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MECANIQUE
Titre du Projet :
Réalisé par :
Mohammed El-otmani
Mohamed Reda Glillah
Devant la commission
Mr. Berdai Professeur à l’ENSEM Encadrant
INTRODUCTION
CHAPITRE I : POMPAGE SOLAIRE
I.1. INTRODUCTION
I.2. GÉNÉRATEUR PHOTOVOLTAÏQUE
I.3. GROUPE MOTOPOMPE
I.3.1. Moteur
I.3.2. Pompe
I.3.2.1. Types de pompes
I.3.2.2. Choix de la pompe
I.4. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
I.5. CONCLUSION
CHAPITRE II : DIMENSIONNEMENT D’UN SYSTÈMES DE POMPAGE PV
II.1. INTRODUCTION
II.2. É TUDE RÉALISÉE A l’ENSEM
II.2.1 Outil de travail
II.2.2. Dimensionnement de l’installation
II.2.2.1 Évaluation des besoins en eau
II.2.2.2 Hauteur manométrique totale
II.2.2.3 Énergie requise pour la pompe
II.2.2.4 Puissance crête du générateur PV
II.2.2.5 Dimensionnement du champ
II.2.3. Installation du système de pompage
II.2.3.1 Installation des panneaux PV
II.2.3.2 Installation des autres éléments
II.3. CONCLUSION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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INTRODUCTION
La production d'énergie est un défi de grande importance pour les années à venir. En effet, les
besoins énergétiques des pays industrialisés ne cessent d’augmenter, par ailleurs les pays en
voie de développement auront besoin de plus en plus d'énergie pour mener à bien leur
développement. De nos jours, une grande partie de la production mondiale d'énergie est assurée
à partir des énergies fossiles. La consommation de ces sources donne lieu à des émissions de
gaz à effet de serre et donc une augmentation de la pollution. Aujourd'hui on distingue
plusieurs sources d'énergies renouvelables, l'énergie hydroélectrique, l'énergie géothermique,
l’énergie biomasse, l’énergie éolienne et l'énergie photovoltaïque (qui sera étudiée dans ce
mémoire). L'avantage principal des énergies est que leur utilisation ne pollue pas l'atmosphère
et elles ne produisent pas de gaz à effet de serre comme le dioxyde de carbone et les oxydes
d'azote qui sont responsables du réchauffement de la terre. Le premier chapitre de ce mémoire a
pour objectif de présenter des généralités sur le pompage solaire photovoltaïque. Le deuxième
chapitre présente une étude de dimensionnement d’un système de pompage photovoltaïque. Ce
mémoire se termine par une conclusion.
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CHAPITRE 1 : POMPAGE SOLAIRE
1.1) -Introduction :
Dans le présent chapitre est consacré, nous allons présenter toutes les composantes qui
constituent un système de pompage photovoltaïque, à savoir : le générateur photovoltaïque et le
groupe motopompe.
Une installation de pompage photovoltaïque est constituée des composantes suivantes (Figure
I-1) :
· Des Panneaux photovoltaïques (générateur solaire) ;
· Forage et un réservoir de stockage ;
· Un onduleur.
· Un groupe motopompe.
· Composantes de distribution (Tuyauterie, canalisation enterrée de pompage…).
Les pompes à eau sont habituellement classées selon leur principe de fonctionnement : elles
sont soit de type volumétrique ou bien de type centrifuge. Outre ces deux classifications que
nous décrirons plus loin, on distingue également deux autres types de pompes en fonction de
l’emplacement physique de la pompe par rapport à l’eau pompée : pompe à aspiration et
pompe à refoulement :
Les pompes peuvent être directement alimentées par les panneaux solaires pour un
fonctionnement « au fil du soleil » dans ce cas le système est composé d’un ou plusieurs
panneaux solaires photovoltaïques et de la pompe avec son contrôleur. Les panneaux
photovoltaïques génèrent sous le soleil un courant électrique qui alimente directement le
contrôleur de la pompe. C’est le mode de fonctionne ment le plus simple, le plus fiable et le
plus économique.
Une citerne peut être placée en sortie de la pompe pour un stockage de l’eau permettant
d’avoir une réserve utilisable même sans soleil. Les pompes peuvent aussi fonctionner en
rajoutant des batteries. Dans ce cas un parc batterie est rajouté dans l’installation, ainsi qu’un
régulateur de charge qui gère la charge des batteries. Les panneaux solaires chargent les
batteries en journée et la pompe peut être utilisée pendant la nuit.
1.5) -Conclusion :
Le pompage photovoltaïque au fil du soleil reste la technologie la plus utilisée car il utilise les
réservoirs pour le stockage à la place des batteries et ça peut réduire le cout d’investissement et
optimiser le rendement.
2.1) -Introduction :
Le dimensionnement d'un système photovoltaïque est essentiel pour son bon fonctionnement et
pour la satisfaction de l'utilisateur. Dans tous les cas il est nécessaire de connaître le besoin en
eau, le gisement d'énergie solaire du lieu concerné. Ceci permet de faire le bon choix des
modules photovoltaïques, leur implantation et la structure support et le choix des composants
électriques assurant la régulation et la protection du système et des usagers.
Dans ce chapitre nous allons aborder les différentes étapes d’installation d’une pompe
photovoltaïque. La procédure générale permettra de dimensionner approximativement les
éléments d’une pompe afin de donner un ordre de grandeur de ces éléments. Cependant, nous
allons présenter une étude de dimensionnement photovoltaïques au sein de l’ENSEM avec une
simulation sur le logiciel PVsyst.
2.2) - Etude réalisé à l’ENSEM :
2.2.1) -Outil de Travail :
Avec :
Hg : est la hauteur géométrique entre la nappe d’eau pompée (niveau dynamique) et le plan
d’utilisation.
Pc : représente les pertes de charge produites par le frottement de l’eau sur les parois des
conduites
.
Avec :
e) -Dimensionnement de la
partie électrique
(Onduleur) :
A partir de ces 3 critères, le dimensionnement des onduleurs va imposer la façon de câbler les
modules entre eux.
Un onduleur est caractérisé par une tension d'entrée maximale admissible U max. Si la tension
délivrée par les modules est supérieure à U max, l'onduleur sera irrémédiablement détruit. Le
dépassement de la valeur Umax pour la tension d'entrée est, par ailleurs, la seule cause
d'endommagement définitif de l'onduleur.
La valeur de Vmax apparaît sur la fiche technique de l'onduleur. Par exemple, sur la fiche
technique de l'onduleur SB 4 000 TL de la marque SMA (télécharger la fiche technique), la
tension d'entrée maximale admissible indiquée est U max = 550 V, ainsi qu'illustré ci-dessous :
La tension délivrée par le groupe photovoltaïque ne devra donc jamais dépasser cette valeur de
550 V, pour l'onduleur SB 4 000 TL. Pour d'autres onduleurs, la valeur de Umax est différente, et
il faudra donc se référer à leur fiche technique.
Par ailleurs, comme la tension des modules photovoltaïques s'ajoutent lorsqu'on les branche en
série, la valeur de Umax va donc déterminer le nombre maximum de modules en série. Cela
dépendra évidemment de la tension délivrée par les modules photovoltaïques. Dans le calcul de
dimensionnement, on considèrera que la tension délivrée par un module est sa tension à vide,
notée Uco.
L'onduleur doit à tout moment demander aux modules leur maximum de puissance. Pour cela,
il déplace le point de fonctionnement du groupe photovoltaïque (c'est-à-dire le couple U-I). Ce
point de fonctionnement correspond au point de puissance maximum. Il varie en permanence
en fonction de l'intensité de l'irradiation, de la température, des ombres, etc.
La recherche du point de puissance maximum est réalisée par un système intégré en amont de
l'onduleur, nommé MPPT (Maximum Power Point Tracking).
Cependant, le système MPPT ne fonctionne que pour une plage de tension d'entrée d'onduleur
définie par le fabricant, et indiquée sur la fiche technique de l'onduleur. Lorsque la tension
d'entrée de l'onduleur côté DC est inférieure à la tension minimale MPPT, l'onduleur continue
de fonctionner mais fournit au réseau la puissance correspondante à la tension minimale
MPPT.
Ainsi qu'illustrés ci-dessus (passer la souris sur l'image), le fait d'avoir un point de puissance
maximum en dehors de la plage de tension MPPT induit une perte de puissance du groupe PV.
Il faut donc s'assurer que la tension délivrée par le groupe photovoltaïque est comprise dans la
plage de tension MPPT de l'onduleur auquel il est connecté. Si ce n'est pas le cas, il n'y aura
aucun dommage à l'onduleur, mais seulement une perte de puissance.
La plage de tension MPPT est indiquée sur la fiche technique de l'onduleur. Par exemple, la
plage de tension MPPT de l'onduleur SB 4 000 TL de la marque SMA (télécharger la fiche
technique) est comprise entre 125 V et 445 V :
Cette plage de tension MPPT va donc aussi avoir un impact sur le nombre de modules
photovoltaïques en série. En effet, on cherchera idéalement à obtenir une tension délivrée par le
groupe photovoltaïque comprise dans la plage MPPT, et ce quel que soit la température des
modules.
Pour calculer le nombre de module en série nécessaires afin que la chaîne photovoltaïque
délivre une tension comprise dans la plage de tension MPPT de l'onduleur, on pourra considérer
les deux critères suivants :
La tension MPP délivrée par la chaîne photovoltaïque, à une température des modules
de -20 °C et sous une irradiation de 1000 W/m², doit être inférieure à la valeur
maximale de la plage de tension MPPT de l'onduleur. Cela permet de déterminer le
nombre maximum de modules photovoltaïques en série.
La tension MPP délivrée par la chaîne photovoltaïque, à une température des modules
de 70 °C et sous une irradiation de 1000 W/m², doit être supérieur à la valeur minimale
de la plage de tension MPPT de l'onduleur. Cela permet de déterminer le nombre
minimum de modules photovoltaïques en série.
Lorsque le courant d'entrée de l'onduleur côté DC est supérieur au courant maximal admissible
par l'onduleur, celui-ci continue de fonctionner mais fournit au réseau la puissance
correspondante à son courant maximal
Le courant maximal d'entrée est indiqué sur la fiche technique de l'onduleur. Par exemple, le
courant maximal de l'onduleur SB 4 000 TL de la marque SMA (télécharger la fiche technique)
est Imax = 15 A (15 A par tracker car l'onduleur SB 4 000 TL dispose de deux trackers) :
On veillera donc à s'assurer que le courant débiter par le groupe photovoltaïque ne dépasse pas
la valeur du courant maximal admissible Imax par l'onduleur. Par ailleurs, comme les courants
s'ajoutent lorsque les modules sont en parallèles, la valeur de Imax va déterminer le nombre
maximum de chaînes photovoltaïque en parallèle. Cela dépendra évidemment du courant
délivrée par une chaine photovoltaïque. Dans le calcul de dimensionnement on considérera que
le courant délivré par la chaîne est égal au courant de court-circuit des modules
photovoltaïques, noté Icc et indiqué sur la fiche technique des modules photovoltaïques.
iii)-Compatibilité en puissance :
Un onduleur est caractérisé par une puissance maximale admissible en entrée.
Lorsque la puissance en entrée de l'onduleur, côté DC, est supérieure à la puissance maximale
admissible par l'onduleur, celui-ci continue de fonctionner mais fournit au réseau sa puissance
maximale. Celle-ci n'est pas la puissance maximale que pourrait délivrer les modules, car
l'onduleur s'est câblé sur un point de fonctionnement (c'est-à-dire un couple Tension - Courant)
ne correspondant pas au point de puissance maximale. Le groupe photovoltaïque ne délivre
donc toute sa puissance : il est sous-exploité.
La puissance maximale d'entrée est indiquée sur la fiche technique de l'onduleur. Par exemple,
la puissance maximale de l'onduleur SB 4 000 TL de la marque SMA (télécharger la fiche
technique) est Pmax = 4 200 W :
La valeur de la puissance maximale en entrée de l'onduleur va limiter la quantité de modules du
groupe photovoltaïque relié à l'onduleur. En effet, il faut veiller que la puissance du groupe
photovoltaïque ne dépasse pas la puissance maximale admissible. La puissance délivrée par le
groupe photovoltaïque variant en fonction de la luminosité et de la température, on pourra
considérer, pour le calcul de dimensionnement, une puissance égale à la somme des puissances
crêtes de tous les modules du groupe photovoltaïque. Il faudra donc veiller que cette puissance
calculée est inférieure à la puissance maximale admissible par l'onduleur. Idéalement, la
puissance délivrée par le groupe photovoltaïque doit être sensiblement égale à la puissance
maximale admissible de l'onduleur.
On a fait une étude de cas au sein de l’ENSEM. On a essayé de couvrir les besoins d’eau
consommés à l’école que ce soit les besoin en eau sanitaire, celui utilisée dans le resto, pour la
douche et la mosquée …. Tout en utilisant la superficie aux environs de l’école pour
l’implémentation des panneaux solaires.
Comme le montre l’image ci-dessus la quantité moyenne consommée par mois est : 1779 m3
égal aussi à 59.3 m3/jour.
La technique de pompage, choisi pour notre cas, est le pompage dit « au fil de soleil ». Le
stockage de l’eau est effectué dans un réservoir. La capacité de ce dernier est calculée pour
répondre au besoin d’eau pendant les jours d’autonomie. On prend dans notre cas un réservoir
pour assurer trois jours d’autonomie.
La capacité du réservoir donc est : 180 m3.
D’après les formules des pertes de charges, on trouve que les pertes sont de quelque
micromètres donc on peut les négliger.
HMT= 71m
On considère que notre système fonctionne en moyenne 8 heures par jour .on trouve donc notre
débit horaire est 59.3/8=7.41 m3/heure
La pompe qui correspond à notre cas c’est 95 PR15N/15 vue la non disponibilité de la hauteur
manométrique pour la pompe 95 PR15N/12.
Notre pompe est de rendement égal à 58%. D’où les calculs suivants
-Après on va choisir l’inclinaison et l’azimut (est l'angle mesuré dans le sens des aiguilles
d'une montre entre le point cardinal Sud (dans l'hémisphère nord).
Dans notre cas l’inclinaison vaut 32 dégrée est l’azimut est 0 dégrée
b)- Données du cahier de charge et calcul hydraulique :
Cette page contient les données sur la capacité du réservoir et le puit de pompage
Les résultats de l’installation sont donnée dans l’image ci-dessous : y compris les panneaux
utilisées, l’onduleur correspondant et le nombre totale de panneaux que ce soit série et
parallèle
- On a une correspondance entre les calculs faite théoriquement et ceux obtenus avec PVSYT
- De point de vue de stockage : Leurs batteries stockant l’énergie produite par la cellule
lors des périodes d’ensoleillement afin de pouvoir restituer cette énergie pour pomper
l’eau en temps voulu,
- Elles sont alimentée en continue : L’avantage de cette alimentation en courant continu
est que l'on va pouvoir adapter la vitesse de rotation en fonction de l'énergie disponible,
ce qui va permettre de pomper même avec un ensoleillement ou une tension batterie
faible. De plus, de point de vue sécurité, on se débarrasse des pointes de courant au
démarrage
L’ÉNERGIE SOLAIRE THERMIQUE :
Introduction :
Produire de l'eau chaude grâce au soleil est un principe simple dont la technique est aujourd'hui
fiable et éprouvée, Ce système est particulièrement adapté aux bâtiments de logements collectifs.
Les capteurs solaires thermiques permettent de transformer le rayonnement solaire en chaleur, et
permettent d'assurer une grande partie des besoins en eau chaude sanitaire et/ou en chauffage
d'un logement
Une installation de production d’eau chaude sanitaire par l’énergie solaire comporte en général
5 sous-ensembles caractérisant: le captage, le transfert, le stockage, l’appoint et la distribution.
La réduction des consommations d’énergie par rapport à une installation classique dépend du
climat, du lieu d’implantation des capteurs solaires, du dimensionnement et de la conception du
système, ainsi que du choix des composants et de leur maintenance
Le capteur solaire (1) absorbe l’énergie des rayons du soleil et la restitue sous forme de chaleur,
ce capteur est en général placé sur le toit.
Le circuit primaire (2) transporte la chaleur, il est étanche, calorifugé et contient de l’eau
additionnée d’antigel. Ce liquide s’échauffe en passant dans les tubes du capteur, et se dirige vers
un ballon de stockage.
L’échangeur thermique (3) (serpentin) cède ses calories solaires à l’eau sanitaire.
Le liquide refroidi, repart vers le capteur (4) ou il est à nouveau chauffé tant que
l’ensoleillement reste efficace.
Le ballon de stockage (5) ou le ballon solaire est une cuve métallique qui constitue la réserve
d’eau sanitaire.
L’eau froide du réseau (6) remplace l’eau chaude soutirée, elle sera de nouveau réchauffée à
son tour par le liquide du circuit primaire.
Le circulateur (7) met en mouvement le liquide caloporteur quand il est plus chaud que l’eau
sanitaire du ballon.
Son fonctionnement est commandé par un dispositif de régulation (8) jouant sur les différences
de températures : si la sonde du ballon (10) est plus chaude que celle du capteur (9), la régulation
coupe le circulateur. Sinon, le circulateur est remis en route et le liquide primaire réchauffe l’eau
sanitaire du ballon.
En hiver ou lors de longue période de mauvais temps, la totalité de la production d’eau chaude
ne peut être assurée par cette énergie solaire, un dispositif d’appoint (résistance ou serpentin
raccordé à une chaudière d’appoint (12) prend donc le relais et reconstitue un stock d’eau
chaude.
2. Dimensionnement de l’installation :
Le dimensionnement d’un chauffe-eau solaire se fait selon l’algorithme suivant :
- Détermination des besoins en eau chaude + la température désirée.
- Caractéristiques du matériel choisi (Module solaire : puissance, tension, tension, capacité,
volume, puissance).
- Calcul de l’énergie électrique requise chaque jour.
- Choix de l’onduleur (déjà fait dans la partie précedente).
- Calcul du nombre de modules nécessaire (résultat de la partie PV).
3. Etude de cas :
Nous dimensionnons un chauffe-eau solaire pour notre internat (ENSEM) de 690 étudiants
chacun nécessite 30 Litres d’eau pour une douche sous une température de 65°C. On a pris en
considération la différence du nombre de douches durant la semaine entre l’hiver et l’été, et on a
obtenu les résultats suivant :
- La 1er période : du Novembre jusqu’à Mars chacun nécessite 60 Litres/semaine.
- La 2ème période : du Mars, jusqu’à Juillet chacun nécessite 90 Litres/semaine.
L’énergie totale est calculée en tenant compte de toutes les pertes (ballon/tuyauterie).
Où :
- Th : la température désirée d’eau chaude.
- Tf : la température d’eau froide.
- Cp : Capacité calorifique masse volumique d’eau.
- � : la masse volumique de l’eau.
- Vl : le volume d’eau à chauffer
- Vs : le volume de stockage.
- Cr : constante de refroidissement du ballon.
- L1 : longueur de la tuyauterie du circuit solaire.
- L2 : longueur de la tuyauterie du circuit distribution.
- Ki : coefficient de déperdition linéique de la tuyauterie.
La puissance utile du capteur est donnée par :
Dans notre installation : On prend Tf = 15°, et on considère que le soleil fournira 65% de
l’eau chaude nécessaire
Le matériel choisi :
Module photovoltaïque :
Puissance crête (Pc) 250 W
Dimensions 1.64*0.99*0.05 (m3)
Poids 19.1 Kg
Caractéristiques techniques du Module solaire
Ballon :
cas 1 :
On a besoin de 41400 Litre par semaine donc on a un besoin journalier de
6000 litre. On va utiliser des ballons de volume 700 Litre.
Résultats :
Q=52093.25+2566.66+2541.5=57201.41Wh.
Pu= 1.64*0.99*(0.77*4900-4.80*(65-15))=5736.17 W
Q=78139.875+11000+2541.5=91681.375Wh.