice
obtenu est appelé l’indice de « l’efficience administrative ». [MAURO1995]
conclut que corruption a un impact négatif sur le ratio
investissement/PIB :taux d’investissement.
Autre étude supporte les conclusions de MAURO : BRUNETTI , KISUNKO et
WEDER se servant de l’indice de corruption développé par la banque
mondiale et l’université de Bascal(WB/VB-Index) sur un échantillon de 41
pays, se trouvent que corruption réduit significativement le taux
d’investissement.
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CONCLUSION
Alors, comment cette analyse économique peut-elle nous aider ? Elle nous
donne une idée sur les causes de corruption, en passant par les concepts
d’asymétrie d’information, de pouvoir, de monopoles et de rentes. Ces
causes, à leurs tours, peuvent être source de distorsions et d’inefficience
et mettent en évidence les rôles de développement et la faiblesse des
salaires des agents.
Malheureusement, la plupart des études souffrent d’un manque de
données et elles ont surtout porté jusqu’ici sur les pays en voie de
développement.
Pourtant , corruption est bien présente aussi dans les pays développés
surtout au niveau de réseaux d’entreprises.
La poursuite de travaux dans ce domaine permettrait de brosser un
tableau plus clair, plus complet de la corruption en général et de ses
coûts. En attendant,la corruption continuera d’être une affaire plutôt
obscure.
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BIBLIOGRAPHIE
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theories »,Internet center for corruption research, contribution n°8 ,
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L’économie de corruption :analyse de la SEDEIS , n°74(Mars 1990)
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« Corruption continue de faire obstacle au développement » ;
usinfo.state.gov/journals
FAVERAU.O(2000)
« La science économique entre deux siècles », Revue La Recherche P62-
67.(Décembre 2000)
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